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12/03/2011

Menace nucléaire au Japon

LEMONDE | 12.03.11 | 15h13

 

Tokyo Correspondant - La consigne a été donnée samedi après-midi aux alentours de 17 h 30 aux habitants de la région de Fukushima de se calfeutrer chez eux. Quelques minutes auparavant, une explosion avait eu lieu sur ce site nucléaire : le toit et les murs du bâtiment du réacteur numéro 1 de la centrale de Fukushima-Daiichi, exploitée par la compagnie nippone Tokyo Electric Power Co. (Tepco) se sont effondrés. Un incendie s'est déclaré sans que l'on sache quelles installations étaient touchées.

Huit équipes de pompiers de Tokyo ont été appelés sur place. La télévision japonaise NHK annonçait que la radioactivité enregistrée près du réacteur dépassait 1015 microsiverts par heure. Le Japon est-il menacé d'un accident nucléaire majeur comparable à celui de Three Mile Island, la centrale américaine dont le coeur avait, le 28 mars 1979, partiellement fondu ?

Le risque d'une fusion du coeur du réacteur n° 1 de la centrale de Fukushima restait, samedi 12 mars, la préoccupation principale des autorités nucléaires japonaises et internationales. La centrale de Fukushima-Daiichi, située sur la côte pacifique, à 250 km au nord de Tokyo, regroupe 6 des 55 réacteurs nucléaires de l'archipel, dont 11 se sont mis automatiquement à l'arrêt lorsqu'a été ressenti le séisme.

Même à l'arrêt, ces réacteurs doivent continuer à être refroidis par un liquide réfrigérant. Dans le cas contraire, les cartouches de combustible nucléaire (contenant de l'uranium et du plutonium) peuvent être endommagés et fondre. A Fukushima, il semble que se soient produites à la fois une perte d'alimentation électrique, ne permettant plus le refroidissement du coeur du réacteur, et une perte d'alimentation en eau de mer ordinairement injectée dans le circuit de refroidissement.

"LA FUSION DU COEUR SERAIT LE SCÉNARIO EXTRÊME"

"La fusion du coeur serait le scénario extrême, estime Olivier Guppa, directeur général adjoint de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) française. Nous ne savons pas encore s'il est en cours". A la différence de l'accident de la centrale de Three Mile Island, dont l'enceinte de confinement était restée intacte, empêchant des fuites radioactives, dans le cas de Fukushima, si l'enceinte est effectivement détruite, il n'y a plus de barrière au relâchement de particules radioactives.

Plus de cinquante mille personnes étaient en cours d'évacuation, samedi 12 mars, dans un rayon de dix kilomètres de la centrale nucléaire "Fukushima 1", proche des villes d'Okuma et de Futaba, à 250 kilomètres au nord de Tokyo.

Tokyo Electric Power Co. (Tepco), propriétaire de la centrale, pensait relâcher dans l'atmosphère le trop-plein de vapeur radioactive afin de faire retomber la pression interne. Mais il a dû y renoncer momentanément en raison de la trop forte radioactivité autour des valves. L'armée de l'air américaine avait fourni dans la nuit des liquides spéciaux de refroidissement qui n'avaient pas eu l'effet souhaité. Trois autres réacteurs ont été arrêtés et trois autres l'étaient déjà au moment du séisme pour des questions de maintenance.

Est-il possible de sécuriser les centrales nucléaires dans un pays à forte activité sismique comme le Japon où se produisent 20 % des secousses supérieures à une magnitude de 4 enregistrées à travers la planète. Le très fort séisme de vendredi relance le débat sur les risques nucléaires dans l'archipel.

Après un tremblement de terre en juillet 2007 dans le département de Niigata (Mer du Japon) d'une magnitude de 6,8, plusieurs incidents s'étaient déjà produits à la centrale de Kashiwazaki-Kariwa (sept réacteurs) dont des fuites radioactives. Tepco qui avait par le passé dissimulé des problèmes avait tardé à reconnaître les faits : sa centrale n'était pas conçue pour résister à un séisme d'une telle violence et l'alerte avait été donnée trop tardivement, avait reconnu le premier ministre de l'époque, Shinzo Abe.

