La mégalomanie et l'hystérie relèvent de la psychiatrie !
Qui va le faire interner un moment cet hystérique et cet incapable majeur qui bénéficie de l'immunité pour que la Justice puisse travailler en paix ?
Heureusement qu'il ne s'agit que d'une mise en examen, autrement si le Troll avait été condamné, la France aurait été mise à feu et à sang par "sa garde rapprochée'.
Par ailleurs, nous notons que cela fait beaucoup de suicides autour de l'affaire Bettencourt.
Après l'avocat de la fille de Mme Bettencourt, voici qu'aujourd'hui, le Grand Patron de la Police Judiciaire de Paris qui a enquêté sur le dossier Bettencourt se serait "suicidé".
Bizarre, non, après les menaces qui ont été faites au Juge Gentil et à ses collègues ?
Assemblée nationale : quand Guaino invoque Zola et l'affaire Dreyfus
P.Th. | Publié le 02.04.2013, 16h11 | Mise à jour : 18h15
«Souvenez-vous de Zola, accusé ici-même (...) d'avoir déshonoré l'armée parce qu'il avait remis en cause l'autorité de la chose jugée», a-t-il lancé au Premier ministre, prenant tout de même le soin de préciser : «Je ne suis pas Zola. Nous ne sommes pas dans l'affaire Dreyfus.» A Jean-Marc Ayrault, qui l'a tancé la semaine dernière après ses vives critiques envers le juge Jean-Michel Gentil, le député UMP a demandé de «défendre (sa) liberté de critiquer un abus».
Taubira à Guaino : «Vous avez attaqué l'institution judiciaire»
Suite à la mise en examen de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino avait fermement «contesté» la façon dont le magistrat avait fait son travail, jugeant que ce dernier avait «déshonoré un homme, les institutions, la justice». Ces déclarations avaient suscité l'ire des syndicats de magistrats, de la majorité et décidé le juge Jean-Michel Gentil à poursuivre l'élu.
«Décidément, vous persistez et vous signez dans le peu d'égards que vous portez au Conseil supérieur de la magistrature», a répondu la garde des Sceaux, Christiane Taubira, à Henri Guaino ce mardi. «Vous n'avez pas attaqué un homme, vous avez attaqué l'institution judiciaire. Et vous êtes invité à de la réserve concernant l'institution judiciaire», a-t-elle tranché.
Son intervention a par ailleurs valu à Henri Guaino d'être raillé par ses opposants sur Twitter. «Guaino fait toujours trop grand : après Malraux, Zola, difficile de faire mieux la prochaine fois !» s'est ainsi moquée la ministre déléguée en charge des Personnes âgées, Michèle Delaunay. «Guaino se prend pour Zola en prenant l'élocution de Malraux», a de son côté commenté le député socialiste Christophe Caresche. Un autre député PS, Laurent Grandguillaume se fait plus sévère : «Avec M. Guaino nous aurons eu le droit au Malraux de poche pour les nuls.»
Michèle Delaunay @micheledelaunay
#QAG Guaino fait toujours trop grand : après Malraux, Zola, difficile de faire mieux la prochaine fois !
#QAG Guaino se prend pour Zola en prenant l'élocution de Malraux.
#directAN #QAG Avec M. Guaino nous aurons eu le droit au Malraux de poche pour les nuls
Borloo s'exprime «au nom des camarades de l'intersyndicale»
Le président de l'UDI, Jean-Louis Borloo a remis, ce mardi au cours de la séance des questions au gouvernement, le dossier Florange sur la table. Evoquant ce site d'ArcelorMittal en Moselle, où il s'est rendu pour «rencontrer les salariés et l'intersyndicale», le député du Nord a lancé à l'adresse du Premier ministre : «Depuis vos funestes décisions, ils n'ont rencontré ni membre du gouvernement ni élu socialiste.»
Assurant s'exprimer «au nom des camarades de l'intersyndicale», Jean-Louis Borloo a demandé où en était le redémarrage de la filière liquide et le dossier Ulcos. «Le dossier est suivi, le gouvernement est actif et nous trouvons des solutions aux problèmes qui sont posés», a répondu le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici.
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