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02/11/2009

Ovnis et ET : les déclarations du Dr J.F.Gille - Chercheur au CNRS

Voici donc intégralement la lettre du Dr J.F.Gille publiée par le n° 510 de la revue "Nostra" du 14-20 Jan. 1982 sur 4 colonnes. Soulignons cependant qu'à l'époque le mot ovni n'était encore admis et s'écrivait invariablement OVNI.(Les couleurs sont ajoutées par nous, bien sûr)

LETTRE OUVERTE A MON DIRECTEUR DE LABORATOIRE
Ovnis et ET - les déclarations du Dr J.F.Gille - Chercheur au CNRS.pdf

A ma très modeste place de tout petit scientifique, j'estime avoir fait mon devoir d'être humain et de chercheur. J'ai indiqué, du mieux que j'ai pu, quelles étaient les questions nouvelles et extraordinaires sur lesquelles un organisme comme le C.N.R.S. pourrait faire porter au moins une petite partie de son effort.

Quelles sont-elles, ces questions? Eh bien, tout simplement ce que l'on appelle populairement le problème des OVNI.

1°) Depuis, en tout cas la fin des années 40, et sans doute depuis une époque considérablement plus reculée, la Terre est entourée de civilisations spatiales. Ces civilisations spatiales ont précédé l'émergence de l'humanité peut-être de millions d'années (il y a suffisamment d'anciennes étoiles G2 entourées (vraisemblablement, je sais ) d'un cortège de planètes pour cela... mais, dans cette lettre, pour raison de concision, je passerai sous silence les nombreux faisceaux d'indices qui sont actuellement disponibles).

Certains OVNI sont donc les véhicules des civilisations spatiales susdites. Il y a des vaisseaux mères, et le plus souvent n'approchent du sol que de “chaloupes” (d'environ 5 m d'envergure), tout cela surabondamment attesté par de nombreux témoins fiables,. pilotes, radaristes, météorologistes... Mais, je le répète, cela est enregistré par ailleurs, et je n'ai pas l'intention d'esquisser ici une démonstration (il y faudrait une oeuvre collective de plusieurs milliers de pages), mais seulement de résumer les points saillants de ma position.

Ces civilisations spatiales sont, pour le moment, inaccessibles à notre initiative. Cependant, elles n'existent pas seulement -comme seraient prêts à le reconnaître la plupart des astrophysiciens des jeunes générations (cf. Carl Sagan) - autour d'étoiles situées à des milliers de parsecs (unité de distance en astronomie valant 3,6 années-lumière) de nous. Non, elles sont présentes dans notre environnement, bien que, la plupart du temps, non perceptibles par les humains. On peut concevoir que la majeure partie des civilisations spatiales n'habite pas, en dépit de cette proximité d’intervalle, notre continuum. L'interprétation d'Everett de la mécanique quantique, en substance “Many World Theory”, servant de cadre aux concepts des "états virtuels" et de la "zéro point", énergie du vide développés; le colonel Thomas E. Bearden permet d'avoir au moins un schéma de ce qui pourrait se passer quand un OVNI devient visible.

2°) Des OVNI (manifestations provisoirement visibles des civilisations spatiales) prennent en fait contact dans un voisinage spatio-temporel chaque fois très restreint, avec certains humains. Mais ce contact est discret (y compris dans l'acception mathématique du mot).

“Beaucoup d'entre les hommes se sont aperçus de leur présence, bien qu'il appert que cette reconnaissance soit, pour la majeure partie, d'un type très primitif, quasi religieux. En tant que communauté scientifique mondiale ou en tant qu'entité planétaire,“nous” ne sommes pas conscients de leur présence.” (David W. Schwartzman, Icarus, n° 32, déc. 1977, pp. 473-475.)

3°) A partir de la fin des années 40, de grandes puissances ont pu récupérer plusieurs épaves d'OVNI. Certains de ces OVNI étant suffisamment intacts pour fournir l'évidence d'une technologie non humaine.