L'enquête avait révélé une cinquantaine d'anomalies et de dysfonctionnements et des falsifications de documents sur des résultats de tests d'étanchéité. Désireux de rassurer une opinion publique plutôt méfiante vis-à-vis du nucléaire, Tepco avait adopté de nouvelles normes. A l'époque, l'agence météorologique estimait qu'une faille au large de la côte arrivait désormais pratiquement sous la centrale.

THÉORIQUEMENT CONSTRUITS POUR RÉSISTER À UN SÉISME 

Les complexes nucléaires japonais sont théoriquement construits pour résister à un séisme d'une magnitude de 7. Celui de vendredi a été d'une magnitude de 8,9. La centrale de Kashiwazaki-Karina, la plus importante du pays qui alimente la région de Tokyo en électricité, avait été fermée pendant vingt et un mois. Elle a été remise en activité en mai 2009. Eloignée cette fois de l'épicentre du séisme, elle a continué à fonctionner. Les deux principaux sites nucléaires de Tepco, qui alimente la capitale en énergie, sont situés au nord de celle-ci dans les départements de Niigata à l'est et de Fukushima à l'ouest.

Pays disposant de faibles ressources naturelles, le Japon dépend à 40 % de la filière nucléaire pour produire l'électricité dont il a besoin. Il compte plus de cinquante centrales nucléaires situées généralement à proximité de ses côtes. La résistance à la construction de nouvelles centrales reste forte dans une population rétive (victime en 1945 du feu nucléaire à Hiroshima et à Nagasaki) et surtout peu convaincue par les arguments sur la sécurité de ses centrales avancés par ses dirigeants.

Le gouvernement avait annoncé en 2006 de nouvelles règles de construction destinées à renforcer la résistance des centrales nucléaires aux séismes.

Philippe Pons et Pierre Le Hir (à Paris) Article paru dans l'édition du 13.03.11

http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2011/03/12/menace-...


Séisme au Japon : 10.000 personnes disparues dans un port


300 à 400 corps ont déjà été retrouvés dans le port de Rikuzentakata. (Sipa)
300 à 400 corps ont déjà été retrouvés dans le port de Rikuzentakata. (Sipa)

10.000 personnes sont portées disparues dans le port de Minamisanriku, annonce la télévision japonaise samedi 21 mars. Plus tôt dans la journée, il était déjà question de 1.200 disparus et de 700 morts. Le bilan du puissant tremblement de terre qui a dévasté vendredi le nord-est du Japon s'alourdit d'heure en heure.

300 à 400 cadavres ont déjà été retrouvés dans le port de Rikuzentakata, qui avait été submergé la veille par le vaste tsunami qui a suivi le séisme.

Plus de 200 corps avaient aussi été retrouvés vendredi sur la plage de Sendai, au nord-est du pays, après le passage d'une vague de plus de dix mètres consécutive.


En photos
  • [EN IMAGES] Le séisme au Japon

Situation inquiétante pour les ressortissants français

27 ressortissants français sont par ailleurs portés disparus dans la région de Sendaï, ravagée par une vague de dix mètres, d'après une information de LCI.

Etat des lieux provisoire


Environ 1.200 foyers sont susceptibles d'avoir été touchés par le tsunami dans cette zone. 1.128 blessés ont été signalés, d'après un bilan provisoire de la police, établi samedi à 11 heure 30 locales.

Un raz de marée dévastateur a succédé au séisme le plus violent jamais enregistré au Japon, d'une magnitude de 8,9, selon l'Institut de géophysique américain (USGS). Ce tremblement de terre exceptionnel s'est produit à 24,4 kilomètres de profondeur vendredi à 14 heure 46, à une centaine de kilomètres au large de la préfecture de Miyagi. 

