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22/05/2010

Exclu : 9 minutes de vérité à la télé

Avec Michel Collon.




10/05/2010

Discours d'Ahmadinejad CENSURÉ par euro-news mai 2010

9 mai 2010 La suite a été diffusée sur des chaînes orientales en langue arabe, tous les pays occidentaux n'ont pas diffusé la suite.

Début du discours Président de l'Iran, Mahmoud Ahmadinejad qui après 9 minutes a été censuré sur Euronews alors qu'il l'attendait avec impatience pendant plus de 30 minutes....

Il a pourtant parlé pendant plus de 35 minutes

Le président a commencé à parler de sujets qui fâchent, il a commencé à s'en prendre aux Etats-Unis mais ça a été coupé (arrêté) de façon assez surprenante par Euronews, France 24 de même, et sur BFM et I-télé, ils n'ont même pas dit un mot sur le discours qui avait lieu.....

Les représentants américains, français et anglais ont fini par quitter la salle...


TNP - Voilà comment les représentants, de la France, des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne qui ne représentes manifestement queux même (ou un intérêt communautaire) boycottent la vérité.


http://www.youtube.com/watch?v=KdrGbv8-TeQ&feature=di...

 

Ce qu'a révélé Vanunu sur le nucléaire Israélien

http://www.youtube.com/watch?v=8sFgPNMhjSE&feature=related

 

 

ISRAËL : ARMES SECRÈTES (1)

http://www.youtube.com/watch?v=3wSfMBqpCdo&feature=related


ISRAËL : ARMES SECRÈTES (2)

http://www.youtube.com/watch?v=f0Vo320gerU&feature=related



01:54 Publié dans Guerres, Armement, armées,, Islam, Iran, Syrie, ONU, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

08/04/2010

Doctrine nucléaire US: des frappes contre l'Iran et la Corée du Nord possibles (Gates)

Pour nous empoisonner encore un peu plus !


Robert Gates
Robert Gates
21:23 06/04/2010
© REUTERS HYUNGWON KANG
WASHINGTON, 6 avril - RIA Novosti

La nouvelle doctrine nucléaire des Etats-Unis n'exclut pas des frappes contre l'Iran et la Corée du Nord, a déclaré mardi le secrétaire américain à la Défense Robert Gates.

"La doctrine nucléaire renferme un message très sérieux tant à l'Iran qu'à la Corée du Nord (…). Nous faisons exception pour des pays, tels que l'Iran et la Corée du Nord qui ne respectent pas les principes du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Par conséquent, toutes les options sont possibles vis-à-vis des pays de cette catégorie, ainsi qu'envers tous ceux qui peuvent entrer en possession de l'arme nucléaire", a indiqué le chef du Pentagone.

L'administration du président américain Barack Obama a publié mardi la nouvelle doctrine nucléaire des Etats-Unis, qui restreint les conditions dans lesquelles Washington serait amené à utiliser l'arme atomique.

Selon ce document, les USA s'engagent notamment à ne jamais utiliser l'arme nucléaire contre un adversaire qui ne la détient pas et qui respecte les règles du TNP.

Les Etats hors-norme comme l'Iran et la Corée du Nord seraient des exceptions à cette nouvelle règle.

http://fr.rian.ru/world/20100406/186406830.html


04:45 Publié dans Islam, Iran, Syrie, Israël, Palestine, Colonisation, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

19/03/2010

Les signes annonciateurs d’une troisième guerre mondiale s’accumulent

Les chacals aux portes de l'Iran !

Article placé le 18 mar 2010, par Mecanopolis

Les USA traversent, non seulement en raison du rachat des dettes des banques par l’Etat, mais aussi de leur dette publique qui avait déjà énormément augmenté – leurs crédits à l’étranger leur coûtent 1 milliard de dollars par jour – leur pire crise financière depuis la Seconde Guerre mondiale. Si les flux financiers cessent ou s’ils se détournent du dollar, les USA sont en faillite.

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Pourtant les USA ne font pas un effort d’économie suffisant pour réduire leur dette publique croissante. Ils n’augmentent pas les impôts pour accroître leurs recettes, ne tentent guère de rogner sur les budgets publics, surtout pas sur leur budget militaire, celui qui a le plus augmenté.

Il faut dire que les USA, en divers endroits du monde, ont engagé au total 200 000 soldats. C’est pourquoi personne n’a compris que le plus grand chef de guerre du monde ait reçu le Prix Nobel de la paix bien qu’il ait renforcé ses troupes. Peut-être était-ce une mesure préventive, car la guerre en Iran dépend avant tout de lui.

