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03/10/2015

Qui se trouve derrière les sources accusant la Russie de frapper l'opposition en Syrie?

Un homme qui se planque et qui travaille à partir de chez lui, domicilié comme par hasard, en Grande-Bretagne,  injoignable et qui dit ne pas être une organisation médiatique et se présentant néanmoins comme étant le représentant de «  l'Observatoire syrien des droits de l'homme » !

Voilà les infos que reprennent les merdias occidentaux pour alimenter leur propagande anti-russe !

Comprenne qui pourra !

Qui se trouve derrière les sources accusant la Russie de frapper l'opposition en Syrie?

3 oct. 2015, 10:21

La base aérienne russe en Syrie

La base aérienne russe en Syrie

Au cours des trois derniers jours, les grands médias occidentaux n'ont cessé d'affirmer que c’est l’opposition syrienne et non Daesh qui représente la vraie cible de la campagne russe en Syrie. Mais quelle est la vraie source de ces affirmations ?

Les photos que présentent les grands médias pour prouver ces allégations concernant la situation en Syrie s’avèrent parfois être trop vieilles. Ainsi, le compte Twitter de Free Syria Media qui a plus de 200 000 abonnés, a choisi une photo représentant une explosion pour mettre en doute le but des raids russes dans le pays. Mais l’image est loin d’être nouvelle et date de 2012.

D’autres déclarations non vérifiées apparues dans la plupart des chaînes principales d’information concernent le meurtre d’un commandant de l’opposition syrienne par les frappes de l’aviation russe.

Voir les images par ce lien :
http://francais.rt.com/international/7722-medias-propagande-faux-russie-syrie

 

Les réseaux sociaux

«Parmi les victimes des raids de mercredi figure le leader des rebelles, le capitaine Iyad al-Deek, l’ancien militaire du régime passé à la rébellion», lit-on dans l’article du journal britannique The Telegraph.

Cependant, il y a plusieurs rapports contradictoires concernant son sort. Certains médias syriens ont fait savoir en 2014 qu’il avait été kidnappé par les combattants de Daesh alors que d’autres sources estiment qu’il était mort au début de l’année en cours.

«Parmi les victimes des raids de mercredi figure le leader des rebelles, le capitaine Iyad al-Deek, l’ancien militaire du régime passé à la rébellion», lit-on dans l’article du journal britannique The Telegraph.

Cependant, il y a plusieurs rapports contradictoires concernant son sort. Certains médias syriens ont fait savoir en 2014 qu’il avait été kidnappé par les combattants de Daesh alors que d’autres sources estiment qu’il était mort au début de l’année en cours.

Allez plus loin: Poutine : l’information sur des victimes en Syrie est apparue avant le décollage des avions russes

D’après l’ancien analyste de la CIA Ray McGovern, il est extrêmement important d’être très prudent avec l’information que l'on reçoit, surtout si elle provient vient des grands médias, vu qu'une véritable guerre médiatique et de propagande est en cours.

Qui se cache derrière l'Observatoire syrien des droits de l'homme ? RT mène l'enquête

L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a constitué la première source d'information pour les nouvelles diffusées par les grands médias sur le champ de combat syrien. Mais que sait-on réellement de cette organisation basée au Royaume-Uni ? Le journaliste Nimrod Kamer s'y est rendu pour le découvrir.

Voir les images par ce lien
http://francais.rt.com/international/7722-medias-propagande-faux-russie-syrie

Les médias

D’après l’ancien analyste de la CIA Ray McGovern, il est extrêmement important d’être très prudent avec l’information que l'on reçoit, surtout si elle provient des grands médias, vu qu'une véritable «guerre de propagande est en cours».

Allez plus loin: Poutine : l’information sur des victimes en Syrie est apparue avant le décollage des avions russes

Qui se cache derrière l'Observatoire syrien des droits de l'homme ? RT mène l'enquête

L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a constitué la première source d'information pour les nouvelles diffusées par les grands médias sur le champ de combat syrien. Mais que sait-on réellement de cette organisation basée au Royaume-Uni ? Le journaliste Nimrod Kamer s'y est rendu pour le découvrir.

Cet organisme d'information a été principalement repris dans les médias occidentaux depuis le début de la guerre civile dans le pays il y a quatre ans. L'organisation prétend avoir un solide réseau de contacts en Syrie qui transmet l’information au siège principal où elle est traitée et ensuite publiée sur le site et les comptes Facebook et Twitter.

