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31/12/2014

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain

Un seul qui bouge en France !

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain

Qu'est-ce que le projet Indect ?

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE

= Dimanche 28 décembre 2014 =

OBJET : L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur la surveillance étroite qu’il exerce à l’encontre de la population française et sur sa passivité face aux actes d’espionnage des États-Unis d’Amérique et de plusieurs de leurs alliés.

TEXTE  :

Incapable de regarder les Français en face, le gouvernement a pris en catimini, le jour de Noël, de nouvelles mesures liberticides destinées à étendre la surveillance de la population. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...]

Le décret publié ce 24 décembre 2014, qui précise les modalités d’application de l’article 20 de la loi de programmation militaire du 18 décembre 2013, autorise un vaste accès des services de l’État aux télécommunications des Français – téléphone, SMS, Internet principalement – et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux. [http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JOR...]

Ces dispositions, justifiées comme d’habitude de manière très vague, au nom de la « lutte contre le terrorisme », s’ajoutent à celles votées, par la procédure accélérée, le 4 novembre 2014 au sein d’une énième loi antiterroriste, qui permet au gouvernement d’interdire la sortie du territoire national aux Français qu’il juge suspects. [http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/04/97001-201411...]

L’attitude du gouvernement est d’autant plus troublante qu’il a, de façon certaine, armé et entrainé des combattants qui ont fait allégeance à des groupes islamistes radicaux en Syrie. [http://www.wnd.com/2014/06/officials-u-s-trained-isis-at-...]

La multiplication de mesures liberticides témoigne de la tendance de plus en plus fascisante des gouvernements européistes, gouvernement français en tête. L’UPR note d’ailleurs que ces mesures s’accompagnent d’un silence médiatique et politique quasiment absolu alors qu’elles contreviennent aux libertés les plus fondamentales proclamées par la Constitution de la République. Ces derniers jours, les médias de grande diffusion ont préféré, par exemple, focaliser l’attention des Français sur la nouvelle chienne Labrador de François Hollande ou sur l’insignifiante affaire du film « The interview », pure opération de propagande, plutôt que de les alerter sur la mise en danger du secret de leur vie privée.

Dans le même temps, le gouvernement laisse complaisamment des puissances étrangères – au premier rang desquelles les États-Unis d’Amérique – espionner les institutions européennes ainsi que les intérêts français, quand ce n’est pas directement la population.

  • - Comme l’a révélé une enquête conduite par trois journaux et publiée le 13 décembre 2014, les services secrets britanniques, américains et canadiens ont conjointement piraté dès 2008, et d’une façon spécialement agressive, les télécommunications des institutions européennes. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...].

Cette cyberattaque, conduite à l’aide du virus ultra perfectionné « Regin », n’a été découverte qu’en 2013 et a ainsi permis à Washington de mettre la main sur des documents sensibles relatifs à la négociation du Grand marché transatlantique (GMT).

Ce véritable acte de guerre, commis par Washington avec la complicité de Londres, rappelle combien la « solidarité européenne » est une fiction et le « lien transatlantique » une relation de vassal à suzerain. Il n’a bien entendu donné lieu à aucune réaction, ni des institutions européennes ni du gouvernement français et n’a pas entravé le moins du monde l’avancée des négociations du GMT. Le scandale des écoutes de la NSA et du dispositif PRISM ainsi que le piratage de l’Élysée en 2012 n’avaient pas suscité davantage de réaction des autorités françaises [http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2012/11/20/01007...] ;

  • - Selon l’ex rapporteur du Conseil de l’Europe et ancien parlementaire suisse, Dick Marty [http://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty], dans une interview qu’il a accordée à la RTS le 10 décembre 2014, les pays européens se sont engagés, en application de l’article 5 du Traité de l’Atlantique nord, à accorder l’immunité totale à la CIA, en particulier dans les cas de torture reprochés à l’agence américaine [http://www.rts.ch/info/monde/6374144-les-pays-europeens-s...].


Dick Marty s’était fait connaître pour avoir porté à la connaissance du public le scandale des prisons secrètes de cette même CIA en Europe. Le gouvernement français a observé un silence absolu sur les dernières révélations – ahurissantes – de Dick Marty, lesquelles illustrent, d’ailleurs, l’urgence de faire sortir la France de l’OTAN ;

  • - Un rapport parlementaire de décembre 2014 a révélé la vulnérabilité des entreprises françaises face au dispositif d’espionnage et de pillage d’informations sensibles mis en place par les États-Unis d’Amérique, ainsi que le manque criant de dispositif de défense en la matière du côté du gouvernement français, qui n’a programmé aucune action vigoureuse et urgente depuis. [http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/12/18/20002-20141...]

