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23/12/2015

Dialogue avec Vladimir Poutine. (extrait de" L'Ordre mondial"). Vidéo censurée par Youtube

Dialogue avec Vladimir Poutine. (extrait de" L'Ordre mondial")

Dans un documentaire du célèbre journaliste russe Vladimir Soloviev intitulé "L’ordre mondial" et diffusé le 20 décembre 2015, Vladimir Poutine évoque certaines questions concernant les relations internationales. Vidéo censurée par youtube. Publiée sur un réseau social elle a été visionnée 60 000 fois en une demi-journée.

03/12/2015

URGENT : EN DIRECT : Vladimir Poutine prend la parole devant l’Assemblée fédérale de Russie

EN DIRECT : Vladimir Poutine prend la parole devant l’Assemblée fédérale de Russie

3 déc. 2015, 09:56

Jeudi 3 décembre, le président s’adresse au Parlement russe pour son discours annuel. Dans son message, le dirigeant fera le bilan de la politique intérieure et extérieure de l’année 2015 et présentera sa vision pour 2016.

Même si le contenu de l’intervention du chef d’Etat n’est pas connu à l'avance, certains experts estiment qu’il portera surtout sur les menaces extérieures auxquelles font face la Russie et ses citoyens au Moyen-Orient, surtout en ce qui concerne les relations avec la Turquie. La situation économique du pays et la balance budgétaire seront un autre point important du discours de Vladimir Poutine, d’après les commentateurs politiques.

Plus de 500 journalistes venus du monde entier, y compris ceux de RT, assistent à cet évènement.



Turquie: La fuite en avant d’Obama et le rôle de l'Otan

Turquie: La fuite en avant d’Obama

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Quand Erdogan a donné l’ordre d’abattre un bombardier Russe il ne se doutait probablement pas des conséquences qui allaient en découler.

Sur le plan économique d’abord, la Russie a en quelques jours à peine coupé quasiment tous les contacts avec la Turquie: Citoyens turcs expulsés de Russie ou/et interdits d’entrée, annulation des contrats prévus, embargo sur les produits turcs, fermeture des centres culturels turcs en Russie, etc etc.

Mais c’est sur le plan des relations internationales que l’ouragan ne fait que se lever: La Russie a en effet publié hier, en direct devant plusieurs dizaines de journalistes, les preuves formelles attestant que non seulement la Turquie mais aussi directement la famille Erdogan, trafique le pétrole volé et revendu par Daesh, financant ainsi l’Etat Islamique.

La réaction d’Erdogan est normale pour un voyou de cette envergure: Tel un braqueur pris en flag dans le sas d’une banque, il nie. On peut le comprendre, son poste est en jeu bien que sa promesse de démissionner immédiatement si ces informations étaient prouvées n’engage que les naïfs y ayant cru. Mais sa vie même est en jeu car certains Services ne vont peut-être pas s’embarrasser de considérations légales pour liquider un des principaux financiers du terrorisme mondial…

Ce qui peut paraitre plus étonnant est la réaction quasi immédiate de Washington, qui « dément l’implication de la Turquie« . Face à une multitude de vidéos et photos satellites, les américains n’ont « vu aucune preuve à l’appui de telles accusations », a indiqué la porte-parole du Pentagone. Cette brave dame, qui semble avoir besoin soit de lunettes, soit d’un cerveau basique capable d’analyser un ensemble de photos et vidéos, parle au nom des Etats Unis, et il est donc clair qu’à travers elle, c’est Obama qui prend position.

Il est certain que venant d’un Président des Etats-Unis ayant fait du mensonge sa ligne de conduite – depuis le mensonge sur son lieu de naissance -, une telle position est elle aussi « normale »: Quand on est pris en flag, quand ses alliés sont pris en flag, une seule attitude: Nier. On a vu cela récemment avec l’affaire du vol civil abattu au-dessus de l’Ukraine, ou mystérieusement aucun satellite américain n’a été capable de détecter le coupable. Nier donc, mais aussi lancer une gigantesque offensive médiatique pour faire passer les coupables pour les victimes de l’abominable « Russie de Vladimir Poutine ».

