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18/11/2014

La vie : origine et distribution possible dans l'univers par André Brack - Astrobiologiste

BRACK André

Astrobiologiste

Spécialiste en exobiologie

 

Sa biographie sur Futura Sciences : ICI

 

Il y a environ 4 milliards d'années, se développèrent dans l'eau terrestre des structures capables de se reproduire et d'évoluer. L'omniprésence de la cellule dans tous les systèmes vivants suggère un ancêtre commun de type cellulaire. Dans la mesure où la formation des ARN/ADN porteurs de la mémoire cellulaire apparaît comme peu probable dans l'eau de la Terre primitive, on peut penser que la vie primitive émergea de structures plus simples que la cellule et l'ARN. La simplicité de ces structures suggère qu'elles ont de réelles chances d'apparaître et de se développer chaque fois que sont réunies les conditions qui ont contribué à l'apparition de la vie terrestre : eau liquide, atmosphère, micrométéorites et/ou sources hydrothermales sous-marines. Ces conditions existaient vraisemblablement sur Mars il y a 4 milliards d'années et existent peut-être encore aujourd'hui sous la calotte glaciaire d'Europe, l'une des lunes de Jupiter. Les 83 molécules organiques détectées dans le milieu interstellaire par radioastronomie et la découverte d'une vingtaine de planètes extrasolaires permettent d'envisager la présence de vie au-delà du système solaire.
 

 

http://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoir...

 

16/11/2014

Philae, bonne nuit, tu as magnifiquement travaillé !

Comprenez ce qui se passe réellement avec cette expérience scientifique qui se déroule actuellement sur la comète Tchoury. Les scientifiques sont persuadés que les atomes et les composants chimiques qui ont amenés la vie sur Terre, proviennent de l'Univers et notamment des comètes. Ils recherchent des molécules organiques, c'est-à-dire des molécules constituées essentiellement de carbone, d'hydrogène, d'oxygène et d'azote, ou CHON, précurseurs des molécules biologiques contemporaines.

S'ils retrouvent toutes ces molécules, notamment dans la comète Tchoury, ce que nous croyons, cela voudrait dire que tout l'Univers est composé en grande partie de ces molécules, et que la vie est possible dans tout l'Univers. Ce qui validerait la vie extraterrestre. Cela relève de l'exobiologie, (exo de l'extérieur de la planète Terre).

Philae, bonne nuit, tu as magnifiquement travaillé !

Le vaillant et imprévisible Philae aura travaillé jusqu’au bout. Il a foré (une première mondiale), il a analysé l’échantillon recueilli et, lors de sa dernière session d’échanges radio avec Rosetta, il a transmis ses données jusqu’à épuisement de sa pile électrique. Hier soir, il a pu se soulever un peu et pivoter, de sorte d’améliorer son ensoleillement, donc peut-être se réveillera-t-il un jour…

Prise par Rosetta, cette photographie montre l'atterrissage de Philae, du moins le premier. On y voit la tache sombre de la poussière soulevée par le robot. Le losange vert indique le lieu calculé (flight dynamics solution), à 10 m seulement du point de toucher réel. L'atterrissage a donc été d'une précision excellente... au détail près que Philae a rebondi pour remonter à environ 1 km au-dessus de la surface et toucher une deuxième fois 1 km plus loin et 1 h 50 plus tard. Le second rebond, suivi d'un survol de quelques minutes, l'a amené dans un endroit au relief tourmenté, où il n'a pas encore été localisé. © Esa/Rosetta/NAVCAM – CC BY-SA IGO 3.0

Prise par Rosetta, cette photographie montre l'atterrissage de Philae, du moins le premier. On y voit la tache sombre de la poussière soulevée par le robot. Le losange vert indique le lieu calculé (flight dynamics solution), à 10 m seulement du point de toucher réel. L'atterrissage a donc été d'une précision excellente... au détail près que Philae a rebondi pour remonter à environ 1 km au-dessus de la surface et toucher une deuxième fois 1 km plus loin et 1 h 50 plus tard. Le second rebond, suivi d'un survol de quelques minutes, l'a amené dans un endroit au relief tourmenté, où il n'a pas encore été localisé. © Esa/Rosetta/NAVCAM – CC BY-SA IGO 3.0 Encore une fois, Philae, posé sur la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, a ménagé son suspense, comme lors de son atterrissage mouvementé mercredi 12 novembre. Mal installé, juché de travers sur la rocaille d’une pente, en partie à l’ombre, éclairé seulement 1 h 30 toutes les douze heures, il comptait d’abord sur l’énergie de sa pile électrique, non rechargeable, qui disposait d’une soixantaine d’heures d’autonomie. Vendredi matin, il avait transmis les données du spectromètre APXS (analyse de la composition de la surface) et de Mupus, qui a sondé les propriétés mécaniques et thermiques et du sol. L’instrument Consert (un échange radar avec Rosetta à travers la comète pour en réaliser une sorte de scanner) continuait à travailler depuis l’atterrissage.