En savoir plus : Sergueï Lavrov balaie les mythes sur les frappes russes en Syrie

Dès le début de la campagne antiterroriste menée par Moscou, la Russie a commencé à figurer dans les rapports de l’OSDH, et l’information a été rapidement reprise par les médias occidentaux. Un des derniers "scoops"de l'Observatoire a indiqué que «les avions de combat russes [ont tué] 30 civils à Homs y compris des femmes et des enfants».

Aller plus loin : Une guerre d’information ? La Russie accusée du meurtre de civils en Syrie


«Nous ne sommes pas une organisation médiatique», assure le dirigeant de l’OSDH


Le journaliste Nimrod Kamer s'est rendu dans la ville britannique de Coventry, où se trouve la maison de l’immigrant Rami Abdel-Rahman qui sert également de base à l’organisation et de source d’information depuis quatre ans pour plusieurs grands médias lorsqu’il s’agit de faits liés à la Syrie, y compris le taux de mortalité.

Personne ne sait exactement qui envoie l’information à Abdel-Rahman depuis la Syrie mais cette information ne cesse d'arriver, en général sur un ton très dramatique et avec très peu de détails.

Kamer s’est promené dans la ville en posant aux passants des questions sur Abdel-Rahman et sa location. Toutefois, personne n’a semblé savoir que la principale source sur les nouvelles de Syrie était leur voisin.

Les données de l'Observatoire syrienne

Les données de l'Observatoire syrien

Le journaliste n’a pas réussi à trouver le directeur chez lui. En appelant Abdel-Rahman sur son portable, il a appris qu’il était sorti pour faire des courses. Alors, le journaliste a expliqué qu’il espérait attraper le directeur de l’OSDH pour lui parler de son «organisation médiatique», le terme qu’Abdul-Rahman avait trouvé inconvenable.

«Je ne suis pas une organisation médiatique. Je travaille depuis chez moi», a expliqué le directeur de l’Observatoire qui semblait être particulièrement bouleversé. Il a également parlé du danger que représentait pour lui une interview, «il y a des gens qui veulent ma mort». Difficile d’identifier à qui il faisait allusion, de plus, l'homme n’était clairement pas dans un bon état d’esprit. Finalement, Abdel-Rahman a demandé à Kamer de lui présenter son nom de famille et des détails pour qu’il puisse les envoyer à la police.

«Lorsqu’on dirige une organisation médiatique il faut s'attendre à voir arriver des journalistes avec des questions, surtout si cette organisation est aussi douteuse et sans source…», a conclu le journaliste.


 

Danger de paix en Syrie : Adieu le Nouvel Ordre Mondial !

Bien évidemment, sans les guerres de destructions massives, d'invasion et de colonisation, sans coups d'états pour remplacer les dirigeants pour y placer leurs pions, les crimes commis contre l'humanité en bandes organisées par le réseau mondial du crime : point de Nouvel Ordre Mondial pour les élites, Illuminati/sionistes/reptiliennes/sataniques !

Compris ?

Danger de paix en Syrie

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La presse-Système bobo atlantiste peut à nouveau se lâcher. Pensez-donc, après avoir sauvagement attaqué et envahi l’Ukraine puis arraché la Crimée (1), voilà que le très très méchant Poutine vient encore de jouer l’un de ses sales tours contre la paix mondiale, la démocratie universelle, la liberté cosmique et la défense de la baudroie des abysses. Depuis mercredi en effet, la Russie s’emploie à écraser les gangs de tueurs qui plongent la Syrie dans l’enfer depuis quatre ans et demi maintenant. Plutôt positif à première vue non? Sauf que comme l’a déclaré sans sourciller le néocon américain McCain, Moscou aurait «frappé des groupes armés et entraînés par la CIA» (SIC) (2). Il est vrai que contrairement à la fumeuse coalition atlantiste Obama-Hollande, la Russie n’entend faire aucune différence entre les bouchers d’al-Nosra (copains de Fabius), d’al-Qaïda (copains de la CIA) ou de Daesh (copains de plus personne). Pour la première fois depuis le début du chaos initié par les puissances occidentales dans le pays (3), la Syrie a donc une vraie chance de commencer à voir le bout du tunnel, si toutefois on laisse faire Moscou.

L’Empire et son inculpabilité

C’est quand même du caviar : entendre le sénateur John McCain reconnaître publiquement que la CIA arme et forme des combattants en Syrie est tout simplement savoureux. Il est vrai que la formation de «contras» pour alimenter les charniers mondiaux est une tradition de la machine de guerre qu’est l’Empire US. Mais tout de même, que des officiels trouvent tout à coup naturel de le reconnaître publiquement témoigne une fois de plus, s’il en était besoin, de cette arrogance, de cette inculpabilité propre à un Empire qui s’estime par nature au-dessus du droit et qui constitue, à cet égard, la principale menace pour la paix mondiale.

