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15/07/2014

Gaza/Israël/ Haïfa: le Hezbollah fête un anniversaire ...

mardi, 15 juillet 2014 10:14

Haïfa: le Hezbollah fête un anniversaire ...

 
 
 
 
IRIB- En ce huitième jour de la guerre contre Gaza, les brigades Qassam ont tiré plusieurs missiles R160 contre la ville "désormais" bien accessible de Haïfa . le port stratégique est situé à 140 kilomètres du nord de la bande de Gaza. mais ce 15 juillet rappelle un évenement particulier : en 2006, le Hezbollah, alors en pleine guerre contre Israël a tiré ses missiles Raad et Kheybar contre Haïfa. à l'époque personne ne croyait que la Résistance palestinienne, munie de cailloux puisse un jour viser Haïfa ...
 
 
 

Scoop ! GAZA ! L'état sioniste criminel a perdu la guerre contre la résistance armée de Gaza !

Vous ne lirez jamais tout cela dans les merdias européens et vous allez bientôt savoir pourquoi !

La démission immédiate de Benyamin Netanyahu est demandée car il a sous-estimé les capacités de l'armée de la résistance, les brigades d'Ezzeddin Qassam, que les juifs ont été mis en danger, car Israël a été touché par plusieurs missiles ainsi que leurs centrales nucléaires sur lesquelles il faut craindre des fuites !

Restez à l'écoute mais pour l'instant deux premières infos : 

L'opération «Bordure de protection » a échoué (vice-Ministre israélien de la guerre)

IRIB- Selon le site d'information,  Palestine al-Youm, le vice-ministre  israélien de la guerre Dany Danon a avoué que l'opération de «Bordure de protection »  contre Gaza a échoué. Après l'acceptation par le régime sioniste du plan du cessez-le-feu proposé par l'Egypte, le vice-Ministre israélien de la guerre a avoué que l'opération contre la bande de Gaza qui a duré 8 jours a échoué. Il a réclamé, par la suite, la démission immédiate du premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.  Il a dit également que  L'acceptation du cessez-le-feu est une gifle infligée aux Israéliens.

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/332951-l-op%...


Gaza: L'armée israélienne lève les mains!!

IRIB-  L'armée du régime israélien  a suspendu ses actions militaires dans la bande de Gaza, a annoncé mardi le porte-parole de l'armée Peter Lerner. "En conformité aux directives du gouvernement, l'Armée de  Défense d'Israël a actuellement cessé le feu. Nous restons vigilants et sommes aussi bien prêts tant à défendre qu'à attaquer", a déclaré le porte-parole. "Si  Hamas tire sur Israël, nous riposterons", a-t-il souligné. Auparavant, Tel Aviv a annoncé qu'il acceptait la trêve proposée par l'Egypte. Pour sa part, le mouvement de la résistance islamique Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a rejeté la trêve faute d'un accord exhaustif prévoyant l'arrêt des bombardements, la fin du blocus de Gaza établi en 2006, l'ouverture du poste-frontalier de Rafah avec l'Egypte et la libération de prisonniers palestinien

En vertu de ce projet  du cessez-le-feu proposé par l'Egypte prévoit :

- Israël arrête ses attaques contre la bande de Gaza, depuis mer, air et mer, et qu'il n'y aura aucune offensive terrestre  à Gaza et que les citoyens ne seront pas visés par des attaques d'Israël.

- les groupes de la résistance palestiniens stopperont toutes leurs attaques de représailles, depuis Gaza, contre les territoires occupés. Ces attaques comportent des attaques terrestres, aériennes, et maritimes. Les tirs de divers types de missiles aussi devront être stoppés.

- les points de passage (à Gaza) seront ouverts et la circulation des personnes et des marchandises sera facilités par la stabilisation de la situation sécuritaire.

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/332944-l-arm...s


 

Le président chinois arrive au Brésil pour un sommet des BRICS

 

2014-07-15 01:30:54  xinhua

Le président chinois Xi Jinping est arrivé lundi à Fortaleza au Brésil pour participer à un sommet des BRICS.

Le 6e sommet des BRICS, un groupe d'économies émergentes composé du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud, se déroulera les 15 et 16 juillet au Brésil.