Fortes répliques

De fortes répliques s'enchaînent depuis dans la même zone. Un séisme de magnitude 6,7 selon les dernières évaluations de l'agence japonaise (6,2 selon l'USGS) s'est produit samedi vers 4 heure du matin au nord-ouest du pays, sur la façade opposée à la côté Pacifique déjà dévastée. Des glissements de terrain et des avalanches ont été observés.
L'alerte au tsunami est maintenue sur l'ensemble de la côte est du Japon et, dans de moindres proportions, les autres flancs.

Un violent séisme frappe le Japon

http://www.dailymotion.com/video/xhj3hy_un-violent-seisme...



Bâtiments détruits


Le nombre de bâtiments en tout ou partie détruits s'élève à 3.400, selon l'agence Kyodo qui cite l'Agence nationale des incendies et désastres.

Dans la vaste zone touchée par cette immense catastrophe, environ 5,57 millions de foyers étaient privés d'électricité et 600.000 d'eau courante, toujours selon les médias japonais présents sur tous les fronts.

Des moyens de secours extraordinaires sont en train d'être déployés.

Le séisme de Christchurch dans les mémoires

Les premières équipes de secours étrangères, venues de Nouvelle-Zélande, de Corée du Sud ou des Etats-Unis, étaient attendues samedi au Japon.
La Nouvelle-Zélande, qui a reçu très rapidement le soutien du Japon après le séisme de Christchurch du 22 février qui a fait plus de 200 morts et disparus, va envoyer une équipe de 48 spécialistes des opérations de recherches et de secours. "Le Japon avait apporté un soutien énorme après la catastrophe de Christchurch, et nous sommes à notre tour prêts à aider nos amis japonais", a déclaré le Premier ministre John Key. Dans le même temps, une équipe de 66 secouristes japonais, à l'œuvre à Christchurch depuis plus de deux semaines, se préparait samedi à regagner le Japon.

Le ministre australien des Affaires étrangères, Kevin Rudd, a indiqué qu'il s'entretiendrait dans la journée avec son homologue japonais pour lui "proposer toute forme d'aide dont le Japon peut avoir besoin en ces temps de crise".

Selon Kevin Rudd, le Japon a pour le moment demandé à l'Australie l'envoi d'équipes cynophiles et d'équipes de secours qui doivent être acheminées dans la journée par un avion militaire.
Séoul et Singapour ont également annoncé l'envoi dans la journée d'équipes de chiens renifleurs et de secouristes.

"Soixante-huit équipes internationales"

Plus d'une centaine de personnes, médecins et secouristes, se tiennent également prêtes à partir en cas de besoin, a ajouté Séoul, précisant que trois avions de transport militaires étaient disponibles.


"Soixante-huit équipes internationales de recherche et de sauvetage de plus de quarante-cinq pays sont en état d'alerte, elles surveillent la situation et sont prêtes à aider le Japon s'il le demande", a déclaré vendredi à Genève Elisabeth Byrs, porte-parole du Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha).

"Les messages de soutien affluent"  

Le président Barack Obama, qui a appelé le Premier ministre japonais Naoto Kan, a pour sa part promis l'aide des Etats-Unis, qui disposent de bases et de 47.000 militaires au Japon.
L'Agence américaine pour le développement international a annoncé l'envoi de deux équipes de secours, soit 72 personnes, de chiens et de 72 tonnes d'équipement.

Les messages de soutien ont également afflué. La reine Elizabeth II s'est déclarée, dans un message à l'empereur du Japon, "attristée des pertes tragiques en vies humaines". "La solidarité de la France est acquise" aux Japonais, avait affirmé auparavant le président français Nicolas Sarkozy, alors que le Premier ministre britannique, David Cameron, a également assuré que le Royaume-Uni ferait "tout ce qui est possible" pour aider les Japonais.


Le monde de la chanson se mobilise également, la chanteuse américaine Lady Gaga a lancé un bracelet dont les produits de la vente seront reversés pour la reconstruction.

