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08/10/2015

Poutine : on ne sait pas qui est à la tête de l'Armée syrienne libre

Le culot d’Hollandouille, toujours dans la même perspective de faire remplacer Assad, d’avoir osé proposer à Poutine lors de sa venue à Paris, de faire s’associer l’armée d’el-Assad et la soi-disant Armée syrienne libre, constituée soi-disant par l’opposition modérée à Assad !

Elle est tellement modérée qu’elle est appelée « Armée Libre » donc une aile des mercenaires armés et financés par les USA et leurs alliés criminels !

Désolés, mais nous, nous ne connaissons pas de "terroristes modérés" !

 Poutine : on ne sait pas qui est à la tête de l’Armée syrienne libre

7 oct. 2015, 13:21

Vladimir Poutine et Sergueï Choïgou

Source: RIA NOVOSTI

Vladimir Poutine et Sergueï Choïgou

Le président français a proposé de réunir les forces du président el-Assad et de l’Armée syrienne libre pour lutter contre l’Etat islamique, a révélé Vladimir Poutine, pour qui cette structure reste fantôme.

«Lors de ma dernière visite à Paris, le président français François Hollande a exprimé une idée intéressante en disant qu’il fallait réunir les efforts de l’armée d’el-Assad et de la soi-disant Armée syrienne libre», a déclaré Vladimir Poutine alors qu'il rencontrait Sergueï Choïgou, son ministre de la Défense, le 7 octobre.

Cependant, le président russe a ajouté que la Russie ne savait pas exactement où cette Armée syrienne libre se trouvait et qui était à sa tête.

«Si nous considérons que l’Armée syrienne libre est une aile militaire de la soi-disant partie saine de l’opposition, l’unification de leurs forces contre l’ennemi commun, Daesh, le Front al-Nosra et les autres organisations terroristes, pourrait créer une bonne condition pour un règlement politique en Syrie», a ajouté le président russe.

D’après lui, c’est une solution politique qui doit mettre fin aux conflits comme celui qui se déroule en Syrie. «Des conflits de ce genre doivent être réglés par des solutions politiques», a martelé Vladimir Poutine.

De plus, le président russe s'est félicité de l'efficacité des missiles russes qui ont atteint des cibles de Daesh à 1 500 km de distance.

«Le fait que nous ayons lancé des missiles depuis la mer Caspienne à une distance de 1 500 kilomètres et ayons atteint toutes nos cibles, cela témoigne de la bonne préparation des entreprises du complexe militaro-industriel et de leurs personnels», a déclaré Vladimir Poutine.

Dans ce contexte, le président russe a loué l’action pilotes russes engagés dans l’opération militaire en Syrie. «Bien sûr, les pilotes qui travaillent en Syrie méritent une reconnaissance particulière, ainsi que les marins de la flotte de la Caspienne, comme l’a montré l’utilisation des armes de précision», s’est félicité le maître du Kremlin.

Depuis une semaine, l’aviation russe bombarde les positions des terroristes en Syrie et a réalisé à ce jour plus de 120 sorties. Maintenant, les forces navales se sont jointes aux forces aériennes pour mener à bien l’opération anti-terroriste.

 

Syrie : les pilotes américains et alliés ont reçu l'ordre de ne jamais bombarder les djihadistes d' Al-nosra

Selon Le Canard Enchainé du 6/10/2015

Ensuite les traîtres viendront nous dire comme Merkel: la paix en Syrie se fait attendre malgré les efforts de l'Occident, et Holl’andouille : Pour François Hollande, la crise humanitaire en Europe ne justifie aucune alliance avec el-Assad

Merkel: la paix en Syrie se fait attendre malgré les efforts de l'Occident
Les efforts politiques et diplomatiques déployés par l'Occident n'ont toujours pas apporté la paix en Syrie, déplore la chancelière allemande.

