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24/10/2014

Merkel veut que les contribuable de l'UE subventionnent l'Ukraine !

Et le tour est joué, dès que les US/Nazis décident de s'accaparer un pays pour en faire un état Nazi en Europe ou ailleurs, ce sont les contribuables de l'UE qui doivent payer ! Ainsi nous avons la preuve que Merkel est aussi un agent des US/US/Nazisionistes !

Reprenons quelques indices pour comprendre qui a toujours déstabilisé l'ex URSS ou la Russie et qui veut s'accaparer les pays, un à un, ainsi que la Russie, et qui doit payer pour les guerres d'invasions et de colonisation des pays qui sont en ligne de mire des BANKSTERS/NAZIS.

Qui a joué un rôle dans la révolution bolchévique ?

 

Qui a financé les fondations pro-européennes pour s'accaparer les anciennes républiques soviétiques ?

Qui doit financer les états Nazis instaurés par la force par les US/UE/Nazis ? Les peuples européens !

Et maintenant passons à table et sortons le portefeuille pour permettre aux Nazis, d'instaurer des états nazis en Europe !

 MERKEL VEUT QUE LES CONTRIBUABLES DE L'UE SUBVENTIONNENT L'UKRAINE  22/10/2014

Le régime putschiste judeo néo nazi de Kiev a refusé jusqu'à présent de payer plus de 5 milliards de dette de gaz à la Russie et compte sur l'UE pour éponger cette dette. Récemment le German Economic News titrait reprenant les paroles de Merkel :

" Merkel: les contribuables de l'UE devraient financer la dette de l'Ukraine."

L'actuel dirigeant de Kiev le milliardaire juif israélo ukrainien Petro Porochenko demande que l'UE paie la dette de l'Ukraine qui doit des milliards à Gazprom, le fournisseur russe de Gaz à ce pays et à certains pays de l'UE. De plus Kiev a réussi à obtenir de la Slovaquie qu'elle lui renvoie une partie du Gaz russe pour sa propre consommation en chauffage. 15% du Gaz importé dans l'UE vient de Russie via l'Ukraine.

Tout cela alors même que Porochenko a annoncé vouloir augmenter les dépenses militaires de l'Ukraine dans le cadre de son opposition à Moscou.

L'UE vient d'attribuer sous forme de bourses 17 millions d'Euros à Kiev pour la reconstruction dans des zones sous contrôle de la Junte dans les régions de Donesk et Luhansk dans l'Est de l'Ukraine. Autrement dit les contribuables de l'UE doivent financer les dégats causés par la junte judeo néo nazie de Kiev dans sa guerre contre le peuple ukrainien dans l'Est.

Cette junte judéo néo nazie réclame 1.6 milliards d'Euros pour reconstruire ce qu'elle a détruit. A Kiev comme à Tel Aviv (et ce n'est pas un hasard si Porochenko est juif israélo ukrainien) on mène contre des populations et des infrastructures civiles des opérations militaires dont certaines sont de réels crimes de guerre ( charniers dans l'Est, civils bombardés au phosphore blanc, trafic d'organes et torture...) et on exige de l'UE ensuite de payer les terribles dommages causés.

La Russie n'a pas l'intention de se soumettre aux pressions économiques exercées par les US et l'UE. Cette dernière vient de décider de maintenir ses sanctions contre Moscou qui a répliqué en élargissant les siennes d'ordre alimentaire aux farines animales et aux abats. Ce sont les producteurs des pays membres de l'UE qui trinquent car la Russie n'a eu aucun problème à remplacer ses importations de viande lait fruits et légumes venant de l'UE.

Le président russe Vladimir Poutine a dit que l'approvisionnement de l'UE sera réduit si le gouvernement de Kiev siphonne une partie du gaz destiné à des pays membres de l'UE. Les contribuables de l'UE risquent donc de payer de leur poche les magouilles des actuels dirigeants des pays de l'UE pour aliéner l'Ukraine à la Russie et l'incorporer dans un plan d'extension de l'influence US UE OTAN dans l'Est de l'Europe.

Pour les US les sanctions prises à l'encontre de la Russie en lien avec la crise ukrainienne provoquée par la dictature ultra libérale USSIONISTE UE OTAN n'ont aucun effet sur l'économie américaine.

Ce sont donc les contribuables des pays de l'UE qui paient par une politique d'austérité et de restrictions commerciales sans précédent, l'installation de ce régime judéo néo nazi à Kiev dominé par la mafia juive d'Europe de l'Est.
 

