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16/09/2015

Mise à jour : Impact astéroïde pour le 28 septembre 2015 à Houston au Texas ? Censures de la NASA et de Google !

Merci de relire l'article pour prendre connaissance des mises à jour effectuées avec de nouvelles captures d'écran et les prévisions qui avaient été faites par la NASA. 

Les captures d'écran nous indiquent qu'un impact est prévu pour le 28 septembre prochain et que les plus récents calculs estiment que l'objet a 70% des chances de s'écraser à 100 miles ou 160 kms au sud de Houston au Texas, 45% sur Puerto Rico et 88% dans le Golfe du Mexique. Il est ajouté que des vagues géantes déferleront vers les côtes, d'une hauteur pouvant aller jusqu'à 250 pieds ou 76 m, atteignant 50 miles ou 80 kms à l'intérieur des terres. Le nombre de morts estimé est de 20 à 100 millions de personnes à travers l'Amérique, les Caraïbes, l'Afrique et l'Europe.  

L'objet en question est l'astéroïde 2015 PDC H-5.

Ce qui expliquerait l'opération Jade Helm 15 qui semble s'être terminée le mardi 15 septembre 2015, après 2 mois d'opération et de préparatifs.

Vous rappelez-vous de l’exercice militaire du nom de Jade Helm 15 ? C’est terminé

L’exercice militaire baptisé du nom de Jade Helm 15 a généré tellement de théories du complot cette année qu’elles ont été la cible de moqueries dans des émissions, citant des commentaires de candidats à la présidentielle 2015 et la réaction du gouverneur du Texas. L’inquiétude à la base était la suivante : l’armée a posé les fondations pour implémenter la loi martiale sur le territoire, si ce n’est pas maintenant alors ça sera dans le futur.

L’exercice se terminera silencieusement mardi, cependant. Il s’est déroulé dans des parties du Texas, du Mississippi, de la Louisiane et de la Floride et représente deux mois d’opérations, a dit Suzanne Nagle, une porte-parole pour le Army Special Operations Command qui l’a supervisé.

 

*********************************

Impact d’astéroïde ou pas le 28 septembre 2015 à Houston au Texas ?

Quand la Nasa et Google manipulent et censurent les informations concernant un impact d’astéroïde qui aurait lieu à Houston au Texas, le 28 septembre 2015, le jour même où doit se tenir l’assemblée générale de l’ONU à NY et qui devrait rassembler quelques chefs d’états et le Pape.

Nous allons vous demander de tester la censure de Google en tapant dans son moteur de recherche les phrases mentionnées ci-dessous.

Nous savons qu’en les mentionnant sur le blog nous risquons d’être censurés par Google, mais nous voulons en avoir le cœur net après plusieurs censures sur nos recherches.
A vous donc de vérifier si vous subissez la même censure que nous et si la NASA et Google voudraient nous cacher une information capitale.

Voici les phrases à rentrer dans le moteur de recherche de Google :

This webpage is CLASSIFIED.  Please refer to file #7566
of the internal classification code fort further category placement.

The September 28, 2015 Asteroid Impact #CLASSIFIED

 

En sachant que si une information a été enregistrée par Google et même si elle a est supprimée, nous devons la retrouver en cache. Or, même les sites américains qui ont traité de cette information ne sont pas accessibles non plus car Google reconnaît l’adresse IP et vous empêche d’accéder aux dits sites :

Explications :

Nous avons voulu vérifier si les informations données dans un article mis en ligne sur le site de Benoît BENGARNEAU étaient exactes et s’il demeurait encore des traces de l’article mis en ligne par la NASA.

L’article : Est-ce que la NASA a vraiment effacé une information sur un impact d'astéroïde pour le 28 septembre ?

La vidéo qui fait relation à l’article qui a été supprimé sur le site de la NASA pour être remplacé par un autre qui prévoit un impact d’astéroïde pour l’année 2022.

COMMUNIQUÉ SPÉCIAL DU 13 SEPTEMBRE 2015

Les précédents titres de la page modifiée par la suite sur le site de la NASA étaient ceux-ci, avec l’image de l’article ci-dessous :

This webpage is CLASSIFIED.  Please refer to file #7566 of the internal classification code fort further category placement.

