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03/10/2015

Danger de paix en Syrie : Adieu le Nouvel Ordre Mondial !

Bien évidemment, sans les guerres de destructions massives, d'invasion et de colonisation, sans coups d'états pour remplacer les dirigeants pour y placer leurs pions, les crimes commis contre l'humanité en bandes organisées par le réseau mondial du crime : point de Nouvel Ordre Mondial pour les élites, Illuminati/sionistes/reptiliennes/sataniques !

Compris ?

Danger de paix en Syrie

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La presse-Système bobo atlantiste peut à nouveau se lâcher. Pensez-donc, après avoir sauvagement attaqué et envahi l’Ukraine puis arraché la Crimée (1), voilà que le très très méchant Poutine vient encore de jouer l’un de ses sales tours contre la paix mondiale, la démocratie universelle, la liberté cosmique et la défense de la baudroie des abysses. Depuis mercredi en effet, la Russie s’emploie à écraser les gangs de tueurs qui plongent la Syrie dans l’enfer depuis quatre ans et demi maintenant. Plutôt positif à première vue non? Sauf que comme l’a déclaré sans sourciller le néocon américain McCain, Moscou aurait «frappé des groupes armés et entraînés par la CIA» (SIC) (2). Il est vrai que contrairement à la fumeuse coalition atlantiste Obama-Hollande, la Russie n’entend faire aucune différence entre les bouchers d’al-Nosra (copains de Fabius), d’al-Qaïda (copains de la CIA) ou de Daesh (copains de plus personne). Pour la première fois depuis le début du chaos initié par les puissances occidentales dans le pays (3), la Syrie a donc une vraie chance de commencer à voir le bout du tunnel, si toutefois on laisse faire Moscou.

L’Empire et son inculpabilité

C’est quand même du caviar : entendre le sénateur John McCain reconnaître publiquement que la CIA arme et forme des combattants en Syrie est tout simplement savoureux. Il est vrai que la formation de «contras» pour alimenter les charniers mondiaux est une tradition de la machine de guerre qu’est l’Empire US. Mais tout de même, que des officiels trouvent tout à coup naturel de le reconnaître publiquement témoigne une fois de plus, s’il en était besoin, de cette arrogance, de cette inculpabilité propre à un Empire qui s’estime par nature au-dessus du droit et qui constitue, à cet égard, la principale menace pour la paix mondiale.

Le plus fantastique est que la presse bobo-atlantiste ne s’est absolument pas émue de la chose, trop occupée qu’elle était à propager la bonne parole russophobe que le Système exigeait d’elle. Des fonctionnaires aguerris de la propagande atlantiste aux jeunes plumitifs en formation rêvant de leur Guerre d’Espagne, chacun a donc pu s’offrir son petit supplément d’âme du jour en prêtant comme de coutume à Poutine les pires intentions hégémoniques qui soient.

Réalisme russe

Sauf qu’en termes d’hégémonie, Poutine cherche surtout dans ce dossier à préserver son accès actuel à la Mer Méditerranée (Tartous) et, d’entente avec la Chine, à éviter de voir sombrer la région plus avant encore dans le chaos généralisé provoqué par Washington et Paris. Au plan sécuritaire, Vladimir Poutine estime par ailleurs très logiquement qu’il vaut mieux écraser les punaises islamistes en Syrie et arrêter une fois pour toute la contamination, plutôt que de voir une armée de bandits (notamment les groupes tchétchènes engagés aux côtés de Daesh), revenir tôt ou tard semer le chaos à Moscou ou Grozny.

Côté stratégie, le principe de base de l’engagement russe est simple et solide: aucune guerre ne se gagnant depuis les airs, il faut des bottes. Or les seules bottes disponibles en Syrie sont ceux de l’armée légale syrienne de Bachar al-Assad, appuyées par celles du Hezbollah libanais et probablement de quelques unités iraniennes.

Contrairement aux interventions US et françaises, l’intervention russe est d’abord formellement légale puisqu’elle a été précédée d’une demande officielle de la présidence syrienne. Ensuite, la stratégie arrêtée est surtout réaliste puisqu’il s’agit d’appuyer l’armée syrienne et de coordonner, avec ses soutiens libanais et iraniens, la reconquête du territoire . Ensuite seulement, comme ne cessent de le répéter Vladimir Poutine et l’immense Sergueï Lavrov, on pourra toujours asseoir à la table des négociations le régime et les représentants de l’opposition réellement modérée, c’est-à-dire celle qui n’a pas participé au massacre des populations.