La paix ne revient toujours pas en Syrie en dépit de tous les efforts que déploie l'Occident, alors que les groupes terroristes gagnent en puissance, a reconnu mercredi la chancelière allemande Angela Merkel, intervenant devant le Parlement européen à Strasbourg

Pour François Hollande, la crise humanitaire en Europe ne justifie aucune alliance avec el-Assad

«Débarrasser la Syrie de Daesh et de Bachar el-Assad»

Réitérant son credo, le président de la République a déclaré que les terroristes de l'Etat islamique (Daesh) «en veulent à nos valeurs démocratiques, à ce que nous représentons», appelant les pays européens à être «solidaires, responsables et fermes» face à l'islamisme radical.

Néanmoins, François Hollande estime que le régime du président el-Assad «continue à nourrir ce désastre», et le président français d'affirmer, à propos de la rébellion syrienne, qu'il est «impossible de réunir l'opposition modérée pacifique, démocratique et le bourreau du peuple syrien». 

Syrie : les pilotes américains et alliés ont reçu l’ordre de ne jamais bombarder les djihadistes d’ Al-nosra

19h22
Le Canard Enchainé – 6/10/15

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Pour François Hollande, la crise humanitaire en Europe ne justifie aucune alliance avec el-Assad

L’agent sioniste qui mène la politique d’Israël en France a encore trop parlé !

C'est la faute d'Assad et de Poutine qu'il faut sanctionner !

Le criminel qui a fait massacrer des enfants en Syrie en violation du Droit international sans l'accord d'Assad, continue d’avoir la prétention d’exiger le départ de celui-ci de la présidence; le rendant responsable de la crise humanitaire qui sévit en Europe, grâce, entre autres, à ses bons soins de traître à la nation Française et pour participer à des actions militaires illégales et il se félicite d'avoir pris avec les pays nazis européens des sanctions contre la Russie !

Nous, on ne veut pas qu’Assad s’en aille, car c’est à son peuple de le décider, par contre plus de 90 % des Français,  demandent à Holl'andouille de dégager !

Mais que fait l’armée Française pour organiser un coup d’état militaire ?

Pour François Hollande, la crise humanitaire en Europe ne justifie aucune alliance avec el-Assad

7 oct. 2015, 15:47

François Hollande à la tribune du Parlement Européen de Strasbourg.

© Capture d'écran.

François Hollande à la tribune du Parlement Européen de Strasbourg.

François Hollande s'est exprimé devant le parlement européen de Strasbourg en évoquant notamment les questions de la Syrie et de l'Ukraine avec des propos plus alarmistes que lors du sommet au format Normandie de la semaine dernière.

«Alors que l'Europe doit déjà affronter une crise financière et sociale, désormais elle doit également faire face à une crise humanitaire sans précédent avec cet afflux de réfugiés provoqué par la déstabilisation de régions au Moyen-Orient et en Afrique où sévissent la violence et la haine religieuse», a déclaré le président de la République.

Tout au long de son discours, François Hollande s'est appuyé sur trois termes principaux rassemblés en un seule et même slogan : «Solidarité, responsabilité, fermeté».

Ce credo est valable d'une part pour la lutte contre le terrorisme «qui vise notre mode vie, nos idéaux, notre culture, l'âme de nos pays».

D'autre part, ce même credo est valable pour la question des réfugiés car il est «du devoir de l'Europe d'aider les populations en détresse, mais également les Etats frontaliers européens qui subissent les pressions de l'afflux de réfugiés et doivent faire face à une situation extrêmement complexe».

Ukraine : un discours plus alarmiste qu'au format Normandie

Evoquant la situation en Ukraine, François Hollande s'est montré bien moins optimiste que lors du sommet au format Normandie, lors duquel il avait salué le «bon respect des accords de Minsk» qui donnait grand espoir pour l'accomplissement du processus de Paix «d'ici le début de l'année 2016».

En effet, à la tribune du Parlement européen, le président de la République, omettant les aspects positifs évoqués lors du sommet, a préféré rappeler que l'Europe avait dû faire face à «une violation brutale du droit international» et qu'elle devait maintenant «tout faire pour empêcher une guerre aux portes de notre continent», ajoutant que l'UE des 28 avait pris une décision «exemplaire» en infligeant des sanctions économiques à la Russie.