Ordre a été donné, alors, de déclencher sa foreuse SD2, au risque de le déséquilibrer. Advienne que pourra… Le foret a progressé de 25 cm, mais nul ne savait s’il avait tourné dans le sol ou dans le vide. Fin de la session radio à cet instant.

Darmstadt. Centre des opérations de l'Esa. Vendredi 14 novembre, minuit. Les données de Philae, après un contact intermittent, commencent à défiler sur les écrans. © Esa
Darmstadt. Centre des opérations de l'Esa. Vendredi 14 novembre, minuit. Les données de Philae, après un contact intermittent, commencent à défiler sur les écrans. © Esa

Les instruments de Philae ont travaillé

Vendredi soir, à partir de 23 h 19 en heure française, Philae a repris contact avec la sonde Rosetta qui, après un tour de la comète, était revenue au-dessus de l’horizon de l’atterrisseur (elle doit être en « portée optique » avec lui, c’est-à-dire sans obstacle entre les deux). Immédiatement, le robot a expédié les données qu’il avait recueillies durant la période de silence et les responsables de la mission ont vu défiler les données sur les écrans de contrôle (voir aussi le blogCielmania de Jean-Baptiste Feldmann).

L’un après l’autre, les instruments, comme venus au rapport, indiquaient qu’ils avaient fonctionné ! Oui, la foreuse a foré. Oui, le chromatographe et le spectromètre de masse de Cosac ont analysé un échantillon à la recherche de matière organique. Oui, les appareils photo de Rolis ont pris des clichés. Oui, Ptolemy a étudié les rapports isotopiques des substances volatiles émanant du sol. Apparemment, seul Sesame, au bout des pattes et chargé de mesures acoustiques, n’a pas donné de ses nouvelles.

Un peu abscons mais il y a là de quoi déboucher le champagne : l'instrument SD2, c'est-à-dire la foreuse, explique à sa manière qu'il a descendu puis remonté le foret. © Esa
Un peu abscons mais il y a là de quoi déboucher le champagne : l'instrument SD2, c'est-à-dire la foreuse, explique à sa manière qu'il a descendu puis remonté le foret. © Esa

Changer de position pour recevoir un peu plus de lumière

Alors que l’indicateur de charge de la pile indiquait une chute irrémédiable de la tension, annonçant un épuisement proche et définitif, les responsables de la mission ont tenté une ultime manœuvre : actionner les jambes du train d’atterrissage et faire pivoter le corps de Philae sur l’axe qui le solidarise à ses pattes.

But du jeu : rehausser le robot de 4 cm et le tourner de 35° pour amener le plus grand des panneaux solaires, le « 1 », en meilleure position par rapport au Soleil, de sorte que les cellules photovoltaïques rechargent un peu mieux la batterie secondaire, qui est, elle, rechargeable. L’inexorable est arrivé : à bout de pile, comme une lampe électrique ou une bougie, Philae s’est éteint.

Encore plus abscons mais après cela, il faut sortir les coupes pour boire le champagne débouché précédemment : c'est Cosac au rapport. Cet instrument (Cometary Sampling and Composition) contient un chromatographe, pour séparer les différents composés de l'échantillon confié par SD2, et un spectromètre de masse pour les identifier un à un. Qu'a-t-il vraiment analysé ? Pour le savoir, il faut lire ces lignes de plus près. Réponse bientôt. © Esa
Encore plus abscons mais après cela, il faut sortir les coupes pour boire le champagne débouché précédemment : c'est Cosac au rapport. Cet instrument (Cometary Sampling and Composition) contient un chromatographe, pour séparer les différents composés de l'échantillon confié par SD2, et un spectromètre de masse pour les identifier un à un. Qu'a-t-il vraiment analysé ? Pour le savoir, il faut lire ces lignes de plus près. Réponse bientôt. © Esa