Ces épaves d' OVNI, d'où il a été retiré, dans plusieurs cas, des cadavres d'êtres non humains de forme “humanoïde”, sont sous la garde des autorités. Par "autorités ", j'entends des structures politico-militaires suffisamment secrètes et/ou des départements des services de renseignements (presque) totalement autonomes vis-à-vis du circuit universitaire. Aux Etats-Unis, la base de Wright-Patterson est le candidat le plus vraisemblable eu égard au recel des cadavres de ces entités. (Cf. La Recherche, n° 124, Juil.-Août 1981, p. 885.)

4°) Et cela représente plus spécifiquement ma contribution, j'accuse la communauté scientifique d'abandon de poste. Depuis près de trente-cinq ans, ces problèmes (les OVNI) n'ont pas simplement été négligés par la communauté scientifique, ils ont été tout bonnement niés (avec une fureur hystérique, à bien des occasions). La démission intellectuelle que cela représente est d'une exceptionnelle gravité. Il n'est pas exagéré de dire que j'éprouvais une grande honte lorsque, à partir de la fin des années soixante, je pris progressivement conscience des trois points évoqués plus haut, à n'appartenir qu'à une communauté qui, trahissant sa plus haute mission - informer et instruire le reste de la population, en un mot “dire la vérité”... laissant à une autre organisation sociale le soin d'assumer exclusivement la confrontation et l'aide de cet inconnu radical, le plus prodigieux que l'humanité ait connu.

Cette organisation sociale est l'armée. Et nous, nous n'avions que condescendance drapée d’indignation raisonneuse et d'inébranlables complexes de supériorité morale vis-à-vis de cette institution. Il serait temps d'aller à Canossa...

Cette “trahison des clercs” me laisse au moins libre d'apprécier sans indulgence une communauté scientifique qui refuse de se décider à examiner l'énorme mystère qui frappe à notre porte. Un article ( il y en a chaque mois d'analogues dans toutes les revues scientifiques ) paru dans Scientific American me servira d'unique exemple "Travestissement des signaux sexuels chez les lucioles ", juillet 1981, 245, I, pp. 138-145. En bon français, cela s'appelle déserter les vrais problèmes pour couper les cheveux en quatre!

Quant aux hommes de la Commission 05 qui me jugeront, je considère comme inutile de leur demander de penser à l'avenir à long terme de la communauté scientifique au sein de la société.

J.F. Gille
Docteur ès sciences chargé de recherche au C.N.R.S.
Commentaire de la revue Nostra:

NOSTRA ___________
Vous êtes mieux placé que nous pour fustiger l'attitude de certains scientifiques. Votre courage vous honore, car il en faut pour oser dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. C'est ce que nous faisons depuis des années à Nostra, non seulement à propos des OVNI, mais aussi de la parapsychologie et de l'inexpliqué en général. Aussi soyez assuré de notre soutien le plus total dans votre combat pour la recherche de la vérité.

Source : http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Gille.html

08/07/2009

Nibiru : Hercolubus ou planète rouge

Un message pour l'humanité du Maître Rabolú ?

Une vidéo extraite de ce site :

http://www.hercolubus.tv/francais.html

HERCOLUBUS : LA PLANÈTE DE LA FIN DU MONDE

http://www.youtube.com/watch?v=XukXN1xiT88

 

Le message de l'association Alcione

COLLABORER AVEC NOUS

L’Association Alcione est un organisme sans but lucratif. Toutes ses activités se déroulent de manière altruiste, sans en tirer aucun bénéfice économique.

L’unique but de l’Association Alcione est la distribution internationale du livre « Hercolubus ou Planète rouge » du Maître Rabolú.

Sa principale activité consiste en l’envoi gratuit de livres à n’importe quel endroit du monde, en espérant faire connaître ce message universel à toute personne intéressée, sans aucune distinction.

Si vous pouvez nous aider à faire connaitre le livre « Hercolubus ou Planète rouge » à vos proches et ami(e)s, nous vous en serons très reconnaissant.

