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23/05/2010

Benoît XVI s'invite dans les débats sur la crise économique

"Dès que possible, nous devons arriver a élaborer un gouvernement mondial et une religion mondiale diriges par un leader mondial" -Robert Muller- (ancien assistant au secretaire général de l'ONU)

 

Le Vatican est la plus grande puissance mondiale qui sous prétexte de la séparation de l'église et de l'état, continue à faire ingérence dans les affaires politique des états.

Nous remarquons encore une fois que la Pape en appelle à la constitution d'une "autorité politique mondiale" qui serait placée sous la houlette de l'ONU !

Ce qui revient à dire en clair qu'il est favorable à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial et qu'il favorise les plans des Illuminati-reptiliens, dont le projet a toujours été celui d'instaurer le Gouvernement Unique Mondial, dont le président serait le président de l'ONU et dont le siège serait déplacé en Israël.

On remarque par ailleurs qu'il prêche pour une mise en avant des religions dans "la vie civile et contemporaine", dont on sait que depuis des millénaires elles ne sont que des instruments politiques de division des peuples pour permettre à l'orchestration des guerres fratricides sous couvert de guerres de religions. Cela veut dire en clair, qu'il faut ramener les "moutons dans la bergerie pour les endormir au nom de Dieu" et qu'il se prépare avec les autres chefs religieux à nous instaurer l'unique religion mondiale sans laquelle le Nouvel Ordre Mondial ne pourrait pas exister. Réveillez-vous et ne vous laissez pas endormir par les faux prophètes qui oeuvrent pour l'établissement du règne de l'antéchrist.

 

Ne confondons pas la "croyance en une religion créée par les hommes" avec "la Foi en Dieu" qui est un inscrite en nous et dont l'existence n'a pas besoin d'être démontrée. Nous en sommes arrivés là car nous avons sorti Dieu de nos vies pour mettre notre foi dans les religions et dans les églises. Dieu est omniprésent et omnipotent, car pure lumière et énergie, nous a-t-on dit n'est-ce pas ? Est-il utile à ce tire pour le prier de se réfugier dans les églises  quand nous sommes tous enfants de Dieu et qu'il est déjà en nous ?


Le Pape juge les gouvernements "trop faibles" pour faire face aux spéculations "irresponsables", appelant à une réforme de l'ONU.

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a affirmé Benoît XVI. (AFP)

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a affirmé Benoît XVI. (AFP)

Les gouvernements sont "trop faibles" face aux spéculations "irresponsables" qui agitent les marchés financiers dans un contexte de crise économique, a estimé samedi 22 mai le pape Benoît XVI. Lequel a reçu au Vatican les participants à un congrès de la fondation économique vaticane Centesimus Annus-Pro Pontefice.

Le pape a déploré que les gouvernements, confrontés "à des épisodes renouvelés de spéculations irresponsables à l'égard des pays les plus faibles, ne réagissent pas avec des décisions adéquates de gouvernement de la finance".

L'économie ne peut pas se réduire à la production de biens qui viennent alimenter "le consumérisme, le gaspillage, la pauvreté et les déséquilibres", a estimé le pape.

Il a également jugé nécessaire "une solidarité créative et dynamique orientée vers le bien commun" entre les pays.

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a ajouté Benoît XVI.

Benoît XVI insiste sur une réforme de l'ONU

En juillet 2009, en pleine crise économique et financière, Benoît XVI avait réclamé dans sa première encyclique sociale, intitulée "Caritas in veritate", l'instauration d'une "autorité politique mondiale" pour mieux réguler les phénomènes liés à la mondialisation.

Il avait souhaité une réforme urgente de l'ONU pour que l'organisation internationale assume ce rôle de supervision.

Aux participants au congrès, le pape a expliqué aussi que les différentes religions ont un rôle important à assumer au coeur de la société contemporaine. "L'exclusion des religions de l'espace public tout comme le fondamentalisme religieux empêchent la rencontre entre les personnes et leur collaboration pour faire progresser l'humanité", a-t-il estimé.