 

France : Tous pourris : Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

Ensuite, ils auront le culot de demander aux Français de respecter la Loi !

Est-ce que vous allez encore continuer à voter pour eux ?

Le 22/10/2014

Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

Le canard enchainé révèle aujourd'hui que 60 députés et sénateurs seraient dans le viseur du fisc.

Le canard enchainé révèle aujourd’hui que 60 députés et sénateurs seraient dans le viseur du . Qui sont les 60 fraudeurs ?

Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

D’après le canard enchainé, la Direction générale des finances publiques procède actuellement à plusieurs recoupements en s’appuyant sur les déclarations de patrimoine des 925 députés et sénateurs. Au total, plus de 60 parlementaires seraient dans le viseur du fisc, pour des différends allant du contentieux classique à la fraude massive. La liste des 60 députés et sénateurs fraudeurs devrait être connue d’ici à la fin de l’année.

La nouvelle législation sur la transparence de la vie publique a conduit à l’établissement de listes de sénateurs et députés fraudeurs grâce aux déclarations de patrimoine des élus transmises à l’administration fiscale. Le fisc a ainsi pu constater certaines différences évidentes entre ce que les élus déclaraient et ce qu’il possédaient réellement ( voir aussi Le patrimoine caché de Manuel Valls).

« Les députés et les sénateurs sont des Français comme les autres. Nombre d’entre eux minimisent leur patrimoine, par négligence ou par calcul, mais sans dépasser les 5 ou 10% de la valeur réelle. En revanche, ils sont quelques-uns à tenter sciemment de tromper l’administration. Et pas qu’un peu », explique un haut fonctionnaire de Bercy au canard enchainé ( voir Mise en examen de Patrick Balkany pour corruption et fraude fiscale).

PÉTITION : Exigeons l’inéligibilité à vie pour les élus condamnés !

 Les 60 députés et sénateurs fraudeurs


 

 

23/10/2014

Vidéo. RSI. Régime social des indépendants : bienvenue en enfer ! A qui profite le RSI ?

A des entreprises privées, soi-disant missionnées par l'Etat, y compris en ce qui concerne l'URSSAF  !

Sauf que comme ce sont des entreprises privées, il faut qu'elles rapportent la preuve de la signature d'un contrat entre les deux parties et non pas qu'elles procèdent par la voie du régime obligatoire imposé aux indépendants !

Conclusions : si vous êtes dans ce cas, demandez leur la copie des contrats que vous auriez signés avec eux.

Matraqués par les taxes et les cotisations, ils sont artisans, commerçants, professions libérales. Ils représentent « la première entreprise de France ».

Les TPE, les Très Petites Entreprises comme on les appelle également (de 1 et 20 salariés), se disent matraquées par les cotisations sociales qu’un système qui semble « obligatoire » leur impose. Chaque jour, des centaines de milliers de travailleurs non-salariés subissent les agissements et dysfonctionnements du RSI.

Un régime « inventé » en 2005 pour disait-on, simplifier la vie des professions libérales. La plupart de ceux que nous avons rencontrés « survivent » en raison des charges qu’ils doivent payer. Régulièrement, ils manifestent leur mécontentement dans les rues, autour des ronds-points, devant les caisses régionales du RSI et devant les bâtiments de l’URSSAF… dans l’indifférence générale. À qui profite réellement le RSI ?

Régime social des indépendants bienvenue en enfer !

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Regime-social-des-i...

 

 

26/03/2014

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Et voilà qui sont les amis de Fabius, de BHL, de Hollande, du CRIF et CIE ! Ensuite les nazis qui nous gouvernent à partir de l’UESA/Sioniste feront porter la faute sur Poutine et la Russie qu’ils accusent d’avoir provoqué les troubles en Ukraine et de violer le droit international !


Et le pire c’est que ce sont les Européens, c’est-à-dire nous tous qui allons payer pour entretenir la corruption, les crimes  et tous ces nazis en Ukraine que l’UESA s’est engagée à aider financièrement pour les sortir de leurs dettes colossales engendrées par la corruption !

 

Alors que les Peuples européens veulent sortir de la prison de l’UESA/Sioniste, et bien non, il faut continuer à jouer de l’expansionnisme vers les pays européens pour encercler et isoler la Russie avec l’OTAN.

Si ce n’est pas de la provocation pour déclencher la 3ème guerre mondiale contre la Russie et la Chine, on peut se demander ce que c’est ?  

