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08/12/2011

Après les Etats, Standard & Poor's menace les banques de la zone euro et l'UE

Voilà comment les traîtres qui nous gouvernent et qui ont livré les peuples européens entre les mains ennemies des banksters mondiaux, acceptent de se faire noter par des agences privées étrangères qui sont financées par qui ? Toujours les mêmes ! 

Au lieu de dissoudre l'Europe et de nous redonner notre souveraineté monétaire nationale,  il faut à tout prix ruiner les peuples européens, les porteurs d'actions et les épargnants pour enrichir les banksters !

Quand aurez-vous compris qu'il faut retirer votre argent des banques ?

Il leur faut notre argent pour financer leurs guerres génocidaires en enrichissant les banksters : Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes !

On baisse la note des banques juste à la veille du prochain sommet européen pour nous faire avaler la pillule de l'instauration par la force du  MECANISME EUROPEEN DE STABILITE (MES). Voir l'article précédent : ICI  et le traité Européen du MES : ICI

Accessoirement, vous avez compris qu'ils n'ont de cesse que de provoquer les peuples européens et les américains à la révolte, aux émeutes et à la guerre civile. Ce afin qu'ils aient les mains propres qaund les populations se déchirent entre elles, le bon prétexte pour avoir les moyens de faire enfermer les rebelles ou les manifestants dans les camps de la FEMA pour les américains, et les faire zigouiller par les forces de l'ordre en France et en Europe !


Après les Etats, Standard & Poor's menace les banques de la zone euro et l'UE

 

Publié le 08-12-11 à 05:54    Modifié à 08:43     par Le Nouvel Observateur avec AFP     3 réactions

 

L'agence de notation envisage d'abaisser la note de banques européennes, dont plusieurs françaises, et a placé sous surveillance la note qu'elle accorde à la dette de l'Union européenne.

 

Le siège de l'agence de notation Standard & Poor's à New York.
 (c) Afp
Le siège de l'agence de notation Standard & Poor's à New York. (c) Afp

 

A la veille de l'ouverture d'un sommet européen jeudi et vendredi, l'agence de notation Standard & Poor's s'en est pris mercredi 7 décembre à plusieurs grandes banques de la zone euro, dont de nombreuses françaises, et à l'Union européenne.

 

Pour S&P, ces décisions sont la suite logique du placement sous surveillance négative lundi des notes qu'elle attribue à la dette à long terme de quinze pays de la zone euro, dont l'Allemagne, l'Autriche, la Finlande, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas qui bénéficient de la meilleure possible ("triple A").

 

L'agence de notation s'attaque maintenant au secteur bancaire, qui se trouve déjà au cœur de la tourmente financière et qui est un vecteur de propagation de la crise de la dette publique, mais aussi l'Union européenne.

 

De nombreuses banques françaises sont à présent menacées d'une dégradation de leur note, dont BNP Paribas, BPCE (maison mère du Crédit Foncier), la Société Générale, la BRED-Banque Populaire, le Crédit foncier de France, le Crédit lyonnais, le Crédit Agricole et des caisses régionales.

 

Côté allemand, Deutsche Bank et sa filiale Postbank, Commerzbank ou encore Eurohypo sont concernées, tout comme UniCredit et Intesa Sanpaolo en Italie.

 

Banques françaises sous pression

 

Le fait que les banques françaises soient particulièrement menacées n'est pas vraiment une surprise. Dès lundi, lorsque Standard & Poor's avait dit envisager d'abaisser de deux crans la note de la France, l'agence s'était inquiétée des contraintes nouvelles pesant sur le financement des établissements bancaires français.

 

Elle allait jusqu'à dire qu'une intervention de l'Etat pourrait être nécessaire pour les renflouer.

 

Depuis le mois d'août, les banques françaises empruntent plus difficilement sur les marchés en dollars, elles qui en étaient jusqu'ici grandes consommatrices. Sous pression, les trois grandes banques françaises cotées ont toutes annoncé, en septembre, des mesures pour réduire leurs besoins en billets verts.

 

S&P ne compte pas s'en tenir là. "Des décisions similaires concernant la notation d'autres grandes banques de la zone euro seront bientôt prises", précise-t-elle dans un communiqué.

 

"Nous tenterons de trancher ce placement sous surveillance de ces banques peut après la décision sur le placement sous surveillance des Etats" concernées, promet encore Standard & Poor's.

 

L'UE placée sous surveillance

 

L'Union européenne, notée "AAA" depuis 1976, pourrait également perdre cette note, mise sous surveillance négative. S&P a invoqué ses "inquiétudes quant aux répercussions potentielles du service de la dette des Etats de la zone euro à l'avenir".