En l'absence de considérations religieuses, "la vie de la société s'appauvrit et la politique prend une tournure opprimante et agressive", a ajouté le pape.

(Nouvelobs.com avec AFP)

http://tempsreel.nouvelobs.com//actualite/economie/201005...

D'autres citations d'hommes politiques portant sur la nécessité de créer le Nouvel Ordre Mondial :

"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements."
Honoré de Balzac

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.

Albert Einstein"

"Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les évènements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."

Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations


« La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.»

David Rockefeller, 23 septembre 1994.

“Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être.”

David Rockefeller, MEMOIRES, page 405



22/05/2010

Exclu : 9 minutes de vérité à la télé

Avec Michel Collon.




Sahara occidental, Egypte, Sénégal, Grèce, Honduras, Venezuela, Israël...



SILENCES COUPABLES :
Sara Flounders - Papauté, pédophilie et lutte des classes
Des documents dénoncent une vaste opération de couverture

Danielle Bleitrach - Honduras: imaginez que l'équivalent se passe à Cuba, que diraient nos médias, et le maire de Paris ?
La répression est telle qu'ils demanderaient blocus, force d'interposition... Mai, ils s'en moquent !

REVENDICATIONS EN MEDITERRANEE :

Aleka Papariga - Les propositions de la gauche grecque pour trouver une solution à la crise
"La gestion de la crise par l'UE ou le FMI ne peut pas surmonter les contradictions du capitalisme"

Joel Beinin - Les travailleurs égyptiens réclament un salaire minimum
Comme à l'époque des pharaons, une poignée de blé après une dure journée de travail

AFRIQUE ET DEPENDANCES :

Sidy Bâ
- Sénégal : ces prix de misère qui ruinent les paysans
Voici la vraie raison qui encourage l'immigration clandestine

Jean Paul Le Marec - Sahara Occidental: Le gouvernement français empêche la résolution du conflit
"Il est temps de mener jusqu'à son terme le processus de décolonisation en Afrique"

EUROPE :
Eric Scavennec - Le second hold-up des marchés financiers
Souriez, vous êtes plumés !

James Bisset - Bombardement de la Serbie - L'anniversaire de la honte
Pour ne pas oublier comment l'OTAN a fait éclater la Yougoslavie

DOSSIER VENEZUELA :

Heinz Dieterich - Le Venezuela pourrait devenir ingouvernable
Comment se porte le gouvernement Chavez et le "socialisme du XXIème siècle" ?

Eva Golinger - La révolution Internet au Venezuela
Chavez pris dans la toile ?

Eva Golinger - Des prisonniers politiques au Venezuela?
L'idéologie peut-elle servir à l'exemption de criminels ?

VIDEO -
Chavez explique le socialisme du 21ème siècle à des entrepreneurs
Leçon d'économie avec le professeur Chavez

ATTENTION, MEDIAS !
Anonyme - Banque incendiée en Grèce : le personnel rétablit la vérité
Erreurs de la banque en leur défaveur
Mohamed El Bachir - Amalek et l'Etat d'Israël
Expansion et expulsions n'en finissent pas...

VIDEO :
Amazigh Kateb - Tribunal Russel pour la Palestine
Soirée de soutien ce 20 mai au Cabaret Sauvage, Paris


CONFERENCES
: <<« Comment parler d'Israël ? »>>
POITIERS: 27 MAI - TOURS: 28 MAI / BORDEAUX: 29 MAI / MONTPELLIER: 31 MAI / MULHOUSE: 2 juin / BELFORT: 3 juin / BESANCON: 4 juin / LILLE: 11 juin / BRUXELLES: dates à préciser, début juin
Voir agenda


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Manifestation surprise : ils s’invitent au siège de Goldman Sachs !

Cela bouge en France aussi contre les banques !

Hier, les jeunes identitaires parisiens et franciliens se sont invités au siège de Goldman Sachs (la fameuse banque qui spécule contre ses propres clients !) dans le 17ème arrondissement, pour rappeler que les peuples d’Europe ne sont pas des moutons et qu’ils ne se laisseront pas tondre sans réagir pour payer la facture des manipulations financières et de l’irresponsabilité des spéculateurs.