The September 28, 2015 Asteroid Impact #CLASSIFIED

http://neo.jpl.nasa.gov/pdc15/

Nouvelle image (1).jpg

 

106dcvc1442072039.jpg

 

Extrait du bas de l'image sur lequel nous pouvons lire qu'un impact d'astéroïde aurait lieu le 28 septembre 2015 près de Houston, Texas.

106dcvc1442072039-2.jpg

Suite de la page Internet sur le site de la Nasa.

72g0zk1442072085.jpg

Les captures d'écran nous indiquent qu'un impact est prévu pour le 28 septembre prochain et que les plus récents calculs estiment que l'objet a 70% des chances de s'écraser à 100 miles ou 160 kms au sud de Houston au Texas, 45% sur Puerto Rico et 88% dans le Golfe du Mexique. Il est ajouté que des vagues géantes déferleront vers les côtes, d'une hauteur pouvant aller jusqu'à 250 pieds ou 76 m, atteignant 50 miles ou 80 kms à l'intérieur des terres. Le nombre de morts estimé est de 20 à 100 millions de personnes à travers l'Amérique, les Caraïbes, l'Afrique et l'Europe. 

 

L'objet en question est l'astéroïde 2015 PDC H-5.

Puis les titres de la page sont transformés en ceux-ci :


This webpage does not describe a real potential asteroid impact. The information on this page is fictional and provided only to support an emergency response exercise conducted during the International Academy of Astronautics (IAA) 2015 Planetary Defense Conference in Frascati, Italy, April 13-17, 2015. This is only an exercise. http://neo.jpl.nasa.gov/pdc15/

 

En français : Cette page ne ​​décrit pas un impact réel d'astéroïde potentiel. L'information sur cette page est fictive et fournie seulement pour soutenir un exercice d'intervention d'urgence mené au cours de l'Académie internationale d'astronautique (IAA) 2015 Conférence Planetary Defense à Frascati, en Italie, Avril 13-17 2015. Ceci est seulement un exercice.

The 2015 PDC Hypothetical Asteroid Impact Scenario

 
La nouvelle image transformée qui apparait sur le site de la NASA

Nouvelle image (3).jpg

Or, lorsque nous avons fait des recherches sur Google avec les premiers titres qui apparaissaient dans le premier article mis en ligne par la NASA, nous nous sommes heurtés au moins à 10 censures de Google qui enregistre notre adresse IP, la date et l’heure de la requête, ainsi que le lien de la recherche.

Les phrases donc pour les recherches.

 

1 - This webpage is CLASSIFIED.  Please refer to file #7566 of the internal classification code fort further category placement.

 Ou

2 - The September 28, 2015 Asteroid Impact #CLASSIFIED

Plusieurs censures de Google nous sont opposées y compris sur les sites qui parlent de cette information de la NASA.

 Voilà comment Google vous bloque à plusieurs reprises lors de la recherche :

Nouvelle image (2).jpg

Dessous sont notés :

Adresse IP : xxxxxxxx
Date et Heure :xxxxxxxxxxxxxxxx

URL de la recherche : xxxxxxxxxxxxxx

 


11/09/2015

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Encore des preuves que nous ascensionnons vers le Grand Attracteur tout en traversant au cours de notre voyage des zones cosmiques différentes dans lesquelles nous sommes bombardés par des particules d’antimatière ou positon ou positron qui transforment la matière en profondeur, et en énergie ou en lumière cosmique, et qui activent notre ADN, tout en nous faisant évoluer sur les plans neurologique et spirituel !

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Les réponses se trouvent, sans doute ci-dessous :

 

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Déjà en 2013, le CNRS en parlait :

CNRS : L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace

 

Paris, 3 avril 2013

Extrait : La collaboration internationale du spectromètre magnétique Alpha AMS, qui implique le CNRS pour la partie française, publie ses tout premiers résultats dans sa quête d'antimatière et de matière noire dans l'espace. Les premières observations, basées sur l'analyse de 25 milliards de particules détectées durant les 18 premiers mois de fonctionnement, révèlent l'existence d'un excès d'antimatière d'origine inconnue dans le flux des rayons cosmiques. Ces résultats pourraient être la manifestation de l'annihilation de particules de matière noire telle qu'elle est décrite par certaines théories de supersymétrie, même si des analyses complémentaires seront nécessaires pour vérifier une telle origine révolutionnaire.

