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26/03/2014

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Une question ?

Comment les autorités nazies de l’UEUS/Sionistes peuvent-elles faire signer des accords avec l’UE à un « gouvernement illégitime et nazi installé en Ukraine par les USA » ?

Quand est-ce que les élections démocratiques ont eu lieu en Ukraine depuis le coup d’état organisé en Ukraine contre l’ancien président Ukrainien ?


Ces documents qui vont emprisonner le Peuple Ukrainien, sont tout simplement INVALIDES !

Tout comme le mythe de l’UNION EUROPENNE est INVALIDE dans la mesure où aucun peuple européen n’a jamais voté pour élire ces représentants fantoches, quand les peuples n’ont pas été privés purement et simplement de référendums pour voter la Constitution Européenne !

Et nous allons encore payer pour l’Ukraine ?

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Le Monde.fr | 21.03.2014 à 10h20 • Mis à jour le 21.03.2014 à 12h46

Le premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, a signé, vendredi 21 mars, lors du sommet des chefs d'Etat de l'Union européenne (UE), le premier volet de l'accord d'association entre son pays et l'UE. C'est le refus d'entériner ce document par les précédentes autorités ukrainiennes qui avait déclenché la révolution de Maïdan, à la fin de novembre, et la chute de Viktor Ianoukovitch.

  • Que contient cet accord ?

Négocié entre 2007 à 2012, l'accord d'association entre l'UE et l'Ukraine doit remplacer l'accord de partenariat et de coopération (APC), qui régit leurs relations depuis 1998. Qualifié « d'ambitieux et de novateur » par la Commission européenne, il doit permettre à Kiev de se rapprocher fortement de Bruxelles, mais il n'inclut pas de perspective d'adhésion à l'UE pour l'Ukraine.

L'accord prévoit une coopération avancée dans différents secteurs, dont la politique extérieure, la politique énergétique et nucléaire, et les domaines légal et judiciaire. Un chapitre entier est aussi consacré à la création d'une zone de libre-échange, comprenant la mise en place de normes communes. Ces différents dispositifs doivent, de plus, être renforcés par des négociations sur la libéralisation du régime des visas.

L'accord d'association aurait dû être signé à Vilnius, les 28 et 29 décembre 2013, lors d'un sommet où étaient aussi conviés l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Géorgie, la Moldavie et la Biélorussie. Mais, une semaine avant ce sommet, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch avait annoncé son refus de signer. C'est suite à cette volte-face que les manifestants investirent la place de l'Indépendance, à Kiev.

Lire : Partenariat oriental de l'UE : ce qui se joue au sommet de Vilnius

  •  Qu'est-ce qui a été signé le 21 mars ?

Le volet « politique » de l'accord. Concrètement, il s'agit du préambule, et des chapitres 1, 2 et 7. Ce sont les parties les plus symboliques : le chapitre 1 énonce les grands principes de l'accord, le deuxième aborde le dialogue politique, et le septième les dispositions générales.

« Le volet politique de l'accord réaffirme les valeurs européennes et la nécessité d'une coopération institutionnelle, expliquait au Monde en début de semaine le ministre français chargé des affaires européennes, Thierry Repentin. Il comporte aussi plusieurs points pratiques, et notamment un volet sur la mobilité, avec une levée des visas pour les Ukrainiens circulant dans l'Union européenne.

Les points importants de l'accord, comme les mesures de coopération et la zone de libre-échange, se trouvent dans d'autres chapitres. Ils ne rentreront donc pas en vigueur suite à la signature.

La Commission compte tout de même offrir une aide économique à court terme à l'Ukraine, à travers deux actions. Premièrement, un prêt d'un milliard d'euros, proposé le 19 mars. Deuxièmement, une baisse des droits de douane pour les importations en provenance d'Ukraine. Cette dernière mesure, qui devrait permettre à l'Ukraine d'économiser un demi-milliard d'euros sur un an, a été approuvée par la Commission le 15 mars. Elle devrait entrer en vigueur dans les prochaines semaines, après approbation du Conseil et du Parlement.

  • Pourquoi signe-t-on le volet politique maintenant ?

A la Commission, on explique que cette signature constitue un signal fort, alors que la Russie vient d'annexer la Crimée. « C'est un signe de solidarité, pour montrer notre soutien », résume Maja Kocijanci, porte-parole de Catherine Ashton, haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères. « On veut montrer à la Russie qu'on soutient toujours l'Ukraine », complète Peter Stano, porte-parole de Stefan Füle, le commissaire européen chargé de l'élargissement et de la politique de voisinage.

« Il faut accompagner l'Ukraine vers un autre avenir, renchérissait Thierry Repentin. Cet accord établit les bases pour une future négociation politique et fait rentrer l'Ukraine dans un grand forum démocratique. »

Lire : Poutine : 1, Merkel et Obama : 0

  • Quand sera signée la seconde partie ?

Pas avant l'élection présidentielle du 25 mai et la formation d'un nouveau gouvernement. « Nous voulons un gouvernement démocratiquement élu, avec un fort soutien des électeurs », explique Peter Stano. Selon lui, les réformes à mener seront de grande ampleur, et nécessiteront donc un fort engagement du gouvernement et de la population.

Pour autant, la date n'est pas fixée. Le Conseil européen, à l'issue de sa réunion du 6 mars, déclarait que cela devait se faire d'ici à la fin août 2014. La Commission, elle, vise le 1er novembre comme date butoir. Pour ne pas retarder l'application du dispositif de libre-échange, la Commission et le gouvernement ukrainien ont convenu de l'appliquer dès qu'il sera signé, avant même sa ratification par le Parlement.