Dans cette affaire du financement de Daesh, le but des Etats-Unis en soutenant ses alliés contre toute évidence – contre toute preuve! – est bel et bien de maintenir un front uni non pas contre l’Etat Islamique, mais contre la Russie. Il est à prévoir que les organes de propagande US vont accuser la Russie de vouloir briser la coalition contre Daesh, d’ailleurs le porte-parole du Pentagone ajoutait hier que « la Turquie déploie en commun avec ses partenaires internationaux des efforts pour renforcer le contrôle à sa frontière avec la Syrie. »

On sait bien entendu qui fait quoi en Syrie, c’est d’ailleurs bel et bien la suprématie Russe et sa position de pointe dans la lutte contre Daesh qui irrite les américains. D’une part ils perdent leur aura de « gendarme du monde », mais aussi et surtout ce sont leurs alliés terroristes, « modérés » ou non (!) qui sont durement frappés par l’Ennemi: La Russie.

On peut alors se demander jusqu’où est prêt à aller Obama dans sa haine contre la Russie. Soutenir la Turquie, financier de l’Etat Islamique, est d’un autre niveau que de soutenir la junte de Kiev, contre qui la Russie n’est quoiqu’on en dise pas en guerre. Mais la Russie EST en guerre contre Daesh. Donc contre ses financiers et ses soutiens.

On se souvient que les jours suivant la destruction par les turcs du jet Russe, Obama avait dit à Erdogan que ceci « ne devait plus se reproduire ». On pouvait considérer alors qu’il s’agissait d’une mise en garde à la Turquie, mais hier soir certains responsables à l’Etat Major Russe ont été surpris de la position du Pentagone, soutenant la Turquie encore APRES que les preuves aient été divulguées et la question se pose clairement: Jusqu’où Obama est-il prêt à soutenir son allié turc?

Car ne nous leurrons pas: Loin d’adopter un profil bas, la Turquie continue ses gesticulations tant verbales que militaires, par exemple les jets turcs violent régulièrement l’espace aérien grec, hier encore au-dessus de la Mer Égée. En Syrie, il est douteux que la Turquie, forte du soutien américain, cesse d’un coup son trafic de pétrole avec Daesh. Et il est plus que probable qu’un autre « incident » aérien surviendra au-dessus du territoire syrien, ceci posant clairement la question: Que fera Obama si un jet turc est abattu par la Défense Russe?

L’OTAN a déjà affirmé qu’elle « défendrait » ses membres en cas d’attaque, et la réaction américaine hier ne laisse guère de doute: Soutenir ses alliés, fussent-ils en tort, au risque d’une confrontation directe avec la Russie.

Voir aussi :

Révélations: la Russie prouve l'implication turque dans le trafic de pétrole de l'EI (2)

La Turquie, principal consommateur du pétrole volé en Syrie et en Irak

Après les révélations verbales d’avant-hier, de Poutine à la COP21, sur la complicité d’Erdogan dans le trafic de pétrole et sur l’entretien volontaire de leurs mercenaires de l’EI, celui-ci avait promis de démissionner si on prouvait qu’il était impliqué dans le trafic de pétrole.

Pris au mot par Poutine, hier, l’armée russe a fait des révélations et rapporte les preuves de la complicité d’Erdogan et de sa famille, dans le trafic de pétrole et l’entrée de 2000 mercenaires de l’EI ainsi que d’armes et de véhicules qui leur ont été acheminés.

La semaine prochaine l’armée russe devait faire d’autres révélations.

Et si elle pouvait nous donner les noms des 40 pays du G20 qui ont participé à voler la Syrie de son pétrole et à entretenir l’EI durant plus de 5 ans, tout en massacrant la population innocente, peut-être que nous aurions des preuves et la surprise d’apprendre que la France et nombre de pays européens entretenaient volontaire les mercenaires de l’EI pour s’enrichir, mais aussi pour permettre aux USA/Israël de créer leur Grand Israël.

Certes s’il s’agit d’une idéologie politique, on se demande sérieusement que vient faire le Djihadisme là au milieu ?

 Mais le menteur d’Erdogan qui n’a pas du tout l’envie de démissionner pour lâcher ses trafics, nie toute complicité dans le vol et de la vente du pétrole !