La mise sous surveillance de la population française et l’absence de réaction face aux actes de guerre perpétrés par les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés contre la France est un nouvel acte de haute trahison du gouvernement français. Ces faits confirment la justesse de l’analyse que François Mitterrand livra, au soir de sa vie, au journaliste Georges-Marc Benamou :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

L’UPR demande au gouvernement français de s’expliquer sur le contrôle étroit auquel il soumet la population française et sur sa passivité et son indifférence face à l’espionnage intense – véritable acte de guerre – qu’exercent les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés à l’encontre des intérêts français.

Si MM. Hollande et Valls ne répondent pas à cette demande parfaitement légitime, les Français auront une nouvelle preuve que la France n’est plus une République et que leurs dirigeants se rendent coupables de haute trahison.

 

============= FIN DU COMMUNIQUÉ ============

NE LAISSEZ PAS DÉTRUIRE VOTRE LIBERTÉ ET LA LIBERTÉ DE CEUX QUE VOUS AIMEZ !

N’oubliez jamais cette formule de l’essayiste suisse du XXe siècle, Max Frisch : dans une dictature, « IL Y A PIRE QUE LE BRUIT DES BOTTES, C’EST LE SILENCE DES PANTOUFLES. »

C’est aujourd’hui qu’il faut la mettre en pratique collectivement : car pour triompher, ceux qui veulent détruire la France n’ont besoin que de votre inaction.

C’est aujourd’hui qu’il faut se rassembler pour faire échec à la destruction programmée de la patrie de Saint-Louis, Henri IV, Louis XIV, Montesquieu, Gambetta, Jaurès, Clemenceau, Charles de Gaulle.

C’est aujourd’hui qu’il faut s’opposer résolument à la soumission à l’empire euro-atlantiste qui est en train de ruiner notre niveau de vie, de transformer la France en dictature et de nous entraîner dans des guerres terrifiantes avec le reste du monde.

https://www.upr.fr/communiques-de-presse/espionnage-ameri...http://www.crashdebug.fr/

 

Le cadeau de Noël du Gouvernement aux Français : la surveillance !

NOUS SOMMES TOUS DES TERRORISTES !

Nous représentons un grand danger pour les Illuminati/Sionistes/reptiliens, car jusqu'à présent en revendiquant le secret maçonnique, ils pouvaient travailler dans l'ombre et le silence pour tromper les peuples en faisant dériver notre attention vers leurs VRP/pions/espions/collabos/marionnettes, soi-disant élus ! Depuis quelques années déjà, les médias alternatifs les ont mis en plein  jour et dévoilé leurs plans machiavéliques d'instauration du Nouvel Ordre Mondial, et les masses commencent à se réveiller et ne sont plus dupes de leurs mensonges et manipulations mentales. Il faut donc faire taire la Vérité et réprimer la résistance à l'oppression de nos prédateurs. Quoi de mieux que de nous museler sur le net et ailleurs ! Bientôt ils ne tarderont pas à nous instaurer la Loi martiale pour nous empêcher de manifester ! Vous appelez cela comment, si ce n'est de la dictature ? 

Croyez-vous qu'il y ait un seul de ces traîtres/collabos qui conteste cette loi liberticide légalement ?

 

Voir aussi : Surveillance du net : la mainmise de l’État sur vos télécommunications

Le cadeau de Noël du gouvernement aux internautes : la surveillance

 

Le Point.fr - Publié le 26/12/14 à 17h45

Le 24 décembre, Matignon a publié un décret sur une mesure très contestée permettant aux agents de l'État de surveiller le Net français. Habile.

 

Manuel Valls, Premier ministre. Manuel Valls, Premier ministre. Guerric Poncet / Creative Commons by-nc-sa 2.0 via Flickr

 

Par Guerric Poncet

 

C'est un cadeau de Noël dont les internautes et les opérateurs français se seraient bien passés. Le gouvernement a publié mercredi 24 décembre, à la faveur des fêtes de Noël, le décret d'application du très contesté article 20 de la loi de programmation militaire (LPM). Ce texte prévoit un accès très vaste des services de l'État aux télécommunications (téléphone, SMS, Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux.

