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19/10/2015

Une nouvelle intifada en Israël ? Et les Palestiniens, alors ?

Enfin quelques vérités dites sur ce que subissent les Palestiniens par Julien Salingue, Politologue.


Arabie : Transféré en cellule d’isolement, Ali Al-Nimr pourrait être décapité sous peu

Valls est allé en Arabie pour y vendre des armes sûrement pour fortifier les mercenaires de l'EI/CIA/Mossad, et il a trouvé que ce n'était pas indécent de vendre des armes à une dictature criminelle !

C'est vrai qu'il affectionne particulièrement les régimes de dictature puisqu'il fait tout pour que les internautes et les blogs alternatifs ne puissent plus rétablir la vérité pour compenser la propagande perfusée par les merdias aux ordres, au public !

Par contre ce que nous trouvons encore plus indécent, c'est que la lavette qui rampe devant des dictatures, n'ait rien fait pour demander la grâce d'Ali Al-Nimr, qui n'a commis que pour seul crime à 17 ans, que celui de lutter contre la dictature qui lui est imposée par l'Arabie Saoudite !

Honte à lui et la France !

 

Contrats avec l’Arabie saoudite : «pas indécents», selon Valls
15 oct. 2015

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La politique étrangère française a été à nouveau mise en cause suite à la signature d'accords commerciaux avec l'Arabie Saoudite, mais Manuel Valls a nié les accusations, insistant sur sa priorité : les industries françaises.

A Riyad, Manuel Vallsdiscret sur la question des droits de l'homme
Le Monde-13 oct. 2015

Manuel Valls et le ministre de l'intérieur saoudien, Mohammed Ben Nayef Ben Abdulaziz (à sa droite), à Riyad, le 13 octobre.

Ici, c'est le nouveau monde », glisse, impressionné, Manuel Valls, lundi 12 octobre tard dans la soirée dans le hall du gigantesque palace ...

Transféré en cellule d’isolement, Ali Al-Nimr pourrait être décapité sous peu

Ali Al-Nimr

© Capture d'écran - Twitter - Ali Al-Nimr

Condamné à la décapitation et à la crucifixion, le jeune saoudien vient d’être transféré en cellule d’isolement, ce qui pourrait signifier que son exécution est imminente, malgré la mobilisation.

Les gardiens de prison ont transféré le jeune homme de 20 ans, qui est désormais privé de tout contact. Selon sa famille, ce déménagement pourrait vouloir dire que son exécution serait imminente. «Le gouvernement ne nous a donné aucune explication de son transfert» s’inquiète le père du condamné dans le journal britannique Times. «Il n’y a pas de département au sein de l’Etat auquel nous pouvons nous adresser directement, nous craignons qu’il le fasse d’un jour à l’autre».

Ali Al-Nimr avait été arrêté en 2012, à l’âge de 17 ans, alors qu’il participait à une manifestation contre le gouvernement. Les autorités lui reprochent notamment de les avoir attaquées, et d’avoir possédé une arme à feu. Jugé dans un procès controversé, sans avocat, il avait été condamné à être décapité puis crucifié.

Le mois passé, un appel avait été fait contre la sentence, avant d’être rejeté par la Cour Suprême d’Arabie saoudite. Le sort du jeune homme avait fait l’objet d'une forte mobilisation, notamment de la part de l’ONG Amnesty International. Selon l’organisation, 130 prisonniers auraient été exécutés entre janvier et août de cette année en Arabie saoudite. La décapitation y est une méthode courante, et est mise en œuvre en public en guise de dissuasion.

En cinq mois, les drones américains ont tué 90% de civils plutôt que des terroristes

Voilà les crimes de guerre que commettent délibérément les nazis !

Voir aussi :

Les forces américaines en Afghanistan auraient été au courant qu’il y avait un hôpital à Kunduz

15 oct. 2015

https://cdn.rt.com/french/images/2015.10/thumbnail/561ff997c36188de048b45c3.jpg

Les Etats-Unis auraient ciblé délibérément l’hôpital de MSF à Kunduz lors de la frappe qui a tué 22 patients et membres du personnel, alors qu’ils savaient qu’il s’agissait bien d’un site médical protégé, rapportent des analystes américains.