N’est-ce pas SARKOZY et Hollande qui veulent faire rentrer la Turquie qui s’attaque à la Syrie dans l’Union Européenne ?

Jusqu’à quand allons-nous les laisser faire, commettre des crimes en notre nom, avec notre argent et nous ruiner ?

Comme vous l’aurez aussi compris, ils sont en train d’organiser l’épuration ethnique des Russes et des Juifs qui vivent en Ukraine, car ces néonazis sont en prime racistes et antisémites !

Et là, personne ne s’offusque du geste nazi fait par les nazis d’Ukraine, c’est le geste de la Quenelle de Dieudonné qui était un geste antisémite, bien que la caste sioniste qui dirige la France ait pris le soin de préciser qu’il s’agissait du "geste nazi inversé" ! C’est donc le monde inversé et les accusations inversées contre Poutine et la Russie !

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Mondialisation.ca, 25 mars 2014


Selon le New York Times, « Les États-Unis et l’Union européenne ont épousé la révolution ici comme un autre essor de la démocratie, un coup contre l’autoritarisme et la cleptocratie dans l’ancien espace soviétique ». (After Initial Triumph, Ukraine’s Leaders Face Battle for Credibility, NYTimes.com, 1er mars 2014. C’est l’auteur qui souligne.)

« Essor de la démocratie »? « Révolution »? La dure réalité est tout autre. Il s’agit d’un coup d’État appuyé par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN en violation flagrante du droit international.

La vérité interdite est que l’Occident, grâce à une opération clandestine soigneusement mise en scène, a conçu un régime par procuration intégré par des néonazis.

Les principales organisations en Ukraine, y compris le parti néonazi Svoboda, ont été généreusement soutenues par Washington, ce qu’a confirmé la secrétaire d’État adjoint, Mme Victoria Nuland : « Nous avons investi plus de 5 milliards de dollars pour aider l’Ukraine à atteindre, entre autres, ces objectifs [...] Nous allons continuer à faire avancer l’Ukraine vers l’avenir qu’elle mérite. »

Les médias occidentaux ont tout simplement évité d’analyser la composition et les fondements idéologiques de la coalition gouvernementale. Le terme « néonazi » est tabou. Il a été exclu du vocabulaire des chroniqueurs des médias de masse. Il n’apparaîtra pas dans les pages du New York Times, du Washington Post ou de l’Independent. Les journalistes ont reçu comme consigne de ne pas utiliser le terme « néonazi » pour désigner les partis Svoboda (Liberté) et Pravy Sektor (Secteur de droite).

Composition du gouvernement de coalition

Il n’est pas question d’un gouvernement de transition au sein duquel des éléments néonazis ont intégré la frange de la coalition, officiellement dirigée par le parti Batkivschina (la Patrie).

Le Cabinet est non seulement intégré par les deux principales entités néonazies, Svoboda et Pravy Sektor (sans compter les anciens membres de la défunte organisation fasciste UNA-UNSO), on leur a également confié des postes clés qui leur donnent de facto le contrôle sur les forces armées, la police, la justice et la sécurité nationale.

Bien que le parti Batkivschina de Yatsenuyk contrôle la majorité des portefeuilles et que le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok n’ait pas obtenu de poste ministériel important (apparemment à la demande de la secrétaire d’État adjoint Victoria Nuland), les membres de Svoboda et de Pravy Sektor occupent des postes clés dans les domaines de la défense, de l’application de la loi, de l’éducation et des affaires économiques.

Le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok

La secrétaire d’État étasunienne Victoria Nuland avec le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok (à gauche)

Andriy Parubiy [à droite], co-fondateur du Parti national-socialiste de l’Ukraine (parti néonazi rebaptisé Svoboda), a été nommé secrétaire de la Commission de la sécurité et de la défense nationale (RNBOU) (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé chargé de superviser le ministère de la Défense, les Forces armées, l’application de la loi, la Sécurité nationale et le renseignement. Le RNBOU est l’organe de décision central. Bien qu’il soit formellement dirigé par le président, il est géré par le secrétariat avec un personnel de 180 membres, incluant la défense, le renseignement et des experts de la sécurité nationale.