L'Ukraine espère obtenir 15 milliards de dollars (10,8 milliards d'euros) du FMI, avec lequel elle est actuellement en négociation. L'organisme international imposera, en échange, un plan d'austérité. Une hausse du prix du gaz, l'augmentation de l'âge de la retraite et la privatisation des mines publiques sont d'ores et déjà anoncées.

Jean Comte

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/21/l-ukraine-a-signe-un-accord-d-association-avec-l-ue_4386643_3214.html

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Et voilà qui sont les amis de Fabius, de BHL, de Hollande, du CRIF et CIE ! Ensuite les nazis qui nous gouvernent à partir de l’UESA/Sioniste feront porter la faute sur Poutine et la Russie qu’ils accusent d’avoir provoqué les troubles en Ukraine et de violer le droit international !


Et le pire c’est que ce sont les Européens, c’est-à-dire nous tous qui allons payer pour entretenir la corruption, les crimes  et tous ces nazis en Ukraine que l’UESA s’est engagée à aider financièrement pour les sortir de leurs dettes colossales engendrées par la corruption !

 

Alors que les Peuples européens veulent sortir de la prison de l’UESA/Sioniste, et bien non, il faut continuer à jouer de l’expansionnisme vers les pays européens pour encercler et isoler la Russie avec l’OTAN.

Si ce n’est pas de la provocation pour déclencher la 3ème guerre mondiale contre la Russie et la Chine, on peut se demander ce que c’est ?  

N’est-ce pas SARKOZY et Hollande qui veulent faire rentrer la Turquie qui s’attaque à la Syrie dans l’Union Européenne ?

Jusqu’à quand allons-nous les laisser faire, commettre des crimes en notre nom, avec notre argent et nous ruiner ?

Comme vous l’aurez aussi compris, ils sont en train d’organiser l’épuration ethnique des Russes et des Juifs qui vivent en Ukraine, car ces néonazis sont en prime racistes et antisémites !

Et là, personne ne s’offusque du geste nazi fait par les nazis d’Ukraine, c’est le geste de la Quenelle de Dieudonné qui était un geste antisémite, bien que la caste sioniste qui dirige la France ait pris le soin de préciser qu’il s’agissait du "geste nazi inversé" ! C’est donc le monde inversé et les accusations inversées contre Poutine et la Russie !

 

Les États-Unis ont installé un gouvernement néonazi en Ukraine

Mondialisation.ca, 25 mars 2014


Selon le New York Times, « Les États-Unis et l’Union européenne ont épousé la révolution ici comme un autre essor de la démocratie, un coup contre l’autoritarisme et la cleptocratie dans l’ancien espace soviétique ». (After Initial Triumph, Ukraine’s Leaders Face Battle for Credibility, NYTimes.com, 1er mars 2014. C’est l’auteur qui souligne.)

« Essor de la démocratie »? « Révolution »? La dure réalité est tout autre. Il s’agit d’un coup d’État appuyé par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN en violation flagrante du droit international.

La vérité interdite est que l’Occident, grâce à une opération clandestine soigneusement mise en scène, a conçu un régime par procuration intégré par des néonazis.

Les principales organisations en Ukraine, y compris le parti néonazi Svoboda, ont été généreusement soutenues par Washington, ce qu’a confirmé la secrétaire d’État adjoint, Mme Victoria Nuland : « Nous avons investi plus de 5 milliards de dollars pour aider l’Ukraine à atteindre, entre autres, ces objectifs [...] Nous allons continuer à faire avancer l’Ukraine vers l’avenir qu’elle mérite. »

Les médias occidentaux ont tout simplement évité d’analyser la composition et les fondements idéologiques de la coalition gouvernementale. Le terme « néonazi » est tabou. Il a été exclu du vocabulaire des chroniqueurs des médias de masse. Il n’apparaîtra pas dans les pages du New York Times, du Washington Post ou de l’Independent. Les journalistes ont reçu comme consigne de ne pas utiliser le terme « néonazi » pour désigner les partis Svoboda (Liberté) et Pravy Sektor (Secteur de droite).

Composition du gouvernement de coalition

Il n’est pas question d’un gouvernement de transition au sein duquel des éléments néonazis ont intégré la frange de la coalition, officiellement dirigée par le parti Batkivschina (la Patrie).

Le Cabinet est non seulement intégré par les deux principales entités néonazies, Svoboda et Pravy Sektor (sans compter les anciens membres de la défunte organisation fasciste UNA-UNSO), on leur a également confié des postes clés qui leur donnent de facto le contrôle sur les forces armées, la police, la justice et la sécurité nationale.

Bien que le parti Batkivschina de Yatsenuyk contrôle la majorité des portefeuilles et que le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok n’ait pas obtenu de poste ministériel important (apparemment à la demande de la secrétaire d’État adjoint Victoria Nuland), les membres de Svoboda et de Pravy Sektor occupent des postes clés dans les domaines de la défense, de l’application de la loi, de l’éducation et des affaires économiques.

Le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok

La secrétaire d’État étasunienne Victoria Nuland avec le chef néonazi de Svoboda Oleh Tyahnybok (à gauche)

Andriy Parubiy [à droite], co-fondateur du Parti national-socialiste de l’Ukraine (parti néonazi rebaptisé Svoboda), a été nommé secrétaire de la Commission de la sécurité et de la défense nationale (RNBOU) (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé chargé de superviser le ministère de la Défense, les Forces armées, l’application de la loi, la Sécurité nationale et le renseignement. Le RNBOU est l’organe de décision central. Bien qu’il soit formellement dirigé par le président, il est géré par le secrétariat avec un personnel de 180 membres, incluant la défense, le renseignement et des experts de la sécurité nationale.