Les pays des BRICS représentent 21% de la production économqiue globale et ont contribué à plus de 50% de la croissance économique au cours de la dernière décennie.

Ayant pour thème "Croissance inclusive : solutions durables", le sommet de cette année verra la participation du président Xi, de son homologue brésilienne Dilma Rousseff, du président russe Vladimir Poutine, du chef d'Etat sud-africain Jacob Zuma, ainsi que du Premier ministre indien Narendra Modi.

Par ailleurs, ils rencontreront les dirigeants de l'Union des pays sud-américains, lors du sommet.

C'est la deuxième fois que M. Xi participe au sommet des BRICS et il s'agit également de sa seconde visite en Amérique latine depuis qu'il est président du pays l'an dernier.

Sa participation est largement considérée comme pouvant promouvoir la coopération parmi les pays des BRICS et accroître les relations bilatérales entre la Chine et les pays d'Amérique latine.

Plus tôt, le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Li Baodong a estimé que le récent ralentissement de la croissance économique dans les pays des BRICS était fondamentalement différent de la crise financière qui a frappé les pays occidentaux. Les économies des BRICS jouissent des bases solides, de nombreux instruments de politique et de grands potentiels de croissance, a-t-il souligné. 

Durant sa visite au Brésil, le président chinois aura des discussions avec son homologue brésilienne Mme Rousseff, rencontrera des députés brésiliens et prononcera un important discours au Parlement brésilien.

Les deux pays signeront une série de documents sur la coopération dans les domaines tels que le commerce, les finances, les infrastructures, la science, les technologies et l'éducation.

L'année 2014 marque le 40e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la Chine et le Brésil.

Le Brésil est une importante économie émergente et le plus grand pays en voie de développement dans l'hémisphère occidental. Il est également le premier pays en développement à nouer un partenariat stratégique avec la Chine et le pemier pays latino-américain à établir un partenariat stratégique global avec la Chine.

 

http://french.cri.cn/621/2014/07/15/302s392489.htm

Après l’alliance russo-chinoise, Poutine confirme l’alliance avec l’Amérique latine

Quand d'autres criminels nazis créent les divisions entre pays et fabriquent des génocides sanguinaires, Poutine joue la carte du rassemblement des pays dans l'intérêt de tous les peuples !

 

13 juillet, 13:46

Après l’alliance russo-chinoise, Poutine confirme l’alliance avec l’Amérique latine

Par La Voix de la Russie | Difficile à dire si ceux qui avaient parlé encore tout récemment d’isoler la Russie sur la scène internationale se sentent ridicules ou non (après tout ils sont bien habitués à l’être ces derniers temps), mais vraisemblablement ils le devraient…

La tournée de Vladimir Poutine en Amérique latine est un succès. Un grand succès. Et une nouvelle grande victoire géopolitique. De la même manière que celle qui a suivi la visite du président russe en Chine, en mai dernier. Cette dernière avait alors définitivement confirmé l’alliance entre la Russie et la Chine, en dépit des « efforts » occidentaux à saper cette alliance. Cette visite a pour rappel permis non seulement d’obtenir une nouvelle grande victoire géopolitique à la Russie mais également et sur le plan économique, a confirmé la diversification majeure de ses relations dans le domaine économique, notamment en ce qui concerne les livraisons de gaz, et qui a résulté en la signature d’un contrat gazier historique, prévoyant l’approvisionnement en gaz russe de l’Empire du Milieu pour les 30 prochaines années.

La meilleure réponse qui soit à l’Union européenne qui d’une manière infatigable (et comme toujours sous pression étasunienne) parlait de la nécessité d’une plus grande « indépendance énergétique » de l’UE vis-à-vis de la Russie (sans avoir véritablement de plan B). La Russie, elle, a préféré prendre les devants et l’initiative, et en signant ledit accord historique avec la Chine, a diversifié, et de quelle manière, son portefeuille clientèle. Après tout, les affaires sont les affaires. Mais en général, et étant quelqu’un pour qui l’entreprenariat n’est pas étranger, je peux dire qu’il est toujours préférable de faire des affaires avec quelqu’un dont on partage une vision commune et des valeurs proches. Justement, la Russie et la Chine (sans oublier les autres pays des BRICS) partagent largement une vision commune sur l’avenir du monde et les relations internationales.