Il existe donc désormais un réel danger de paix en Syrie, au grand dam du Bloc occidental qui continue à miser sur le chaos régional pour prospérer.

Le compromis ou la guerre.

La donne a donc changé du tout au tout. Après le bras de fer ukrainien, l’engagement de la Russie en Syrie montre que le monde unipolaire rêvé des USA et de leurs cerfs a fait son temps.Russie en tête et Chine en embuscade, les pays du BRICs rejettent désormais activement le principe US de domination par le chaos.

A termes de deux choses l’une: soit le Bloc occidental acceptera de réduire sa voilure, soit ce sera la guerre.


Le théâtre syrien est à cet égard le lieu de tous les dangers désormais. Les Rafales français, qui épargnent soigneusement al-Nosra, et les FA/18 américains, qui épargnent al-Qaïda et al-Nosra (et manifestement dans une large mesure Daesh comme l’atteste le fait qu’un an de frappes n’auront donné aucun résultats tangibles), y croisent les Sukhoi russes qui n’épargnent personne avec sans doute, très bientôt, l’entrée en scène d’autre FA/18, israéliens ceux-ci, qui voudront pour leur part défendre leurs alliés d’al-Nosra à qui ils ont confié le contrôle d’une zone tampon entre les frontières mouvantes de l’entité sioniste et l’enfer syrien.

Et puis il y a encore les pays du Golfe qui alimentent en bloc tous les coupe-jarrets djihadistes, et qui ne veulent pas entendre parler d’un maintien au pouvoir de Bachar al-Assad, craignant le risque d’un renforcement à terme de l’axe chiite Iran-Syrie-Hezbollah.

Bref, un tel enchevêtrement d’intérêts contradictoires dans un pays déjà en guerre recèle un potentiel explosif rarement atteint. Et l’on sera donc vite fixé sur la question du compromis ou de la guerre justement.

Un discours magistral, doublé d’un avertissement

Il est intéressant de noter que l’intervention russe en Syrie a été déclenchée quelques jours après le discours magistral de Vladimir Poutine (4) à l’occasion du 70e anniversaire de l’ONU. Discours où tout a été dit sur la vérité des situations de notre monde.

Le Président russe est ainsi revenu à chaque fois sur les fondamentaux des crises évoquées pour en rappeler les causes véritables et pointer les responsabilités.

Sur l’Ukraine, il a tout résumé en trois phrases:

«Certains de nos collègues [Américains et Européens donc] continuent à raisonner en termes de blocs, comme c’était le cas du temps de la Guerre Froide. Premièrement, il s’agit de l’expansion de l’OTAN, mais on se demande, pour quelle raison? Le Bloc de Varsovie a cessé d’exister, l’Union Soviétique n’est plus, néanmoins l’OTAN a non seulement survécu, mais continue son expansion. Au bout du compte, cette logique devait se conclure par une crise géopolitique – et elle a eu lieu en Ukraine».

Sur la Syrie et l’Etat Islamique, il a fait de même:

«Daesh n’est pas venu de nulle part, c’était tout d’abord un moyen [pour les Américains donc…] de lutter contre des régions profanes indésirables. Au début, ils étaient circonscrits à l’Irak et la Syrie, mais maintenant ils essaient de dominer l’intégralité du monde islamique. Il est hypocrite de parler de menace terroriste internationale en fermant les yeux sur la manière dont ces terroristes reçoivent de l’aide [entre autres soutien politique français, militaire US et financier saoudien donc]. Il est tout aussi mauvais d’essayer de recruter ces groupes dans un but politique, pour ensuite se débarrasser d’eux [là, Obama a dû se tortiller sur sa chaise…]. (…) Si vous agissez de cette manière, je voudrais vous dire: Messieurs, vous traitez avec des gens cruels. Mais ils ne sont pas primitifs ou stupides – ils sont aussi intelligents que vous. Qui manipule qui?»