Nouvelobs.com avec AFP

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Tsunami dévastateur au Japon, explosion à la centrale nucléaire de Fukushima

Attention préparez-vous aux retombées radioactives !

Voir l'article précédent : ICI

EN DIRECT. Japon : explosion à la centrale nucléaire de Fukushima

Publié le 12.03.2011, 07h26 | Mise à jour : 10h54

Le toit et les murs du bâtiments du réacteur de Fukushima se sont effondrés après une explosion, selon la télévision NHK.

Le toit et les murs du bâtiments du réacteur de Fukushima se sont effondrés après une explosion, selon la télévision NHK. 

 Au lendemain du terrible tremblement de terre de magnitude de 8,9, suivi d'un tsunami dévastateur et de nombreuses répliques, le Japon compte ses victimes et le bilan ne cesse de s'aggraver. Plus de 1 400 personnes sont mortes ou portées disparues, 215 000 ont été déplacées et sont actuellement dans des abris, tandis que des millions d'autres sont sans électricité.


De très fortes inquiétudes pèsent sur les installations nucléaires du pays et notamment sur la centrale nucléaire de Fukushima (à 250 km au nord de Tokyo), autour de laquelle 45 000 habitants ont été évacués. Une explosion s'y est produite, les murs et le toit d'un réacteur se sont effondrés... Une fusion serait à craindre dans le réacteur, selon l'Agence de sécurité nucléaire et industrielle, ce qui peut laisser craindre un grave accident nucléaire. Un total de onze réacteurs sur 55 se sont automatiquement arrêtés après le séisme.

Dans la région de Sendaï, dévastée par le tsunami, les secours sont à pied d'oeuvre. Coupée du reste du pays, seule l'armée nippone peut s'y rendre pour venir en aide aux populations sinistrées. Ce sont 50 000 sauveteurs qui ont été envoyés sur place.

VIDEO. L'EXPLOSION A LA CENTRALE DE FUKUSHIMA
http://www.youtube.com/watch?v=JOOjqjntjDY&feature=pl...





10h59. «Pour le moment, nous pensons que l'évacuation dans un rayon de 10 km est adéquate», a indiqué le secrétaire général du gouvernement japonais confirmant l'explosion et une fuite radioactive a la centrale de Fukushima.

10h52. Le risque d'un tsunami destructeur sur les côtes d'Amérique latine est écarté, les alertes ont été levées. 

10h45. Selon l'Autorité de sûreté nucléaire française, citée par le Monde, «on n'est pas a priori sur un risque d'explosion de type Tchernobyl, mais plutôt sur un risque d'endommagement du réacteur, sans exclure qu'il y ait relâchement» d'éléments radioactifs, a expliqué Olivier Gupta, le directeur général adjoint de l'ASN.

10h32. Selon des agences japonaises, quatre employés de la centrale de Fukushima ont été blessés et évacués à l'hôpital.

10h24. L'incident à la centrale de Fukushima s'est produit alors que l'exploitant tentait de réduire la pression dans le coeur du réacteur. L'explosion pourrait avoir été causée par de l'hydrogène, utilisé pour refroidir le réacteur.

10h15. Des «super pompiers» vont être envoyés à la centrale nucléaire de Fukushima, selon le porte-parole du gouvernement japonais.

10h05. Les employés présents sur le site de la centrale de Fukushima reçoivent en une heure une dose de radioactivité qui correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement, selon l'agence Kyodo.

9h40. La préfecture de Fukushima confirme l'effondrement du toit et des murs du réacteur. D'après Tokyo Electric Power (Tepco), l'opérateur de la centrale, l'explosion s'est produite après une secousse et le toit et les murs se sont effondrés, a rapporté la télévision NHK.

9h21. Le toit et les murs du bâtiments du réacteur de Fukushima se sont effondrés, selon la télévision NHK. Les télévisions nippones conseillent aux riverains de se calfeutrer.

