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08/07/2014

La partition de l'Irak et la prise de la Palestine occidentale sont la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80

On comprend mieux le false-flag organisé par les sionistes lors des attentats du 11 septembre 2001 aux USA ? Il fallait aussi un prétexte pour aller attaquer l'Irak et lui enlever toutes ses richesses y compris toutes les traces de la civilisation sumérienne qui aurait pu compromettre l'origine véritable des reptiliens-sionistes, tant il est vrai que les musées et les sites archéologiques ont été détruits durant la période d'occupation.

 

Voir le précédent article ci-dessous :

Uruad : les Américains ont-ils envahi l'Irak pour protéger un secret ? Annunakis l Illuminati-Reptiliens l Irak

Lundi 30 juin 2014

La partition de l'Irak est la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80

Qui a dit que les complots n'existaient pas ? Voici un texte paru en 1982 dans la revue sioniste Kivounim sous le titre " Une stratégie persévérante de dislocation du monde arabe ". Il appelle à une balkanisation totale de cette région du monde. L’Irak, le Liban,  l’Égypte, le Soudan, la Libye et toute la péninsule arabique sont nommément cités.

Son auteur, Oded Yinon travailla au ministère des Affaires étrangères d'Israël. Le texte fut révélé au monde par Israel Shahak qui fut le président de la ligue israélienne des droits de l’homme.
Toute ressemblance avec des événements actuels est donc tout sauf fortuite.
 

Le texte entier par ce lien en Anglais : http://cosmos.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/articles/article0005345.html et ICI http://antiisgood.wordpress.com/tag/syria/

Extrait : "Je me souviens très bien (avant j'étais «en opposition»), la nécessité de la guerre que l'on m'avait expliquée à moi et à d'autres, un an avant la guerre de 1956, et la nécessité de conquérir "le reste de la Palestine occidentale quand nous en aurons l'occasion" cela a été expliqué dans les années 1965-1967."

« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.

La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…

L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.

Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.

En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.

Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.

Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.

« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.

La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…

L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.

Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.

En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.

Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.

Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.

La Péninsule arabique toute entière est vouée à une dissolution du même genre, sous des pressions internes. C’est le cas en particulier de l’Arabie saoudite : l’aggravation des conflits intérieurs et la chute du régime sont dans la logique de ses structures politiques actuelles.

La Jordanie est un objectif stratégique dans l’immédiat. À long terme, elle ne constituera plus une menace pour nous après sa dissolution, la fin du règne de Hussein, et le transfert du pouvoir aux mains de la majorité palestinienne.

C’est à quoi doit tendre la politique israélienne. Ce changement signifiera la solution du problème de la rive occidentale, à forte densité de population arabe.

L’émigration de ces Arabes à l’Est —dans des conditions pacifiques ou à la suite d’une guerre— et le gel de leur croissance économique et démographique, sont les garanties des transformations à venir. Nous devons tout faire pour hâter ce processus. Il faut rejeter le plan d’autonomie, et tout autre qui impliquerait un compromis ou une participation des territoires, et ferait obstacle à la séparation des deux nations : conditions indispensables d’une véritable coexistence pacifique.

Les Arabes israéliens doivent comprendre qu’ils ne pourront avoir de patrie qu’en Jordanie (…) et ne connaîtront de sécurité qu’en reconnaissant la souveraineté juive entre la mer et le Jourdain. (…) Il n’est plus possible, en cette entrée dans l’ère nucléaire, d’accepter que les trois quarts de la population juive se trouve concentrée sur un littoral surpeuplé et naturellement exposé ; la dispersion de cette population est un impératif majeur de notre politique intérieure. La Judée, la Samarie, et la Galilée, sont les seules garanties de notre survie nationale. Si nous ne devenons pas majoritaires dans les régions montagneuses, nous risquons de connaître le sort des Croisés, qui ont perdu ce pays.