Enfin, il a replacé le tout dans le contexte de la guerre économique perpétuel que conduit le Système atlantiste pour préserver son hégémonie:

«Aujourd’hui, les sanctions unilatérales prises en contournant la Charte de l’ONU sont presque devenues la norme. Elles sont prises non seulement en faveur d’objectifs politiques, mais aussi dans le but d’éliminer des concurrents du marché. Un des syndromes de l’égoïsme économique croissant est le fait que certains pays ont choisi la voie de réunions exclusives. Les négociations sont menées dans des couloirs, non seulement dissimulées aux yeux de leurs propres citoyens mais aussi aux yeux des autres pays [Poutine pointe ici le TTIP-TAFTA, le vénéneux accord de libre-échange UE-US qui signera l’entrée définitive en esclavage de l’Europe et de ses citoyens]».

L’ampleur même du discours de Vladimir Poutine semblait ainsi porteuse d’une sorte d’avertissement au monde. Un avertissement solennel et inquiet sur le très mauvais tour pris par les relations internationales ces dernières décennies, et cela à l’évidence du fait de la voracité et de l’agressivité du Bloc atlantiste sous contrôle US.


Alors pour conclure ce billet, nous reprendrons la question essentielle, la question vertigineuse que Vladimir Poutine a adressée ce jour-là à tous ces faiseurs de guerres, à tous ces architectes de la misère mondiale, à tous ces industriels du chaos au sein du Bloc atlantiste lorsqu’il a dénoncé le résultat catastrophique de «l’exportation des soi-disant révolutions «démocratiques» au Moyen-Orient et en Afrique du Nord».

Vladimir Poutine au Bloc atlantiste donc: «Est-ce que vous comprenez ce que vous avez fait?»
A l’évidence non, pour notre malheur à tous.

Mis en ligne par entrefilets.com, le 2 octobre 2015

1 Enfumage ukrainien : contre-propagande

2 John McCain accuse les Russes d’avoir ciblé des groupes formés par la CIA

3 Comment le bloc atlantiste a construit la guerre en Syrie

4 Discours de Vladimir Poutine dans sa version vidéo, et dont voici une transcription complète

http://www.entrefilets.com/Danger_de_paix_en_Syrie.html#sthash.RgA70jU4.dpuf

 

01/10/2015

Benyamin Netanyahou réalise un discours théâtral à la tribune des Nations-Unies

Encore le psychopathe à l'oeuvre de la calomnie et en pleine crise de paranoïa !

Il ferait mieux d'arrêter les amphétamines ou le LSD, celui-ci !

Ils en ont encore beaucoup comme cela dans les rangs sionistes ?

Entre Porc'ochenko et lui, nous sommes servis ! L'hôpital psychiatrique en plein délire ?

A quand l'internement psychiatrique salutaire pour nous tous ?

Et la Palestine occupée, on en parle quand, très sérieusement ?

Benyamin Netanyahou réalise un discours théâtral à la tribune des Nations-Unies

 

Benyamin Netanyahou à la tribune de l'ONU

Benyamin Netanyahou à la tribune de l'ONU

Le premier ministre israëlien s'est exprimé lors du quatrième jour de Débat à l'Assemblée Générale des Nations unies. Dans un discours enflammé, mais sans surprise, il a évoqué l'accord sur le nucléaire iranien et la situation en Palestine.

Dans un discours solennel et enflammé, le Premier ministre israélien a commencé par revenir sur l'accord sur le nucléaire iranien. 

«Pensez-vous vraiment qu'un tigre féroce va du jour au lendemain devenir un gentil matou ?» a-t-il déclaré en ironisant.

«Pensez vous vraiment qu'une théocratie qui conquiert ses voisins et utilise le terrorisme partout dans le monde et souhaite la mort d'Israël et de l'Amérique va changer sa méthode ?» a-t-il poursuivi, ajoutant à l'adresse de la communauté internationale que «lorsqu'on récompense un mauvais comportement, ce dernier ne fait qu'empirer». 

Pour Benyamin Netanyahou, l'islam militant allié à l'arme nucléaire représente «le danger absolu» et tandis que «beaucoup se réjouissent de cet accord», l'Iran veut en fait «annihiler Israël».

Montrant ensuite un livre qu'il dit être celui du guide suprême d'Iran, l'Ayatollah Khamenei, Netanyahou a cité ce dernier qui aurait assuré dans son ouvrage que «dans 25 ans, Israël n'existera plus». 