 

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques ?

 

Par Patricia Courand | mardi 23 septembre 2014

 

L'expérience AMS (Alpha Magnetic Spectrometer), actuellement à bord de la Station Spatiale Internationale (ci-dessus), vient de publier de nouveaux résultats, basés sur l'enregistrement de 41 milliards de particules cosmiques. Crédits : CERN

Les physiciens en ont acquis la certitude au cours de ces dernières années : les rayons cosmiques contiennent une proportion anormalement élevée de particules d'antimatière, dont l'origine est pour l'instant inconnue. Or, de nouveaux résultats issus d'une expérience menée sur la Station Spatiale Internationale pourraient aider à lever le voile sur ce mystère.

 

Les rayons cosmiques sont des particules très communes dans l'Univers : principalement constituées de protons et d'électrons, ces particules bombardent en permanence la Terre. Mais aux côtés des protons et des électrons, il se trouve que les rayons cosmiques sont également constitués d'un autre type de particule : les positons (ou positrons). Les positons ? Ce sont des particules d'antimatière, cette forme "miroir" de la matière (en savoir plus sur l'antimatière sur le site du CERN : "A la recherche de l'antimatière"). Les positons ressemblent à s'y méprendre aux électrons (ils ont la même masse) à ceci près qu'ils sont de charge opposée (on dit que le positon est l'antiparticule de l'électron).

 

Or, au cours de ces dernières années, en utilisant les données fournies par le satellite Pamela en 2008, puis par le satellite Fermi, et enfin plus récemment la Station Spatiale Internationale (ISS), les physiciens ont observé un fait étrange : le flux de rayons cosmiques heurtant en permanence notre planète se caractérise par un excès inexpliqué de positons (donc par un excès d'antimatière).

 

Pour bien comprendre ce dont il s'agit ici, rappelons d'abord que les particules sont chacune dotées d'un niveau d'énergie, se mesurant en électron-volt (eV). Or, lorsque les physiciens ont commencé à analyser les caractéristiques des flux de rayons cosmiques enregistrés par Pamela, Fermi puis l'ISS, ils ont découvert que pour les électrons et les positons dont le niveau d'énergie était compris entre 10 GeV (Giga electron-Volts) et 250 GeV, la proportion de positons par rapport à la totalité des positons et des électrons augmentait avec le niveau d'énergie. En d'autres termes, plus le niveau d'énergie des électrons et des positons étudiés tend vers 250 GeV, et plus la proportion de positons par rapport à la totalité des électrons et des positons augmente. En revanche, lorsque le niveau d'énergie des particules considérées dépasse ce cap, cette augmentation cesse brutalement (on parle d'un phénomène de "coupure").

 

D'où vient cet excès de positons ? Jusqu'ici, deux hypothèses étaient envisagées : ces positons pourraient soit provenir de quasars situés à proximité de notre galaxie (les quasars (vidéo) sont des noyaux de galaxies lointaines, qui présentent la particularité d'être extrêmement brillants), soit être... des particules de matière noire.

 

La matière noire ? Il s'agit de cette mystérieuse forme de matière qui serait présente en grande quantité dans l'Univers : invisible (car n'émettant aucun rayonnement électromagnétique), elle ne dévoilerait sa présence que par les effets gravitationnels qu'elle induirait sur les corps alentours (pour plus d'informations sur la matière noire, lire cet article publié sur le site du Laboratoire CNRS d'Annecy-le-Vieux de Physique Théorique).

 

Or, de nouveaux travaux menés sur la base des données fournies par le détecteur de particules AMS, installé à bord de l'ISS, viennent d'apporter des éléments nouveaux. Ces résultats, reposant sur l'enregistrement de 41 milliards de particules dans des énergies de 0,5 GeV à 500 GeV et incluant 10 millions de positons et électrons, ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters.