Parubiy a été l’un des principaux dirigeants de la révolution orange en 2004. Son organisation a été financée par l’Occident. Les médias occidentaux le surnomment le « kommandant » du mouvement EuroMaidan. Andriy Parubiy, tout conmme le chef du parti Oleh Tyahnybok, est un adepte du nazi ukrainien Stepan Bandera, qui a collaboré au massacre des juifs et des Polonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Marche en l’honneur du néonazi Stepan Bandera

Pour sa part, Dmytro Yarosh, chef de la délégation de Pravy Sektor au parlement, a été nommé secrétaire adjoint de Parubiy à la RNBOU.

Yarosh était le chef du groupe paramilitaire des chemises brunes néonazies durant les « manifestations » du mouvement EuroMaidan. Il a appelé à dissocier le parti des régions et du parti communiste.

Discours de Dmytro Yarosh à Euromaidan (Centre)

Le parti néonazi contrôle également le processus judiciaire avec la nomination d’Oleh Makhnitsky du parti Svoboda au poste de procureur général de l’Ukraine. Quelle sorte de justice prévaudra avec un néonazi renommé en charge du Bureau du Procureur de l’Ukraine?

Des postes au Cabinet ont également été attribués à d’anciens membres de l’Assemblée nationale ukrainienne – Autodéfense  nationale ukrainienne (UNA-UNSO), une organisation néonazie marginale:

« Tetyana Chernovol, que la presse occidentale dépeint comme une journaliste d’enquête militante sans faire référence à son implication passée dans l’organisation antisémite UNA-UNSO, a été nommée présidente du comité gouvernemental anticorruption. Dmytro Bulatov, connu pour son enlèvement présumé par la police, mais aussi pour ses liens avec UNA-UNSO, a été nommé ministre de la jeunesse et des sports.

Yegor Sobolev, chef d’un groupe de citoyens de la place de l’Indépendance et politiquement proche Iatseniouk, a été nommé président de la Commission d’épuration, chargée de purger du gouvernement et de la vie publique les adeptes du président Ianoukovitch. (Voir Ukraine Transition Government: Neo-Nazis in Control of Armed Forces, National Security, Economy, Justice and Education, Global Research, 2 mars 2014)

Le Comité d’épuration organisera la chasse aux sorcières contre tous les adversaires du nouveau régime néonazi. Les cibles de la campagne de purges sont des personnes en position d’autorité au sein de la fonction publique, des gouvernements régionaux et municipaux, de l’éducation, de la recherche, etc. Le terme « épuration » fait référence à la « disqualification massive » des personnes associées à l’ancien gouvernement. Il a également des connotations raciales. Selon toute probabilité, l’épuration sera dirigée contre les communistes, les Russes et les membres de la communauté juive.

Il est important de réfléchir sur le fait que l’Occident, officiellement dévoué aux valeurs démocratiques, a non seulement orchestré la chute d’un président élu, mais il a également instauré un régime politique intégré par les néonazis.

C’est un gouvernement par procuration permettant aux États-Unis, à l’OTAN et à l’UE d’interférer dans les affaires intérieures de l’Ukraine et de démanteler ses relations bilatérales avec la Fédération de Russie. Il faut cependant comprendre que ce ne sont pas les néonazis qui mènent le bal. La composition du Cabinet coïncide largement avec les « recommandations » qu’avait faites la secrétaire d’État adjoint des États-Unis, Victoria Nuland, à l’ambassadeur américain en Ukraine lors d’un appel ayant fait l’objet d’une fuite.

Washington a choisi de mettre les néonazis dans des positions d’autorité. En vertu d’un « régime de gouvernance indirecte », ces derniers prennent toutefois leurs ordres du département d’État étasunien, du Pentagone et de l’OTAN en ce qui concerne les décisions cruciales en matière de politique étrangère et militaire, dont le déploiement de troupes contre la Fédération de Russie.

Le monde est à un carrefour dangereux: Les structures et la composition de ce gouvernement par procuration installé par l’Occident ne favorisent pas le dialogue avec le gouvernement et l’armée russes.

 

Un scénario d’escalade militaire menant à la confrontation entre la Russie et l’OTAN est tout à fait possible. Le RNBOU, contrôlé par les néonazis, joue un rôle central dans les affaires militaires. Dans la confrontation avec Moscou, le RNBOU, dirigé par le néonazi Parubiy et son adjoint chemise brune Dmytro Yarosh, pourrait prendre des décisions, en consultation avec Washington et Bruxelles, pouvant avoir des conséquences dévastatrices.

Cependant, il va sans dire que l’« appui » des États-Unis à la formation d’un gouvernement néonazi n’implique aucunement le développement de « tendances fascistes » au sein de la Maison Blanche, du département d’État et du Congrès.