Les jeunes du Projet Apache ont également voulu rappeler aux banquiers sans scrupules que nos identités et nos libertés valent plus que leurs spéculations !

Aujourd’hui, c’est le peuple grec qui se voit imposé, de façon totalement antidémocratique et par des instances mondialistes comme le FMI, des mesures d’austérité sans précédent. C’est au peuple grec, à ses paysans, ses artisans, ses commerçants, ses petits fonctionnaires, ses retraités que l’on demande de payer la facture des spéculations qui ont rapporté des millions de bénéfices à une poignée de gangsters en col blanc !

Et demain à qui le tour ? Quel peuple va être désigné comme bouc émissaire de la folie de ce système de l’argent-roi ?


Les banques internationales, déjà scandaleusement renflouées par l’argent des contribuables sans la moindre contrepartie, bénéficient d’une impunité absolue alors qu’elles se comportent comme de véritables maffias, pratiquant la dissimulation, l’extorsion, le racket et l’intimidation.

Les peuples d’Europe ne veulent plus payer pour sauver ce système libéral capitaliste qui ne profite qu’à l’hyper-classe mondiale et à ses domestiques des institutions financières internationales.

Le Projet Apache en appelle au retour à une économie de la mesure et du bons sens, une économie localisée, centrée sur l’homme et non l’inverse, une économie contrôlée et encadrée par un protectionnisme bien pensé.

C’est ce qu’il a voulu rappeler hier en scandant : « De Paris à Athènes : stop aux Banksters ! »

Source : http://www.projet-apache.com/2010/05/le-projet-apache-sin...

Et maintenant, l’euro-dollar ?


Article placé le 21 mai 2010, par Julian Diesdorf (Zürich)

 

Pour se maintenir, le projet mondialiste pourrait précipiter son calendrier et utiliser la crise actuelle pour « fusionner » l’euro et le dollar en une monnaie unique, écrit en substance Clovis Casadue, collaborateur de la revue Flash, dans l’article que nous plaçons ci-après. Cette perspective est plus que plausible, et la chute incessante de la devise européenne, qui se retrouvera bientôt a parité avec le dollar, l’accrédite. Comme l’indiquait le banquier Alexandre Wohlwend il y a quelques jours, la seule issue pour les pays de la zone euro passe par « un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale », ce qui est inenvisageable pour les tenants de l’ordre mondial, qui, n’en doutons pas, utiliseront tous les moyens pour interrompre les velléités secessionnistes. De nouvelles informations, pour le moins surprenantes, nous parviennent ce soir sur les manipulations en cours. Nous les publierons dès que nous aurons pu effectuer les vérifications d’usage.

Julian Diesdorf, Mecanopolis

euro-dollar

 

La ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États a donné le pouvoir de rompre avec les méthodes de la démocratie et d’imposer une mise sous “bonne gouvernance” des pays de la zone euro, au mépris des droits fondamentaux du Parlement européen et de la volonté des peuples.


Dans son discours du 13 mai dernier, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso propose de placer l’ensemble des pays de la zone euro sous tutelle budgétaire. L’objectif : réduire le déficit public à 3 % du PIB en 2013, en les soumettant à des mesures d’austérité semblables à celles imposées à la Grèce. La mesure est en effet peu démocratique, puisque le Parlement européen n’entrera pas dans les décisions. Pas de problème pour la chancelière allemande, parlant d’un “pas important dans la bonne direction”. Même son de cloche du côté de la France, le secrétaire d’État aux Affaires européennes, Pierre Lellouche déclarant : “C’est la contrepartie du plan européen de sauvetage. La discipline de chacun devient l’affaire de tous. Bruxelles aura le droit de surveiller tous les comptes.” Résultat, cette aide de 750 milliards, votée lors du sommet européen des 8 et 9 mai. Son message : “Nous vous soutenons, mais vous devez abandonner votre souveraineté économique.”