70 ans après l'Holocauste, un pays clame haut et fort vouloir détruire mon peuple, mon pays ! Et que dit la communauté internationale ? Rien ! Quelle est sa réaction ? Un silence assourdissant !

En orateur enflammé, Benyamin Netanyahou a ensuite laissé planer un silence complet sur toute l'assemblée durant une minute complête, le regard grave, avant d'enchaîner : «Peut-être que si un pays voulait votre mort et votre destruction, seriez-vous moins enthousiastes !»

Netanyahu at UN: Israel is on frontlines in fight against barbarism, Israel is defending you http://t.co/FZqFRebWuT pic.twitter.com/tZ6vlUqd0g

Netanyahou a affirmé avec assurance que l'Iran disposait bien de missiles pouvant atteindre Israël, mais que son but était aussi «d'atteindre l'Europe» et «detruire tout et n'importe qui».

Le peuple juif a connu ce qu'était le prix du silence et ne se taira pas face à ses ennemis génocidaires, cela est du passé !

Poursuivant sur Israël et le peuple juif, le Premier ministre Netanyahou a affirmé que «Tout le monde a toujours voulu nous détruire, Babylone, Rome, l'inquisition sous le Moyen-Age, l'Holocauste, et aujourd'hui un Etat terroriste extrémiste et génocidaire», ajoutant qu'Israël «n'a que 67 ans, mais que le peuple juif , lui, a 4000 ans et vivra toujours».

En conclusion de son discours plus long que la moyenne, le Premier ministre israélien a rappelé que les Etats-Unis étaient le partenaire principal d'Israël et que leur amitié était «inébranlable».

Puis, évoquant la situation palestinienne, il a affirmé être «prêt à la réouverture des négociations avec la Palestine», assurant qu'Israël voulait «la Paix», avant de déplorer les «mensonges» de son homologue palestinien Mahmoud Abbas, l'invitant à «discuter» avec Israël.

 

 

 

 

New York Post: Poutine prend le relais de la superpuissance mondiale

Quand on vous disait que la météorite qui devait tomber sur les USA, le 28 septembre, à la lune de sang des 27/28 septembre, qui a provoqué un tsunami mondial, se nommait Poutine ?

Obama est désavoué par sa presse et par son concurrent aux élections Donal Trump !

Le monde a changé depuis le 28 septembre 2015, grâce à Poutine et nous espérons qu’il ne s’arrêtera pas là pour le bien de l’humanité !

Donald Trump loue le leadership de Vladimir Poutine

Le président russe Vladimir Poutine mérite les "meilleures notes" en termes de leadership, a déclaré le candidat à la présidentielle américaine Donald Trump au cours de l’émission O'Reilly Factor (Le facteur d’O'Reilly) à la chaîne Fox News.

New York Post: Poutine prend le relais de la superpuissance mondiale

16:54 30.09.2015 (mis à jour 19:34 30.09.2015)

Barack Obama et Vladimir Poutine à New York, le 28 septembre 2015

Lundi, le relais de l’unique superpuissance mondiale a été remis à Vladimir Poutine, qui l'a volontiers accepté, note le New York Post.

Le New York Post, l'un des plus anciens journaux américains, a qualifié la Russie d'unique superpuissance mondiale. Lundi, note-t-il, le relais a été remis à l'unique superpuissance mondiale, et Vladimir Poutine l'a volontiers accepté.

"Le président Obama (vous souvenez-vous de lui?) a décidé que les idéaux chantés par les fondateurs de l'Onu seront valables pendant encore longtemps alors que la puissance et la force perdront. Poutine a lui aussi a fait appel aux lois de l'Onu (comme il les comprend) et a utilisé son discours pour annoncer la formation d'une "large coalition internationale" pour lutter contre l'EI en Irak et en Syrie".

"Mais qui conduira cette nouvelle coalition?

Indice: Moscou a toujours célébré la victoire des Alliés dans la Seconde Guerre mondiale comme une victoire menée par la Russie", poursuit le journal.

Le New York Post estime que l'intervention d'Obama n'était que des paroles en l'air, alors que Poutine a tout de suite confirmé son discours par des actes, en accordant une aide militaire à la Syrie en y envoyant ses forces aériennes.