 

La mesure de surveillance, pudiquement nommée "accès administratif aux données de connexion", avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par notre excellent confrère Next INpact, qui évoque "un décret qui sent le sapin", ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

 

Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d'information de plus en plus performants afin de surveiller la population.

 

Qui chapeaute le système ?

 

Le décret du 24 décembre présente "le groupement interministériel de contrôle [...], un service du Premier ministre chargé des interceptions de sécurité et de l'accès administratif aux données de connexion". Ce groupement est chargé de centraliser les demandes des agents et de les transmettre aux opérateurs concernés, en les épurant de toute information sensible.

 

En effet, si les services de l'État doivent justifier leurs requêtes auprès du Premier ministre (qui nomme une "personnalité qualifiée"), il est hors de question de transmettre ces explications aux opérateurs. Les fournisseurs d'accès ne sauront même pas de quel service ou ministère émane une demande, ni à quelle date elle a été formulée.

 

Quelles données sont concernées ?

 

Sans surprise, le décret se réfère à l'article 20 de la LPM, sans vraiment le préciser. Peuvent donc être interceptés les "informations ou documents traités ou conservés par les réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l'identification des numéros d'abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l'ensemble des numéros d'abonnement ou de connexion d'une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu'aux communications d'un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications".

 

On notera l'utilisation de la formule "y compris", qui n'est aucunement exhaustive : difficile de faire plus vaste.

 

Un contrôle démocratique insignifiant

 

Face aux critiques sur l'intrusion dans la vie privée, le gouvernement invoque la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), un organe très joli sur le papier mais qui n'a jusqu'à présent pas été doté d'un réel pouvoir. Cette commission "dispose d'un accès permanent aux traitements automatisés", et "l'autorité ayant approuvé une demande de recueil d'informations ou de documents fournit à la commission tous les éclaircissements que celle-ci sollicite", promet le décret, plein de bons sentiments.

 

Néanmoins, la CNCIS n'a toujours pas le pouvoir de sanction et ne peut même pas alerter la justice en cas de manquement sur un dossier couvert par le secret de la défense nationale. Habile...

 

Par ailleurs, le gouvernement se protège en supprimant ses archives en un temps record. Si l'on peut saluer la suppression des informations et des fichiers recueillis au bout de trois ans, on ne peut être que surpris par le fait que les registres mentionnant qui a autorisé telle ou telle surveillance soient eux aussi "automatiquement effacés" après trois ans. Le seul contrôle démocratique possible lorsqu'on jongle avec le secret défense, celui qui s'effectue a posteriori, est donc rendu impossible, pour la CNCIS comme pour la justice.

 

À quel prix ?

 

"Les coûts supportés par les opérateurs pour la transmission des informations ou des documents font l'objet d'un remboursement par l'État", précise le décret. Pas un mot sur la grille tarifaire qui sera appliquée, car ils seront définis par les ministères concernés.

 

Qui peut demander les informations ?

 

Trois ministères sont habilités à émettre des demandes. Le décret détaille le nombre impressionnant de services pour lesquels les vannes du Web français sont ouvertes :

 

- Au ministère de l'Intérieur : la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la Direction générale de la police nationale (unité de coordination de la lutte antiterroriste, Direction centrale de la police judiciaire, Direction centrale de la sécurité publique, Direction centrale de la police aux frontières), la Direction générale de la gendarmerie nationale (sous-direction de la police judiciaire ; sous-direction de l'anticipation opérationnelle ; service technique de recherches judiciaires et de documentation ; sections de recherches), la préfecture de police (Direction du renseignement ; direction régionale de la police judiciaire ; service transversal d'agglomération des événements ; cellule de suivi du plan de lutte contre les bandes ; sûreté régionale des transports ; sûretés territoriales).

 

- Au ministère de la Défense : la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), la Direction de la protection et de la sécurité de la défense, la Direction du renseignement militaire.

 

- Au ministère des Finances et des Comptes publics : la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, le service de traitement du renseignement et d'action contre les circuits financiers clandestins.

 

Dans tous ces services, seuls les agents et officiers "dûment habilités" par leur directeur pourront réclamer des informations, assure le décret.