 

En bref, les 3 milliards d’euros qui ont été offerts par l’UE à la Turquie et à laquelle elle a promis de la faire rentrer dans l’EU ainsi que de renoncer à la politique des visas, cet argent que l’on vole aux contribuables européens, sert  à financer les mercenaires et à leur permettre de rentrer en europe pour commettre leurs attentats sur commande.  
Les questions sont celles-ci :
  1.  depuis que la France et la coalition US criminelle sont en Syrie et en Irak, personne d’entre eux ne s’est rendu compte que les mercenaires avaient très largement étendu leur territoire en Syrie ?
  2. personne ne s’est rendu compte que des files immenses de camions citernes volaient le pétrole Syrien au profit de tous leurs complices de le coalition mafieuse et illégale à laquelle participe Israël ?
A qui vont-ils faire croire cela ? Tous complices de ces vols, et c’est bien la raison pour laquelle, personne ne voulait que la Russie n'intervienne en Syrie, et que dans la crainte de voir leurs magouilles dévoilées et entretenues, l’avion militaire russe a été descendu ! Ensuite, les « deux têtes de turcs » sont Bachar Al-Assad et Poutine ! Voilà pourquoi Poutine est venu à la COP21 dont il se fiche éperdument, pour TOUS les dénoncer en présence de 145 présidents mondiaux. Bien sûr le Pentagone s’est insurgé contre la Russie pour protéger son complice d’Erdogan en déclarant que : Comme la France se sent morveuse dans l’affaire, Valls s’est empressé de nier que la France n’achetait pas le pétrole à Daesh : Par contre Valls s’est empressé d’aller vite rendre visite à ses amis les Saoudiens :

 

La Russie dévoile trois itinéraires de livraison du pétrole de l'EI en Turquie

Et sans doute qu'Erdogan, l'OTAN, l'UE, la France et la coalition illégale US, n'ont rien vu durant plus de 5 ans !

On pourrait savoir combien cela a rapporté à tous ces escrocs pour continuer à financer leurs mercenaires de l'EI ?

Et bien sûr chez Bachar Al-Assad qu'il faut faire partir parce qu'il défendait son pays de tous ces criminels qui ont autorisé la mort de près de 300 000 syriens, sans compter tous ceux qui ont dû s'exiler !

 

La Russie dévoile trois itinéraires de livraison du pétrole de l'EI en Turquie

La Turquie, principal consommateur du pétrole volé en Syrie et en Irak

La Turquie est le principal consommateur du pétrole volé en Syrie et en Irak, rapporte le ministère russe de la Défense.

"La Turquie est le principal consommateur du pétrole volé en Syrie et en Irak. Selon les informations recueillies, le président turc Erdogan et sa famille sont impliqués dans le système de trafic de pétrole volé par l’EI en Syrie", a déclaré le vice-ministre de la Défense Anatoly Antonov.

"Nous connaissons la valeur des paroles d'Erdogan. Il a été déjà pris une fois en flagrant délit de mensonge par les journalistes turcs qui avaient révélé la livraison par la Turquie d'armes aux terroristes, sous couvert d'aide humanitaire. Pour cette raison les journalistes ont été emprisonnés. Les dirigeants turcs, notamment Erdogan, ne démissionneront pas et ne reconnaîtront rien, même si leurs visages sont souillés par le pétrole volé ", a martelé Anatoli Antonov.

Néanmoins, la Russie a la preuve que la Turquie est le point d'arrivée du pétrole syrien provenant des gisements contrôlés par l'EI.

Sites de production et de stockage de produits pétroliers
Sites de production et de stockage de produits pétroliers

Après avoir franchi la frontière turco-syrienne, les camions-citernes transportent le pétrole de l'EI vers des ports où l'or noir est ensuite acheminé vers des pays tiers en vue de son raffinage.

La Russie a détecté trois itinéraires de livraison du pétrole de l'EI en Turquie depuis la Syrie. L’itinéraire ouest est connecté aux ports turcs de la Méditerranée, l’itinéraire nord mène à Batman, et l’itinéraire est à la base de transit dans la municipalité de Cizre.

Trois itinéraires de livraison du pétrole de Daech
Trois itinéraires de livraison du pétrole de Daech

A titre d'exemple, le ministère russe de la Défense a dévoilé les photographies des convois de camions-citernes transportant du pétrole jusqu'à la frontière entre la Syrie et la Turquie.