Le discours d'Obama est "comme d'habitude" plein de promesses mais ne garantit pas de résultats positifs. "Au contraire, le déploiement des forces armées par Poutine en Syrie et le fait d'armer Assad "crée des faits sur le terrain". Ceux-ci l'ont propulsé vers le sommet, car Poutine a pris l'initiative du règlement du problème mondial actuel le plus aigu, note le NYP.

Lors de son intervention, Obama a reçu moins d'applaudissements que lors de ses discours précédents, mais il est toujours aimé. Cependant ceux qu'il a critiqués, à savoir Poutine, Assad, Xi Jinping et l'Iranien Hassan Rohani étaient à ce moment-là absents et ne l'ont pas entendu. Parce que ses paroles, aussi énergiques soient-elles, sont rarement appuyées par des actions.

 Poutine, lui, n'a pas été applaudi du tout. Il est plus intéressé à être craint qu'à plaire. Mais ses paroles visent à expliquer ses actes énergiques. Voilà comment Poutine a retiré à l'Amérique son leadership.

"Et c'est mauvais pour l'Amérique. Car tôt ou tard, après des effusions de sang et dans des conditions encore pires qu'aujourd'hui, notre prochain président sera appelé à retirer le bâton du relais à Poutine. Et cela pourrait être difficile", conclut le journal.

 

Petro Porochenko intervient à la 70ème session de l'ONU

Ecoutez le discours à l’ONU du psychopathe de Kiev, Porc’ochenko (né Walcman), ça vaut le coup, sans oublier de prendre connaissance de son cursus d’escroc patenté.

Le président Porochenko, héritier d'une dynastie d’escrocs : c’est la fin de ce qui reste de l’Ukraine

Sans compter les tortures infligées aux innocents et les milliers de morts qui ont été provoqués à cause de ce complot organisé en Ukraine, qui a valu à 900 000 ukrainiens de se réfugier en Russie. Le psychopathe voudrait encore s’annexer le Donbass et Lougansk qui sont deux républiques libres et indépendantes reconnues par les USA depuis 1959 ! Les nazis US ont la mémoire courte apparemment !

900.000 réfugiésukrainiens souhaitent rester en Russie

Selon le Service russe des migrations, plus d'un million d'habitants du sud-est de l'Ukraine sont arrivés en Russie depuis le 1er avril 2014.

Ukraine/US/UE : tentatives d'annexions illégales du Donbass et de Lougansk ! Les USA reconnaissent-ils l'indépendance du Donbass et Lougansk depuis 1959?

La déclaration d’indépendance sur le site de la Maison Blanche
Presidential Proclamation -- Captive Nations Week, 2015

Petro Porochenko intervient à la 70ème session de l’ONU
Diffusé en direct le 29 sept. 2015

Le président ukrainien s’exprime à la tribune de l’Assemblée Générale dans le cadre des débats communs.


 

 

Syrie: Kerry s'est plaint auprès de Lavrov des frappes russes

Au lieu de se plaindre à Lavrov des frappes russes en Syrie, qui risquaient de provoquer un incident militaire entre avions de différentes armées qui sont présentes en Syrie de manière illégale, les USA et la clique n’avaient qu’à immobiliser leurs avions au sol ou à les faire déguerpir d’un pays occupé par leurs mercenaires nazis, comme Poutine le leur a demandé, qui lui, procède à des frappes légales !

Voir aussi :

Syrie: les militaires US en contact avec leurs collègues russes

Des discussions "tactiques" avec Moscou sont nécessaires pour éviter les "incompréhensions" et tout conflit éventuel entre pays lors des actions militaires en Syrie, a indiqué le porte-parole de la Maison-Blanche.

Syrie: Kerry s'est plaint auprès de Lavrov des frappes russes

AFP

30 septembre 2015 at 16:48

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry s'est plaint mercredi auprès de son homologue russe Sergueï Lavrov des frappes de Moscou en Syrie, jugeant ces bombardements contre-productifs, a indiqué un haut responsable américain.


Dans une conversation entre les deux ministres en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, M. Kerry a "fait passer le message (...) que cette annonce des Russes allait à l'encontre de leurs efforts pour éviter (un incident militaire entre avions de différentes armées, Ndlr) et était contre-productive", a expliqué ce cadre de l'administration américaine à quelques journalistes.