 

Que révèle cette nouvelle étude ? D'une part, elle affine le seuil de niveau d'énergie au-delà duquel la proportion de positons cesse d'augmenter (la "coupure"). Ce seuil serait à 275 GeV, plutôt que 250 GeV. Ce premier résultat est important car le fait de confirmer et de préciser l'existence de cette coupure plaide en faveur de l'hypothèse selon laquelle ces positons seraient des particules de matière noire. En effet, plusieurs théories prédisent l'observation d'un tel excès de positons qui résulterait de l'annihilation de particules de matière noire, avec à la clé une "coupure" aux énergies élevées (comme c'est donc le cas ici).

 

Autre résultat d'importance, fourni par cette nouvelle étude : il conforte le scénario d'un excès anormal d'antimatière dans les rayons cosmiques. Jusqu'ici en effet, il était toujours possible d'envisager que la proportion excessivement élevée dans les rayons cosmiques des positons par rapport à la totalité des positons et des électrons ne soit en réalité que la conséquence d'un déficit d'électrons, en lieu et place d'un excès de positons. Or, ces nouveaux travaux montrent que ce phénomène n'est pas le produit d'un déficit d'électrons : il y a effectivement un excès de positons par rapport aux électrons, pour des niveaux d'énergie compris entre 10 GeV et 275 GeV. En d'autres termes, des particules d'antimatière d'origine inconnue sont bel et bien présentes dans les rayons cosmiques.

 

Ces travaux ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters, sous le titre "High Statistics Measurement of the Positron Fraction in Primary Cosmic Rays of 0.5–500 GeV with the Alpha Magnetic Spectrometer on the International Space Station" .


 Quasars: tueurs ou créateurs de galaxies ?

Les galaxies sont-elles nées d'un trou noir ? Le jet des quasars, ces trous noirs supermassifs au coeur des galaxies sont-ils à l'origine de la naissance des étoiles avant de les avaler ? Premier épisode d'une collection de Web docu sur l'astrophysique au XXIe siècle. Réalisateur: Pierre-François Didek (Karamoja Productions). Directeur de collection: Vincent Minier (Laboratoire AIM Paris-Saclay). 


 

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Une vidéo pour comprendre ce qui se passe actuellement sur Terre avec l’apparition de particules d’antimatière qui déroute les scientifiques et qui est sans doute, le simple résultat de notre ascension vers le Grand Attracteur.

Encore une preuve que l'Univers est électrique composé de charges électriques positives ou négatives, comme dans le courant électrique.

Qu'est-ce que le positon ou le positron ?

En physique des particules, le positron ou positon1, encore appelé antiélectron, est l'antiparticule associée à l'électron. Il possède une charge électrique de +1 charge élémentaire (contre -1 pour l'électron), le même spin et la même masse que l'électron. C'est la première antiparticule découverte, ce qui explique qu'elle n'ait pas le nom composite d'« anti-électron ».

 

Est-ce que l'Annihilation des électrons par les positons représente la destruction de la matière ?

Sûrement pas ! La disparition de l'une ou l'autre des particules donne naissance à une libération d'énergie ou à un rayonnement de lumière de haute énergie ou rayons gamma.

La mort n’existant pas dans l’Univers, il ne peut s’agir que de transformations.

Annihilation (Positron - Electron) un rayonnement se produit quand un électron (de charge négative) entre en collision avec un positron (positivement changé et anti-particule de l'électron). Le résultat habituel est l'émission de deux photons de rayons gamma - chaque voyageur à une distance l'une de l'autre de511 KeV. L'exemple dans ce glossaire montre la décroissance de F-18 par émission de positons suivie par le rayonnement d'annihilation résultant. Ce processus a des applications dans la tomographie par émission de positons (TEP).

* - l'annihilation ou l'anéantissement entre une particule et son antiparticule consiste en la disparition de l'une et de l'autre, donnant lieu à libération d'énergie.

* - On peut avoir production de photons d'annihilation lors de la désintégration  β+.

* - la période d'annihilation électrons-positrons est un nom donné à un stade du Big Bang.



Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques ( 25 avril 2007)

Conférence donnée le 25 avril 2007 par Peter Von Ballmoos dans le cadre des Grands Séminaires de l'Observatoire Midi-Pyrénées.