Une hibernation dont Philae pourrait peut-être sortir

L’Esa préfère parler « d’hibernation ». On ne sait jamais : la lumière solaire pourrait recharger la batterie suffisamment. Rien n’est sûr car l’engin est posé sur un sol à -70° C et doit être chauffé jusqu’à environ 0° C pour que son électronique fonctionne. Il lui faut donc une batterie bien chargée pour commencer à travailler et à bavarder avec Rosetta. Et avec une heure et demie d’ensoleillement toutes les douze heures, ce n’est pas gagné…

Dans les mois qui viennent, la comète s’approchant du Soleil, ses rayons seront plus efficaces, alors que Rosetta sera toujours en mission autour de 67/P Churyumov-Gerasimenko. Sortira-t-il de son hibernation ? Et quelles données a-t-il récoltées ? Les scientifiques mettront des mois à décrypter les milliers d’informations envoyées. Et où est-il ? Car on ne le sait toujours pas exactement et Rosetta le cherche encore ! Il faudra donc reparler de Philae, le robot vaillant et imprévisible…

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Les fidèles de Futura-Sciences ont suivi l'atterrissage le 12 novembre 2014 sur notre page spéciale (http://www.futura-sciences.com/live/), où le direct sur cet événement est toujours disponible.

Mission phare de l’Agence spatiale européenne, Rosetta doit pour la première fois installer une sonde en orbite autour d’une comète et y poser un atterrisseur. Décidée en 1993, elle a été lancée le 3 mars 2004 et a atteint 67P/Churyumov-Gerasimenko en août 2014, et y a déposé l'atterrisseur Philae le 12 novembre 2014.

Futura-Sciences a suivi cette longue saga. Revivez ses moments clés en suivant ces liens :

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronomie-philae-bonne-nuit-tu-as-magnifiquement-travaille-56044/

La Terre vue de l’intérieur, le message pour l'humanité. Le secret de Shambhala

Un message canalisé émanant de l'un des instructeurs de la Cité Sacrée de Shambala dont nous devons tenir compte.

En effet, tous les hommes, ont la capacité de se connecter aux divers mondes par la pensée qui est une énergie électrique qui voyage et notamment au monde intérieur de la Terre qui vit à la 7ème dimension et se nourrit du prâna et de l'énergie du Cristal.

Avec notre évolution neurologique et spirituelle, notre ADN est en voie de devenir cristallin ou Christ-à-l'UN, l'UNI-TE, tout comme la Terre a activé à partir de 2012, son coeur cristallin ou l'énergie du féminin sacré.

Heureusement que ces êtres spirituels existent, parce que la Terre aurait explosé depuis longtemps s'ils n'avaient pas été là pour la purifier et la protéger des agressions reptiliennes, atomiques et des énergies négatives. Ils utilisent pour ce faire, les énergies cosmiques, la lumière avec les 7 rayons de couleurs de l'arc-en-ciel qui agissent comme des rayons lasers de purification, les sons cosmiques pour harmoniser les vibrations de la Terre, et les 4 éléments pour nettoyer la Terre des énergies négatives.

Avec notre ouverture de conscience et l'activation de notre ADN cristallin, qui nous permettront d'accéder à d'autres dimensions, et les zélites qui refusent de dévoiler leur présence et leur proposition d'aide. Attendez-vous à les voir apparaître de plus en plus  souvent, près de vous, sans en avoir peur, car ils ne violeront jamais votre libre-abrite, comme le font les reptiliens depuis des millénaires. Ils sont là pour nous aider et non pas pour prendre le contrôle sur nous ni sur la planète.

Attendez-vous aussi à voir des manifestations de plus en plus fréquentes d'OVNIS qui seront là pour nous familiariser petit à petit à leur présence et éviter de nous faire peur de ce que l'on nous cache depuis des millénaires et qui pourrait nous faire peur. Ils devront sûrement intervenir pour stopper ou temporiser les cataclysmes, si nous le leur demandons. Ils prendront seulement le contrôle si tous les cataclysmes ou les guerres atomiques devaient mettre en danger la Terre qui est une cellule reproductrice de l'Univers et qui devrait déstabiliser le système solaire.