Si vous souhaitez participer à la diffusion du message du Maître Rabolú, et maintenir une plus grande collaboration avec nous, vous pouvez nous écrire à l’une de ces adresses :

Par courriel :

infohercolubus@yahoo.es

Par la poste :

Association Alcione
Apartado de correos 4
09080-Burgos (Espagne)

 


30/06/2009

2012 : Le film - Bande d'annonce

2012 - Le film

Bande d'annonce en français

Le fim sortira le 11 novembre 2009

 

 

21/06/2009

L'homme n'a jamais marché sur la Lune

Encore une imposture des américains ?

Sans commentaires !

L'homme n'a jamais marché sur la Lune 1/4
Les preuves

http://www.dailymotion.com/video/xwbp9_imposture-de-la-lune-et-des-america_family



En complément pour information

Les rayonnements cosmiques (vidéo)

http://videos.next-up.org/Arte/ExtraitRayonsCosmiquesMagn...

 

La ceinture de radiation de Van Allen.

500px-Ceinture_de_Van_Allen.svg.png

Ceinture de Van Allen

La ceinture de radiations de Van Allen est une zone toroïdale de la magnétosphère terrestre entourant l'équateur magnétique et contenant une grande densité de particules énergétiques. La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l'origine des aurores polaires.

Les instruments embarqués par Spoutnik 2 avaient correctement mesuré les effets de ces ceintures, mais ces informations n’avaient pas pu être reçues par l’URSS, car Spoutnik 2 traversait les régions incriminées à des moments où il n'était pas visible depuis le territoire russe.

Cette ceinture ne fut donc décrite qu'un peu plus tard au cours de l'année 1958 par James Alfred Van Allen à partir des mesures effectuées par des compteurs Geiger embarqués dans les satellites Explorer 1 et Explorer 3.

On peut, en réalité, considérer qu'elle est constituée de deux zones distinctes appelées « ceinture intérieure » et « ceinture extérieure ».

La première, située entre 700 km et 10 000 km d'altitude, est constituée principalement de protons à haute énergie (jusqu'à plusieurs centaines de MeV à des fluences de plusieurs dizaines de milliers de protons par centimètre carré et par seconde dans les zones les plus intenses) provenant du vent solaire et du rayonnement cosmique, piégés par le champ magnétique terrestre

La ceinture extérieure, plus large, se déploie entre 13 000 km et 65 000 km d'altitude ; elle est constituée d'électrons également à haute énergie (< 5 MeV) à des fluences de l'ordre du millier de particules par centimètre carré et par seconde. Les particules des deux ceintures se déplacent en permanence à grande vitesse entre les parties nord et sud de la magnétosphère.

Bien que les flux ne soient pas strictement isotropes, peu de modèles prennent en compte l'anisotropie car elle s'annule sur plusieurs révolutions orbitales pour un objet typique.

Une exposition, même de courte durée, aux parties les plus intenses de ces ceintures de radiations étant fatale, la protectiondes astronautes par un blindage adéquat et la sélection de trajectoires minimisant l'exposition est nécessaire.[1

 

Source : Wikipedia


Ceintures de radiation

 

Le mouvement des ions énergétiques et des électrons à travers l'espace est fortement contraint par le champ magnétique local . Le mouvement de base consiste en une rotation autour des lignes de champ magnétique et un glissement simultané le long de ces lignes. Il en résulte une trajectoire en spirale.

Lorsque ce mouvement s'effectue en suivant les lignes de champ attachées aux deux extrémités de la terre, les particules sont conduites dans l'atmosphère où elles perdent leur énergie par choc. Mais, le plus souvent cela n'arrive pas. En effet, le mouvement de glisssement se ralenti à mesure que la particule pénètre dans des régions de fort champ magnétique, et il arrive même que la particule soit arrétée et retourne en arrière. Tout se passe comme si la particule était rejetée par les régions où le champ magnétique est fort, au contraire du fer qui lui, est attiré vers les régions de fort champ magnétique..