Qu'est-ce que l'antimatière ? A quoi ressemble-t-elle? Où peut-on l'observer ? Peut-on la fabriquer sur Terre ? A quoi sert-elle ? Ce sujet donne matière à toutes ces questions et nous amènera à discuter de l'annihilation de vastes quantités d'antimatière au centre d¬e notre Voie Lactée. Comme nous le verrons, l'antimatière n'est pas que du domaine de la Science-Fiction : notre propre monde de matière produit parfois des particules d'antimatière. Par exemple : lors de la décroissance de certains éléments radioactifs des positrons - les électrons d'antimatière - sont émis de façon naturelle, et lorsqu'un positron rencontre un électron il s'annihile dans un flash de lumière. La masse de ces deux particules se transforme alors en rayonnement, selon la célèbre relation E=mc2 d'Einstein. Le satellite INTEGRAL observe actuellement ce rayonnement et fait apparaître notre ciel sous une lumière singulière : une émission d'annihilation électrons-positrons qui semble provenir d'une seule région étendue - la partie centrale de notre Voie Lactée - et qui correspond à l'annihilation de 15 milliards de tonnes de positrons par seconde !

 

Pour en savoir plus sur le site du CERN

Où est passée l'antimatière ? ICI 

 

 

Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Fig21.jpgSi vous aviez encore des doutes sur le fait que nous soyons en voie d’ascensionner et pas seulement la Terre ni notre système solaire, mais l’ensemble de la Galaxie et toutes les galaxies contenues dans Laniakea vers le Grand Attracteur découvert au sein de Laniakea, notre nouvelle adresse cosmique qui marque les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons. Vous avez la preuve scientifique que nous sommes tous condamnés à ascensionner et à évoluer grâce aux nouvelles énergies cosmiques que nous traversons tout au long de notre parcours d’évolution et qui nous entraînent irrévocablement vers le Grand Attracteur, et ce, à une vitesse de 22 680 km/h.

 

Si nous rajoutons la vitesse à laquelle extrêmement rapide de 828 000 km/h à laquelle se déplace le soleil qui n’est pas stationnaire. L'ensemble de notre système solaire ascensionnant en spirale vers le centre de la galaxie, il se pourrait bien que nous soyons en train d’ascensionner à la vitesse de : 22 680 km/h +  828 000 km/h = 850 680 k/h.

 

Au cours de notre ascension il est donc normal que les puissants rayonnements cosmiques changent en fonction du nouvel environnement cosmique que nous traversons et plus nous nous rapprochons du Grand Attracteur, et plus les rayonnements cosmiques sont puissants et lumineux, et transforment donc la matière en profondeur, activant ainsi tout naturellement notre ADN.

 

Nous sommes donc tous en cours de Grand déménagement vers le Grand Attracteur qui se trouve au sein de Laniakae !


Quel plus beau cadeau l’Univers créateur pouvait-il nous faire ?

 

Petits rappels d’articles précédents :

* La Terre ne tourne pas autour du Soleil, elle ascensionne en spirale avec l'ensemble de notre système solaire.

* Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

* la nature cyclique de l'univers

Ballade dans l’univers : à la découverte de Laniakea | Hélène Courtois | TEDxLyon

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Une ballade et une aventure exceptionnelles dans l'infiniment grand et ses secrets.

Astrophysicienne-cosmologue lyonnaise, Hélène Courtois a découvert les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons : "Laniakea".

Ce travail de longue haleine a fait la Une de Nature. La vidéo publiée sur ce thème par la prestigieuse revue a comptabilisé plus de 2,5 millions de vues lors du premier mois de sa diffusion (novembre 2014). http://ted.com/tedx

 

 

Nouvelle adresse cosmique

Nouvelle image.jpg

 

 

 

29/08/2015

VIDEO. Notre Voie lactée a une nouvelle adresse cosmique, Laniakea, et "Le Grand Attracteur"

C'est là que nous nous sentons très petits et que notre prétention à être seuls dans cette immense galaxie, devrait fléchir !