Des militaires américains forcent l'entrée de l'hôpital de MSF deux semaines après le bombardement

16 oct. 2015

Guilhem Molinie, le directeur de l'hôpital de Kunduz a déploré l'intrusion américaine

Après avoir bombardé l'hôpital Médecins Sans Frontières de Kunduz, l'armée américaine a forcé l'entrée de ce dernier, hier. MSF déplore que des preuves aient pu être détruites.

Présidente de MSF : Washington ne respecte pas l’accord conclu avec l’ONG sur l’enquête de Kunduz

16 oct. 2015

Survivant au bombardement de l'hôpital de Kunduz

L’ONG Médecins Sans Frontières a lancé une pétition en ligne demandant à l’administration Obama la poursuite d’une enquête impartiale sur la tragédie de Kunduz. La présidente de MSF estime que Washington a de sérieuses explications à livrer.

 

En cinq mois, les drones américains ont tué 90% de civils plutôt que des terroristes

Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 16/10/2015 à 08:29 , mis à jour à 08:48

En luttant à l'étranger contre le terrorisme, les Etats-Unis frapperaient parfois à l'aveuglette, quitte à tuer des innocents.

En luttant à l'étranger contre le terrorisme, les Etats-Unis frapperaient parfois à l'aveuglette, quitte à tuer des innocents.

AFP PHOTO / Noorullah Shirzada

Un site d'investigation publie des documents édifiants sur les méthodes des Etats-Unis lors d'opérations extérieures. Ils montrent que l'administration a sous-estimé le nombre de civils tués avec ses drones, notamment en Afghanistan.

"La machine à tuer." Voilà le titre d'un dossier publié jeudi par le site d'investigation The Intercept et qui est accablant pour les Etats-Unis. Basé sur une série de documents secrets, remis par un professionnel du renseignement américain, il montre que les pertes civiles liées aux frappes de drones américaines sur les terrains d'opérations extérieures sont sous-estimées par l'administration. Alors même que ces attaques visent normalement des extrémistes identifiés. 

Les documents font référence, par exemple, aux ratés de l'opération Haymaker, lancée dans le nord-est de l'Afghanistan entre janvier 2012 et février 2013. Les drones des forces spéciales américaines y ont tué plus de 200 personnes, dont seulement 35 étaient les cibles visées. 

9 out of 10 people killed in drone strikes over 5-month period weren't intended targets. http://t.co/0Smi5hR9Bf pic.twitter.com/HkZ66d3G3c

Des victimes civiles qualifiées de "combattants"

Sur une sous-période de cinq mois pendant cette opération, 90% des personnes tuées n'étaient pas des personnes visées, poursuit The Intercept. Les documents montrent aussi que les militaires américains ont désigné ces victimes dans leurs statistiques comme des "ennemis tués au combat". Qualifier ces hommes de combattants, sauf preuve du contraire, est "folle", estime le professionnel du renseignement cité par le site. Celui qui est qualifié de "lanceur d'alerte" poursuit: "Mais nous nous sommes habitués à cela. Les agences de renseignement, le JSOC (forces spéciales américaines procédant aux frappes), la CIA (qui effectue aussi des frappes de drones), et tous ceux qui aident et soutiennent ces programmes, ils n'ont pas de problème avec ça".  

Interrogé jeudi sur cette enquête, le porte-parole de la Maison Blanche Josh Earnest a estimé que le président Obama tentait d'être "aussi transparent que possible sur les opérations antiterroristes" dans le monde. "Et le fait que ces opérations vont très loin pour éviter les victimes civiles", a-t-il ajouté, "c'est un contraste assez saisissant avec des organisations comme les talibans qui clairement mènent des opérations contre des civils innocents, dans une stratégie coordonnée pour fomenter la violence et les troubles". 

"Des pouvoirs divins"

Dans son enquête foisonnante, The Intercept détaille également les rouages du processus de décision de la machine bureaucratique, avant une élimination par drone. Le site présente ainsi les "cartes de base-ball" créées par les professionnels du renseignement, sur le modèle des cartes que s'échangent les passionnés de sport sur leurs joueurs préférés. 