Parubiy a été l’un des principaux dirigeants de la révolution orange en 2004. Son organisation a été financée par l’Occident. Les médias occidentaux le surnomment le « kommandant » du mouvement EuroMaidan. Andriy Parubiy, tout conmme le chef du parti Oleh Tyahnybok, est un adepte du nazi ukrainien Stepan Bandera, qui a collaboré au massacre des juifs et des Polonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Marche en l’honneur du néonazi Stepan Bandera

Pour sa part, Dmytro Yarosh, chef de la délégation de Pravy Sektor au parlement, a été nommé secrétaire adjoint de Parubiy à la RNBOU.

Yarosh était le chef du groupe paramilitaire des chemises brunes néonazies durant les « manifestations » du mouvement EuroMaidan. Il a appelé à dissocier le parti des régions et du parti communiste.

Discours de Dmytro Yarosh à Euromaidan (Centre)

Le parti néonazi contrôle également le processus judiciaire avec la nomination d’Oleh Makhnitsky du parti Svoboda au poste de procureur général de l’Ukraine. Quelle sorte de justice prévaudra avec un néonazi renommé en charge du Bureau du Procureur de l’Ukraine?

Des postes au Cabinet ont également été attribués à d’anciens membres de l’Assemblée nationale ukrainienne – Autodéfense  nationale ukrainienne (UNA-UNSO), une organisation néonazie marginale:

« Tetyana Chernovol, que la presse occidentale dépeint comme une journaliste d’enquête militante sans faire référence à son implication passée dans l’organisation antisémite UNA-UNSO, a été nommée présidente du comité gouvernemental anticorruption. Dmytro Bulatov, connu pour son enlèvement présumé par la police, mais aussi pour ses liens avec UNA-UNSO, a été nommé ministre de la jeunesse et des sports.

Yegor Sobolev, chef d’un groupe de citoyens de la place de l’Indépendance et politiquement proche Iatseniouk, a été nommé président de la Commission d’épuration, chargée de purger du gouvernement et de la vie publique les adeptes du président Ianoukovitch. (Voir Ukraine Transition Government: Neo-Nazis in Control of Armed Forces, National Security, Economy, Justice and Education, Global Research, 2 mars 2014)

Le Comité d’épuration organisera la chasse aux sorcières contre tous les adversaires du nouveau régime néonazi. Les cibles de la campagne de purges sont des personnes en position d’autorité au sein de la fonction publique, des gouvernements régionaux et municipaux, de l’éducation, de la recherche, etc. Le terme « épuration » fait référence à la « disqualification massive » des personnes associées à l’ancien gouvernement. Il a également des connotations raciales. Selon toute probabilité, l’épuration sera dirigée contre les communistes, les Russes et les membres de la communauté juive.

Il est important de réfléchir sur le fait que l’Occident, officiellement dévoué aux valeurs démocratiques, a non seulement orchestré la chute d’un président élu, mais il a également instauré un régime politique intégré par les néonazis.

C’est un gouvernement par procuration permettant aux États-Unis, à l’OTAN et à l’UE d’interférer dans les affaires intérieures de l’Ukraine et de démanteler ses relations bilatérales avec la Fédération de Russie. Il faut cependant comprendre que ce ne sont pas les néonazis qui mènent le bal. La composition du Cabinet coïncide largement avec les « recommandations » qu’avait faites la secrétaire d’État adjoint des États-Unis, Victoria Nuland, à l’ambassadeur américain en Ukraine lors d’un appel ayant fait l’objet d’une fuite.

Washington a choisi de mettre les néonazis dans des positions d’autorité. En vertu d’un « régime de gouvernance indirecte », ces derniers prennent toutefois leurs ordres du département d’État étasunien, du Pentagone et de l’OTAN en ce qui concerne les décisions cruciales en matière de politique étrangère et militaire, dont le déploiement de troupes contre la Fédération de Russie.

Le monde est à un carrefour dangereux: Les structures et la composition de ce gouvernement par procuration installé par l’Occident ne favorisent pas le dialogue avec le gouvernement et l’armée russes.

 

Un scénario d’escalade militaire menant à la confrontation entre la Russie et l’OTAN est tout à fait possible. Le RNBOU, contrôlé par les néonazis, joue un rôle central dans les affaires militaires. Dans la confrontation avec Moscou, le RNBOU, dirigé par le néonazi Parubiy et son adjoint chemise brune Dmytro Yarosh, pourrait prendre des décisions, en consultation avec Washington et Bruxelles, pouvant avoir des conséquences dévastatrices.

Cependant, il va sans dire que l’« appui » des États-Unis à la formation d’un gouvernement néonazi n’implique aucunement le développement de « tendances fascistes » au sein de la Maison Blanche, du département d’État et du Congrès.

« L’essor de la démocratie » en Ukraine, pour reprendre les termes du New York Times, est approuvé par les républicains et les démocrates. Il s’agit d’un projet bipartisan. Rappelons-nous que le sénateur John McCain est un fervent partisan et ami du chef néonazi de Svoboda, Oleh Tyahnybok (image à droite).

Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


Guerre et mondialisation


Mondialisation de la pauvreté.

 

Article original : The U.S. has Installed a Neo-Nazi Government in Ukraine

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

24/03/2014

Alerte ! Israël/Iran : Attaque atomique chimique imminente sur l'Iran ?

Comme par hasard tout semble être coordonné avec l'Algérie, la France, les US/UE et Tel Aviv qui s'apprêteraient à aller attaquer l'Iran ! On détourne notre attention sur Poutine et la Crimée et pendant ce temps là l'état sioniste et ses complices préparent leurs plans d'attaque contre l'Iran sur fond d’élections présidentielles en France et en Algérie.

Militarisation accrue du Sahel, déstabilisation de l’Algérie

Hollande a réuni un conseil de Défense sur la menace djihadiste !