Pour revenir à l’Amérique latine, cette visite du leader russe fait déjà grand bruit dans le monde entier, l’Occident ne faisant pas exception. Avant d’arriver à Cuba, première étape de cette tournée latino-américaine, Vladimir Poutine a signé le décret annulant 90% de la dette de Cuba (datant de l’époque soviétique) d’un montant total de 35 milliards de dollars. Les 10% restant vont être remboursés par Cuba sur une période de dix ans, pour ensuite être réinvestis par la Russie à Cuba, dans bon nombre de projets communs. L’un de ces projets concerne la coopération dans le domaine pétrolier, en l’occurrence la recherche et l’exploitation pétrolière dans le golfe du Mexique. L’autre aspect de la coopération bilatérale concernera la création d’une base de ravitaillement à Cuba pour les navires russes. Comme l’a souligné le président russe à l’agence de presse internationale cubaine Prensa Latina,la coopération entre la Russie et Cuba revêt un caractère stratégique et est orientée sur le long terme. Vladimir Poutine a par ailleurs rencontré le Comandante et leader charismatique de la révolution cubaine, Fidel Castro, avec lequel il a eu un long entretien privé, qui a porté sur les questions internationales et l’état de l’économie mondiale.

La prochaine escale devait être l’Argentine, autre partenaire stratégique de la Russie dans la région, mais le président russe a décidé de modifier légèrement le plan de sa tournée, afin de passer d’abord par le Nicaragua, pays ami et allié de longue date de la Russie. Le président nicaraguayen Daniel Ortega a personnellement rencontré Vladimir Poutine à l’aéroport. Les discussions ont porté sur grand nombre de projets communs, dont la livraison de matériels agricoles russes, le déploiement des stations au sol du système russe de positionnement par satellites GLONASS sur le territoire du Nicaragua, la coopération dans le domaine de la pharmacologie, ainsi que la création d’une base d’approvisionnement de navires russes.

Après donc le Nicaragua, le président russe se rendra comme prévu en Argentine où il rencontrera la présidente du pays Cristina Fernandez de Kirchner. Les relations russo-argentines actuelles sur le plan politique, économique, commercial et culturel battent leur plein et ne cessent d’aller de l’avant. Après l’Argentine, Poutine se rendra au Brésil, leader de la région, également partenaire stratégique de la Russie et membre des BRICS. Au Brésil, plusieurs rencontres sont prévues, les deux pays ayant d’importants projets économiques communs et une vision très proche sur l’actualité internationale. Par ailleurs, le président russe assistera à la finale de la Coupe du monde de football au Stade Maracana, à Rio de Janeiro. Le Brésil passera alors le relais à la Russie, qui accueillera la prochaine Coupe du monde de 2018.

Pour finir, revenons à ce que nous avons dit au début. Certains n’ont toujours pas froid aux yeux de se ridiculiser constamment. C’est leur droit. Mais franchement et après cette tournée latino-américaine du leader russe, on a vraiment de quoi à se poser des questions sur l’état mental de certains leaders occidentaux et plus globalement de l’élite politique occidentale, ainsi que de leurs marionnettes.

Quant aux amis de la Russie, ils ne manquent pas : Cuba, le Nicaragua, l’Argentine, le Brésil, sans oublier bien sûr les autres alliés de la Russie que sont le Venezuela, la Bolivie, l’Equateur ou encore l’Uruguay, et le tout uniquement dans le cadre d’une région, en l’occurrence l’Amérique latine. Cela sans parler des alliés et partenaires stratégiques de la Russie au niveau de l’Union eurasienne avec les pays issus de l’Empire russe et l’ex-URSS. Sans parler des poids lourds que sont la Chine et l’Inde, ainsi que les autres pays des BRICS. Sans parler des amis de la Russie en Afrique et dans le monde arabe. Et quelqu’un parle encore « d’isoler » la Russie ? A ce rythme, ceux qui parlent constamment et d’une manière hystérique, d’isoler tout le monde (tout en restant une minorité) finiront très rapidement eux-mêmes isolés. Et c’est leur choix. La dure réalité, pour cette même minorité, du nouveau monde. Un nouveau monde qu’ils finiront par accepter, qu’ils le veuillent ou non… /N


Source : http://french.ruvr.ru/2014_07_13/Apres-l-alliance-russo-c...