Le plus fantastique est que la presse bobo-atlantiste ne s’est absolument pas émue de la chose, trop occupée qu’elle était à propager la bonne parole russophobe que le Système exigeait d’elle. Des fonctionnaires aguerris de la propagande atlantiste aux jeunes plumitifs en formation rêvant de leur Guerre d’Espagne, chacun a donc pu s’offrir son petit supplément d’âme du jour en prêtant comme de coutume à Poutine les pires intentions hégémoniques qui soient.

Réalisme russe

Sauf qu’en termes d’hégémonie, Poutine cherche surtout dans ce dossier à préserver son accès actuel à la Mer Méditerranée (Tartous) et, d’entente avec la Chine, à éviter de voir sombrer la région plus avant encore dans le chaos généralisé provoqué par Washington et Paris. Au plan sécuritaire, Vladimir Poutine estime par ailleurs très logiquement qu’il vaut mieux écraser les punaises islamistes en Syrie et arrêter une fois pour toute la contamination, plutôt que de voir une armée de bandits (notamment les groupes tchétchènes engagés aux côtés de Daesh), revenir tôt ou tard semer le chaos à Moscou ou Grozny.

Côté stratégie, le principe de base de l’engagement russe est simple et solide: aucune guerre ne se gagnant depuis les airs, il faut des bottes. Or les seules bottes disponibles en Syrie sont ceux de l’armée légale syrienne de Bachar al-Assad, appuyées par celles du Hezbollah libanais et probablement de quelques unités iraniennes.

Contrairement aux interventions US et françaises, l’intervention russe est d’abord formellement légale puisqu’elle a été précédée d’une demande officielle de la présidence syrienne. Ensuite, la stratégie arrêtée est surtout réaliste puisqu’il s’agit d’appuyer l’armée syrienne et de coordonner, avec ses soutiens libanais et iraniens, la reconquête du territoire . Ensuite seulement, comme ne cessent de le répéter Vladimir Poutine et l’immense Sergueï Lavrov, on pourra toujours asseoir à la table des négociations le régime et les représentants de l’opposition réellement modérée, c’est-à-dire celle qui n’a pas participé au massacre des populations.


Il existe donc désormais un réel danger de paix en Syrie, au grand dam du Bloc occidental qui continue à miser sur le chaos régional pour prospérer.

Le compromis ou la guerre.

La donne a donc changé du tout au tout. Après le bras de fer ukrainien, l’engagement de la Russie en Syrie montre que le monde unipolaire rêvé des USA et de leurs cerfs a fait son temps.Russie en tête et Chine en embuscade, les pays du BRICs rejettent désormais activement le principe US de domination par le chaos.

A termes de deux choses l’une: soit le Bloc occidental acceptera de réduire sa voilure, soit ce sera la guerre.


Le théâtre syrien est à cet égard le lieu de tous les dangers désormais. Les Rafales français, qui épargnent soigneusement al-Nosra, et les FA/18 américains, qui épargnent al-Qaïda et al-Nosra (et manifestement dans une large mesure Daesh comme l’atteste le fait qu’un an de frappes n’auront donné aucun résultats tangibles), y croisent les Sukhoi russes qui n’épargnent personne avec sans doute, très bientôt, l’entrée en scène d’autre FA/18, israéliens ceux-ci, qui voudront pour leur part défendre leurs alliés d’al-Nosra à qui ils ont confié le contrôle d’une zone tampon entre les frontières mouvantes de l’entité sioniste et l’enfer syrien.

Et puis il y a encore les pays du Golfe qui alimentent en bloc tous les coupe-jarrets djihadistes, et qui ne veulent pas entendre parler d’un maintien au pouvoir de Bachar al-Assad, craignant le risque d’un renforcement à terme de l’axe chiite Iran-Syrie-Hezbollah.

Bref, un tel enchevêtrement d’intérêts contradictoires dans un pays déjà en guerre recèle un potentiel explosif rarement atteint. Et l’on sera donc vite fixé sur la question du compromis ou de la guerre justement.

Un discours magistral, doublé d’un avertissement

Il est intéressant de noter que l’intervention russe en Syrie a été déclenchée quelques jours après le discours magistral de Vladimir Poutine (4) à l’occasion du 70e anniversaire de l’ONU. Discours où tout a été dit sur la vérité des situations de notre monde.