La CIA suspend son directeur des opérations en Iran

Pour la première fois dans l'histoire Israël ferme toutes ses ambassades et ses consulats dans le monde entier

For the First Time in History, Israel Suspiciously Closes All Embassies & Consulates World Wide!
Read more at http://investmentwatchblog.com/for-the-first-time-in-hist...

For the First Time in History, Israel Suspiciously
Closes All Embassies & Consulates World Wide!

http://www.youtube.com/watch?v=bJVtLdLouKU

 

All Israeli embassies and consulates closed worldwide first time, FM stops its work due to strikes – trade union

http://israelforeignaffairs.com/all-israeli-embassies-and-consulates-closed-worldwide-first-time-fm-stops-its-work-due-to-strikes-trade-union

 

Israel to further destroy those who plan and carry out attacks against Jewish state - Netanyahu

 

http://voiceofrussia.com/news/2014_03_23/Israel-to-furthe...

All Israeli embassies and consulates closed worldwide first time, FM stops its work due to strikes – trade union

http://voiceofrussia.com/news/2014_03_23/All-Israeli-emba...


For the First Time in History, Israel Suspiciously Closes All Embassies & Consulates World Wide!
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Voir les alertes ci-dessous : Sur le site d’Islamic Intelligence !

 

MISE A JOUR LUNDI 24 MARS 2014, 17H56 GMT:


http://1.bp.blogspot.com/-PtI3bPr-P7k/UqSMuHLfIhI/AAAAAAAAAUo/HhYc11fxpbE/s1600/972_israeli-mossad+cowards+and+assassins.....jpg

  PAX TALMUDICA: URGENT

NOUS VENONS D'APPRENDRE QUE TOUTES LES AMBASSADES US EN EUROPE SONT EN ETAT D'ALERTE ET QUE LES MARINES US EN SARDAIGNE SONT PASSES EN MODE COMBAT ACTIF DEPUIS HIER SOIR... NOUS AVONS EGALEMENT ETE INFORMES DE LA PRESENCE DE SOUS-MARINS D'ATTAQUES NUCLEAIRES CHINOIS ET RUSSES EN MEDITERANEE. IL SEMBLE QUE LE MONDE SE PREPARE A UNE GUERRE ISRAELIENNE AU MOYEN ORIENT, PRECEDEE D'UN FALSE FLAG DE TYPE 11 SEPTEMBRE POUVANT DECLENCHER LE CHAOS GENERAL ...

TEL AVIV A ENCLENCHE SON 11 SEPTEMBRE NUCLEAIRE-CHIMIQUE ET ANNONCE QUE TOUTES SES AMBASSADES ET CONSULATS FERMENT SUR TOUTE LA PLANETE!  LIRE ICI

- Pax talmudica: La sale race corrompue a saboté le blog une nouvelle fois! Le gouvernement malaisien affirme que l'avion détourné par les israéliens s'est crashé en mer, mais toujours aucune preuve matérielle ne vient confirmer cela. Il apparait que la Malaisie ne veut pas être accusée à la place de Tel Aviv si un avion détourné percutait une cible... Confirmation que le gouvernement français est partie prenante dans le 11 septembre nucléaire-chimique. Les Musulmans disposent d'un savoir faire technologique inégalé sur toute la planète! Lire ici

- Pax Talmudica; Des sources militaires US confirment que le Boeing 777 MH-370 a été détourné et a été ravitaillé à Diego Garcia. Nos sources affirment que l'avion est reparti de Diego Garcia vers le Moyen Orient. Les ingénieurs de Rolls Royce qui monitorent les moteurs de l'appareil en live refusent de communiquer sa position mais nous savions que les français, anglais et allemands participaient à ce nouvel 11 septembre 2001. Notre étonnement vint de Pékin qui a immédiatement pris les dispositions ignorant les américains, anglais, français, australiens, allemands.  Les preuves sont suffisamment convaincantes, mais cela nous a valu quelques nuits blanches ces derniers temps. Des sources US non militaires travaillant dans l'aviation civile pour des compagnies asiatiques, volant sur le même type d'appareil, confirment également ce que nous disions, elles affirment savoir pouvoir accéder aux données anglaises de Rolls Royce et les communiquer au grand public très rapidement afin de localiser l'avion. Lire ici

http://islamic-intelligence.blogspot.fr/

 

L’Ukraine en crise, un pays clé pour la construction de l’Eurasie de Poutine

Pour comprendre pourquoi il était très utile pour les US/UE Sionistes de détruire le projet de création de l’Eurasie, une idée de Poutine.

En résumé que les USA/UE/Sionistes nous imposent l’Union Européenne Nazie, OUI , mais que Poutine propose l’Union Eurasique, NON, pour ne pas qu’elle puisse concurrencer le dollar et l’euro, les deux exclusivités mortelles qui ruinent tous les peuples européens et du monde !

Il va bien falloir en sortir un jour de cette main mise sur le monde !

Rédacteur de l’article le Général Jean-Bernard Pinatel auteur de plusieurs livres sur la géopolitique :

Docteur en études politiques, Maîtrise de Sciences physique (option « Physique nucléaire »), breveté de l’École supérieure de Guerre et du Centre des Hautes Études Militaires et ancien auditeur de la 37ème Promotion de l’IHEDN, j’ai écrit plusieurs livres sur les relations internationales et la Défense :

et plusieurs articles de fond dans la Revue de Défense Nationale sur :

  • « La menace bioterroriste », novembre 2002

  • « Intelligence économique ou renseignement ? », décembre 2004.

« Russie, alliance vitale » a été traduit en langue russe et est préfacé par Sergey Karaganov, spécialiste en sciences politiques et président du Conseil de politique étrangère et de défense de Russie.