Les exemples de chefs politiques qui, confrontés à un échec économique, ont choisi la guerre comme dernier recours pour se maintenir au pouvoir abondent dans l’his­toire. C’est encore plus vrai lorsqu’un pays connaît des crises économiques successives et que la guerre semble le seul moyen d’en sortir. C’est ainsi que les USA ont surmonté leur plus grave crise économique du XXe siècle en entrant dans la Première Guerre mondiale, la crise économique mondiale en entrant dans la Seconde, et ils pourraient donc être tentés de résoudre la troisième crise écono­mique de la même manière. Les deux guerres mondiales ont en effet permis aux Etats-Unis non seulement de venir à bout de leurs deux plus gros endettements, mais aussi de devenir la première puissance économique mondiale. La tentation est donc forte d’essayer une troi­sième fois le même remède.

Dans ce contexte toute une série de préparatifs de guerre semblent alarmants:

1. Le Premier ministre israélien, un homme d’extrême-droite, est un va-t-en-guerre imprévisible. Il se plaint constamment d’avoir reçu de la part de l’Iran des menaces variées dont aucune n’a jusqu’ici résisté à l’examen. Mais il hausse de plus en plus le ton et au cours des derniers mois il a fait la tournée des principales capitales mondiales pour y chercher un soutien. Il paraît même que Madame Merkel lui a juré la fidélité des Nibelungen, comme l’avait fait avant les précédentes guerres mondiales Guillaume II aux Autrichiens ou les ­Anglais et les Français à la Pologne.

2. Israël a déjà positionné les sous-marins nucléaires qu’elle a achetés à l’Allemagne, armés de missiles à ogives nucléaires, en face de l’Iran et, non content d’avoir reconstruit et pointé sur l’Iran la base de lancement géorgienne que les Russes avaient détruite il y a un an et demi, y a fait envoyer un renfort de 90 spécialistes états-uniens.

3. De semaine en semaine la presse, sous l’influence d’Israël, hausse le ton à l’égard de l’Iran pour différents motifs – une cam­pagne de propagande analogue à celle qui a permis de faire accepter, voire soutenir la guerre en Irak dans le monde entier en répandant des affirmations mensongères.

4. Les préparatifs militaires ne chôment pas non plus. Certes les troupes états-­uniennes n’ont toujours pas réussi à «pacifier» les deux pays voisins, l’Irak et l’Afgha­nistan. Mais ils y entraînent à la guerre la plus grosse concentration de troupes au monde. En outre, ils ont regroupé au large de l’Iran la plus grosse flotte militaire qu’ils aient jamais réunie. Le comité du Nobel a donc fait un bon calcul en cette affaire: pas de guerre en Iran sans l’assentiment du Président des USA, surtout s’il s’agit d’un Prix Nobel de la paix. Toutefois la pression des banques, des multinationales, du lobby de l’armement, de l’armée et du lobby israélien pourrait contraindre les USA à entrer en guerre, si Israël menait une première frappe contre l’Iran et que les puissances précitées voulaient protéger leurs intérêts.

N’oublions pas que les USA ne sont pas seulement la nation la plus endettée du monde, mais aussi que l’effondrement de leur de­vise sig­nifie celui de leur empire. La soi-disant «unique puissance hégémonique mondiale» implose en ce moment exactement comme l’a fait l’URSS il y a vingt ans. Les Chinois ont déjà fait comprendre qu’ils ne reconnaissent plus son hégémonie. Le Président des Etats-Unis se trouve donc, si Israël frappe, face à un dilemme désespéré: doit-il continuer à s’enliser dans les sables mouvants de la crise financière, économique et sociale ou chercher le salut dans une guerre mondiale, qui a déjà permis deux fois aux Etats-Unis d’en sortir gagnants.

Le danger d’une nouvelle guerre mon­diale n’a jamais été aussi grand depuis la fin de la Seconde. C’est à juste titre que depuis un an les mises en garde aux USA se sont accrues, venant surtout de certains milieux intellectuels européens. Mais nous ne pourrons pas l’empêcher.

Une guerre en Iran ne resterait pas un événement limité, même si au départ il ne s’agissait que de missiles.

Aux côtés de l’Iran se rangeraient les Chinois, directement ou indirectement, et probablement les Russes, pour ne pas laisser les troupes états-uniennes s’approcher de leurs frontières et la puissance des USA devenir excessive.