La force magnétique est bien plus élevée près de la terre qu'au loin et sur n'importe quelle ligne de champ magnétique, la force magnétique est plus élevée aux extrémités, là où elles entrent dans l'atmosphère. Ainsi les ions et les électrons peuvent rester piégés pendant longtemps, rebondissant d'un hémisphère à l'autre (voir le schéma ci dessous (il n'est pas à l'échelle), les spirales réelles deviennent bien plus petites près de la terre). C'est ainsi que la terre garde ses ceintures de radiations.

En plus de leur mouvement en spirale et de leur rebonds, les particules piégées ne restent pas toujours sur la même ligne de champ magnétique. Déportées d'une ligne à l'autre, les particules empruntent ainsi tous les chemins autour de la terre. Les ions sont déportés dans le sens des aiguilles d'une montre, vue du Nord), alors que les électrons sont déportés dans l'autre sens. Dans les deux cas, ces déplacements de charges électriques sont l'équivalent d'un courant électrique encerclant la terre et circulant dans le sens des aiguillles d'une montre.

Ce courant est appelé courant annulaire. Le champ magnétique qu'il produit affaiblit légèrement le champ observé sur la majeure partie de la surface terrestre. Durant les orages magnétiques, le courant annulaire recoit de nombreux ions et électrons supplémentaires provenant de la queue de la magéntosphère (coté "nuit") . Cela accroit l'effet du courant bien qu'à la surface de la terre cet effet dépasse rarement 1% de l'intensité totale du champ magnétique.

 

La suite de l'article ici : http://mig.rssi.ru/mirrors/stern/Education/FIradbelt.html

 


20/06/2009

La Nasa bombarde la Lune

La Nasa bombarde la Lune

LCROSS observe choc lune Cnetaur

Cette nuit, la Nasa a lancé une mission de bombardement de la Lune.

La fusée Atlas/Centaur qui s'est envolée vers l'astre de la nuit doit en effet, outre la satellisation de la sonde LRO - Lunar reconnaissance orbiter - déclencher un double bombardement. D'ici quelques mois, le deuxième étage de la fusée sera dirigé vers le fond d'un cratère polaire de la Lune, suivi de peu par la sonde LCROSS qui va observer les dégâts puis se crasher à son tour.

En exclusivité pour Science2, voici la réaction de madame la Lune, qui a bien voulu nous transmettre le texte suivant, traduit du sélénite par mes soins.

" Me bombarder, moi Sélênê. Au pôle sud. Et pour chercher de l’humidité. D’habitude, j’aime bien les petits gars de la Nasa. Mais là, je n’ose pas imaginer les blagues grivoises, échangées dans les bureaux d’ingénieurs, lorsqu’ils ont mis au point la mission tirée hier soir. Une fusée Atlas chargée de deux satellites d’observation lunaire, mais dont le dernier étage doit servir d’obus. Un obus maousse : plus de deux tonnes. Et hypervéloce, à 2,5 kilomètres par seconde. Projeté au fond d’un de mes cratères il y creusera un grand trou pour vérifier si de la glace d’eau s’y cache. Pan! dans la Lune. Bonjour les blagues, vous dis-je…

Tir de LRO

 

Officiellement, le véritable objectif de ce bombardement interplanétaire n’a rien de comique. Si la Nasa a décidé larguer un obus au fond de l’un de mes cratères polaires, c’est pour une grande cause. Ni plus ni moins que le retour d’astronautes sur mon sol, inviolé par l’homme depuis la dernière mission d’Apollo, en 1972. Comme la station spatiale en orbite terrestre ne fait plus rêver personne, c’est la dernière idée des dirigeants américains pour prouver au monde qu’ils sont toujours les plus puissants… sur Terre.

Pour impressionner les peuples, il faut viser autre chose qu’une simple réédition des visites express des copains de Neil Armstrong (charmants, d’ailleurs, mais qui ont laissé toutes sortes de déchets sur mon sol, et personne n’a prévu de venir les récupérer). Donc une base permanente. Présentée comme la première étape de la colonisation du système solaire. Toujours cette histoire de «nouvelle frontière»... mais sans amérindiens.