Sergey Karaganov a été conseiller présidentiel pour Boris Eltsine et Vladimir Poutine.

http://www.geopolitique-geostrategie.fr/general-jean-bern...

 

Pour comprendre comment l'Ukraine est divisée615696-lib-ukraine-regions-01.jpg

L’Ukraine en crise, un pays clé pour la construction de l’Eurasie

Publié par Jean-Bernard PINATEL, le 28 fév 2014, dans Analyses, Ukraine

Que se passe-t-il en Ukraine ?

Un Président démocratiquement élu en 2012, chassé de sa capitale par les manifestants de la place de Maïdan où l’on a vu se côtoyer des groupes paramilitaires ultranationalistes affichant des signes nazis et qui refusent l’Europe mais aussi par des citoyens de la classe moyenne (professeurs, étudiants, dirigeants de PME) qui souhaitent le rattachement à l’Union européenne. Des leaders politiques de l’Est du pays qui réclament la partition, une Crimée où stationne le flotte Russe de la Mer Noire en quasi révolte contre Kiev.

Lorsque des crises éclatent et se transforment en affrontements violents avec des morts et des blessés, il est essentiel d’analyser froidement les facteurs qui sous-tendent ces violences et il ne faut surtout pas céder à l’émotion et aux appels des éternels révolutionnaires romantiques bobos parisiens dont BHL est la caricature symbolique.

Ce qui se passe en Ukraine à des racines profondes que l’on ne découvre qu’en étudiant son histoire et qu’en resituant l’enjeu stratégique que ce pays constitue pour les États-Unis, la Russie et l’Europe.

Une histoire violente et déchirée entre l’Ouest et l’Est

L’Histoire apporte un éclairage décisif à la compréhension de ces événements. Elle montre clairement que L’État et le sentiment national ukrainien sont une création très récente. En effet, l’Ukraine, son territoire et ses habitants étaient divisés entre les Empires autrichien et russe jusqu’à la Révolution Russe de février 1917.

Dans la tourmente de la guerre civile russe et de la Première Guerre mondiale, le mouvement national ukrainien [1] profite de la chute du tsarisme, en 1917, pour mettre en place une structure gouvernementale, le Conseil central ukrainien, et pour proclamer l’indépendance de l’Ukraine. Mais celle-ci est de courte durée. Le territoire ukrainien est le théâtre de violents combats entre différentes forces politiques et leurs formations militaires : les forces nationales, l’Armée rouge, les troupes blanches antibolcheviques et les troupes étrangères. Cette première période d’indépendance est malheureusement entachée par des pogroms de masse. En fait, ceux-ci commencèrent en 1881 dans les villes d’Ukraine de l’empire Russe où vivaient de nombreux juifs mais ils culminèrent durant l’éphémère république populaire d’Ukraine (1917-1921) qui fut une période d’assassinats massifs de Juifs, tache originelle du mouvement national ukrainien.

En 1920, l’Ukraine est à nouveau partagée en quatre. Les Bolcheviks finissent par l’emporter sur les autres belligérants, et la partie ex-russe de l’Ukraine, avec Kiev pour capitale, est intégrée à l’URSS tandis que la partie ex-autrichienne, avec Lviv pour ville principale, est rattachée à la Pologne. La petite Ukraine « transcarpatique » vota son rattachement à la Tchécoslovaquie et quant à la Bucovine, sa minorité ukrainienne se résigna à son rattachement à la Roumanie. La soviétisation ne fut cependant pas qu’une période négative pour l’Ukraine. En effet, en 1928, Joseph Staline lança le premier plan quinquennal qui industrialisa la région avec notamment la construction de la plus grande centrale hydraulique d’Europe sur le Dniepr permettant l’électrification de la République et le développement d’un grand bassin métallurgique, le Donbass. Mais la collectivisation des terres agricoles provoqua, en 1933, une terrible famine que les Ukrainiens appellent l’Holodomor [2]. Ce fut la dernière grande famine d’Europe. Comme dans toute la Russie, le régime stalinien commis plusieurs milliers d’arrestations et d’assassinats, surtout d’intellectuels ukrainiens durant les Grandes Purges de 1937-1938.

Aussi, quant à l’été 1941, l’Ukraine est envahie par les armées du Reich, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie de la population ukrainienne. Au contraire à l’Est du pays, ils rencontrent une forte résistance de la part de la population locale qui se poursuivit jusqu’en 1944. En représailles les Allemands traquent les partisans, et brûlent des centaines de villages. Autre tâche dans l’histoire de l’Ukraine, en avril 1943, une division SS Galicie est constituée à partir de volontaires ukrainiens. Elle a notamment été engagée par les Allemands en Slovaquie pour réprimer le mouvement national slovaque. Mais les pro-occidentaux ukrainiens et les Américains ont tout fait, à la fin de la guerre, pour jeter un voile sur les atrocités commises par cette division et ne retenir que le combat anti-soviétique. Les historiens estiment que plus de 220 000 Ukrainiens s’engagèrent aux côtés des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le régime soviétique.

En 1944, l’Armée rouge captura la plus grande partie de l’Ukraine. À la fin de la guerre, les pertes ukrainiennes s’élèvent à 8 millions de personnes dont 1,377 million de militaires de nationalité ukrainienne. Quant aux indépendantistes (présents essentiellement dans les régions ouest), ils continuèrent leur résistance armée contre l’URSS jusqu’en 1954. Ce n’est qu’en 1989 que la libéralisation du régime permit aux Ukrainiens de s’organiser pour défendre leurs droits. L’indépendance fut proclamée le 24 août 1991 et confirmée par le référendum organisé le 1er décembre 1991 : 90,5 % d’électeurs votèrent pour l’indépendance.