 

Des perspectives inquiétantes

La loi de programmation militaire a mis en place un outil de surveillance de la population française qui aurait fait pâlir d'envie les pires dictateurs de l'histoire. Si nous sommes très loin d'un régime totalitaire en France, il n'est pas exclu que des leaders extrémistes disent demain merci au gouvernement Valls pour leur avoir fourni un tel outil clé en main.

 

17/12/2014

Radiations prononcées pour Maître Danglehant et Maître Ndemazou

Voilà comment jugent les Francs-maçons !

17 décembre 2014

Ce mardi 16 décembre se sont tenus exceptionnellement au Tribunal de Grande Instance de Paris, les conseils de discipline de Maître Danglehant et de Maître Ndemazou. Exceptionnellement puisque ce type de procédure disciplinaire se déroule de coutume rue de Londres, au Conseil National des Barreaux de Paris. C’est d’ailleurs à cet endroit que s’était tenu le premier conseil de discipline à l’encontre de Maître Ndemazou où le président du conseil de disciplinaire Maître Destombes avait fait appel aux CRS pour faire évacuer le public au motif d’un trouble à l’ordre public. Officiellement, c’est pour ce même motif  que le lieu aurait changé. Pour Maître Danglehant, c’est la preuve que le bâtonnier de Paris refuse de donner une salle à un pseudo conseil en discipline.

Deux conseils de disciple pour une même décision : les radiations de la profession d’avocat de Maître Danglehant et de Maître Ndemazou. Une demande en appel sera prononcée par Maître Zehe, avocat de ces deux derniers.

François Danglehant rétorquera le 28 Janvier à la XVIIème Chambre du Tribunal de Grande Instance : « Des citations directes sont en cours de délivrance contre cette bande de faussaires pour tentative d’escroquerie en jugement en bande organisée par utilisation frauduleuse de qualité de service public ».

 


Un reportage Agence Info Libre :

 

14/12/2014

ALERTE ! L'avocat de Dieudonné, François Danglehant, interpellé, détenu et interdit d'exercer

 DIFFUSEZ LARGEMENT

&
MOBILISEZ-VOUS SUR PARIS !
 
 
Quand la République maçonnique ne supporte pas d'être dénoncée, qu'elle disjoncte, impose sa loi et sa dictature, et viole les droits des citoyens et des avocats !
 
 
L'avocat de Dieudonné, François Danglehant, interpellé, détenu et interdit d'exercer

Les forces de l'ordre sont venues interpeller François Danglehant, l'avocat de Dieudonné, à 6h du matin sur les ordres de deux juges d'instruction. François Danglehant explique dans une vidéo, ce qu'il en est. 

Plus d'informations : 

*-François Danglehant Avocat 

*-Syndicat des avocats citoyens


SYNDICAT DE PROTECTION DES AVOCATS

François DETTON fait expulser des Avocats du CNB


 

Pierre BECQUE : Faux conseil régional de discipline




vendredi 12 décembre 2014

Sabine KHERIS et Cyril PAQUAUX interdisent illégalement à Me François DANGLEHANT d’exercer la profession d’Avocat, sur les réquisitions de François MOLINS

 

 
Cyril PAQUAUX et Sabine KHERIS
juge d’instruction
ont illégalement interdit 
à Me François DANGLEHANT
d’exercer la profession d’Avocat
 
L’article 138 du Code de procédure pénale
interdit à un juge d’instruction
d’interdire à un Avocat d’exercer sa profession
 
Les juges d’instruction 
Cyril PAQUAUX et Sabine KHERIS
reprochent à Me François DANGLEHANT
d’avoir volé un dossier lui appartenant
au Conseil de discipline du 07 mai 2014
 
Pour information
un vol = la soustraction de la chose d’autrui
 
Prendre une chose qui vous appartient
ne peut donc jamais 
constituer un vol
 
 

Maison des Avocats à BOBIGNY
 
 
Yves BILLET
 

Avocate qui se cache

 
 
 

Avocat qui se cache
 

Jean-Claude BENHAMOU

François Dangléhant
Avocat au Barreau de la Seine-Saint-Denis
En interdiction d’exercer sur décision illégale
des juges Sabine KHERIS et Cyril PAQUAUX
DEA Théorie Philosophie du Droit Paris X
DESS Contentieux de Droit Public Paris I
1, rue des victimes du franquisme
93200  SAINT-DENIS
Tel – Fax 01 58 34 58 80
 
Saint-Denis le, 12 décembre 2014
 
Tribunal de grande instance de PARIS
Madame Sabine KHERIS,
Monsieur Cyril PAQUAUX
Juges d’instruction
 
Fax N° 01 44 32 51 53 (17 pages)
 
Réf : 45-8
 
N° du Parquet : 1412900696
N° Instruction : 2369/14/13
           
 
Madame le Juge d’instruction,
Monsieur le Juge d’instruction,
 
 
J’ai l’honneur de vous adresser, la présente, pour faire suite à mon audition du 09 décembre 2014.
 