Dans ce message on nous annonce une guerre et des cataclysmes terribles provenant de la Terre qui se défend avec l'aide du Soleil qui s'active pour l'aider à se secouer des parasites qui l'encombre, car tout est lié dans l'Univers sur le plan électrique y compris avec nos propres souffrances qui résonnent comme des sons et des échos, et des appels à l'aide dans et vers l'UNI-VERS.

La seule solution que la Terre connaisse pour se purifier, c'est d'inverser ses pôles magnétiques ou électriques pour que tout ce qui est électrique sur Terre, y compris la bombe atomique qui a été créée sur la base de l'électromagnétisme terreste, soit annulé. Nous pouvons annuler ce cycle d'inversion des pôles, si nous demandons de l'aide aux êtres de Lumière d'intervenir pour nous aider. Vous avez votre libre-arbitre pour faire vos choix, ICI et MAINTENANT !

La Terre vue de l’intérieur

Bonjour mes amis de la Terre de surface.


Vous ne me connaissez pas et le canal que j’utilise aujourd’hui pour venir communiquer avec vous, très peu également.
Othar
Je suis Othar, l’un des administrateurs du monde intérieur, ce que certains d’entre-vous appellent la Terre creuse et d’autres le "magma", le noyau de la Terre, notre belle planète. Tout d’abord, j’emploie le terme "administrateur", c’est uniquement pour me faire comprendre par vous. En fait, j’aurais peut-être dû utiliser "instructeur", ou "conseiller", ou "responsable", ou "enseignant"… tellement de facettes comporte mon rôle dans notre communauté.

La Terre est creuse et peuplée
Othar
Othar

Si je suis venu aujourd’hui vous parler, c’est pour briser les idées reçues, comme quoi la Terre, cette belle planète que vous connaissez, à la surface de laquelle vous habitez, n’est pas une "boule de feu" qui a refroidi et est encore en fusion à l’intérieur. Oui, elle l’a été il y a des milliards de vos années terrestres, mais depuis très longtemps – de votre temps – elle s’est transformée, au fil du temps pourrais-je dire… pour devenir, comme les autres planètes de votre système solaire, des sortes de "coquilles" comportant une couche externe, comme la peau d’une orange qui serait vide à l’intérieur… et bien sûr un soleil interne qui nous apporte la vie.
Othar
Notre monde s’efforce de communiquer avec le vôtre, depuis votre 19e siècle, pour ce qui est de votre société actuelle.
Je dis bien "s’efforce", car si nous avons démontré depuis longtemps à vos dirigeants que nous souhaitons vous aider à évoluer, à progresser, sans arrières pensées, ainsi que nos frères d’autres planètes l’on fait également… nous n’avons pas été écoutés.
Othar
Aussi, nous observons et attendons le moment où nous pourrons nous rencontrer ouvertement, sans contrainte aucune. Ce jour arrive où nous dialoguerons, vous et nous, et également avec ceux venus de l’extérieur de la Terre. Oui nos populations de l’intérieur et de l’extérieur sont semblables et nous aurions tous à gagner de vivre en parfaite intelligence, simplement avec des pensées d’amour plutôt que de contrôle. Nous sommes prêts à cela, et savons que pour vous, peuples de la surface, ce moment arrive.

Q : Veux-tu nous dire Othar, que toutes les planètes du système solaire sont creuses et habitées à l’intérieur, comme à l’extérieur ?
Othar
R. : Ceci est exact, toutes les planètes de votre/notre système solaire sont effectivement habitées. Certaines plus à l’intérieur qu’en surface, d’autres, comme la Terre, les deux…

Q. : Mais comment viviez-vous ? Avez-vous de l’oxygène pour respirer ? Viviez-vous comme nous qui sommes "sur la Terre", à la surface comme tu dis… ou bien différemment ?
Othar
R. : 
Attends ne sois pas impatient ! pas tout en même temps !
Effectivement, nous vivions comme vous dans un milieu composé d’eau et d’air, et respirions de la même manière… nous sommes constitués exactement comme vous. Seule différence : notre taille… nous mesurons en moyenne quatre mètres de hauteur. Mais nous nous alimentons comme vous, du moins presque comme vous puisque nous ne consommons que de la nourriture végétale et de l’énergie, sous forme fluidique ce que vous appelez prâna.