Les États-Unis veulent détacher définitivement l’Ukraine de la Russie et l’intégrer dans l’Union européenne et l’OTAN

Les Américains, depuis la chute du mur en 1989, n’ont qu’une seule crainte : la création d’un grand ensemble européen incluant la Russie qui leur contesterait le leadership mondial.

Alors que Georges Bush avait promis à Gorbatchev de dissoudre l’OTAN s’il liquidait de son côté le Pacte de Varsovie, il trahit sa parole. Le pacte de Varsovie dissous, les États-Unis ont maintenu l’OTAN et, depuis lors, ils n’ont cessé d’œuvrer pour faire coïncider l’Union européenne et l’OTAN [3]. J’ai été moi-même le témoin des agissements de l’ambassadeur américain à Bratislava qui distribuait des sommes considérables aux opposants du Premier Ministre, Vladimir Méciar, qui souhaitait intégrer l’Union européenne sans intégrer l’OTAN.

L’ancien conseiller national à la sécurité des États-Unis, Zbigniew Brzezinski, publia en 1997 sous le titre « Le grand échiquier » un livre où adoptant les deux concepts, forgés par Mackinder, d’Eurasie [4] et d’« Heartland », il reprenait à son compte sa maxime célèbre : « qui gouverne, l’Europe de l’Est domine l’Heartland; qui gouverne l’Heartland, domine l’Ile-Monde; qui gouverne l’île-Monde domine le Monde ». Il en déduisait « Pour l’Amérique, l’enjeu géopolitique principal est l’Eurasie ». Dans une autre publication il explicitait sa pensée [5] : « Si l’Ukraine tombait, écrivait-il, cela réduirait fortement les options géopolitiques de la Russie. Même sans les états de la Baltique et la Pologne, une Russie qui garderait le contrôle de l’Ukraine pouvait toujours aspirer avec assurance à la direction d’un empire eurasien. Mais, sans l’Ukraine et ses 52 millions de frères et sœurs slaves, toute tentative de Moscou de reconstruire l’empire eurasien menace d’entraîner la Russie dans de longs conflits avec des non slaves aux motivations nationales et religieuses. »

En janvier 2003, l’ancien ambassadeur des États-Unis en Ukraine, Carlos Pascual, fit devant le « Center for Strategic and International Studies » à Washington un exposé sur les relations entre les États-Unis et l’Ukraine. Il y posait cette question : « L’Ukraine doit-elle appartenir à la communauté euro-atlantique ? » et il y répondait sans hésitation par « oui ». John Herbst, qui remplaça Carlos Pascual comme ambassadeur en septembre 2004, souligna la même chose devant le comité du Sénat américain qui l’auditionnait à propos de sa nomination. Il qualifia alors « la garantie de l’intégration de l’Ukraine dans la communauté euro-atlantique » de but central de la politique extérieure. « Si je venais à être confirmé dans mes fonctions » assurait Herbst, « je ferai tout mon possible pour garantir que les autorités ukrainiennes donnent aux candidats à la présidence les mêmes chances et pour que les préparatifs pour l’élection, tout comme l’élection elle-même, se déroulent de façon libre et juste. Un processus électoral qui corresponde aux normes de l’OSCE et un résultat qui reflète la volonté du peuple sont décisifs pour le succès des aspirations de l’Ukraine à devenir membre de l’OTAN et à se rapprocher de l’Union européenne. »

Entre 2002 et 2004, les États-Unis ont dépensé des millions de dollars afin d’aider l’opposition ukrainienne à accéder au pouvoir [6]. Des millions de dollars provinrent aussi d’instituts privés, comme la Fondation Soros et de gouvernements européens. Cet argent n’est pas allé directement aux partis politiques. Il a servi à « promouvoir la démocratie », comme le déclare le gouvernement américain. L’argent a transité par des fondations et à des organisations non gouvernementales qui conseillèrent l’opposition, lui permettent de s’équiper avec les moyens techniques et les techniques publicitaires les plus modernes. Un câble américain du 5 janvier 2010, publié sur le site Wikileaks (réf. 10WARSAW7), montre l’implication de la Pologne dans la transition et l’effort démocratique des anciens pays de l’Est. Le rôle des ONG y est notamment exposé. Les câbles Wikileaks témoignent de l’effort constant et de la volonté continue des États-Unis d’étendre leur sphère d’influence sur l’Europe de l’Est, comme en Ukraine, ces dernières années. La Pologne apparaît ainsi comme un outil au service des États-Unis, pour réformer la démocratie dans les anciennes républiques soviétiques.

Une démocratie minée par son passé

Cette histoire, déchirée entre la Russie et l’Europe, se retrouve dans les mouvements politiques qui s’affrontent dans l’Ukraine d’aujourd’hui. Tous les résultats des élections furent contestés par les perdants arguant au bourrage des urnes et à la corruption qui sévit dans chaque camp. Ainsi, les élections législatives de 2007 ont élu une chambre ingouvernable. D’un côté le parti pro-occidental de Ioulia Tymochenko et les nationalistes de « Notre Ukraine » qui ont essayé de réécrire l’histoire de l’aide au régime hitlérien [7]; de l’autre le Parti communiste et le Parti des régions pro-russe.

En 2010, les Ukrainiens étaient appelés à élire le nouveau président. C’est Viktor Ianoukovytch candidat officiel du Parti des Régions, ancien Premier ministre, qui fut élu chef de l’État, par une majorité d’Ukrainiens, déçus par Ioulia Tymochenko et des espoirs perdus de la Révolution orange de 2004. En 2012, de nouvelles élections législatives [8] donnent un avantage très clair au « parti des régions ». L’union pan-ukrainienne, héritier du bloc Ioulia Tymochenko, est le grand perdant est perd 44 députés par rapport à 2007. Selon l’OSCE, le vote s’est déroulé normalement, dans 96% des bureaux de vote.