9 h 12. Des employés auraient été blessés dans la centrale de Fukushima N°1 selon la télévision publique NHK. Selon un expert nucléaire qui s'exprimait sur NHK a affirmé qu'il pourrait s'agir d'une explosion «intentionnelle».

9 heures. Une explosion entendue à la centrale nucléaire de Fukushima N°1 au dessus de laquelle un nuage de fumée blanche se dégage, selon l'agence Jiji.

8h47. Plusieurs sites internet permettent de tenter de retrouver des proches disparus. Sur le site de google, déjà plus de 30 000 message ont été laissés.

8h35. Quelque 220 000 habitants de la côte est des Philippines sont rentrés chez eux samedi après la levée de l'alerte au tsunami.

7h55. La compagnie d'électricité japonaise Tokyo Electric Power (Tepco) a supplié les citoyens de réduire leur consommation de courant, estimant que la demande pourrait atteindre en fin d'après-midi une puissance excédant ses capacités.

7h37. La catastrophe a fait 703 morts, selon un nouveau bilan provisoire fondé sur les chiffres de la police et un décompte de l'AFP. Quelque 784 personnes sont toujours portées disparues tandis que 1 128 blessés ont été signalés.

7h15. L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle estime qu'une fusion peut être en cours dans le réacteur N°1 de la centrale nucléaire Fukushima N°1. La compagnie d'électricité Tokyo Electric Power (Tepco), exploitante du site, a démenti.

6h35. Du césium radioactif a été détecté près de la centrale nucléaire Fukushima N°1, selon l'Agence de sécurité nucléaire et industrielle.

6h05. Les premières équipes de secours étrangères, venues de Nouvelle-Zélande, de Corée du Sud ou des Etats-Unis, sont attendues ce samedi.

4h50. Plus de 215 000 personnes ont été évacuées vers des abris dans le nord et l'est du pays, dont 45 000 personnes appelées à évacuer dans un rayon de 10 kilomètres autour de deux centrales nucléaires.

3h55. Une équipe de secourites japonais présente à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, frappée par un tremblement de terre le 22 février dernier, se prépare à regagner le Japon.

3h35. Un nouveau violent séisme de magnitude 6,8 est survenu au large de la côte est du Japon, sur la même façade de la côte Pacifique. L'épicentre est situé à une profondeur de 24 km à 174 km au sud-est de la ville Sendai.

1h40. Un bateau porté disparu après le passage du tsunami a été retrouvé et les 81 passagers ont été secourus par des hélicoptères de l'armée et des garde-côtes.


VIDEO Les immeubles tanguent sous l'effet du séisme

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...



AUDIO. « LES GENS SONT MORTS DE PEUR »
Lire la vidéoLire la vidéo


LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/en-direct-japo...

 

 

Japon : Une centrale nucléaire a du relâcher des vapeurs « faiblement radio-actives » par mesure de sécurité:

Prenez vos précautions dès maintenant, car les autorités annoncent que nous risquerions de subir les mêmes effets que pour l'incident de la centrale nucléaire de Tchernobyl.

Pensez à prendre des Algues ou à mettre du miso dans vos aliments qui contiennent de l'iode pour vous portéger contre les radiations nucléaires.

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Une centrale nucléaire a du relâcher des vapeurs « faiblement radio-actives » par mesure de sécurité: 

TOKYO (AP) – Les autorités japonaises ont libéré de la vapeur faiblement radioactive afin d’alléger la pression au réacteur nucléaire dont le système de refroidissement a échoué. La rupture est survenue après une panne de courant causée par le séisme massif de vendredi au large du nord du Japon.

L'Agence japonaise de sûreté nucléaire affirme que la pression à l’intérieur lde ’une des six réacteurs à eau bouillante à l’usine de Fukushima Daiichi avait augmenté à 1,5 fois par rapport au niveau considéré comme normal.

L’agence a indiqué que l’élément radioactif dans la vapeur qui est libéré n’aurait aucune incidence sur l’environnement ou la santé humaine. 

Source et article en entier (en anglais): breitbart.com