En savoir plus : Crise du Donbass : le «Format Normandie» en direct

Pourtant, même le président ukrainien Petro Porochenko avait salué ce matin «une véritable trêve» dans l'Est de l'Ukraine. 

«Débarrasser la Syrie de Daesh et de Bachar el-Assad»

Réitérant son credo, le président de la République a déclaré que les terroristes de l'Etat islamique (Daesh) «en veulent à nos valeurs démocratiques, à ce que nous représentons», appelant les pays européens à être «solidaires, responsables et fermes» face à l'islamisme radical.

Néanmoins, François Hollande estime que le régime du président el-Assad «continue à nourrir ce désastre», et le président français d'affirmer, à propos de la rébellion syrienne, qu'il est «impossible de réunir l'opposition modérée pacifique, démocratique et le bourreau du peuple syrien». 

Pour le chef de l'Etat, la situation en Syrie concerne l'Europe toute entière et les actions qu'elle devra entreprendre détermineront pour longtemps la stabilité dans la région.

 

 

07/10/2015

Le département d'Etat accuse Moscou de frapper l'opposition syrienne sans en fournir les preuves

Les deux meilleures réponses de Mark Toner lorsqu’il est sommé par la Russie de donner les preuves sur le fait que les frappes russes aient pu faire des victimes parmi la soi-disant opposition syrienne modérée, fantôme :

1 -  «J’ai répété ce qu’ont déclaré mes collègues militaires» !

Et si ses collègues militaires lui disent que le Père Noël existe, il va le croire aussi ?

2 - «Il y a eu des préoccupations dès le début que ces frappes aériennes seraient effectuées contre l’opposition syrienne modérée, celle que nous soutenons et qui s’est battue vaillamment contre Bachar el-Assad depuis quatre ans».

Là, il reconnaît non seulement que leur présence en Syrie est illégale, mais que ce sont eux qui soutiennent financièrement, les mercenaires dits islamistes et qui orchestrent le coup d’état contre Assad qui est soutenu par son peuple et l'armée régulière syrienne, ce qui est prépondérant.

Ils vont avoir du mal à prouver quoi que ce soit, car l'opposition syrienne modérée n'existe pas, il n'y a que des mercenaires dits islamistes.

S’il existait une opposition syrienne modérée, elle s’exprimerait par la voie des élections et non pas en massacrant le peuple Syrien ni en organisant, sans l’appui de l’armée régulière syrienne qui soutient Bachar Al-Assad, un coup d’état politique téléguidé par les intérêts de la Mafia Kazah de Rothschild !

 

Le département d’Etat accuse Moscou de frapper l’opposition syrienne sans en fournir les preuves

6 oct. 2015, 22:53

Mark Toner

 

En conférence de presse, le représentant du département d’Etat américain, Mark Toner, a blâmé la Russie pour avoir encore une fois bombardé l’opposition syrienne modérée. Il est resté sans voix à la question de RT lui demandant de le prouver.

«J’ai répété ce qu’ont déclaré mes collègues militaires», s’est contenté de répondre Mark Toner, à la question de la correspondante de RT Gayané Tchitchakyan qui lui a demandé d’étayer sa déclaration antérieure : «Nous n’avons vu aucune indication qu’ils [la Russie] frappent actuellement des cibles de Daesh».

Le représentant du département d’Etat a ajouté que ses collègues militaires avaient, selon lui, «une vision très claire de ce qu’a été frappé ou de ce qui n’a pas été frappé dans le nord de la Syrie et les régions où les attaques aériennes russes se déroulent».

Cependant, le ministère américain des Affaires étrangères n’est pas à même de confirmer ses propos par des preuves. Quand la correspondante de RT a demandé à Mark Toner de les fournir, le porte-parole du département d’Etat a répondu de façon évasive : «Il y a eu des préoccupations dès le début que ces frappes aériennes seraient effectuées contre l’opposition syrienne modérée, celle que nous soutenons et qui s’est battue vaillamment contre Bachar el-Assad depuis quatre ans».