Les forces politiques aujourd’hui en présence

Quelles sont les forces politiques en présence à l’issue du scrutin législatif de 2012 ?

Face au président Viktor Ianoukovitch du Parti des Régions, élu démocratiquement mais non sans corruption (nombreux cas de votes achetés notamment), se dresse une opposition comprenant d’une part le Bloc Ioulia Tymochenko et le Front pour le Changement d’Arseni Iatseniouk et d’autre part l’Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme (UDAR), liée à la CDU (RFA) de l’ancien boxeur Vitali Klitschko [9] et L’Union ukrainienne « Liberté », Svoboda, leader Oleh Tyahnybok, parti d’extrême droite très implanté en Galicie. Svoboda est en réalité un parti néo-nazi portant encore, il y a quelques mois, la croix gammée nazi et essentiellement constituée à ce moment-là d’Ukrainiens de Galicie. Ce sont eux les plus déterminés que l’on a retrouvé sur la place de Maïdan, dans une opposition à Ianoukovitch et à une Russie qu’ils haïssent.

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Que va-t-il advenir de l’Ukraine ?

Quatre scénarios

Sans revenir sur le déroulement de la crise actuelle, quatre scénarios peuvent dessiner l’avenir de l’Ukraine : l’intégration à l’Union européenne, la partition, une Ukraine finlandisée et une Ukraine trait-d’union de l’Eurasie.

1) L’intégration dans l’Union européenne et dans l’OTAN. A l’heure actuelle peu de pays européens souhaitent un nouvel élargissement. De toutes les façons, même à moyen terme, l’Europe ne peut en aucun cas intégrer l’Ukraine qui ne répond, à un avenir prévisible, à aucun des critères pour permettre un élargissement :

  • critères politiques : état de droit, système démocratique stable et protection des minorités;

  • critères économiques : économie de marché viable et capacité de faire face à la concurrence à l’intérieur de l’Union;

  • assumer les obligations de l’adhésion : souscrire aux objectifs de l’union politique, économique et monétaire, reprendre l’acquis communautaire » (c’est-à-dire accepter et transposer dans la législation nationale l’ensemble du droit européen en vigueur). La corruption y est généralisée et la présence d’un puissant parti ultranationaliste, proche des partis extrêmes droite européen n’est pas fait pour rassurer les dirigeants européens.

L’Europe va-t-elle aider économiquement l’Ukraine ? L’Europe a encore beaucoup à faire pour assurer le redressement des pays de l’Union pour se disperser à l’extérieur d’autant plus que personne ne peut aujourd’hui garantir la bonne utilisation des fonds prêtés à l’Ukraine, du fait de la corruption généralisée. Les États-Unis, dont la diplomatie et la CIA sont la manœuvre en Ukraine depuis 15 ans, sont certainement prêts à aider le nouveau gouvernement mais de façon limitée car Obama a d’autres priorités. Le Président américain a donc choisi de le faire indirectement par l’intermédiaire du FMI qu’ils financent à hauteur de 42%. Ce qui suppose des efforts internes importants que le nouveau pouvoir ukrainien aura du mal à imposer à sa population. En effet, afin d’éviter un effondrement total non pas dans les prochains mois mais dans les prochaines semaines, l’Ukraine a besoin d’argent maintenant », a déclaré un cadre de l’Institut de la finance internationale qui représente quelque 450 banques à travers le globe. « Les caisses de l’État sont vides », a souligné Lubomir Mitov, économiste en chef à l’IIF pour les pays émergents en Europe, assurant que les défis économiques dans le pays étaient « gigantesques ». Après des mois de crise politique et la destitution du président Viktor Ianoukovitch, les autorités intérimaires de Kiev ont lancé un appel à la communauté internationale pour obtenir 35 milliards de dollars d’aide sur deux ans et éviter la banqueroute. Mais comme l’histoire récente le démontre, seule la Russie est prête à un effort financier de grande envergure;

2) La partition est une option qui, à l’heure actuelle, est rejetée tant à l’intérieur de l’Ukraine que par les principaux « influenceurs extérieurs ». Le cas de la Crimée sera certainement au cœur des discussions Est-Ouest car elle n’appartient pas historiquement à l’Ukraine. En effet, la presqu’île de Crimée est russe depuis le XVIIIe siècle. A la chute de l’URSS en 1991, la Crimée a obtenu un statut de république autonome au sein de la nouvelle Ukraine. L’ancienne marine soviétique fut partagée en deux mais le gros de la flotte resta largement russe (17%, Marine ukrainienne – 83%, Marine russe). Le maintien de la flotte russe à Sébastopol pour 20 ans a été entériné par un accord, signé en 1997. Cet accord fut renouvelé en 2010, entre Medvedev et Ianoukovitch, et assure un bail pour la marine russe jusqu’en 2042 (plus cinq ans, en option) en échange de rabais sur le gaz et du financement d’une partie de la dette ukrainienne. De leur coté, les États-Unis, l’UE, la Russie ne souhaitent pas actuellement la partition de l’Ukraine mais cette option n’est pas définitivement écartée si le nouveau pouvoir ukrainien n’arrivait pas à trouver une équilibre entre les diverses forces centrifuges qui s’exercent en interne comme à l’extérieur du pays.

