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18/07/2009

Israël est en train de préparer l’attaque contre l’Iran

Deux poids, deux mesures....!!!!!??????

par Manlio Dinucci

Le 18 juillet 2009
Il manifesto

Le déploiement des sous-marins Dolphin et navires de guerre israéliens en Mer Rouge “doit être pris au sérieux : Israël est en train de se préparer à la complexité d’une attaque contre l’Iran”. C’est ce qu’a déclaré au Times de Londres, hier, un fonctionnaire israélien de la défense. Il a en outre confirmé l’existence d’un accord avec l’Egypte pour le transit des unités militaires par le canal de Suez (voir il manifesto de mercredi 15 juillet), en ajoutant que les gouvernements des deux pays sont unis par une  “méfiance commune vis à vis de l’Iran” (« shared mutual distrust of Iran ») et qu’Israël est en train de renforcer ses liens avec “certains pays arabes, qui craignent eux aussi la menace nucléaire iranienne”. (“certain Arab nations just as wary of the Iranian nuclear threat)

Ainsi Israël, le seul pays de la région à posséder des armes nucléaires (dont sont armés aussi les Dolphin) et qui refuse le Traité de non-prolifération, prend la tête d’une croisade à laquelle participent certains gouvernements arabes, contre la “menace nucléaire” de l’Iran, pays qui a adhéré au Tnp et qui est donc soumis à des contrôles de l’Agence internationale pour l’énergie atomique. Celle-ci a confirmé n’avoir “aucune preuve que l’Iran soit en train d’esssayer de produire une arme nucléaire”.
Les sous-marins et les navires de guerre d’Israël sont en Mer Rouge non seulement pour préparer l’attque contre l’Iran, écrit hier Haaretz, mais aussi “pour empêcher le trafic d’armes de l’Iran vers la Bande de Gaza” par mer et à travers le Soudan.

On accuse donc l’Iran d’armer et d’encourager les Palestiniens à la guerre, en effaçant ce qui ressort de l’enquête de l’association israélienne “Breaking the silence”, démontrant que l’opération “Plomb durci” a été décidée sur la base d’un calcul politique : terroriser les Palestiniens en perpétrant des massacres de civils. Et il n’est pas crédible que dans la Bande de Gaza, où même les aides humanitaires n’arrivent pas à entrer, un flux d’armes puisse arriver d’Iran.

Et c’est la secrétaire d’Etat étasunienne, Hillary Clinton, qui est venue prêter main forte au gouvernement israélien, en lançant un “ultimatum à l’Iran” pour qu’il “se joigne à la communauté internationale en tant que membre responsable”, en cessant de “menacer ses voisins et de soutenir le terrorisme”.


Elle a réaffirmé que “l’Iran n’a pas le droit d’avoir une capacité nucléaire militaire” (que par contre les USA ont le droit d’avoir, en possédant les plus puissantes forces nucléaires du monde), et que les Usa sont décidés à empêcher qu’il ne l’aquière”.

Elle a ainsi déclaré : “Nous n’hésiterons pas à défendre nos amis, nos intérêts et surtout notre peuple avec vigueur et, si c’est nécessaire, avec la force militaire la plus puissante du monde”.

Le message à Téhéran est sans équivoque : si Israël attaque l’Iran et si celui-ci répond avec ses missiles (non nucléaires), les Etats-Unis soutiendront Israël avec “la force militaire la plus puissante du monde”.

A ce point-là, il reste aux analystes à comprendre en quoi la politique extérieure de l’adminisration Obama diffère de celle de l’administration Bush.