Malgré ce qui a été annoncé, cette manœuvre n’a pas pour but de soutenir l’euro. C’est même le contraire qui devrait se passer, et la monnaie unique a déjà perdu plus de 7 % depuis sa mise en place. La nouvelle politique monétaire de la BCE devrait encore contribuer à son affaiblissement, puisqu’elle est maintenant autorisée à recourir à la “planche à billets”, de manière à émettre elle-même des Bons du Trésor sur les marchés financiers.

Plutôt que soutenir l’euro, sauver les banques…

En fait, ce dispositif permet surtout de soutenir en amont les banques européennes impliquées dans la dette grecque. Ce qui permet encore de

suggérer aux investisseurs ayant acquis des obligations qu’ils ne risquent rien. Ce sont donc les banques que l’on sauve, une fois de plus, et avec l’argent du contribuable. Ces 750 milliards n’existant pas dans les caisses européennes, il faudra donc les emprunter sur les marchés financiers pour les offrir aux États qui les offriront ensuite aux banques, tandis que les populations seront après mises à contribution…

Si l’on avait voulu aider la Grèce, et faire “la guerre aux spéculateurs”, comme l’a annoncé fièrement Nicolas Sarkozy, il aurait été préférable de restructurer sa dette. On aurait ainsi placé les

investisseurs devant leurs responsabilités et leur aurait fait assumer une partie des risques liés à leurs investissements. Mais pour cela, il aurait fallu sortir la Grèce de monnaie unique. En revanche, l’affaiblissement de l’euro bénéficie à l’Allemagne, et dans une moins large mesure à la France.

Cette crise est donc utilisée, comme le laissait récemment entendre le patron de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker(1), afin de rendre l’Europe plus compétitive.

Les dégâts d’une construction européenne anarchique

Pour les élites européennes, le problème majeur de la zone euro tient à sa construction anarchique et à la disparité des règles économiques, politiques et sociales qui régissent les pays membres. La crise peut leur permettre de reconfigurer l’économie de l’ensemble du bloc européen et le rendre plus concurrentiel, tout en élargissant la monnaie unique aux autres pays de l’Union, ce qui a d’ailleurs été proposé à l’Estonie la semaine dernière. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) conseille d’avancer l’adhésion à la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. On joue donc à nous faire peur quand on nous indique que la monnaie unique est menacée. Elle en réalité en pleine expansion.

Bien sûr, cette unification se fera par le bas, et va nécessiter partout des mesures d’austérité qu’aucune résolution démocratique n’aurait permises, et qui finiront d’enterrer la souveraineté des nations et des peuples d’Europe au profit d’un régime central lié à une oligarchie financière. Toutes choses qui ont été rendues possibles par la ratification du traité de Lisbonne.

Les spéculations sur les dettes grecque, portugaise et espagnole vont donc se poursuivre et s’étendre à d’autres pays, sans que rien ne puisse enrayer le processus en cours. Dans le même temps, l’euro va continuer sa chute, pour arriver à parité avec le dollar, sans doute d’ici le mois de septembre – décembre au plus tard. La monnaie canadienne suit le même mouvement et aura sans doute atteint le niveau du dollar US au moment où vous lirez cette chronique. Car bien sûr, le projet de ce nouvel ordre économique est, in fine, de fusionner l’ensemble des monnaies, en commençant par celles de l’Europe et l’Amérique du Nord. En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste plan conduisant à l’émergence de blocs économiques dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc ; l’ensemble de ces blocs étant éventuellement appelé à constituer une gouvernance mondiale.

Bien sûr, certains nous reprocherons d’avoir ici une vision “conspirationniste” des événements. Mais force est de constater qu’on ne conspirait autrefois que contre un ordre établi. Aujourd’hui, conspirer pour son maintien et son expansion est une activité en grand développement. Et à regarder la marche du monde, on doit reconnaître que cette conspiration fait partie de son fonctionnement même.

Clovis Casadue

Publié en exclusivité sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction du bimestriel Flash