 

A retenir dans cet article, "Le Grand Attracteur" sur lequel nous reviendrons pour comprendre que l'ensemble de notre système solaire ascensionne vers le centre de la Galaxie tout en traversant la Bande photonique du Soleil Central Alcyone : ICI et ICI

 

D'autres liens ci-dessous :

 

 

À la découverte de Laniakea, notre superamas galactique

Laniakea, ce supercontinent galactique qui abrite notre Voie lactée

En savoir plus :
http://www.maxisciences.com/galaxie/laniakea-ce-supercontinent-galactique-qui-abrite-notre-voie-lactee_art33425.html

Copyright © Gentside Découverte

Laniakea, ce supercontinent galactique qui abrite notre Voie lactée

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/galaxie/laniakea-ce-supercontinent-galactique-qui-abrite-notre-voie-lactee_art33425.html
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VIDEO. Notre Voie lactée a une nouvelle adresse cosmique

Joël Ignasse

  Publié le 14-09-2014 à 20h00

 

Une carte de l'univers local a permis de délimiter une immense structure contenant des centaines de milliers de galaxies. Dont la nôtre... On vous présente "l'horizon céleste immense".

Le superamas Laniakea abrite notre galaxie, représentée par le petit point à droite. SDvision interactive visualization software by DP at CEA/Saclay, France

 

C’est notre nouvelle adresse cosmique ! Une extraordinaire structure de plusieurs centaines de milliers de galaxies, à la périphérie de laquelle nous logeons, nous humains, sur notre planète Terre en orbite autour du Soleil, dans l’un des bras en spirale de notre propre galaxie et ses milliards d’autres étoiles... Vertigineux !

Imaginez-vous un instant, un gigantesque regroupement de galaxies d’un diamètre de 500 millions d'années-lumière de diamètre et d’une masse d’environ  100 millions de milliards de fois la masse du Soleil… Et nous, perdus au milieu de cette immensité à peine concevable. Cet amas de galaxies, c’est le notre.

Lire : 10.000 galaxies sur un cliché de la taille d'un grain de sable 

Les amas de galaxies, les superstructures de l'Univers

En effet, de nouvelles mesures de la vitesse des galaxies voisines ont permis d'identifier le superamas dans lequel est logée la Voie Lactée. Des mesures réalisées par une équipe internationale comprenant des chercheurs du CNRS et du CEA et qui font la une de la revue Nature en cette première semaine de septembre.

Dans l'Univers, les galaxies sont regroupées par paquets de dizaines, constituant ce qu’on appelle des "amas de galaxies". Ces amas sont eux-mêmes reliés par un réseau de filaments qui, lorsqu'ils se rencontrent, forment des superamas : les plus grandes structures de l'Univers. Ces ensembles vertigineux contiennent la quasi-totalité de la matière : celle qui forme les atomes constituant les planètes et les étoiles, mais également la très mystérieuse matière noire

 

Laniakea, "l'horizon céleste immense"

Notre superamas est si gigantesque que les chercheurs l'ont baptisé Laniakea, un terme hawaïen qui signifie "horizon céleste immense". Un hommage à cette petite île qui abrite quelques un des plus gros télescopes terrestres utilisés pour cette recherche. Les scientifiques qui l'ont délimité estiment qu'il contient environ 100.000 grosses galaxies et près d'un million plus petites.

 Deux vues du superamas Laniakea. (SDvision/interactive visualization software by DP at CEA/Saclay, France.)

 

Courants cosmiques

 

Au sein de Laniakea, les galaxies s'écoulent comme des cours d'eau vers un point central : le Grand Attracteur ; sur lequel les astronomes s’interrogent depuis trente ans. Les chercheurs montrent que cette région qui semblait attirer toutes les galaxies voisines, sans paraître pourtant plus dense, apparaît aujourd’hui comme un très large vallon où se déverse la matière, un peu comme les ruisseaux de montagne s'écoulent au fond de la vallée.

 

La modélisation de ces amas dans la vidéo réalisée par les chercheurs :

 

Laniakea: Our home supercluster



Les "courants" de galaxies modélisés par les chercheurs.

 

C'est d'ailleurs une méthode similaire à celle employée pour la recherche de bassin versants alluviaux qui a été utilisée par les chercheurs pour analyser la vitesse de 8.000 galaxies. Il en ressort que dans notre univers local, tous les mouvements des galaxies sont dirigés vers l’intérieur et suivent des courants gravitationnels. Ce sont ces courants qui ont permis de déterminer l'architecture du superamas Laniakea, au sein duquel notre Voie Lactée n'est qu'une toute petite pièce.