Cette idée de base permanente souffre d’un grave défaut. Mon sol n’a rien à voir avec les prairies du Far West. Rien à becqueter. Rien à boire. Et je ne parle pas de piscine… Apporter tout ça ? Par uen noria de cargos spatiaux ? En théorie, pourquoi pas. Mais c’est cher.

Chez vous, au robinet, vous comptez en fraction de centimes (d’euro ou de dollars, franchement, vu d’ici, c’est itou). Mais rendu chez moi, au prix du transport par fusée - certes assez rapide, trois jours pour la livraison après décollage - c’est une autre musique. 50 000 dollars la bouteille, calcule, grosso modo, le service des achats de la Nasa. Moi, je suis assez loin de ces problèmes budgétaires, mais je compatis, croyez-le. Bref, la Nasa préférerait faire ses courses au marché du coin, c’est son côté développement durable, écolo-bobo.

 

 

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De l’eau chez moi ? Certes, Tintin et le capitaine Haddock en ont trouvé. Mais pas les astronautes, ni les multiples sondes qui, depuis, m’ont scrutée sous tous les angles et en toutes longueurs d’ondes. Les astrophysiciens ont tout de même un espoir, plutôt ténu, il faut l’avouer. Au fond de certains cratères de mon pôle sud, en permanence protégés du Soleil, la chute de comètes lors de la guerres des mondes d’il y a 4, 5 milliards d’années aurait accumulé des couches de glaces sous la poussière.

Il existe des indices de tels trésors, glanés par les radars terrestres et des sondes (la douce Clementine et Lunar Prospector qui elle aussi s’est crashée volontairement). D’où l’idée des ingénieurs : on installe la base au bord du cratère - certains endroits sont éclairés en permanence et donc propices à l’alimentation en énergie par des panneaux solaires - et on va chercher de la glace au fond. Vous n’êtes pas obligés d’y croire, et ne comptez pas sur moi pour vous dire si l’idée est bonne.

En tous cas, cela donne un magnifique prétexte pour concocter la mission LRO/LCROSS, c’est son nom, lancée hier soir. LRO, c’est le côté soft et sérieux. Une sonde de deux tonnes sur la balance, bourrée de caméras, laser, radar et capteurs des flux de neutrons ou de rayons gamma qui va me survoler à 50 km d’altitude. Un joujou de 500 millions de dollars - je suis toujours stupéfaite de ce que les humains dépensent pour mes beaux yeux, mais je prend ça comme une preuve d’amour.


 

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Avec ces instruments, les planétologues comptent dresser des cartes très précises de mon relief, de  mes températures au sol, de l’intensité des rayonnements agressifs pour les hommes et les matériels. Parmi les cibles : mes fonds de cratères obscurs, les plus froids, où ils vont traquer les signes éventuels de glace d’eau enfouies.

Et puis, il y a LCROSS, le côté fou-fou de la mission. Peu après le tir, LRO va partir de son côté tandis que le deuxième étage d’Atlas, Centaur, restera accroché au second satellite. Là, les ingénieurs ont prévu de bien le vider de toute trace de carburant, merci de ne pas me polluer outre mesure… Puis, au terme d’une longue manœuvre d’environ 4 mois, Centaur et LCROSS seront placés sur une trajectoire menant au fond d’un cratère.

Arrivé le premier, Centaur va me percer la croûte violemment. Creuser un vaste trou, de plusieurs mètres de profondeur. Ejecter des débris jusqu’à 10 km d’altitude. Suivant quatre minutes derrière, LCROSS analysera lumière et poussières rapido et en direct avant de s’écraser lui aussi, provoquant une deuxième éjection de matériau qui sera analysée depuis la Terre et par LRO. Si de la glace d’eau s’y trouve, la Nasa pourra tirer des plans… sur la comète pour son retour chez moi. Bonne fille, je promet de n’exercer aucune représailles sur mes visiteurs à deux pattes.

Sélênê, pcc Sylvestre Huet

Source : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2009/06/la-nasa-...

http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Internationale/Ameri...