Lors de cette audition, vous m’avez notifié une mise en examen entre autre pour : vol, en l’espèce un dossier de procédure disciplinaire, au préjudice du Conseil régional de discipline des barreaux du ressort de la cor d’appel de PARIS.
 
Je pense inutile de vous rappeler les dispositions de l’article 311-1 du Code pénal, qui prescrit :
 
« Le vol est la soustraction frauduleuse  de la chose d'autrui »
 
+         +         +
 
Il convient dès lors de rappeler la nature du dossier que j’ai pris et consulté (I), avant de rappeler que, le Conseil régional de discipline ne dispose pas d’un patrimoine (II).
 
I Nature du dossier litigieux
 
Le  dossier de la procédure est,  le dossier apporté par Robert FEYLER es bâtonnier. Dossier qui comprend : l’acte de saisine du conseil régional de discipline, le rapport disciplinaire, la citation d’avoir à comparaitre, les pièces cotées annexées à la citation.  Il s’agit d’un dossier unique.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté ne comprenait  aucune de ces pièces.
Ce dossier de la procédure est resté durant toute l’audience, posé devant Robert FEYLER es bâtonnier, je n’ai à aucun moment pris ce dossier, ne serait-ce que pour le consulter.
 
Ce dossier de couleur jaune apparaît posé devant Robert FEYLER es bâtonnier, sur la vidéo « Agence info-libre » à 12 -16.
 
Le juge d’instruction est chargé d’instruire in rem (sur des faits), précis, visés par le réquisitoire introductif : un vol du dossier de la procédure disciplinaire.
 
A aucun moment,  je n’ai mis la main sur ce dossier de procédure,  dès lors, aucun élément ne permet ma mise en cause, c’est pourquoi je suis mis en examen, au visa de ce chef d’infraction, par suite d’une erreur de fait.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté, est le dossier que j’ai fourni à François DETTON, dossier qui comprenait : la récusation + les pièces visées, mes conclusions de nullité + les pièces visées, 2 copie d’écran.  Ce dossier m’appartient.
 
Je pense inutile de vous rappeler que, la procédure disciplinaire est une procédure civile, voir en ce sens, l’article 277 du décret du 27 novembre 1991, qui prescrit :
 
« Il est procédé comme en matière civile pour tout ce qui n'est pas réglé par le présent décret »
 
+         +         +
 
En matière civile, les parties remettent au juge « un dossier de procédure »,  qui leur appartient et, qui leur est restitué après jugement.
 
Le dossier que j’ai pris et consulté, constitue donc ma propriété, ce dossier comprenait : la récusation + les pièces visées, mes conclusions de nullité + les pièces visées, 2 copies d’écran.
 
Vous m’avez donc mis en examen, placé sous contrôle judiciaire et encore, interdit illégalement d’exercer la profession d’Avocat, pour avoir pris et consulté, un dossier de procédure qui m’appartient ou encore volé, une « chose » qui m’appartient.
 
Je regrette de vous le dire mais, cette situation manque pour le moins de sérieux.
 
II Le conseil régional de discipline ne dispose pas d’un patrimoine
 
Le conseil régional de discipline ne dispose, ni de la personnalité civile, ni de la personnalité morale, car, le législateur ne lui a pas conféré une telle qualité.
 
Conséquence, le conseil régional de discipline, ne peut avoir de patrimoine et, ne peut donc être propriétaire d’une « chose ».
 
Or, le vol est, est la soustraction frauduleuse  de la chose d'autrui.
 
Le conseil régional de discipline  n’étant propriétaire d’aucune chose,  la qualification de vol est inapplicable en la cause, du fait que, les critères matériels de l’infraction, sont matériellement et juridiquement, impossible à caractériser.
 
Je pense inutile de rappeler que, le droit pénal est d’interprétation stricte.
 
