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16/10/2015

La marine russe prête à attaquer l'EI à tout moment, installation d'une base militaire russe en Syrie

Excellente idée !

"L'état-major de l'armée russe n'exclut pas la possibilité d'installer une base militaire en Syrie comprenant un corps d'infanterie et des forces navale et aérienne, a ajouté M.Kartapolov."

La marine russe prête à attaquer l'EI à tout moment,

12:18 16.10.2015(mis à jour 13:08 16.10.2015)

Le vice-chef de l'état-major de l'armée russe, Andreï Kartapolov

Les navires russes croisant en mer Méditerranée pourraient si besoin être impliqués dans les frappes contre l'Etat islamique en Syrie, a déclaré vendredi aux médias russes le vice-chef de l'état-major de l'armée russe, Andreï Kartapolov.

A la question d'un journaliste visant à savoir si les navires russes croisant en mer Méditerranée pourraient être impliqués dans les frappes contre l'Etat islamique en Syrie, M.Kartapolov a répondu: "Sans aucun doute".

Il a souligné que les navires n'utilisent pas leurs systèmes antiaériens contre les avions de la coalition anti-EI dirigée par les Etats-Unis.

L'état-major de l'armée russe n'exclut pas la possibilité d'installer une base militaire en Syrie comprenant un corps d'infanterie et des forces navale et aérienne, a ajouté M.Kartapolov.

Le 30 septembre l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Le 7 octobre, des missiles russes ont également été tirés sur les sites de l'EI depuis des navires en mer Caspienne.
Au total, les Forces aérospatiales russes ont effectué plus de 450 frappes contre les positions de l'EI en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier.

Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr.

 

EN DIRECT : La marine russe peut frapper les positions de Daesh n'importe quand

A suivre en fonction des développements à venir.

La Russie met les bouchées doubles, elle peut frapper les mercenaires de l’EI à partir de la Mer Méditerranée et de la Mer Noire !

EN DIRECT : La marine russe peut frapper les positions de Daesh n’importe quand

Depuis le 30 septembre, l’armée de l’air russe mène son opération militaire visant les positions de Daesh en Syrie à la demande des autorités de Damas. C’est de la base aérienne russe à Lattaquié que les avions décollent pour frapper les terroristes.

  • vendredi 16 octobre

12h37 CET

La Russie est capable de bombarder les positions des combattants de l’EI en Syrie depuis leurs navires basés en Méditerranée au moment où le commandement le décide, a fait savoir le général russe vendredi.

 

Donald J Trump, candidat aux USA : Pourquoi Daech n'attaque jamais Israël ? ....

 

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Hongrie : "Une troisième Guerre mondiale risque d'éclater en Europe"

En voilà un qui est intelligent et qui a tout compris !

Si une guerre éclate entre les USA et la Russie, les pays européens seront au milieu de ce conflit car ils seront devenus le terrain de jeu ou la base avancée militaire des USA avec l’OTAN organisation terroriste dont les bases ont été implantées en Europe jusqu’aux frontières de la Russie !

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"Une troisième Guerre mondiale risque d’éclater en Europe"

11:46 15.10.2015(mis à jour 15:22 15.10.2015)

Marton Gyongyos

La Russie a agi de manière intelligente en intervenant militairement en Syrie, et la politique migratoire de l'Europe mènera cette dernière vers sa destruction, estime un parlementaire hongrois.

L'UE récolte les fruits de l'aide qu'elle a fournie aux USA dans la déstabilisation du nord de l'Afrique et de l'Ukraine, a estimé dans une interview à Sputnik Gyöngyösi Márton, vice-président du Groupe interparlementaire du Parlement hongrois et vice-président du parti Jobbik.

"Ce sont les conflits en Syrie, en Libye, en Afghanistan et en Irak qui ont provoqué cet afflux de migrants. Les USA ont provoqué ce problème et désormais, ils se sont mis de côté et critiquent l'inefficacité de l'Europe dans cette question", a-t-il indiqué.

La Hongrie n'a pas envie de recevoir les immigrés d'Afrique subsaharienne et du Proche-Orient, a souligné le responsable. Selon lui, il n'y a aucune garantie que ces migrants ne fassent pas partie de groupes terroristes comme le Front al-Nosra ou l'EI, et qu'ils ne viennent pas pour commettre des actes terroristes en Europe.

"La politique migratoire d'accueil en Europe nous mènera vers la destruction de l'Europe", a martelé le parlementaire.

Concernant l'expansion de l'Otan en Europe, il a indiqué: "L'affirmation de l'Otan selon laquelle l'Alliance installe ses missiles en Europe pour tenir tête à l'Iran, en prétextant le danger nucléaire est l'affirmation la plus aberrante que j'aie jamais entendue. Tout le monde sait que les missiles iraniens ne peuvent même pas atteindre Israël… encore moins l'Europe. Cela a été un alibi cousu de fil blanc pour y installer des missiles. Toute cette affaire est liée avec la Russie, et non avec l'Iran".