Le Président russe est ainsi revenu à chaque fois sur les fondamentaux des crises évoquées pour en rappeler les causes véritables et pointer les responsabilités.

Sur l’Ukraine, il a tout résumé en trois phrases:

«Certains de nos collègues [Américains et Européens donc] continuent à raisonner en termes de blocs, comme c’était le cas du temps de la Guerre Froide. Premièrement, il s’agit de l’expansion de l’OTAN, mais on se demande, pour quelle raison? Le Bloc de Varsovie a cessé d’exister, l’Union Soviétique n’est plus, néanmoins l’OTAN a non seulement survécu, mais continue son expansion. Au bout du compte, cette logique devait se conclure par une crise géopolitique – et elle a eu lieu en Ukraine».

Sur la Syrie et l’Etat Islamique, il a fait de même:

«Daesh n’est pas venu de nulle part, c’était tout d’abord un moyen [pour les Américains donc…] de lutter contre des régions profanes indésirables. Au début, ils étaient circonscrits à l’Irak et la Syrie, mais maintenant ils essaient de dominer l’intégralité du monde islamique. Il est hypocrite de parler de menace terroriste internationale en fermant les yeux sur la manière dont ces terroristes reçoivent de l’aide [entre autres soutien politique français, militaire US et financier saoudien donc]. Il est tout aussi mauvais d’essayer de recruter ces groupes dans un but politique, pour ensuite se débarrasser d’eux [là, Obama a dû se tortiller sur sa chaise…]. (…) Si vous agissez de cette manière, je voudrais vous dire: Messieurs, vous traitez avec des gens cruels. Mais ils ne sont pas primitifs ou stupides – ils sont aussi intelligents que vous. Qui manipule qui?»

Enfin, il a replacé le tout dans le contexte de la guerre économique perpétuel que conduit le Système atlantiste pour préserver son hégémonie:

«Aujourd’hui, les sanctions unilatérales prises en contournant la Charte de l’ONU sont presque devenues la norme. Elles sont prises non seulement en faveur d’objectifs politiques, mais aussi dans le but d’éliminer des concurrents du marché. Un des syndromes de l’égoïsme économique croissant est le fait que certains pays ont choisi la voie de réunions exclusives. Les négociations sont menées dans des couloirs, non seulement dissimulées aux yeux de leurs propres citoyens mais aussi aux yeux des autres pays [Poutine pointe ici le TTIP-TAFTA, le vénéneux accord de libre-échange UE-US qui signera l’entrée définitive en esclavage de l’Europe et de ses citoyens]».

L’ampleur même du discours de Vladimir Poutine semblait ainsi porteuse d’une sorte d’avertissement au monde. Un avertissement solennel et inquiet sur le très mauvais tour pris par les relations internationales ces dernières décennies, et cela à l’évidence du fait de la voracité et de l’agressivité du Bloc atlantiste sous contrôle US.


Alors pour conclure ce billet, nous reprendrons la question essentielle, la question vertigineuse que Vladimir Poutine a adressée ce jour-là à tous ces faiseurs de guerres, à tous ces architectes de la misère mondiale, à tous ces industriels du chaos au sein du Bloc atlantiste lorsqu’il a dénoncé le résultat catastrophique de «l’exportation des soi-disant révolutions «démocratiques» au Moyen-Orient et en Afrique du Nord».

Vladimir Poutine au Bloc atlantiste donc: «Est-ce que vous comprenez ce que vous avez fait?»
A l’évidence non, pour notre malheur à tous.

Mis en ligne par entrefilets.com, le 2 octobre 2015

1 Enfumage ukrainien : contre-propagande

2 John McCain accuse les Russes d’avoir ciblé des groupes formés par la CIA

3 Comment le bloc atlantiste a construit la guerre en Syrie

4 Discours de Vladimir Poutine dans sa version vidéo, et dont voici une transcription complète

http://www.entrefilets.com/Danger_de_paix_en_Syrie.html#sthash.RgA70jU4.dpuf

 

Poutine, Voilà comment part un leader politique !

Voilà comment partent les vrais leaders politiques !

Chaque policier de l'escorte a été remercié personnellement et l'hôtesse de l'air est priée par Poutine d'entrer dans l'avion avant lui !

Un homme qui apprend la politesse aux porcs US et Cie, Français et Européens !

Poutine a l'habitude de saluer tout le monde !

Aussi quand le Ho'l'andouille se gargarise en mettant sur son compte Instagram, une vidéo montrant Poutine serrant la main du Porc'ochenko, on se demande où est le scoop quand un dirigeant est poli et qu'il s'est moqué de tout le monde tout au long de leur fameux sommet au soi-disant "Format Normandie !