« L’essor de la démocratie » en Ukraine, pour reprendre les termes du New York Times, est approuvé par les républicains et les démocrates. Il s’agit d’un projet bipartisan. Rappelons-nous que le sénateur John McCain est un fervent partisan et ami du chef néonazi de Svoboda, Oleh Tyahnybok (image à droite).

Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


Guerre et mondialisation


Mondialisation de la pauvreté.

 

Article original : The U.S. has Installed a Neo-Nazi Government in Ukraine

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

21/01/2014

Sécurité de François Hollande: 8 millions d'euros par an

La place est bonne pour le Roi et sa Cour quand le taux de chômage ne cesse d'augmenter !

Par ailleurs on se demande pour quelles raisons légitimes est-il autant protégé ?

Ils ont peur qu'on nous l'enlève ? Qui en voudrait sérieusement ?

 

Sécurité de François Hollande: 8 millions d'euros par an

Depuis "l'affaire Gayet", la sécurité du chef de l'Etat est mise en question. Sur 858 personnes affectées à l'Elysée, 63 policiers et gendarmes sont exclusivement chargés de la protection du président et de ses proches. Ce qui représente un coût de 8 millions d'euros par an.

Patrick Coquidé
Le 18/01/2014 à 11:43
Mis à jour le 18/01/2014 à 13:15
Le chef de l'Etat dispose d'un groupe de sécurité de 63 personnes (Caroline Blumberg/Reuters)

Le chef de l'Etat dispose d'un groupe de sécurité de 63 personnes (Caroline Blumberg/Reuters)

François Hollande est-il assez protégé? Depuis les "révélations" du magazine Closersur les sorties privées du chef de l'Etat visiblement entouré d'un service de sécurité très réduit, la question alimente le débat politique. Ce dimanche 19 janvier sur Europe 1, Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur, a en tout cas contesté les dysfonctionnements dans la sécurité, assurant que la sécurité du président n'a jamais été compromise. Qu'en est-il?

Selon le rapport budgétaire 2014 consacré à la présidence de la République, sur 858 personnes travaillant à l'Elysée, 63 policiers et gendarmes sont affectés à la sécurité rapporchée du chef de l'Etat mais aussi de sa compagne. Ils appartiennent au Groupe de sécurité du président de la République (GSPR) créé en 1982 sous le premier mandat de François Mitterrand par l'ancien patron du GIGN, le commandant Christian Prouteau.

Sur 67 millions d'euros de dépenses de personnel de l'Elysée (soit 64% du budget total de la présidence), les charges liées au GSPR représentent 8 millions (dont 1,7 million de primes). Ces sommes sont payées par le ministère de l'Intérieur (pour les policiers) et de la Défense (pour les gendarmes) qui se font ensuite rembourser par l'Elysée. A ces dépenses s'ajoutent le coût d'utilisation de voitures de la présidence par le GSPR, ainsi que celui des déplacements des "précurseurs", ces policiers qui partent en repérage avant un voyage présidentiel. Mais ils ne sont pas indivisualisés dans le budget de l'Elysée.

En 2013, le député UMP Jérôme Chartier remarquait dans son rapport budgétaire que depuis l'arrivée de François Hollande à l'Elysée, le nombre de fonctionnaires chargés de la protection rapprochée du chef de l'Etat a baissé de 26 personnes, comparé à la période Sarkozy. Ce qui entraîne en année pleine une économie de 2,3 millions d'euros, "dont la présidence de la République semble particulièrement fière", écrit-il. Sous François Mitterrand, le GSPR, alors composé uniquement de gendarmes issus du GIGN, était fort de 100 membres.

700 policiers à l'Intérieur

En fait, la sécurité du chef de l'Etat coûte largement plus. Lors des déplacements officiels du président, le GSPR est épaulé par d'autres policiers du Service de la protection du ministère de l'Intérieur (SDLP), l'ancien Service de protection des hautes personnalités (SPHP), fort de 700 policiers chargés de la sécurité des ministres et des personnalités françaises et étrangères "sensibles", comme le président du Medef par exemple.

Lors des déplacements présidentiels en province, comme celui de Tulle ce 18 janvier, des policiers des ex-Renseignements généraux (RG) sont également déployés sur le parcours. Mais ces coûts sont directement pris en charge par le ministère de l'Intérieur. Ils ne sont pas révélés.

http://www.bfmtv.com/economie/securite-francois-hollande-8-millions-deuros-an-689904.html