Une confirmation patente des déclarations de la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, qui a appelé le 6 octobre, lors d’une conférence de presse, les dirigeants occidentaux à «éviter des formulations vagues». «Si l’opération militaire russe en Syrie est une erreur, donnez-nous des faits concrets, parlez-nous. De cette manière, on forge l’opinion publique, les gens qui restent devant leurs écrans croient que c’est une erreur», a-t-elle déploré.

«La censure contre la propagande de l'Etat islamique est vouée à l'échec» assurent des experts

La seule et unique question que nous devrions nous poser est celle de savoir qui a intérêt et les moyens financiers suffisants pour former, armer et financer ces groupes de mercenaires pour pouvoir créer le Grand Israël et le Grand Moyen Orient ?

Devinons ?

Échec et mat à l'empire ? Poutine leader d'une coalition anti-Mafia Khazare Rothschild (Veterans Today)

La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

Le jouet de l'Empire : ISIS/DAESH/DAECH/EI. création, financement, armement.

Le terrorisme, l’État et la mafia

 

«La censure contre la propagande de l'Etat islamique est vouée à l'échec» assurent des experts

6 oct. 2015, 23:37

Jihadi Jon, l'un des protagonistes des vidéos de l'Etat Islamique

Jihadi Jon, l'un des protagonistes des vidéos de l'Etat Islamique

Spécialisé dans la déradicalisation, un groupe de chercheurs anglais a publié un rapport de 52 pages intitulé «Documenter le Califat virtuel», afin d'analyser la stratégie de propagande de l'Etat islamique.

Pendant 30 jours, la Fondation Quilliam arecensé toutes les publications (textes, photos, vidéos, émissions de radio, chansons...) produites par le pôle médiatique djihadiste : ils en ont recensé 1146, soit plus de 38 productions par jour. Le rapport les divise en plusieurs catégories thématiques.

 

Plus de la moitié des documents s'attachent à décrire la vie civile au sein des territoires administrés par l'Etat islamique. Activité économique, événements sociaux, loi stricte, ou encore une ferveur religieuse pro-active forment les fondations du discours civil de l'Etat islamique. Pour les auteurs du rapport «Le groupe cherche à attirer des supporters sur une base politique et idéologique».

Lire aussi : «Hormis la reconnaissance par le droit international, Daesh a tout d'un Etat»

L'Etat islamique se promeut toujours avec de la violence. Néanmoins, le public ciblé par cette ultra-violence est davantage situé dans la région qu'il ne l'était précédemment. L'équipe d'Haraf Rafiq explique :«Il semble que chercher à provoquer l'infamie internationale soit maintenant un objectif secondaire par rapport à la nécessité d'intimider sa propre population afin de décourager la rébellion et la dissidence».

Une large part des publications militaires montre la guerre d'usure menée par l'Etat islamique, mettant en scène des tirs de mortiers ou de roquettes tirées au loin en direction d'un ennemi indistinct. Selon les auteurs du rapport, il est probable que ces publications soient orchestrées afin de maintenir le sentiment que l'Etat islamique reste à l'offensive.

Étant donné «le caractère de sophistication exceptionnel de ces campagnes d'informations, dont le succès repose sur la quantité et la qualité, des contre-mesures comme la censure sont vouées à l'échec». En effet, pour la Fondation, «la quantité, la qualité et la variété de la propagande de l’État islamique produite en un mois surpasse la quantité, la qualité et la variété des tentatives, étatiques ou non, de défier le groupe. Les efforts actuels doivent être accentués afin de réaliser des progrès substantiels dans cette guerre».

Lire aussi : Facebook veut mettre en contact des candidats au djihad avec des repentis de Daesh

Haras Rafiq, directeur de la Fondation, conclut : «Sur de nombreux aspects, l'EI agit comme un média. Notre réponse doit être proportionnelle. Nous devons réaliser qu'il n'existe aucun élixir qui puisse nous libérer de la suprématie informationnelle de l'EI. Le Califat se promeut à échelle industrielle. Si nous voulons détruire sa marque, nous devons d'abord chercher à en approfondir notre compréhension».

Lire aussi : Grande-Bretagne : un compte Twitter comme arme de guerre contre Daesh