Q. : Vu la différence de taille, alors ce serait difficile de se côtoyer sur la Terre, avec notre population humaine ?
Othar
R. : Sois sans crainte, nous avons la possibilité de ne pas apparaître "physiquement" ou "visuellement" si tu préfères, comme maintenant… ou bien, nous avons aussi la possibilité pour la plupart d’entre-nous, de nous "adapter" à la taille de nos interlocuteurs, si nous le souhaitons… lorsque nécessaire… exemple, si je devais pénétrer dans la salle où tu es installé pour écrire actuellement !

Q. : Alors, vous pouvez vous "promener" parmi nous, incognito ?
Othar
Othar

R. : Exactement ! Nous sommes constamment, du moins certains d’entre-nous, parmi vous, tout comme ceux de l’extérieur à la Terre. Sois nous restons "invisibles" à vos yeux habitués à "voir" dans la basse énergie de la 3e dimension, sois nous "jouons les caméléons" en nous adaptant à votre perception des autres, ceux que vous côtoyez journellement.
Oui, je sais que cela te surprends, mais nous pouvons très bien prendre l’apparence, la taille, la voix, la sensibilité d’un de vos voisins, de vos proches… ou d’un terrien lambda… !
Othar
Je perçois ta question : dans quel but ?
Et bien simplement pour ne pas faire peur – ou augmenter les peurs – de votre population. Nous ne souhaitons que vous aider à sortir du marasme où vous vous trouvez actuellement, et vivre en harmonie avec vous… rien de plus.
Othar
Ne crois-tu pas que ce serait agréable pour tout le monde, si au lieu de dépenser énergie et ressources à faire la guerre par cupidité, vous décidiez de tout mettre en commun, de partager et de venir nous rendre visite ?

Q. : Mais comment vous "rendre visite" ?
Othar
R. : 
Nul besoin de moyens "matériels" pour cela, utilisant l’énergie fossile ou nucléaire comme vous le faites actuellement. Non, il vous suffit comme certains d’entre-vous savent le faire, d’utiliser l’Énergie Universelle pour être ailleurs, quand vous voulez et où vous voulez… dans certains cas en utilisant des vortex énergétiques déjà en place, comme "ascenseurs"…
Othar
Mais cela vous est actuellement confisqué par certains de vos dirigeants qui savent, mais qui confisquent le savoir pour des raisons de pouvoir.
C’est pour cela que dans cette absurdité, ils préfèrent organiser le chaos… C’est dommage, mais vous serez obligés d’en passer par là, pour reconstruire ensuite.

Q. : Veux-tu dire que nous nous dirigeons tout droit vers de grandes guerres, de grands cataclysmes ?
Othar
R. : 
Oui c’est cela. Néanmoins, nous et ceux qui viennent de l’extérieur de la Terre, ne laisseront pas certains d’entre-vous détruire la planète. Si nous n’intervenons pas maintenant, alors qu’autant que ceux de l’extérieur, nous en avons la capacité, c’est pour respecter vos choix, votre libre arbitre, dans la conduite de vos propres expériences.
Othar
Othar

Mais votre liberté d’action sera stoppée lorsque vous atteindrez les limites de l’inacceptable, de la mise en danger des autres populations, intérieures ou extérieures, ainsi qu’aux planètes du système solaire, elles-mêmes.
Othar
N’oublies pas que la Terre, notre belle planète à vous habitants de la surface, comme à nous habitants de l’intérieur, est un être vivant, un être à part entière. Et malgré tous les soins que nous pouvons lui prodiguer, cet être souffre actuellement, souffre beaucoup plus que vous ne pouvez l’imaginer, de voir les bêtises que vous humains, faites contre vous-mêmes.
Othar
C’est pourquoi elle commence à réagir et se secoue, comme un chien qui se secoue pour chasser les puces qui l’agressent. Ces secousses de surface, il y en a de plus en plus, de plus en plus fortes, afin de nettoyer et de ramener la compréhension à celles et ceux qui veulent bien le comprendre.
Othar
Tout ce que vous faites de négatif, de nuisible, en pensées et en actions, ne fait qu’accélérer le processus de "nettoyage" en cours.
Othar
Il semblerait qu’en votre âme, beaucoup d’entre-vous aient choisi cette solution radicale… A leur aise, cela leur permettra de rejoindre plus vite les mondes où ils seront "en phase" vibratoirement. Quant aux autres, vous qui lisez ces lignes, – car ce n’est pas un hasard si vous le faites aujourd’hui – ces événements constitueront un véritable accélérateur à leur prise de conscience.