 

ВОТ ТАК УЕЗЖАЮТ НАСТОЯЩИЕ ЛИДЕРЫКАЖДОГО ПОЛИЦЕЙСКОГО СОПРОВОЖДЕНИЯ ПОБЛАГОДАРИЛ ЛИЧНО ! И СТЮАРДЕССУ СВОЕГО БОРТА ПРОПУ...

Posted by Дмитрий Стубаров on dimanche 16 novembre 2014

Hollande publie une vidéo immortalisant la poignée de main entre Poutine et Porochenko

Un peu plus loin dans cette même vidéo, on observe également le quatuor Normandie discuter de la situation en Ukraine dans une ambiance informelle.

"Nous discutons actuellement avec Angela Merkel, Vladimir Poutine et Petro Porochenko de la situation en Ukraine", indique la légende accompagnant la vidéo.

Une image qui montre ce tout le monde pense du Sommet au Format Normandie

 

photo 02 10 2015.jpg

02/10/2015

Crise du Donbass : le «Format Normandie»

Quelle Patience a Poutine pour supporter tous ces guignols ignares, criminels !

Il mérite notre admiration pour devoir les supporter !

En attendant en Ukraine des militaires rejoignent l’opposition.

 Ukraine: des militaires ukrainiens rejoignent l'opposition

Poutine, Hollande, Merkel et Porochenko réunis à huis clos

Crise du Donbass : le «Format Normandie» en direct

2 oct. 2015, 15:24

 Le Format Normandie en février 2015

La France, l'Allemagne, la Russie et l'Ukraine se réunissent au «Format Normandie» à Paris vendredi 2 octobre afin de tenter de trouver une solution au conflit qui ravage l'Est de l'Ukraine depuis 18 mois. Suivez la conférence de presse en direct.

  • vendredi 2 octobre

17h14 CET


16h02 CET



  • 15h36 CET

«Je garantis que nous n’allons pas y passer la nuit» lance François Hollande au dirigeant ukrainien au début de leur entretien bilatéral

  • 15h32 CET

Hollande a accepté l'invitation de Porochenko de venir en Ukraine pour une visite officielle

Le Président français reçoit à l'Elysée ses homologues russe et ukrainien ainsi que la chancelière allemande afin de discuter en «Format Normandie» de la pleine application des accords de Minsk, devant rétablir la paix dans l'Est de l'Ukraine.

En effet, ces accords conclus entre les mêmes protagonistes le 12 février dernier dans la capitale bélarusse à l'issue d'une nuit d'âpres négociations n'ont pas encore été totalement appliqués.  

Si ces dernières semaines, les forces ukrainiennes et les rebelles du Donbass sont parvenus à établir un cessez-le-feu relatif, le retrait de armes lourdes le long de la ligne de front n'est toujours pas effectif, tout comme le processus de décentralisation, prévu également dans les accords de Minsk.

Le conflit a déjà fait plus de 8000 morts depuis avril 2014. 

Aller plus loin: Ukraine : négociations à Berlin pour une résolution de crise avant l'hiver

 

Fin du sommet "format Normandie". Suivez le bilan de la rencontre en direct

Toujours la même attitude dominante et la pratique de la punition de Poutine avec lequel on se comporte comme avec un enfant puni, auquel on promet une sucrerie dans quelques mois, s'il est bien sage !

Hollande oublie que c'est lui avec l'Allemagne, et la Pologne sous la houlette des US/Israël qui ont organisé le coup d'état à Kiev, dont la Russie doit en supporter les conséquences.

Les résultats sont donc, si vous l'avez compris comme nous : levée des sanctions si Porc'ochenko applique le Traité de Minsk 2 !

Porc'ochenko boit et c'est Poutine qui trinque !

Et il a à voir quoi, là-dedans Poutine ?

Il ne faudrait surtout pas prendre Poutine pour un imbécile, et nous non plus du reste !

Ils ne perdent rien pour attendre les quelques surprises qui leur pendent au nez dans quelques semaines !

Fin du sommet "format Normandie". Suivez le bilan de la rencontre en direct

19:25 02.10.2015(mis à jour 19:27 02.10.2015)

Les dirigeants français, russe, allemand et ukrainien se sont rencontrés vendredi à Paris pour discuter de la situation en Ukraine. Au menu, une possible levée des sanctions contre la Russie dans les mois qui viennent. Suivez les conclusions en direct.