Rééquilibrer la région sur le plan démographique, stratégique et économique, doit être notre principale ambition ; ceci comporte le contrôle des ressources en eau de la région qui va de Beer Sheba à la Haute-Galilée et qui est pratiquement vide de juifs aujourd’hui. »


Références  :
 « This essay originally appeared in hebrew in KIVUNIM (Directions), A journal for Judaism and Zionism ; Issue N°14 – Winter, 5742, February 1982. Editor : Yoram Beck. Editorial Committee : Eli Eyal, Yoram Beck, Amnon Hadari, Yohanan Manor, Elieser Schweid. Published by the Department of Publicity/The World Zionist Organization, Jerusalem. »

http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/06/la-pa...

07/07/2014

Reportage : Le bal des quenelles 2014 avec Morgan Priest organisé par Dieudonné

Pour des "antisémites" désignés comme tels par les forces d'occupation de la France et de l'Europe, soit la caste sioniste/colonisatrice, ils sont plutôt sensés et sympathiques.

Ecoutez bien ce que dit Robert Faurisson dans son interview, puis le reportage sur Robert Faurisson, Un Homme, Robert Faurisson.

Ajoutée le 23 juin 2014

Au programme de ce reportage, extraits de séquences photos à mon arrivée, puis place aux interviews (Joe le corbeau, Robert Faurisson, Laurent Louis, etc), remise des quenelles d'or et petite interview de Dieudonné pour conclure. Merci à Dieudo, Noémie, Issam et tous les méchants antisémites d'être venue nombreux.

- Page Facebook de Morgan Priest :
https://www.facebook.com/pages/Morgan-Priest-Officiel/171128136285640

Reportage : Le bal des quenelles 2014 avec Morgan Priest

http://www.youtube.com/watch?v=9EjCEyXOjyY

Un homme, Robert Faurisson

UNE PREMIÈRE HISTORIQUE !

CE DOCUMENTAIRE INTITULÉ « UN HOMME », QUE PAUL-ÉRIC BLANRUE A RÉALISÉ SUR LE PROFESSEUR ROBERT FAURISSON, EST SORTI OFFICIELLEMENT SUR INTERNET EN SEPTEMBRE 2011.

D’INTÉRÊT PUBLIC, IL EST MIS À LA DISPOSITION DE TOUS.

Voir aussi >> Robert Faurisson, un affirmateur plutôt qu’un négateur

Voir aussi >> Le combat révisionniste, par Robert Faurisson

Voir aussi >> Robert Faurisson – Le problème des chambres à gaz

Voir aussi >> « La vérité sur Auschwitz », par Vincent Reynouard

Voir aussi >> 1942, la « Solution finale de la question juive » : c’était quoi exactement ? Par Vincent Reynouard

COPIEZ CE DOCUMENTAIRE ET DIFFUSEZ-LE À VOTRE TOUR !

Un homme, Robert Faurisson

Mise en ligne le 29 sept. 2011

 http://croah.fr/videos/un-homme-robert-faurisson/

 

03/07/2014

Ukraine/Russie/Gaz : Rothschild et Israël derrière le conflit gazier et pétrolier ?

Le projet est-il celui pour Rothschild et son état privé sioniste d'Israël d'éliminer la Russie pour pouvoir exporter le gaz en Europe, dès l'année 2014, voire d'aller coloniser les réserves de gaz russes ?

Ainsi pendant que l'on nous occupe l'esprit avec l'Ukraine et la Russie, Rothschild et l'état sioniste avancent sur leurs affaires fructueuses. Voir ci-dessous :

Ukraine/Russie : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

La Méditerranée orientale aiguise les appétits

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Pour comprendre que les évènements en Irak, en Syrie, en Libye, en Ukraine, à Gaz/A au Liban, en Cisjordanie, en Afrique, etc... sont liés, toujours dans l'objectif de permettre à l'Oligarchie financière des banskters de virer les dirigeants mondiaux qui s'opposent à l'empire US/UE/Sioniste/Dollar afin de leur permettre d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial contrôlé par les élites Illuminati/sionistes/reptiliens/jésuites/satanistes et de s'accaparer toutes les richesses de la Terre.

Leurs motifs ne sont donc pas que financiers mais idéologiques, ceux d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial unipolaire soit, leur Nouvel Ordre Mondial.