Reçu de l’auteur et traduit par Marie-Ange Patrizio
Edition de vendredi 17 juillet de il manifesto
Source : Il manifesto

 

RAPPEL : Feu vert* à Israël pour une attaque nucléaire "préventive" de l'Iran :
"Et tandis qu’Israël s’exerce à l’attaque nucléaire contre l’Iran, les leaders du G8 (quasiment tous souteneurs actifs du programme nucléaire iranien), dénoncent « les risques de prolifération posés par le programme nucléaire iranien », dans les documents approuvés à L’Aquila le 8 juillet « au cours du dîner ».".
*des USA + positionnement d'un sous-marin nucléaire israélien

Source : http://www.voltairenet.org/article161081.html

Rappel de l'article : "Israël est un baril de poudre bourré d’armes de destruction massive"

 

Israël/Iran : Israël avait planifié d'assassiner le président Mahmoud Ahmadinejad ?

Téhéran accuse Israël d'avoir voulu tuer Ahmadinejad

Samedi 18 Juillet

Téhéran accuse Israël d'avoir voulu tuer Ahmadinejad


Le ministre iranien des Renseignements, Gholamhossein Mohseni Ejeie a affirmé vendredi qu'Israël avait planifié d'assassiner le président Mahmoud Ahmadinejad durant la période de l'élection présidentielle du 12 juin.

Selon l'agence Fars, qui rapporte ses propos, des responsables israéliens ont rencontré des membres des Moudjahidine du peuple, principal groupe de l'opposition armée pour préparer leur plan.

"Des responsables du régime sioniste ont rencontré des membres des hypocrites (terme désignant les Moudjahidine) à Charm el-Cheikh (Egypte) et à Paris pour préparer ce plan", a déclaré le ministre.

Selon lui, les Moudjahidin
e ont demandé en contrepartie que leur nom soit enlevé de la "liste des groupes terroristes des Etats-Unis et d'autres pays".

Il a ajouté que les "ennemis" avaient aussi pris contact avec les rebelles sunnites qui combattent le gouvernement central, notamment dans la province du Sistan-Baloutchistan (sud-est), frontalière du Pakistan et de l'Afghanistan.

L'Iran ne reconnaît pas l'Etat d'Israël, qui considère l'Iran comme son pire ennemi, à cause son soutien aux groupes de résistance palestiniens et libanais.

Le président Ahmadinejad, réélu avec 63% des voix, avait déclaré à plusieurs reprises ces dernières années qu'il prévoyait la fin de l'entité sioniste. Il a aussi mis en doute l'Holocauste, déplorant qu'il ait servi de prétexte par les Occidentaux pour soutenir la création de l'entité sioniste au cœur du monde arabo-musulman .

http://www.almanar.com.lb http://www.almanar.com.lb

Source : Alterinfo

17/07/2009

L’Iran dans le colimateur des Dauphins

War Game en Mer Rouge

L’Iran dans le colimateur des Dauphins par Manlio Dinucci

15 juillet 200- - Depuis Rome (Italie)

Le Dauphin a émergé de l’eau face aux baigneurs en villégiature à Eilat, le port israélien dans le golfe d’Aqabah en Mer Rouge. Ce n’était cependant pas un cétacée, mais un Dolphin, un des sous-marins israéliens armés de missiles nucléaires. La nouvelle a fait sensation. Ce n’est pourtant pas un mystère que les Dolphin croisent en Mer Rouge pour tenir l’Iran sous leur ligne de feu : nous l’avons écrit il y a sept ans. Les trois premiers sous-marins de cette classe, dotés des systèmes de navigation et de combat les plus sophistiqués, ont été fournis à Israël par l’Allemagne, dans les années 90, deux sous forme de don. Sur requête israélienne, aux six tubes de lancement de 533 mm, adaptés aux missiles de croisière à courte portée, on a ajouté dans chaque sous-marin quatre tubes de 650 mm, pour le lancement de missiles de croisière nucléaires à longue portée : les Popeye Turbo, qui peuvent atteindre un objectif à 1 500 kms. Ce sont des missiles dérivés des missiles états-uniens, dont la société israélienne Raphaël et Lokheed-Martin ont réalisé aussi, conjointement, une version pour avions.