Premier itinéraire

L'itinéraire ouest est principalement utilisé de nuit afin de transporter les hydrocarbures produits dans les gisements situés près de la ville de Raqqa, fief de Daech dans le nord-ouest de la Syrie, à travers les villes frontalières d'Azaz (Syrie) et Reyhanli (Turquie) vers les ports turcs d'Iskenderun et Dörtyol.

Sur la photo prise le 13 novembre dernier, on peut voir l'accumulation des véhicules automobiles transportant des produits pétroliers sur la route reliant la Turquie et la Syrie, près de la ville d'Azaz.

Une accumulation de véhicules transportant des produits pétroliers près de la ville d'Azaz (Syrie)
Une accumulation de véhicules transportant des produits pétroliers près de la ville d'Azaz (Syrie)

Sur la photo prise le 16 novembre dernier, on peut voir une accumulation au moins de trois cent soixante camions et véhicules lourds dans la région de Reyhanli, à proximité de la frontière syrienne.

Une accumulation d'au moins 360 camions et véhicules lourds dans la région de Reyhanli, en Turquie (15 novembre 2015)
Une accumulation d'au moins 360 camions et véhicules lourds dans la région de Reyhanli, en Turquie
(15 novembre 2015)

Le renseignement spatial a également révélé qu'après avoir traversé la frontière, les camions-citernes et les véhicules lourds chargés du pétrole se dirigeaient vers les ports d'Iskenderun et de Dörtyol, équipés de quais spécialisés pour les pétroliers.

Une partie du pétrole est chargée à bord des navires et envoyée pour traitement hors de Turquie, et le reste est vendu sur le marché intérieur.


Deuxième itinéraire

Le deuxième itinéraire démarre dans les champs pétrolifères sur la rive droite de l'Euphrate. La ville de Deir ez-Zor (en Syrie) est l'un des centres de production de pétrole contrôlés par Daech. Elle abrite de nombreuses raffineries.

Une accumulation de camions-citernes est constamment enregistrée dans cette région. Le ministère russe a présenté des images de colonnes de véhicules à courte distance les unes des autres.

Les images prises le 18 octobre dernier dans les environs de Deir ez-Zor par le renseignement par satellite ont permis de découvrir au moins 1.722 camions-citernes garés essentiellement sur des parkings non aménagés en dehors des routes.

Des camions-citernes garés essentiellement en dehors des routes, dans les environs de Deir ez-Zor
Des camions-citernes garés essentiellement en dehors des routes, dans les environs de Deir ez-Zor
 
Des camions-citernes garés essentiellement en dehors des routes, dans les environs de Deir ez-Zor
Des camions-citernes garés essentiellement en dehors des routes, dans les environs de Deir ez-Zor

 

Leur nombre s'est considérablement réduit depuis le début des frappes russes contre les sites d'infrastructure pétrolière tenus par Daech, selon les militaires russes.

Après avoir fait le plein de pétrole, les convois venant des régions orientales de la Syrie vont vers la frontière turque et y attendent leur tour.

Les images prises au mois d'août présentent des centaines de camions-citernes et de poids lourds allant vers la frontière turque et vice-versa.

Une grande partie du pétrole transféré des régions orientales de la Syrie arrive à la raffinerie turque de Batman, à 100 km de la frontière syrienne.

Troisième itinéraire

Le troisième itinéraire de transport du pétrole vers la Turquie prend sa source dans les champs de pétrole situés dans le nord-est de la Syrie et dans le nord-ouest de l'Irak. Il passe à travers les villes frontalières de Karatchok et de Cham Khanik sur le territoire syrien et à travers les villes irakiennes de Tavan et de Zakho.

Les camions-citernes traversent la frontière turco-syrienne sans discontinuer dans la région de la ville irakienne de Zakho, d'où le pétrole est envoyé aux raffineries, dont la plus proche est située à Batman, ou dans le plus grand centre logistique de cet itinéraire, situé près de Silopi.

A l'heure actuelle, au moins 8.500 camions-citernes sont engagés dans le trafic criminel de produits pétroliers. Ils transportent quotidiennement jusqu'à 200.000 barils de pétrole.

L'aviation russe continuera de frapper les sites d'infrastructure pétrolière de Daech, et Moscou appelle ses collègues de la coalition à en faire de même.