Q. : Mais alors, ce qui est "annoncé" arrive ?
Othar
Othar

R. : Oui… je ne te dirais pas que c’est pour "bientôt", car ce processus est en cours et va en s’accélérant… jusqu’au moment où la partie de la population qui en prendra réellement conscience, décidera de fonctionner différemment que maintenant. Et alors là, voyant que la leçon est comprise, la Terre cessera de s’ébrouer et une ère de sérénité s’installera ; ce que l’on vous a déjà nommé comme le Nouveau Monde… C’est une belle image, dans le sens que Oui, tout sera nouveau… mais vous allez devoir reconstruire avant de pouvoir "souffler" un peu !
Othar
Je vous envie presque, mes amis, d’avoir l’opportunité aujourd’hui de pouvoir faire les bons choix qui conditionnent votre futur, votre évolution, tant personnelle que collective… Et tout ira de plus en plus vite.
Othar
Je reviendrai vous parler une autre fois, maintenant que je dispose de quelqu’un pour me servir d’intermédiaire.
Othar
Votre ami
Othar

Message d’Othar, reçu le 13 novembre 2014 par
Jean-Paul Thouny

http://www.energie-sante.net/ng/?p=1340

couverture
 
 
 
       
   
LE SECRET DE SHAMBHALA
La quête de la onzième prophétie
   
James REDFIELD

Traduit par
Yves COLEMAN
Un thriller captivant et visionnaire...De tous les livres de Redfield, le plus proche de «La Prophétie des Andes».
Des messages énigmatiques poussent le héros et narrateur familier aux lecteurs de Redfield à entreprendre une nouvelle quête. La fille de son voisin le presse mystérieusement de partir pour le Tibet. Puis Wil, son compagnon d'aventures, lui donne rendez-vous d'urgence à Katmandou sans plus d'explications. Intrigué, le héros est alors entraîné dans un voyage plein de rebondissements. À Katmandou, Wil n'est pas au rendez-vous et c'est un Tibétain, Yin, qui l'accueille et lui enjoint de l'accepter comme guide dans une entreprise qu'il lui annonce périlleuse mais dont il dit ne pouvoir lui dévoiler le contenu. Le narrateur n'a pas le loisir d'écouter ses craintes: à peine se sont-ils rencontrés que les deux hommes sont poursuivis par la police chinoise et contraints de fuir vers l'Himalaya. Arrivé dans un monastère isolé, le héros apprend enfin, de la bouche d'un lama, la mission dont il est chargé: découvrir un lieu mythique de la religion bouddhiste tibétaine, Shambhala, que seuls décrivent les légendes et les rêves. C'est d'ailleurs un rêve qui l'a désigné pour ce voyage initiatique. Et c'est de sa réussite que dépend l'avenir spirituel de l'humanité. D'après les légendes, les hommes qui vivent à Shambhala ont accédé à un niveau de conscience et d'énergie jamais atteint jusque-là. Or, les temps actuels sont des temps de transition, les inégalités et les maux engendrés par une mauvaise utilisation de la technologie ne pourront être enrayés que si l'humanité accède à un niveau de conscience spirituelle supérieur. Il faut rejoindre ces précurseurs de notre évolution future que sont les habitants de Shambhala afin de comprendre le chemin que doit suivre l'humanité. Pour y parvenir, le héros doit lui-même apprendre à générer et à maîtriser son énergie spirituelle. Poursuivi par les Chinois, qui traquent toute trace de spiritualité et s'inquiètent de l'espoir que soulève Shambhala, aidé par les dakinis, ces anges protecteurs qu'il apprend à convoquer et à entendre, le héros découvre peu à peu le contenu initiatique de Shambhala, parvient à pénétrer dans la cité et retrouve Wil. Mais les hélicoptères chinois le suivent de près et il assiste à la disparition de cette pépinière d'humains connectés à l'énergie divine. À lui seul désormais de mettre en place les moyens qui faciliteront l'éclosion spirituelle de l'humanité.

L’hypnotisant pôle Nord de Saturne, en forme d'héxagone

 

Saturne, le Seigneur des AN-NEAUX, la planète que les Juifs honorent, en fêtant leur Shabbat, le samedi, le jour de la semaine qui correspond à Saturne.

Comme vous le savez chaque jour de la semaine correspond à une planète ou au Soleil.