Les membres de l’OTAN seraient contraints de se ranger aux côtés d’Israël et des USA, surtout s’ils avaient auparavant prêté le serment des Nibelungen. Il faut donc nous attendre à voir l’Europe participer, elle aussi, à la guerre.

Quelles seraient pour nous les conséquences d’une troisième guerre mondiale en Iran?

1. Toute guerre avec l’Iran entraînerait la fermeture immédiate du détroit d’Ormuz et un dramatique renchérissement du pétrole, et ceci d’autant plus que la guerre se prolongerait. Du pétrole plus cher, c’est toujours des coûts plus élevés pour l’économie et les consommateurs. Nous devons donc nous attendre à des pénuries, des restrictions et des augmentations de prix pour les biens de consommation.

2. Toute guerre nécessite un surcroît d’armement. L’industrie mondiale de l’armement – et en particulier aux USA – se frottera les mains, elle sera utilisée à pleine capacité et pourra se développer. Il y aura des retombées dans les secteurs annexes, par exemple l’automobile, le textile, les chantiers navals, l’aéronautique et d’autres encore. La production augmentera, même si les prix en font autant.

3. Les grands gagnants seront les banques. On ne parlera plus de produits financiers to­xiques et de banquiers gangsters; les banques centrales devront financer la guerre par la création de monnaie. Les banques pourront de nouveau accorder des crédits. Dans un premier temps l’inflation maintiendra le dollar jusqu’à la fin de la guerre. C’est seulement après la guerre, comme d’habitude, que l’on procédera au grand nettoyage et qu’on expiera les péchés de la finance de guerre.

Les vassaux des USA doivent casquer pour les besoins financiers du maître, on l’a déjà vu avec les guerres d’Irak et d’Afghanistan. La guerre n’appauvrira donc pas seulement Israël et les USA, mais nous tous. Comme il n’y a pas d’argent pour financer une guerre, on devra recourir à l’inflation, comme lors des deux premières guerres mondiales; nous devons donc nous attendre à une inflation vertigineuse.

S’ils entrent en guerre avec l’Iran, les USA mobiliseront aussi l’OTAN («clause de ­défense collective»). Le gouvernement devra alors expliquer à nos soldats pourquoi ils ne doivent plus seulement s’ac­quitter de leur tâche en Afghanistan, mais aussi en Iran, et réunir une majorité au Bundestag pour voter son budget de guerre. Le SPD et les Verts (Fischer) ont déjà voté une entrée en guerre sous le prétexte fallacieux d’un «maintien de la paix». Une troisième guerre mondiale, malgré la pression états-unienne, rencontrera plus de réticence. Et dans la population le refus devrait être massif et peut-être mener à la démission du gouvernement trop docile.

Mais peut-être le gouvernement Merkel voit-il lui aussi dans une guerre une issue politique à sa situation bloquée par l’aide aux banques, le surendettement public, le collapsus financier qui menace les systèmes de protection sociale et les troubles sociaux que risquent d’engendrer de véritables redressements de cap.

La guerre est à nos portes. Les mois qui viennent nous diront si nous allons être entraînés dans une troisième guerre mondiale ou si nous y échapperons encore.

Eberhard Hamer

Traduction : Horizons et Débats

http://www.mecanopolis.org/?p=14981

00:37 Publié dans Islam, Iran, Syrie | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

11/03/2010

Nucléaire iranien: Erdogan contre de nouvelles sanctions contre Téhéran

10/03/2010

Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a estimé, mardi, à Riyad, que d'autres sanctions contre l'Iran ne produiront aucun résultat, en parlant du programme nucléaire civil de Téhéran. "Les premiers trains de sanctions n'ont produit aucun résultat et d'autres sanctions ne produiront aucun résultat.", a déclaré le Premier ministre turc. "L'Occident, a-t-il ajouté, doit comprendre que l'Iran a accédé à la technologie nucléaire pacifique et que les sanctions ne pourront pas contraindre l'Iran à faire marche arrière." Même son de cloche chez le Président brésilien, Lula, qui s'est, de nouveau, opposé, mardi, aux nouvelles sanctions contre l'Iran, avertissant qu'un nouveau train de sanctions pourrait avoir des conséquences similaires à la guerre, en Irak. Il a apporté son soutien au caractère pacifique et à l'objectif civil du programme nucléaire iranien qui vise, notamment, à produire de l'électricité et à contribuer à la recherche médicale.

http://french.irib.ir http://french.irib.ir

03:09 Publié dans Islam, Iran, Syrie | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |