08/01/2015
Je ne suis pas Charlie !
22:22 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Israël, Palestine, Colonisation, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
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Judaïsme : 5775 : Une année de Guerre et la Venue du Messie. Adam le premier reptilien hybride ?
Comme vous ne le savez peut-être pas, pour les hébreux et leur calendrier juif, ils en sont à l'année 5775.
A partir de quoi ou de quel évènement, les juifs comptent ce nombre d'années ?
Si les chrétiens prennent Jésus comme référence pour calculer leur calendrier et que nous en soyons à ce titre en 2015, que les musulmans prennent la migration de Mahomet vers Médine en 622 pour faire débuter leur calendrier. L'année 2015 correspond aux années islamiques 1436 – 1437.
Les juifs soutiennent dans leurs écrits que le monde aurait été créé il y a moins de 6000 ans. C'est la raison pour laquelle ils en sont à l'année 5775 selon leur calendrier juif ou calendrier julien proleptique.
Age du monde pour les juifs : http://www.calj.net/age-du-monde
Ils s'arrangent avec la science astronomique comme ils veulent, pourvu qu'ils imposent leur monde et leurs croyances au monde ! Surtout que ce sont les Sumériens qui ont étudié le système solaire et partagé le temps en jours, en heures et en minutes ! Ils n'étaient donc pas ignorants du système solaire ni de son fonctionnement
Les juifs prennent donc pour repère la création d'ADAM pour être le début du monde (le leur !) ou de leur communauté de l'anneau de Saturne dans "Le Seigneur des AN-NEAUX" AN comme par hasard du Dieu AN des Dieux AN-NUNAKIS, parce qu'ils ont simplement oublié que du temps de la création d'ADAM, soit moins de 6000 ans, nous étions en pleine expansion de la civilisation sumérienne.
Les sionistes prennent donc comme référence pour créer leur calendrier, la création d'ADAM et de leur monde de reptilien il y a moins de 6000 ans !
*- L'Humanité abrite deux races bien distinctes
Extraits : Sumer
Ayant été complètement oubliée après les débuts de notre ère, la civilisation de Sumer a été redécouverte durant la seconde moitié du XIXe siècle grâce aux fouilles de sites archéologiques du Sud mésopotamien, dont l'exploration s'est poursuivie par la suite, jusqu'à connaître un arrêt en raison des troubles politiques affectant l'Irak à partir des années 1990.
Rappelez-vous les saccages des musées et sites archéologiques qui ont été opérés par l'armée US pour détruire les traces historiques de cette civilisation !
Si le souvenir des Assyriens et des Babyloniens avait été préservé grâce aux textes bibliques et grecs antiques, les Sumériens avaient été depuis longtemps effacés de l'histoire quand les premières fouilles de sites de la Mésopotamie antique débutèrent durant la première moitié du XIXe siècle. Elles portèrent sur des sites présentant avant tout des niveaux du Ier millénaire, qui plus est situés en Assyrie, donc en dehors de l'ancien pays de Sumer. Ce n'est que quelques décennies plus tard que les archéologues tournèrent leur effort vers les sites du Sud, pour y rechercher les débuts de la civilisation mésopotamienne.
*- HISTOIRE - CIVILISATIONS ANCIENNES : Liste des documentaires
*- Le climat et l'histoire des civilisations
5775 : Une année de Guerre et la Venue du Messie
Nous sommes entrés en septembre 2014, avec « Roch Hachana » dans la septième année du cycle de la chemita ou jachère. Une année particulière en lois pour les résidents de la terre d’Israël, mais aussi en évènements, puisque la guemara regorge de références annonçant la venue propice du messie à cette période. Et le constat est évident : le monde est en effervescence. Autrement dit, les signes se précisent.
Cette vidéo du rav Ron Chaya donne des précisions sur les évènements qui sont apparus fin 2014 et sur ce que 2015 nous réserve.
05:05 Publié dans 3ème guerre mondiale en préparation, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Anciennes Civilisations, Les Mayas et 2011/2012, Arnaques, Mensonges, Propagande, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Israël, Palestine, Colonisation, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Nouvel Ordre Mondial, Religions, Inventions, Mensonges, Révélations, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
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05/01/2015
Film : Rennes le Château, "L'or du diable" !
Encore un mystère et une intrigue qui mêlent le Vatican et les francs-maçons-Illuminati appelés dans le film le "Prieuré de Sion" qui se servent de l'abbé Béranger Saunière pour retrouver un trésor caché, laissé par les Cathares.
Les Illuminati : Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" babyloniennes, égyptiennes puis grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.
Le film se déroule après la révolution dite française dont nous savons qu'elle a été orchestrée par les Francs-maçons et la 1ère guerre mondiale de 14-18 dont nous savons qu'elle a été pour sa part orchestrée par les Banksters qui avaient créé la FED en décembre 1913.
Nous avons parmi les acteurs du film Arielle Dombasle et il ne nous manquerait plus que BHL pour couronner le tout !
Un fait marquant en fin du film et avant la mort de l'Abbé Béranger Saunière, celui-ci avoue avoir voulu croire en Dieu mais que lorsque qu'il a connu le dessous des cartes de la religion après la confession de l'abbé Boudet, il a perdu la foi en Dieu. Normal, Dieu c'est l'UNIVERS créateur et non pas le Dieu Unique que nous présentent les religions monothéistes.
Rennes le Château, "L'or du diable"
"Les 6 épisodes en 1 film" (Aude 11, France)
Ce film, est un regroupement de 6 épisodes, tiré du téléfilm "L'or du diable" sorti en 1989. (Montage vidéo, et remasterisation sonore effectuée par: M.S (11 Aude).
L'histoire vraie, d'un jeune prêtre nommé dans une bourgade du Languedoc, en terre Cathare. L'abbé Saunière entreprend des travaux considérables, rebâtit l'église, achète des terrains, construit une villa et une tour médiévale. Il mène grand train, voyage, fréquente le monde politique et les artistes... Mais quelle était l'origine de la mystérieuse fortune de l'abbé ?
Un voyage au coeur des passions et des arcanes de l'Histoire.
En 1885. Bérenger Saunière, brillant séminariste, est nommé curé d'un pauvre petit village de l'Aude, Rennes-le-Château. Dans cette église en ruines, au presbytère délabré, le nouveau curé exerce son sacerdoce avec foi et conviction. Lors de la restauration de l église, on trouve de mystérieux parchemins dans le maître-autel.
Une fois décryptés, les parchemins permettent de délimiter l'emplacement d'un fabuleux trésor.
En 1917, il meurt sans avoir livré le secret de sa fabuleuse fortune. La question reste posée: quel était le secret de l'abbé Béranger Saunière?
Les épisodes:
1 - Une étrange paroisse
2 - Le secret du Maître autel
3 - La force du destin
4 - L'Or du Diable
5 - La confession de l'abbé Boudet
6 - L'habit rouge
Thème: Histoire
Producteur: Image et Cie
Réalisateur: Jean-Louis Fournier
Acteurs: Michel Aumont, Jean-françois Balmer, Arielle Dombasle, Laura Faval Année :1988
Droits :International
Durée : 290 minutes
(Un arrangement de la bande son a été effectué, pour que vous puissiez mieux apprécier ce film.)
02:24 Publié dans Arnaques, Mensonges, Propagande, Conspiration mondiale, Film, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Intrigues - Assassinats, Attentats, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
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02/01/2015
[Vidéo] TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision ou l'idiocratie à l'oeuvre !
Voici les résultats scientifiques des effets de l'un des organes de propagande ou de l'un des outils de manipulation mentale qu'est la télévision pour ceux notamment qui considèrent que parce que c'est dit à la télé ou à la radio "c'est forcément vrai" ! Et ce, sans chercher la vérité ailleurs, sans lire eni s'informer personnellement et sans connaître l'histoire du monde, la géopolitique ou l'histoire tout court, sans chercher à savoir qui mène le monde depuis des millénaires, sans procéder à des analyses des informations de manière objective par flemme, par peur de découvrir et de reconnaître leur ignorance ou par facilité. Ce qui fabrique quelques millions d'idiocrates que le système corrompu peut parfaitement manipuler et faire adhérer à ses théories mensongères et fumeuses à mille lieux de la vérité !
Mais je suis content, je regarde la télé et je gobe tout ce que les merdias aux ordres des lobbies me disent et qu'ils veulent que je sache sans ne jamais me poser aucune question, ce qui est plus confortable en qualité d'idiot utile du système parce que je suis un parfait mouton prêt à aller à l'abattoir pour les Illuminati ! !
[Vidéo] TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision
Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.
TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision
Analyse du livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie
Ce livre gagnerait sans doute le prix de la couverture la plus laide s’il existait, mais, malgré cette erreur de l’éditeur, il vaut tout de même la peine d’être lu. Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, dans TV Lobotomie. La vérité scientifique sur les effets de la télévision (Paris : Max Milo, 2011) nous propose rien de moins qu’une synthèse de tout ce que les scientifiques savent sur les liens entre la consommation télévisuelle et les attitudes, comportements, capacités, des êtres humains qui consomment de la télévision. Ce bilan scientifique, à partir de 4000 articles selon l’auteur, serait en fait effrayant. Plus on regarde la télévision, plus on a regardé la télévision, plus on l’a fait jeune, plus on augmente toutes choses égales par ailleurs les probabilités d’événements défavorables pour soi-même à tous les âges de la vie. De fait, pour croire aux résultats cités de cette étude, il faut fondamentalement être accessible à la pensée statistique. Comme le montre, le “débat” organisé le 7 février 2011 autour de ce livre sur Europe 1 et la réaction d’une auditrice qui cite son propre cas de téléphagie ne l’ayant pas empêchée d’être, à l’en croire, un génie, c’est un point fondamental.
Ainsi, si l’on a accès au raisonnement en probabilité, typique en épidémiologie par exemple, Michel Desmurget établit à partir de la littérature disponible que :
a) “la télévision est un véritable désastre ontogénétique” (p.136) (conclusion du chapitre II La télé étouffe l’intelligence, p. 71-137), autrement dit des preuves solides existent que, toutes choses égales par ailleurs, le développement intellectuel des enfants se trouve profondément affecté par la consommation de télévision, avec un effet d’autant plus fort que la consommation s’effectue massivement très jeune (dans les toutes premières années 0-3 ans). Des études montrent même qu’à cet âge précoce, le simple fait d’avoir la télévision allumée dans une pièce sans la regarder aurait des effets sur le développement intellectuel. La raison profonde de cette déficience en matière de maturation de l’intelligence ne serait pas liée à la qualité déficiente (ou non) des programmes, mais à la nature non interactive de la télévision. Dans le fond, notre chercheur retrouverait dans la littérature savante contemporaine la vérité marxienne selon laquelle la vérité de l’homme (comme de tout animal) n’est autre que la praxis, et que la télévision constitue une forme extrêmement appauvrie d’(in)activité. En tant que professeur d’université, je dois dire que la courbe historique des scores obtenues aux tests d’admission dans les universités américaines, corrélé avec un retard d’une vingtaine d’années avec la pénétration de la télévision dans les foyers (p. 92), m’a plutôt impressionné. L’auteur cite quelques exemples d’études ayant pu montrer que l’introduction de la télévision détraque les comportements enfantins, et qu’inversement, le sevrage télévisuel peut avoir des effets positifs assez rapides (si l’on valorise la réussite scolaire, le sommeil, le calme, etc.).
b) la consommation de télévision est un facteur déterminant d’augmentation des risques de santé suivants : obésité, tabagisme, alcoolisme, sexualité mal contrôlée chez les adolescents, et j’en oublie quelques autres dont la sénescence précoce (cf. chap. III, “La télé menace la santé”, p. 139-201). Sur le tabagisme par exemple, des études montrent que, pour des adolescents, le simple fait de voir des films plutôt anodins dans lesquels apparaissent massivement des cigarettes fumées par des acteurs sympathiques augmentent la probabilité de devenir soi-même fumeur. En conclusion, indirectement, la télévision tue purement et simplement, et, avant cela, coûte cher en dépenses de santé – mais rapporte beaucoup aux entreprises qui manipulent ainsi nos comportements.
c) Enfin, la consommation de télévision rend violent et /ou anxieux (chap. IV“La télévision cultive la peur et la violence”, p. 203-238). Pour l’auteur, sur le premier point, à savoir le fait de voir de la violence et de devenir en conséquence soi-même, toutes choses égales par ailleurs, plus violent et/ou indifférent à la violence, aurait atteint un tel point de consensus parmi les scientifiques que les recherches se sont ralenties sur ce point depuis quelques années. Inutile de continuer à prouver que la terre est ronde. Pour l’anxiété, due au visionnage massif de la télévision, elle s’exerce d’autant plus puissamment sur les plus jeunes esprits.
En résumé, à en croire l’auteur, la communauté scientifique se trouve sur les divers effets négatifs de la télévision dans un consensus semblable par son ampleur que celui que connaissait cette même communauté sur les effets cancérigènes du tabac alors que l’industrie du tabac et ses affidés et idiots utiles niaient encore farouchement tout lien – avec la même difficulté donc, à savoir que cette “vérité scientifique” n’arrive pas du tout à s’imposer dans l’espace public. La plus grande partie des études citées se trouvent être nord-américaines, et l’on découvrira que, sur la foi de ces recherches, les sociétés savantes des Etats-Unis ont multiplié les avis sur les différents points évoqués, sans à ma connaissance aucun effet sur la civilisation télévisuelle de ce pays. Pisse dans ce violon, camarade savant, tu nous intéresses!
Cependant, bien que Michel Desmurget ne fasse pas la différence, il faut distinguer deux séries d’effets : le plus grave, celui du média télévision en soi, par la passivité qu’il implique et qui s’avère en tout point imparable dans ses effets à tous les âges de la vie (point a)); et les plus remédiables, ceux qui sont liés au contenu des programmes (incitation à la malbouffe, à la violence, etc.) (point b) et c)). On peut remarquer de fait qu’il existe déjà beaucoup de règlementations pour limiter ce qui est montrable à la télévision. Par exemple, aucun pays n’autorise à ma connaissance de la vraie pornographie en clair sur des chaînes accessibles à tous; beaucoup de pays disposent d’un système de classification des œuvres selon le degré de violence; des programmes pour enfants sont conçus et diffusées; on limite ou on interdit la publicité visant les enfants, etc. ; autrement dit, sur les points b) et c), on pourrait, à la limite, imaginer de règlementer en vue d’une télévision qui éviterait les principaux écueils repérés par la recherche. Cela serait sans doute un peu ennuyeux pour beaucoup de gens (plus de séries criminelles, plus de sexe suggéré, plus de fumeurs positifs, etc.) et ressemblerait aux recommandations en la matière de laVie (encore) catholique en 1968 – ou, au contenu de la télévision actuellement gérée par le Patriarcat de Roumanie. Comme le montre l’auteur avec soin (dans le premier chapitre I, p. 33-69), les enfants regardent en gros la même chose que les adultes; donc, à moins de supposer des parents devenus tous raisonnables et ne laissant voir à leurs enfants que ce qui est de leur âge, il faudrait revenir à un terrible degré de censure des programmes. (Dans le cas des Etats-Unis, le principe intangible de la liberté d’expression rend toute réflexion en ce sens largement caduque, mais en Europe, des avancées seraient possibles.)
En revanche, sur le point a), la télévision en soi (quelque soit le contenu) s’avère un désastre ontogénétique pour les enfants (et, accessoirement, tend à aider les adultes à devenir sénile avant l’heure), les perspectives d’action publique me semblent plus limitées; de fait, l’objectif de l’ouvrage semble être bien essentiellement d’obtenir que les parents, prévenus par l’auteur, arrêtent de laisser la télévision à disposition de leurs jeunes enfants (cf. la conclusion en ce sens p. 246 : “pendant les cinq ou six premières années de vie, toute exposition audiovisuelle devrait être strictement proscrite par les parents tant la télévision trouble le sommeil, promeut l’obésité à long terme et interfère avec le développement intellectuel, affectif, physique et social de l’enfant.” ), et, ensuite, contrôlent strictement la qualité et la quantité de ce qui est regardé par ces derniers. Or, comme il croit pouvoir le montrer, ce sont les adultes eux-mêmes qui veulent que les (très) jeunes enfants s’intéressent à la télévision (ou à des DVD) afin d’obtenir du répit dans la lourde tâche de l’éducation qui leur incombe. Bien que n’ayant pas d’enfants, cela m’a rappelé que des amis, n’ayant d’ailleurs pas la télévision chez eux pour des raisons fort semblables à celles invoquées par l’auteur, amis avec lesquels je passais des vacances il y a quelques années, utilisaient sciemment en dernier recours la télévision (cachée jusque là dans un coin du logement) pour paralyser littéralement leur chère progéniture, plutôt remuante par ailleurs, en cas de nécessité absolue (faire les bagages et le ménage à la fin du séjour). Cela m’avait plutôt amusé à l’époque que de voir cet effet de fascination – un peu le rayon paralysant des séries télévisées de mon enfance -, mais je me rends compte à la lecture de Michel Desmurget que là se trouve largement la clé du problème. Tous les adultes n’ont pas l’énergie pour interagir tout le temps avec leur progéniture. Se passer de fait de la télévision supposerait une réorganisation des vies familiales.
Plus généralement, si l’on admet que Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, a fait correctement son travail de compilation et engage ainsi sa responsabilité de savant, on peut en tirer trois conclusions.
Tout d’abord, le peu de sympathie exprimée par quelques grands penseurs du siècle dernier à l’égard de la télévision, Karl Popper, Pierre Bourdieu, et Giovanni Sartori, pour citer des grands noms, semble recevoir une confirmation empirique forte de toutes ces études si l’on partage l’idéal d’une humanité forte et adulte.
Ensuite, on possèderait là un exemple supplémentaire d’écart abyssal entre ce qu’exigeraient les résultats scientifiques et les pratiques socioéconomiques en vigueur. Bien qu’il ne l’ait pas calculé, l’externalité négative de la télévision comme activité sociale parait au total énorme – surtout si l’on compte les effets de long terme qui semblent étonnamment forts. Même si Michel Desmurget se montre très prudent dans ses interventions médiatiques en visant surtout à protéger les enfants d’aujourd’hui et à se présenter comme quelqu’un qui n’est pas contre la télévision en soi, la conclusion logique de son travail serait en fait une suppression pure et simple de la télévision, ou, tout au moins, dans une société de liberté d’entreprendre, la fin de tout soutien public à cette activité économique nocive. Par exemple, si la télévision en soi creuse la tombe de la performance scolaire et nous promet en plus des générations d’obèses, il n’est peut-être pas nécessaire de financer cela sur fonds publics. Ou, du moins, pourrait-on se limiter à une seule chaine exempte de tout effet nocif par le contenu et ne visant que les plus de six ans. Bien évidemment, on n’en fera rien! C’est là un aspect fascinant de nos sociétés, cette capacité à payer des gens pour savoir qu’on se détruit en faisant telle ou telle chose, tout en s’en souciant peu au total. Je pourrais aussi citer la prison comme institution criminogène, ou les deux roues comme cause de mortalité massive sur les routes. Mais, dans le fond, après tout, nous pouvons (encore) nous payer ces luxes.
Dernier point : M. Desmurget nomme sans aménité aucune “pipeaulogue” les spécialistes des médias ou les essayistes qui nient ou minimisent les effets qu’il décrit à la suite de cette littérature qu’il a dépouillé. Son livre prend en effet parfois le ton d’un pamphlet, mais c’est sans doute un choix de sa part pour atteindre un plus vaste public qu’avec un rapport de synthèse et pour rendre le contenu moins austère. Au delà des termes dépréciatifs utilisés à l’encontre de quelques-uns cités dans l’ouvrage, je suis confondu par la divergence entre les conclusions qu’il tire à partir de cette littérature, trouvée essentiellement dans les revues de médecine, d’épidémiologie, de psychologie, et ce que j’avais perçu comme le consensus présent des spécialistes des médias, qui insistent plutôt sur les filtres sociaux à la réception, sur le côté anodin de toute ces contenus. Par exemple sur le cas de la violence et de la sexualité, l’écart me parait énorme. Il est vrai que le souhaitable que dessine en creux le consensus scientifique auquel se réfère Michel Desmurget ressemble fort à la bonne vieille morale éducative de la bourgeoisie catholique du début du siècle dernier. L’auteur s’en défend et s’en amuse même parfois, mais il reste qu’il casse totalement le lien entre “progressisme” (entendu comme recherche de l’autonomie pleine et entière de l’individu) et “libéralisme culturel” (entendu ici comme extension du domaine du montrable). Finalement, cela voudrait dire que des films-culte comme Pulp Fiction ou simplement Avatar sont porteurs de maux pour les jeunes qui en sont les plus friands consommateurs. Si la violence, le sexe et le tabagisme montrés aux masses adolescentes ne sont plus aussi anodins que cela, où va-t-on arriver ma brave petite dame? Chez Benoit XVI? Chez les talibans? Et puis, par ailleurs, si l’on n’a plus de faits divers bien gores pour le JT, de quoi peut-on parler alors? Où sera l’émotion?
Source : Bouillaud’s Weblog
Michel Desmurget
Michel Desmurget : l'impact de la télé sur notre santé


Idiocracy trailer Bande-annonce
P.P.S. : et pour le coup, sans aucun rapport avec tout ça, je vous conseille vraiment d’aller voir au cinéma le film La famille Belier, c’est remarquable de sensibilité et une belle façon de commencer l’année…
La Famille Bélier – Bande annonce HD
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30/12/2014
HUMANITÉ EN DANGER - Les 10 stratégies de manipulation des masses
Le site Syti sur les stratégies de manipulation rédigé par Sylvain Timsit publie "Les dix stratégies de manipulation de masses". L'auteur énumère et détaille les stratégies et les techniques de la gouvernance pour la manipulation de l'opinion publique et de la société à travers les médias