Je regrette de vous le dire, mais, vous m’avez donc mis en examen sur ce chef de prévention (Vol), de manière arbitraire, discriminatoire et punitive, car, les critères de l’infraction ne peuvent en aucune manière être caractérisés.
 
Il n’est point nécessaire d’avoir un bac + 25, pour comprendre que, celui qui ne possède rien, ne peut jamais faire l’objet d’un vol, car, le vol c’est d’abord la soustraction d’une chose.
 
+         +         +
 
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendu, car, il s’agit d’une infraction impossible, dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
III Violence sans ITT sur Avocat
 
L’infraction aurait été commise contre François DETTON, présent en qualité d’Avocat.
 
Je regrette de vous le dire, mais, les seules personnes présentes en qualité d’Avocat sont Me Anne GRECO et moi-même.
 
Dès lors, l’infraction ne peut en aucune manière être caractérisée sur cette qualification.
 
L’infraction vise certes,  toute autre personne dépositaire de l'autorité publique,  mais, François DETTON n’est pas dépositaire de l’autorité publique car, il n’est pas le Président de la juridiction prévue par l’article 22 de la loi du 31 décembre 1971.
 
En effet, l’article 22-1 de la loi du 31 décembre 1971 pose le principe que, le conseil régional de discipline, doit comporter au moins 1 juge-disciplinaire par barreaux.
 
A l’Assemblée générale du 29 janvier 2014, aucun juge-disciplinaire n’est intervenu pour les barreaux (Pièce Z 1, page 5) :
 
- 1°) d’AUXERRE ;
 
- 2°) de l’ESSONNE ;
 
- 3°) de FONTAINEBLEAU ;
 
- 4°) de SENS.
 
 
Conséquence, François DETTON est le Président du conseil de discipline des barreaux de MEAUX, de MELUN, du VAL DE MARNE et de la SEINE SAINT-DENIS.
 
 
Il s’agit d’une juridiction « d’opérette », qui ne dispose d’aucune base légale.
 
C’est pourquoi, François DETTON n’est pas  dépositaire de l'autorité publique.
 
Quant aux autres pseudo « juges-disciplinaires », qui siégeaient le 07 mai 2014, aucun d’entre eux n’étaient dépositaire de l'autorité publique,  du fait que la juridiction prévue par l’article 22 de la loi du 22 décembre 1971, n’a pas été installée pour l’année 2014.
 
+         +         +
 
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendue, car, aucun membres de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat et pas davantage, en qualité de  dépositaire de l'autorité publique,  dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
IV Pressions et menaces sur Avocat dans l’exercice de leurs fonctions
 
Je regrette de vous le dire, mais, à l’audience du 07 mai 2014, aucun membre de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat, mais,  en qualité de juge-disciplinaire.
 
Dès lors, la prévention n’est pas caractérisée, dans la mesure où, la juridiction prévue par la loi n’ayant pas été installée, c’est « une juridiction d’opérette » qui a siégée, juridiction dans laquelle personne n’était  dépositaire de l'autorité publique.
 
+         +         +
 
Le Parlement a fait de la juridiction prévue par les articles 22 et suivants de la loi du 31 décembre 1971, un organe dépositaire de l’autorité publique  et, uniquement cette juridiction.
 
Or, la juridiction qui a siégé le 07 mai 2014, n’est pas la juridiction prévue par les articles susvisés, dans la mesure où, les règles de constitution et d’installation (moyen d’ordre public), n’ont pas été appliquées.
 
Ci-joint, l’arrêt du 20 février 2014, qui n’a pas fait l’objet d’un pourvoi en cassation, décision qui annule purement et simplement une procédure disciplinaire (sans évoquer), pour irrégularité dans la composition de la formation de jugement du Conseil de discipline (Pièce Z 2).
 
La cour d’appel n’avait pas compétence pour évoquer, sur une décision prise par une « juridiction d’opérette », dans le style « Luis MARIANO ».
 
François DETTON a donc présidée une « juridiction d’opérette », qui n’est pas  dépositaire de l’autorité publique.
 
Conséquences logiques et inéluctables, les articles du Code pénal, qui protègent les organes dépositaires del’autorité publique,  ne sont pas applicables.
 