En 2010, aux trois sous-marins lanceurs d’engins nucléaires s’en ajouteront deux autres, toujours fournis par l’Allemagne. Ils sont construits par les chantiers Howaldtswerke-Deutsche Werft AG pour 1,27 milliards de dollars, dont un tiers financé par le gouvernement allemand. Le Jérusalem Post confirme que les deux nouveaux sous-marins aussi, dont le sigle est U-212, sont construits selon les “spécificités israéliennes” : ils ont une plus grande vitesse (20 nœuds) et un plus grand rayon d’action (4 500 km) et sont plus silencieux pour pouvoir s’approcher des objectifs sans être identifiés.

Selon les experts militaires, un des trois Dolphins fournis par l’Allemagne, est gardé pour la navigation en mer Rouge et dans le Golfe Persique, l’autre en Méditerranée, et le troisième reste en réserve. Avec l’ajout de deux autres, le nombre de ceux qui sont en navigation, prêts à l’attaque nucléaire, pourra être doublé. Et ceci n’est qu’une partie des forces nucléaires israéliennes, dont le potentiel est estimé à 200-400 têtes nucléaires, avec une puissance équivalente à presque 4 mille bombes d’Hiroshima, et dont les vecteurs se montent à plus de 300 chasseurs états-uniens F-16 et F-15, et environ 50 missiles balistiques Jericho II sur rampes de lancement mobiles. Ces armes et d’autres armes nucléaires sont prêtes au lancement 24h sur 24.

Le gouvernement israélien, qui refuse de signer le Traité de non-prolifération, ne reconnaît pas qu’il possède des armes nucléaires (dont l’existence est reconnue par l’Agence internationale pour l’énergie atomique), mais laisse entendre qu’il les a et peut les utiliser. Ainsi s’explique pourquoi le Dolphin est apparu sous les yeux des baigneurs d’Eilat et pourquoi le Jerusalem Post informe qu’il a transité par le Canal de Suez, au retour d’une manœuvre en Mer Rouge. Comme l’écrit ce même journal, c’est “un signal à l’Iran”. En d’autres termes, une façon de faire comprendre à l’Iran et à d’autres pays de la région, lesquels ne possèdent pas d’armes nucléaires, qu’Israël, par contre, en a et est prêt à les utiliser.

Dernier « signal d’avertissement à l’Iran », la nouvelle, rapportée par Haaretz, qu’hier, deux autres navires de guerre israéliens, le Hanit et le Eilat, ont traversé le Canal de Suez en direction de la Mer Rouge. Le Hanit y avait déjà transité en juin avec le sous-marin Dolphin. Ceci implique un accord israélo-égyptien de fonction anti-iranienne. Les sources militaires israéliennes elles-même parlent d’un « changement de politique », qui permet aux unités de la marine de transiter librement par le Canal. C’est ce qu’a confirmé le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, qui a qualifié de « légitime » l’utilisation militaire du Canal de Suez par Israël, établie par « un accord entre Le Caire et Jérusalem ». Il existe donc une liaison stratégique plus étroite entre la Méditerranée, la Mer Rouge et le Golfe Persique.

Et tandis qu’Israël s’exerce à l’attaque nucléaire contre l’Iran, les leaders du G8 (quasiment tous souteneurs actifs du programme nucléaire militaire israélien) dénoncent « les risques de prolifération posés par le programme nucléaire iranien », dans les documents approuvés à L’Aquila le 8 juillet « au cours du dîner ».

Manlio Dinucci

Géographe et géopolitologue. Derniers ouvrages publiés : Geograficamente. Per la Scuola media (3 vol.), Zanichelli (2008) ; Escalation. Anatomia della guerra infinita, DeriveApprodi (2005).