Après la chute du rideau de fer et de l'URSS, l'objectif de l'Otan a toujours été d'étendre toujours plus son influence vers l'est, est-il convaincu.

Selon lui, l'Alliance ne cache plus ni son caractère agressif, ni ses intentions provocatrices et démonstratives contre la Russie. En effet, l'Otan a décidé d'ouvrir huit centres de commandement à travers plusieurs pays européens. "Ce n'est que le début d'une grande opposition et compétition militaire. On en voit l'illustration en Ukraine et en Syrie", prévient le responsable.

"Si jamais la Russie riposte, l'Europe souffrira tandis que les USA sont loin, de l'autre côté de l'océan. C'est en Europe qu'on risque d'avoir la 3e guerre mondiale. La Hongrie doit dire haut et fort qu'elle ne veut pas participer à cette politique agressive".

"Si jamais cette déclaration n'est pas prise au sérieux, la Hongrie doit quitter l'Otan pour rester neutre", pense M. Márton.

La Russie a agi de manière intelligente en intervenant militairement en Syrie pour combattre Daech avec l'Iran. "La Russie a posé un choix devant les pays occidentaux, en leur demandant de choisir un camp dans cet affrontement. La Russie et l'Iran veulent combattre le mal incarné, mais l'Occident freine dans cette lutte… Pourquoi? Peut-être, parce qu'ils ont peur d'y perdre leur investissements?", s'interroge l'homme politique.

"Je considère que les USA sont pleinement responsables de cette situation. On connaît leur détermination à construire un monde unipolaire", a-t-il ajouté.

"L'EI est la créature de l'Occident. L'EI ne serait jamais né si l'Occident n'avait pas déstabilisé l'Irak", a encore martelé le parlementaire.

L'Alliance des Jeunes de Droite-Mouvement pour une meilleure Hongrie, communément appelé Jobbik, est un parti politique hongrois eurosceptique fondé en 2003 et présidé par Gábor Vona. Jobbik est l'acronyme de Jobboldali Ifjúsági Közösség, et signifie également en hongrois « le meilleur ».

 

 

La Syrie au menu d'une rencontre entre Hollande, Merkel et Cameron

Les 3 pieds nickelés participaient à une rencontre sur la Syrie !

Le visage décomposé d’Holl’andouille qui voit le rêve de la création du Grand Israël s’envoler à cause des frappes russes en Syrie !

Vite un cachet de Trinitrine !

La Syrie au menu d'une rencontre entre Hollande, Merkel et Cameron

21:51 15.10.2015 (mis à jour 21:52 15.10.2015)

David Cameron, François Hollande et Angela Merkel

La situation en Syrie a été évoquée jeudi lors d'une rencontre entre François Hollande, Angela Merkel et David Cameron à Bruxelles.

Le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre britannique David Cameron se sont réunis jeudi en marge d’un sommet de l'UE à Bruxelles pour évoquer la situation en Syrie et arrêter une position commune sur la manière de régler le conflit dans ce pays arabe, a annoncé l'agence Reuters citant une source au sein de la diplomatie française.

Selon la source, les trois dirigeants ont tenté de formuler une position commune, tout en tenant compte de la nécessité de parvenir à un accord avec d'autres partenaires. 

A la question de savoir si François Hollande, Angela Merkel et David Cameron pourront émettre une opinion conjointe en la matière, l'interlocuteur de l'agence a répondu: "Nous le verrons dans les prochains jours ou les prochaines semaines".


La Russie a à plusieurs reprises appelé ses partenaires occidentaux à engager un dialogue politique en vue de régler la situation en Syrie. Moscou a également demandé au Royaume-Uni et aux Etats-Unis de l'aider à établir des contacts avec l'opposition syrienne, dont l'Armée syrienne libre. Enfin, la Russie a soumis au Conseil de sécurité de l'Onu un projet de résolution sur la lutte contre le terrorisme international, notamment contre le groupe djihadiste Etat islamique (EI).

Cependant, selon le ministre russe des Affaires étrangères, les pays occidentaux évitent une discussion constructive avec la Russie sur la mise en place d'une coalition contre l'EI et refusent de coopérer pour des raisons politiques.

Depuis le 30 septembre dernier, la Russie mène, à la demande du président Bachar el-Assad, une opération armée en Syrie contre le groupe djihadiste Etat islamique (EI). L'aviation russe a effectué plus de 450 frappes ciblées, tuant près de 300 terroristes et détruisant des camps d'entraînement, des postes de commandement, des dépôts de munitions et d'autres sites militaires. En outre, 26 missiles de croisière tirés par la Flottille de la Caspienne ont atteint leurs cibles en Syrie.

Le président russe Vladimir Poutine a fait savoir que la durée de l'opération russe en Syrie dépendait entièrement de l'offensive des troupes gouvernementales syriennes. Il a également exclu la possibilité d'utiliser les militaires russes dans les opérations terrestres.