Le juge d’instruction a l’obligation d’instruire à charge et à décharge, dès lors, il a l’obligation de vérifier, si la juridiction qui a siégé le 07 mai 2014 :
 
- est bien celle prévue par les articles 22 et suivants de la loi du 31 décembre 1971 ;
 
- ou bien, une « juridiction d’opérette » dans le style « Luis MARIANO ».
Chacun a le droit d’être entendu dans un délai raisonnable.
 
La cause est entendue, car, aucun membres de la formation de jugement n’a siégé en qualité d’Avocat et pas davantage, en qualité de  dépositaire de l'autorité publique,  dès lors, je vous demande de me délivrer un non lieu sur cette infraction imaginaire.
 
Je regrette de vous le dire, mais, en qualité de juge d’instruction, vous avez l’obligation de vérifier si, les faits de la cause, correspondent aux critères définis par les infractions visées. En l’espèce, se pose une difficulté insurmontable en terme de champ d’application, car, les préventions visées, ne sont applicables  qu’aux juridictions prévues par la loi,  et en aucun cas aux juridictions d’opérette dans le style « Luis MARIANO » ou encore de style consorts DETTON / BITTON.
 
Sur le fondement de l’article 12 du Code de procédure civile, le juge a l’obligation de restituer aux faits et aux actes juridiques,  leur véritable qualification,  sans se limiter  à la dénomination proposée par l’une des parties :
 
« Il doit donner ou restituer leur exacte qualification aux faits et actes litigieux, sans s'arrêter  à la dénomination  que les parties en auraient proposée »
+         +         +
François MOLINS a faussement qualifié l’organe juridictionnel qui siégé le 07 mai 2014 de, Conseil régional de discipline des barreaux du ressort de la cour d’appel de PARIS.
Le juge d’instruction a l’obligation de vérifier cette qualification, sous le contrôle de la Cour d’appel, de la Cour de cassation et, de la Cour européenne.
 
 




François DETTON
le faux Président 
du Conseil régional de discipline
 
François DETTON a fabriqué des « faux papiers ». Dans un Etat de droit, il n’est pas question de me renvoyer en correctionnelle et, de me condamner, en s’appuyant sur ces « faux papiers », car, une situation de cette nature, caractérise une manœuvre frauduleuse, qui avère une tentative d’escroquerie au jugement.
 
Je vous remercie pour l’attention que vous porterez à la présente, dans cette attente, veuillez agréer, Madame, Monsieur le Juge d’instruction, l’expression de mes salutations respectueuses et distinguées.
 
François DANGLEHANT Avocat en interdiction illégale                                                        
 

 
 
 
 

 

02/12/2014

Les preuves que la vie sur Terre provient du Cosmos, des comètes, des astéroïdes, des étoiles et de la Voie lactée.

Est-ce qu'ils vont nous emmerder encore longtemps avec leurs baptêmes forcés, leurs religions reptiliennes et leur monothéisme qui sont  des insultes à l'intelligence humaine ?

Faites votre révolution spirituelle et larguez les amarres avec près de 4000 ans d'emprisonnement dans la matrice reptilienne !

Encore des preuves que la vie sur Terre provient de l'UNI-VERS, ce qui n'a rien à voir avec la religion, et l'invention d'un Dieu Unique ou le monothéisme reptilien !

Tournez vos yeux vers la science et vers l'UNI-VERS dont nous sommes tous issus, au lieu d'aller chercher Dieu dans les églises alors que vous l'avez en VOUS et tout autour de VOUS !

DIEU = l'UNI-VERS GLOBAL ou le TOUT !

RECREEZ l'UNITE avec l'UNI-VERS et avec le TOUT !

Le dossier à télécharger : ICI

 

1  - La nature et la composition des queues des comètes et ICI 

2  - Les Molécules des Comètes

3  - Composition chimique de la comète Hale-Bopp

4  - Découverte de deux nouvelles molécules dans la Voie Lactée

5  - Des molécules indispensables à la vie produites par une étoile super géante

6 - Des acides aminés d'origine extra-terrestre découverts sur une comète

7 - Des acides aminés découverts dans des échantillons de comète

8 - Des morceaux d’ADN dans les météorites - Vidéo ICI

9 - Du sucre détecté autour d'étoiles en formation !

10 - L'adénine du premier ADN : une origine extraterrestre ?

11 - Comètes: des corps "chevelus" de mieux en mieux compris

12 - Une molécule inattendue découverte dans l'espace interstellaire