Un portrait de la cible, la menace qu'elle représente pour les Etats-Unis, ses liens avec d'autres extrémistes... Tout est cela combiné à des renseignements opérationnels dans un dossier qui voyagera jusqu'au bureau du président Obama, pour qu'il donne son feu vert à la frappe. Un processus qui, selon la source aux renseignements du site, font croire aux personnes qui choisissent les cibles d'avoir des "pouvoirs divins". 

Une fois lancé, le processus d'autorisation par le président prend en moyenne 58 jours. Le feu vert est ensuite valable pour 60 jours. 

 

18/10/2015

Des étudiants syriens se rendent à l'ambassade de Russie à Téhéran pour témoigner leur gratitude

Des militaires américains forcent l'entrée de l'hôpital de MSF deux semaines après le bombardement

Pour détruire les preuves de leurs crimes !

Le respect des Droits de l'Homme selon les ricains !

Que fait l'ONU, l'Organisation Nazie Universelle ? 

Des militaires américains forcent l'entrée de l'hôpital de MSF deux semaines après le bombardement

Guilhem Molinie, le directeur de l'hôpital de Kunduz a déploré l'intrusion américaine

Source: Reuters : Guilhem Molinie, le directeur de l'hôpital de Kunduz a déploré l'intrusion américaine

 

Après avoir bombardé l'hôpital Médecins Sans Frontières de Kunduz, l'armée américaine a forcé l'entrée de ce dernier, hier. MSF déplore que des preuves aient pu être détruites.

RT en Français avec AFP

Après avoir reconnu une bavure, l’armée américaine tente-t-elle de détruire des preuves? C’est en tout cas l’opinion de Médecins sans Frontières qui a déploré, ce matin, l’incursion d’un véhicule militaire américain dans l’hôpital de Kunduz, en Afghanistan. C’est ce même hôpital qui a été victime d’un bombardement américain qui a fait 24 morts le 3 dernier.

 

Selon MSF, jeudi après-midi, un véhicule blindé américain est ainsi entré de force jeudi après-midi dans le complexe de l'hôpital, abimant son portail, apparemment sans savoir que des cadres de Médecins sans Frontières (MSF) se trouvaient alors sur place, dont son directeur dans le pays, Guilhem Molinie.

 

Ce dernier a dénoncé une intrusion, intervenue selon lui «en dépit d'un accord (...) stipulant que MSF devait être informée avant chaque nouvelle étape de la procédure (de l'enquête américano-afghane) impliquant le personnel ou les actifs de l'ONG. Leur intrusion non annoncée et de force a endommagé le complexe, détruit de possibles preuves et généré du stress et de la peur chez l'équipe de MSF», a-t-elle ajouté.

En savoir plus : Wikileaks lève un fonds pour faire la lumière sur le bombardement de l'hôpital de Kunduz

De leur côté, les militaires américains ont affirmé qu’ils étaient autorisés à venir dans l’hôpital dans le cadre de l’enquête menée conjointement par les Etats-Unis et l’Afghanistan. Après une heure et demi de discussions, les soldats américains ont finalement été autorisés à entrer, mais sans leurs armes, dans le bâtiment en partie détruit et rendu inopérant par le bombardement.

 

Ce dernier a dénoncé une intrusion, intervenue selon lui «en dépit d'un accord (...) stipulant que MSF devait être informée avant chaque nouvelle étape de la procédure (de l'enquête américano-afghane) impliquant le personnel ou les actifs de l'ONG. Leur intrusion non annoncée et de force a endommagé le complexe, détruit de possibles preuves et généré du stress et de la peur chez l'équipe de MSF», a-t-elle ajouté. En savoir plus : Wikileaks lève un fonds pour faire la lumière sur le bombardement de l'hôpital de Kunduz

#independentinvestigation pour #Kunduz http://t.co/R7SWcszeha pic.twitter.com/4xu2yx5y0U

«Nous avons été informés de l'incident et sommes en train de regarder ce qu'il s'est passé», a commenté une porte-parole de la force de l'Otan en Afghanistan, dirigée par les Américains. MSF a demandé une enquête indépendante après le bombardement de son hôpital de Kunduz qui a tué au moins 14 de ses employés et 10 patients. Neuf autres personnes sont toujours portées disparues à la suite cette attaque qui a suscité de nombreuses réactions révoltées à travers le monde. Barack Obama s’est excusé de ce bombardement auprès de la présidente de MSF