Les articles de cet auteur

Source : http://www.voltairenet.org/article161081.html#nh1


Israël se prépare à frapper les cibles nucléaire iraniennes

Source: Times Online

Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr

Le récent transit de deux navires de guerre israéliens, porteurs de missiles, par le canal de Suez dix jours après le passage d’un sous-marin capable de lancer des missiles nucléaires, s’inscrit, selon le journal londonien “The Times”, dans son édition de ce jeudi, dans le cadre des préparatifs lancés par Israël en vue d’une éventualité de s’attaquer aux équipements nucléaires iraniens.

Le journal qui cite des sources diplomatiques israéliennes et d’autres du ministère de la Défense israélienne, rapporte que l”e déploiement des navires de guerre en mer rouge, constitue un signal clair sur la capacité israélienne de mettre l’Iran en ligne de mire de sa force de frappe, en un laps de temps très court”.

Israël a œuvré, selon le journal londonien, “à renforcer ses relations avec les pays arabes inquiets, à leur tour, du nucléaire iranien, particulièrement avec l’Egypte, avec qui ses relations se sont consolidées d’une manière notable au cours de cette année, dans la mesure où le Caire et Tel-Aviv partagent cette position de méfiance envers l’Iran”, comme le précise un diplomate israélien.

Selon un responsable du ministère de la défense israélien, cité par le journal, “ces préparatifs doivent être pris au sérieux. Israël investit du temps pour s’équiper et se préparer à la complexité d’une attaque contre l’Iran”.

Ces manœuvres constituent un message adressé à l’Iran selon lequel Israël persiste et signe dans ses menaces. Le journal ajoute queles sous-marins israéliens équipés de missiles, ainsi que sa flotte d’avions de combat, peuvent être utilisés pour perpétrer des attaques contre plus de 10 cibles ayant un lien avec des matières nucléaires, et situées à 800 miles d’Israël.

“The Times” est revenu sur les déclarations du ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Abou Ghaith, selon lesquelles “le gouvernement égyptien autorise le passage des navires israéliens par le canal de Suez”. Il a également cité un colonel israélien qui confie que “les entraînements se déroulent régulièrement avec une coopération complète avec l’Egypte”.

Israël procédera également à une mise à l’essai d’un missile d’interception de type “Arrow” dans une zone américaine à l’océan pacifique. “C’est un dispositif qui a été conçu pour protéger Israël contre les attaques de missiles, qui peuvent provenir de l’Iran et de la Syrie”. (…).

A en croire “The Times”, les entraînements israéliens interviennent à un moment où les diplomates occidentaux procurent un soutien à Israël pour attaquer l’Iran, en contrepartie de concessions israéliennes pour la création d’un Etat palestinien.

D’après un diplomate britannique, “si un accord à ce sujet venait à être conclu, l’attaque israélienne contre l’Iran serait effective en l’espace d’une année”.

Des diplomates indiquent également qu’Israël a fait des concessions en matière de politique d’implantations, et de ses relations avec ses voisins arabes, pour faciliter une attaque contre l’Iran.

Un diplomate européen a estimé à cet effet, qu’”Israël a préféré accorder de l’importance aux menaces iraniennes, au détriment de ses implantations”.

Source : http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=1887

 

15/07/2009

Guerre de Gaza : des soldats accablent Tsahal

Monde 15/07/2009 à 06h51

Israël. Une association a rassemblé des témoignages sur les exactions.

JÉRUSALEM, de notre correspondante DELPHINE MATTHIEUSSENT

Mépris pour la vie des civils palestiniens, usage sans restriction de la force, destructions massives et vandalisme : pour la première fois depuis l’opération militaire israélienne à Gaza, en décembre et janvier, une organisation regroupant des soldats israéliens fait écho aux accusations palestiniennes et internationales. Dans un rapport de plus de 100 pages, regroupant les témoignages de 26 soldats, Shovrim Shtika («Rompre le silence») revient en détail sur la conduite de l’armée israélienne lors de l’offensive de près de trois semaines contre le Hamas, qui avait fait plus de 1 300 morts et des milliers de blessés palestiniens.