Lundi = Lune, Mardi = Mars, Mercredi = Mercure, Jeudi = Jupiter, Vendredi =
Vénus, Samedi = Saturne, Dimanche : Soleil, Sun ou Son, le fils.

Ainsi les musulmans, fêtent Vénus, le vendredi et les Chrétiens, fêtent le Soleil, le Dimanche.

 

L’hypnotisant pôle Nord de Saturne

23 octobre 2014

Le pôle Nord de Saturne exhibe une forme unique dans le système solaire : un hexagone abritant en son centre un ouragan gargantuesque. Laissez-vous envoûter.

Ce surprenant hexagone a été observé pour la 1ere fois en 1981 par la sonde américaine Voyager 2. Il est délimité par un « jet-stream », un courant d’air rapide et confiné comme celui utilisé sur Terre par les avions pour relier plus vite New-York et Paris. L’orbiteur Cassini a permis d’en préciser les contours et détails. Mesurant près de 14 000 km, chaque côté de l’hexagone est plus grand que le diamètre de la Terre. L’œil central de l’ouragan fait plus de 2 000 km de large et entraîne les nuages dans le sens contraire des aiguilles d’une montre à des vitesses supérieures à 500 km/h. D’autres vortex plus petits (visibles en rose) tournent à l’intérieur même de l’hexagone. Certains dans le sens des aiguilles d’une montre.


L'hexagone et l'ouragan en mouvement. Cette vidéo combine 8 vues du pôle Nord de Saturne prises le 10 décembre 2012 sur une durée de 10h. Crédits : NASA/JPL-Caltech/SSI/Hampton University.

Arrivé en 2004, l’orbiteur Cassini a dû attendre quelques années avant de prendre une telle image car jusqu’en août 2009, le pôle Nord de Saturne était plongé dans le noir de l’hiver : aucun rayon solaire n’arrivait à son sommet. Il a fallu donc patienter surtout qu’une année saturnienne dure 29 ans… Il a fallu aussi attendre que Cassini se place sur une orbite polaire. L’image présentée ici a été obtenue le 10 décembre 2012. Elle combine les émissions reçues dans le domaine de la lumière visible mais aussi des rayonnements ultraviolets et infrarouge. Le résultat est bien entendu en fausses couleurs et donne un côté un peu psychédélique à cet hexagone qui reste, plus de 30 ans après sa découverte, toujours énigmatique.

Focus : Cassini-Huygens est une coopération internationale entre l’agence spatiale américaine (NASA), européenne (ESA) et italienne (ASI). C’est la 1ere mission spatiale consacrée à l’exploration de Saturne. La France y participe via sa contribution au programme scientifique de l’ESA et, sur le plan national, en contribuant à la moitié des expériences embarquées.

Découverte d'un HEXAGONE sur Saturne

Ajoutée le 12 oct. 2014

L'étrange tourbillon nuageux qui a élu domicile au pôle Nord de Saturne ne montre aucun signe de faiblesse. Cette nouvelle image, prise par la sonde Cassini le 2 avril 2014, et rendue publique le 4 août, en atteste.


Le vaisseau automatique était alors à 2,2 millions de km de Saturne et grâce à son orbite très inclinée, il a pu prendre cette vue plongeante sur le pôle Nord de la géante gazeuse. Ce zoom sur le centre de l'hexagone nuageux qui occupe la région la plus australe de Saturne permet de confirmer la taille du vortex qui s'est creusé à l'endroit même du pôle : 2000 km de diamètre. En ce lieu, les vents circulaires sont mesurés à plus de 500 km/h !

L'hexagone de Saturne avait été aperçu par les sondes Voyager en 1980 et 1981. Le vortex avait été clairement identifié pour la première fois en 2008 grâce aux caméras infrarouges de Cassini, alors que le pôle Nord de Saturne était encore plongé dans la nuit. Ce n'est qu'en 2012 qu'une photo très détaillée a pu être obtenue. Ce phénomène météo pourrait subsister pendant des siècles.

Découverte d'un HEXAGONE sur Saturne


15/11/2014

Comète Tchoury. Des images curieuses de la comète

Quelques signes que nous avons remarqués sur quelques photos prises de la comète Tchoury que nous laissons à votre appréciation.

 

Sur la droite de la photo, ci-dessous, on voit ce qui pourrait ressembler à une sculpture représentant un chat avec un oeil et un museau bien visibles et bien dessinés.

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Une tête de singe dans le cercle rouge

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