Lire ci-dessous quelques articles portant sur les projets pétroliers et gaziers d'Israël au détriment de Gaza et d'autres pays limitrophes à Israël :


Extraits : "Sous le mandat britannique, l'Etat juif de Palestine déployait déjà des efforts considérables pour aller chercher ce précieux carburant, le pétrole. Les résultats ne furent pas à la hauteur des espérances. C'est au début des années 1950, après la proclamation de l'Etat, qu'Israël décide de se lancer dans la production d'énergie en reprenant en main ce secteur. Une Loi sur le pétrole est ainsi promulguée en 1952."

"UN PROBLEME GEOPOLITIQUE.
Une fois résolu la définition de son périmètre d'extraction, Israël va faire face à un autre défi géopolitique : le choix des pays de destination et des lieux de transit des surplus gaziers. Deux marchés s'ouvrent désormais au gaz israélien : l'Europe et l'Extrême-Orient. Grâce à des gazoducs sous-marins la voie vers l'Europe transiterait soit par la Turquie, soit par la Grèce."

 

AU LARGE DE LA BANDE DE GAZA.
"Les palestiniens pourraient importer du fuel et du pétrole à des prix plus bas de leurs voisins et supposés alliés riches en pétrole, ou puiser dans les réserves de gaz au large de Gaza découvertes il y a 13 ans par British Gas Group. Les gisements sont estimés à 39 milliards de m3, et suffiraient à couvrir les besoins des palestiniens pendant 15 ans. Pour British Gas, les gisements sont financièrement viables, un accord a été signé entre British Gas, le Palestine Investment Fund et une entreprise appelée Consolidated Contractors Company, pour développer et commercialiser les champs. Pourtant, 13 ans après pas un seul gallon n'a été extrait.
Le développement des champs gaziers de Gaza briserait un monopole important de l'offre israélienne qui ne veut pas que les Palestiniens accèdent à l'autosuffisance énergétique. Israël n'autoriserait l'accès des Palestiniens à leurs propres gisements gaziers que s'ils promettaient de le vendre à Israël à un prix nettement inférieur aux prix mondiaux. Israël a dit aux hommes d'affaire palestiniens, Nous voulons que vous fassiez des affaires, mais pas sans nous. Monopoliser la possibilité de faire des affaires est un autre moyen de domination qui ne coûte rien à Israël." La suite: ICI

Petit préambule sur l'attaque dirigée contre la Russie par le biais de l'Ukraine en 2008/2009 :

Publié le 06/01/2009 à 17:15, Mis à jour le 06/01/2009 à 22:47

 


Voyons ce qui s'est passé par le passé concernant les énormes réserves de gaz maritimes qui appartiennent à la Gaz/A (GAZ/A, GAZA a d'énormes réserves de Gaz qui sont convoitées par Israël depuis des années).

 

Tel Aviv affirme pouvoir alimenter l'Europe en gaz pendant ses guerres d'extension avec l'aide la compagnie Mehriv (mossad), qui a obtenu un contrat gazier au Turkmenistan. Lire ici (en anglais).Source : Islamic Intelligence.

Voici comment Israël voit les choses dans l'article ci-dessous, mais la question est celle de savoir: a qui appartiennent les réserves de gaz dites israéliennes, syriennes, libanaises et gazaouis, et si elles ne sont pas les réelles raisons d'orchestrer les guerres et les évènements que nous connaissons ?

 

 

 

 

 

Et si en même temps on peut aller coloniser l'Afrique par le biais des lobbies sionistes, c'est encore mieux !

 


L'expansion d'Israël et de la colonisation par le biais de l'argent et des banksters.


La question est : quand vont-ils cesser de nous prendre pour des imbéciles ?

 

Association Ukraine-UE: la Russie protégera son marché (Moscou)

Heureusement que c'était la Russie qui était accusée de vouloir s'étendre à l'Ukraine, soi-disant.