Le tango argentin de Vladimir Poutine

Et pendant ce temps-là Poutine, le meilleur VRP pour défendre les intérêts de son pays, cumule les réussites et participe au 6ème sommet des BRICS pour créer leur banque de développement pour écarter le dollar US et par la même occasion, Rothschild qui a la mais mise sur la FED, le FMI et toutes les banques mondiales ! 

Le tango argentin de Vladimir Poutine

Dossier: Vladimir Poutine en Amérique latine

Nezavissimaïa gazeta
11:26 14/07/2014
MOSCOU, 14 juillet - RIA Novosti
Après avoir visité Cuba, le Nicaragua et l'Argentine, Vladimir Poutine est arrivé hier au Brésil participer au 6e sommet des Brics qui se tiendra le 15 juillet à Fortaleza, écrit lundi 14 juillet le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Le président russe visite les pays latino-américains qui ont besoin de l'aide de la Russie.

Ainsi, à Cuba, première escale du parcours du chef de l'État, a vu 90% de sa dette envers la Russie être effacée - les 10% restants seront remboursés sur 10 ans en tranches semestrielles égales, et réinvestis dans l'économie cubaine. Il s'agissait d'une immense dette dépassant
35 milliards de dollars, dont 31,7 milliards effacés.

Au Nicaragua, où Poutine s'est rendu pour une visite non annoncée (son entretien avec le président Daniel Ortega était initialement prévu à La Havane), les parties ont évoqué la coopération multisectorielle pour le développement du pays.

Vladimir Poutine a promis de se pencher sur la question des fournitures de blé de Russie "pour satisfaire les besoins prioritaires" du pays. De plus, la Russie livrera au Nicaragua du matériel agricole, une base de maintenance, et elle pourrait y déployer des stations terrestres GLONASS (l'équivalent russe du GPS). Mais surtout, la Russie contribuera à la construction d'un grand canal interocéanique comme une alternative à celui de Panama.

Dans le cas de l'Argentine, la Russie a promis de nouveaux projets dans le secteur énergétique. Poutine a rappelé que plus de 20% de l'énergie hydroélectrique du pays étaient fabriqués avec des équipements russes et espère que les compagnies russes rejoindront activement le programme de modernisation et de construction de nouveaux barrages. Et l'accord signé sur la coopération pour l'utilisation du nucléaire pacifique posera les bases de la coopération russo-argentine en la matière.

Manifestement, l'Argentine devient un partenaire de premier plan pour la Russie en Amérique Latine, depuis que la présidente Cristina Fernandez de Kirchner s'est solidarisée avec la Russie vis-à-vis de la Crimée, reprochant à l'Occident d'utiliser des doubles standards quant aux référendums en Crimée et dans les îles Malouines. Moscou et Buenos Aires, tous les deux, adoptent également une attitude critique envers le système financier international.

Vladimir Poutine passera trois jours au Brésil. Hier, il a assisté à la finale de la Coupe du monde à Rio de Janeiro et a participé à la cérémonie symbolique du passage du relais du Mondial du Brésil à la Russie. Aujourd'hui, le président russe s'entretiendra avec son homologue Dilma Rousseff et rencontrera les représentants du milieu d'affaires.

Le 15 juillet, le président russe arrivera à Fortaleza où se tiendra le 6e sommet des Brics.

Les dirigeants du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud signeront plusieurs accords – sur la création d'une banque de développement des Brics et d'un pool de réserves de change. Le rôle de cette banque consistera à financer des projets d'infrastructure communs. Il est prévu de constituer à parts égales entre les cinq pays un capital de départ (50 milliards de dollars) et un fonds anticrise (100 milliards de dollars).

La Russie a également besoin de l'Amérique Latine. Le renforcement des relations avec cette région indique qu'elle a réussi à percer un certain isolement international.