Des témoignages de soldats faisant état d’exactions contre des civils palestiniens avaient déjà été publiés dans la presse israélienne en mars. Mais leur fiabilité avait été contestée car ils avaient été reconstitués à partir de discussions informelles organisées au sein d’une académie militaire.

Cette fois, Shovrim Shtika, une organisation qui s’était jusque-là attachée à recueillir les témoignages de soldats servant dans les territoires palestiniens, retranscrit de façon systématique des entretiens avec des conscrits et des soldats de réserve, sous couvert de l’anonymat. Des extraits de son rapport sont publiés aujourd’hui dans le quotidien israélien de gauche Haaretz.

Phosphore. Des enquêtes de l’ONU et de différentes organisations de défense des droits de l’homme avaient déjà fait le tour des principaux chefs d’accusation qui pèsent sur Tsahal : utilisation de civils comme boucliers humains, tirs injustifiés contre des civils, usage de bombes au phosphore blanc dans des zones habitées. Tous ces éléments figurent là encore dans les témoignages des soldats. Mais c’est le laxisme des règles d’engagement, voire leur absence, qui est l’élément le plus troublant du rapport. Ainsi le témoignage d’un des soldats : «Si nous détectons quoi que soit qui ne doit pas être là, nous avons ordre de tirer. On nous explique que de toute façon l’armée de l’air a lâché des prospectus pour dire à tous les habitants de partir, et que plus personne ne doit être là. J’entends des histoires d’autres unités qui tirent sur des gens distants de deux kilomètres. Ils essaient de les tuer. Ce sont de jeunes soldats, qui veulent marquer des points. Comme si c’était cool d’avoir un tel pouvoir sans personne pour vous freiner.»

«Terroriste». Un autre soldat explique comment, une nuit, un Palestinien s’est approché de la maison occupée par son unité, dans le quartier de Zeitoun, dans la périphérie de la ville de Gaza. Malgré les demandes répétées de ses soldats, le commandant refuse qu’ils le dissuadent de continuer dans leur direction en tirant. Le civil est abattu. «Plus tard, des soldats ont demandé au commandant pourquoi il ne nous avait pas laissé avertir le Palestinien. A chaque fois il répondait que c’était parce que c’était la nuit et qu’il s’agissait d’un terroriste, même si aucune arme n’avait été retrouvée sur lui. L’impression générale était qu’on était ici pour tuer et que cela ne perturbait personne», relate-t-il.

«Il y a des bavures et des dérapages dans toutes les guerres, mais ce qui nous trouble, c’est de voir que, lors de son opération à Gaza, l’armée israélienne semble avoir changé ses concepts éthiques sans nous le dire. L’utilisation de tactiques de guerre contre les civils palestiniens est injustifiable», commente Yehuda Shaul, directeur de Shovrim Shtika.

Avant même leur publication, l’armée israélienne a remis en question la fiabilité de ces témoignages. Pour Asa Kasher, professeur de philosophie à l’université de Tel-Aviv, auteur du code d’éthique de l’armée,«cette organisation [Shovrim Shtika] se targue de défendre des valeurs morales alors qu’elle a en fait un agenda politique : aller dans le sens des accusations palestiniennes.» Il ajoute : «Quand les soldats disent qu’ils pouvaient tirer à volonté : soit ils ont agi de leur plein gré et c’est condamnable, soit ils n’ont pas refusé les ordres de leur supérieur, ce qui est également condamnable. Les soldats ont l’obligation légale de refuser des ordres illégaux, de tirer sur des innocents. […] C’est très facile, des mois après les faits, de jeter la pierre à l’armée en prenant les médias à témoin

Source : Libération

Juste une question : Pourquoi la presse internationale a été et est toujours interdite à Gaza par Israël ? Idem pour l'Irak où Bush a fait interdire la presse internationale pour cause de danger pour les journalistes. Cherchons l'erreur.