Qui sont les expansionnistes quand l'UE sous la houlette des US/Sionistes signent un accord d'association avec l'UKRAINE ? Une preuve de plus que tout ce qui se passe en UKRAINE depuis quelques mois avait bien été préparé par avance par les néonazis occidentaux, promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

Dossier: Accord d'association Ukraine-UE

 

 

Association Ukraine-UE: la Russie protégera son marché (Moscou)
20:55 02/07/2014
MOSCOU, 2 juillet - RIA Novosti
Moscou analyse la situation résultant de la signature de l'accord d'association entre l'Ukraine et l'UE afin de prendre les mesures nécessaires pour protéger le marché intérieur russe, a annoncé mercredi le premier ministre Dmitri Medvedev.

"C'est le droit de l'Ukraine [de signer un accord d'association avec l'UE]. La Russie a pour sa part le droit de passer à de nouvelles conditions de travail avec ce pays et de protéger son propre marché", a indiqué le chef du gouvernement russe sur sa page Facebook.

"La décision concernant les mesures de protection sera adoptée après consultations. Le gouvernement russe procède à l'analyse de la situation. Il élabore également les actions de la Russie dans le cadre de l'accord de libre-échange au sein de la CEI et des règles de l'OMC", a ajouté le premier ministre.

La Russie a exprimé à plusieurs reprises son inquiétude au sujet de la mise en place d'une zone de libre-échange entre l'Ukraine et l'Union européenne. Selon Moscou, cette démarche pourrait entraîner un afflux incontrôlé de marchandises sur le marché russe. La Russie a déjà fait savoir qu'elle prendrait les dispositions nécessaires pour protéger son marché.

© RIA Novosti.

 

 

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Hier, 17:46

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Allocution de Poutine : commentaires d'experts occidentaux

Par La Voix de la Russie | L’unique voie correcte pour la Russie consiste à tenir ferme et à défendre ses principes de l’Occident, responsable de l’effusion de sang en Ukraine. C’est ainsi que les analystes occidentaux réagissent à l’allocution de Vladimir Poutine faite à la réunion des ambassadeurs au ministère russe des Affaires étrangères.

Le leader russe a dit en s’adressant aux diplomates : Kiev et Washington ne veulent pas que le monde apprenne la vérité sur ce qui se produit aujourd’hui au centre de l’Europe. Ils ne s’arrêtent devant rien : jusqu’à la chasse aux journalistes russes et étrangers. La situation en Ukraine est, selon Poutine, l’expression concentrée de la dénommée « politique de dissuasion » poursuivie à l’égard de la Russie. Le directeur du Centre analytique indépendant britannique Bruges Group Robert Oulds partage cette opinion.

« La vérité sur ce qui se produit en Ukraine est désavantageuse, en premier lieu pour l’OTAN. L’Occident a sponsorisé le Maïdan, ayant donné de multiples promesses concernant l’aménagement d’une zone de libre-échange. Or, l’intégration européenne n’était pas mentionnée. Les médias occidentaux passent ce fait sous silence. Cette politique a été appliquée plus d’une fois sur d’autres territoires. La voix indépendante de la Russie dans le monde n’arrange pas l’Amérique qui voudrait son isolement politique. »

La situation en Ukraine s’aggrave. Une telle évolution des événements n’est pas dans l’intérêt des capitales européennes qui ne le reconnaissent cependant pas, dit un expert allemand, le professeur de politologie de l’Université de Göttingen Peter Schulze.

« Kiev a déployé une opération d’envergure contre le Sud-Est de l’Ukraine ce qui n’arrange ni l’Allemagne, ni la France, ni la Pologne. L’administration russe est placée dans une situation très dangereuse. L’ultimatum adressé à la Russie par l’UE sous la pression de Washington : exercer la pression sur les mutins est la condition que Moscou ne saurait accepter. Une question s’impose : à qui profite, qui fait ce jeu ? Le refus d’accepter les initiatives de Moscou, de proroger le cessez-le-feu sont des actes dirigés contre la Russie. »

Moscou en prend parfaitement conscience. Vladimir Poutine estime que l’Europe a besoin d’un nouveau système de sécurité. Selon le président, il faut exclure la possibilité de coups d’Etat anticonstitutionnels, de l’ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains en Europe. L’Europe a besoin d’une sorte de « grille d’assurance » pour que les précédents irakien, libyen, syrien et ukrainien ne s’avèrent pas une maladie infectieuse.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_07_02/Allocution-de-Poutine-co...