3) L’Ukraine peut rester un État indépendant avec une indépendance plus ou moins grande, en fonction des efforts que voudront faire les Ukrainiens et les acteurs extérieurs. L’hypothèse la plus probable est une Ukraine finlandisée. Ce scénario prend en compte le caractère hétéroclite de la coalition qui a pris le pouvoir à Kiev qui regroupe des pro-européens et des ultranationalistes, la corruption généralisée, le poids de la forte minorité russophone dans l’Est du pays. Tous ces facteurs internes font penser que le nouveau pouvoir sera incapable de mener les réformes indispensables pour assurer le redressement du pays, condition première de son indépendance. Les facteurs externes vont dans le même sens : la faible détermination des Européens à mettre la main à la poche, les cartes essentielles dont dispose Poutine tant envers l’Ukraine (proximité géographique, soutien de la population russe, les tarifs préférentiels du gaz) qu’envers les États-Unis (discussions sur les armes stratégiques, Afghanistan, Iran, Syrie, etc.).

4) Une autre option, celle de l’Ukraine, catalyseur et trait-d’union de l’Eurasie. C’est l’option que je souhaite mais elle ne peut exister que si les leaders européens prennent conscience que leur vassalisation aux intérêts américains va contre l’intérêt vital de l’Europe et des Européens. Par sa situation géographique et par sa population composée d’une forte minorité de Russes et de nombreuses autres minorités issues proches de la Pologne, de la Roumanie de l’Allemagne, l’Ukraine est à la fois tournée vers l’Ouest et vers l’Est. Pour les Ukrainiens, pour l’Europe et pour la Russie, cette crise est une opportunité à saisir, en traitant le dossier ukrainien entre eurasiens et surtout en n’y associant pas les États-Unis qui n’ont aucun intérêt à ce que l’Ukraine devienne la porte orientale de l’Europe et le trait-d’union avec la Russie.

Général (2S) Jean-Bernard PINATEL

[1] Le mouvement national ukrainien apparaît au début du XIXe siècle. Le poète Taras Chevtchenko, 1814-1861, dont l’œuvre est considérée comme constitutive de la langue littéraire ukrainienne, en est la grande figure. Exilé au Kazakhstan, pour ses prises de position politiques.

[2] Elle fit jusqu’à huit millions de morts en Ukraine et dans d’autres régions de l’URSS.

[3] Une autre histoire de l’Amérique, Olivier Stone, TV Planète.

[4] Eurasie : Europe+Russie incluant la Sibérie+Asie centrale ; Heartland : Europe centrale.

[5] Traduit de : Zbigniew Brzezinski: « Die einzige Weltmacht – Amerikas Strategie der Vorherrschaft », Fischer Taschenbuch Verlag, pp.15/16.

[6] Le National Endowment for Democracy (NED) (en français, Fondation nationale pour la démocratie) est une fondation privée à but non lucratif des États-Unis dont l’objectif déclaré est le renforcement et le progrès des institutions démocratiques à travers le monde. La plus grande part de ses fonds provient du département d’État des États-Unis, avec approbation du Congrès. L’ancien directeur de la CIA, William Colby, déclarait en 1982, dans le Washington Post, à propos du programme de la NED : « Il n’est pas nécessaire de faire appel à des méthodes clandestines. Nombre des programmes qui [...] étaient menés en sous-main, peuvent désormais l’être au grand jour, et par voie de conséquence, sans controverse ». William I. Robinson, Promoting Polyarchy: Globalization, US Intervention, and Hegemony [archive], Cambridge university Press, 1996, 466 p., pp. 87-88.

[7] Le 28 avril 2009, la droite nationaliste ukrainienne a célébré l’anniversaire de la fondation, le 23 avril 1943, de la division Waffen SS «Galizien» (Halitchina, en ukrainien). La principale formation néofasciste locale, « Svoboda » (Liberté), dirigée par Oleh Tiahnibog, a fait installer à Lviv (Lwow), la capitale de la Galicie (Ukraine occidentale), avec l’autorisation de la mairie, de grands panneaux publicitaires en l’honneur de cette « division étrangère » de l’armée de la SS. Le gouvernement ukrainien d’Ioula Tymochenko pro-occidental, par la voix de son ministre de l’Intérieur, a estimé qu’il n’y avait rien d’illégal à cette initiative.

[8] Élections législatives ukrainiennes de 2012

[9] Il vient d’annoncer qu’il est candidat à la prochaine élection présidentielle.

http://www.geopolitique-geostrategie.fr/lukraine-en-crise...

 

22/03/2014

UKRAINE. Photo de Maïdan: la nouvelle falsification de Bernard Henry Levy Botul

Le psychopathe au service du Nouvel Ordre Mondial qui ne trompe que lui-même avec sa propagande sioniste !

 


UKRAINE. Photo de Maïdan: la nouvelle falsification de Bernard Henry Levy Botul

Publié le mar 20, 2014 @ 11:52

 

Il est incorrigible. Mensonges et arnaques ont toujours accompagné le parcours de cet homme. Falsificateur, menteur, violent, cynique, manipulateur à souhait et surtout meurtrier, M.Botul a encore fait des siennes en Ukraine. Manque de bol, sa nouvelle tentative de falsification a lamentablement échoué. Tout d’abord, la Crimée a dit NIET à Kiev, préférant la Russie, pour lui dire que l’Ukraine n’était pas Maidan. Ensuite, en croyant poser pour un photographe en plan très serré, BHL a été pris en flagrant délit de falsification.

 

Ce fraudeur dont l’engeance se passe de commentaire est toujours fêté dans les médias malgré ses casseroles…

 

Regardez:

 

La première photo est "crédible". Seulement, elle se fait dans un studio.

 

ATT1

 

Le pot aux roses est révélé par la deuxième photo.

 

ATT2

 

Flagrant délit ou flagrant délire ?

http://allainjules.com/2014/03/20/ukraine-photo-de-maidan...