 

L'Union est un petit émetteur de dette, qui est obligée d'avoir un budget équilibré, mais qui a placé des obligations avec des maturités de 5 à 15 ans pour financer des prêts à des pays membres en difficulté (Hongrie, Roumanie, Grèce, Irlande et Portugal).

 

La décision de lundi soir a entraîné dans son sillage plusieurs annonces de placement sous surveillance des notes d'entités liées aux Etats, comme plusieurs régions espagnoles ou des entreprises publiques françaises ainsi que la ville de Paris et la région Ile-de-France.

 

Cette annonce sur les banques, quoique logique, devrait encore renforcer la pression sur les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne qui se retrouveront jeudi à partir à Bruxelles lors d'un nouveau sommet jugé décisif pour sauver la zone euro.

 

Sommet européen

 

Mercredi, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont appelé leurs partenaires européens à mettre en place une gouvernance renforcée de la zone euro, avec plus de discipline budgétaire et de convergence dans certains domaines comme la finance et le travail.

 

Dans un courrier adressé au président du Conseil européen Herman Van Rompuy, le président et la chancelière ont détaillé leur proposition commune de révision des traités européens, dévoilée lundi à l'Elysée au terme d'intenses tractations, pour tenter d'enrayer la crise des dettes souveraines.

 

Les deux dirigeants doivent également rencontrer, avant le sommet, le président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi, selon une source européenne.

 

Le Nouvel Observateur - AFP

http://tempsreel.nouvelobs.com//chronique-du-triple-a/201...


La pression monte en vue du prochain sommet européen. La flotte de guerre chinoise

La pression monte en vue du prochain sommet européen

 

Dans une interview au Monde, Jean-Michel Six, chef économiste Europe de Standard & Poor's, l'agence de notation américaine qui menace de dégrader la note de quinze Etats de la zone euro, a averti que "l'état d'alerte reste très élevé" dans cette zone. "A un degré divers, tous (les Etats de la zone) suscitent la défiance des grands investisseurs internationaux", a déclaré Jean-Michel Six, observant que "depuis juin, les marchés semblent se fermer (à leurs) besoins de refinancement". Six mois plus tard, l'état d"alerte reste très élevé", a-t-il enchaîné.

Selon le chef économiste Europe de Standard & Poor's, l'agence n'est pas un "Père Fouettard" mais a "voulu faire un geste fort pour souligner la gravité de la crise" en annonçant ses intentions à quelques jours d'un nouveau sommet de crise prévu cette fin de semaine à Bruxelles. Anticipant les critiques sur le rôle néfaste des agences de notation, il ajoute: "Nous faisons des analyses de fond et réagissons de façon très réfléchie". Si tel est le cas, pourquoi ne pas avoir fait ce travail de "prévention" avant que certains états soient si proches du trou?

 

33 Comments

Publié par le 7 décembre 2011 dans Non classé

L'inquiétante expansion de la marine chinoise

 

Le Japon a exprimé, le 2 août, ses inquiétudes concernant l'expansion maritime de la Chine vers le Pacifique et "l'opacité"de son budget militaire. Dans son rapport annuel sur la défense (Defense of Japan 2011), le ministère de la défense japonais prévoit que la Chine, "compte tenu de la récente modernisation de ses forces aériennes et navales", va étendre ses activités en mer de Chine méridionale, en mer de Chine orientale et dans l'océan Pacifique.

Or Pékin a confirmé mercredi 27 juillet qu'elle remettait en état un porte-avions de conception soviétique acheté à l'Ukraine, le Varyag, et, selon des sources proches du pouvoir, qu'elle aurait parallèlement entrepris la construction de deux autres porte-avions, de conception chinoise. Ce sont des moyens idéaux pour projeter des forces sur des théâtres d'opération lointains. Ces développements récents ne font que confirmer l'expansion continue de la marine de guerre chinoise. […]

Avec la montée en puissance de la Chine dans le monde, la marine évolue maintenant vers une nouvelle stratégie "d'opérations dans les mers lointaines" avec des responsabilités qui s'étendent au-delà de la "seconde chaîne d'îles", partant du Nord du Japon jusqu'au Nord des îles Mariannes et Guam où se trouve importante base navale américaine. […] En 2010, la marine comptait 225 000 hommes, au moins 58 sous-marins, dont six nucléaires, plus de 50 frégates et au moins 27 destroyers. Elle est devant le Japon, la première flotte d'Asie, si l'on exclut la marine américaine. Et en tonnage, elle est la troisième du monde. Les Etats-Unis, qui sont un acteur militaire clef du Pacifique, s'en inquiètent. Le "déclin" américain est toutefois relatif. Si l'on considère le tonnage cumulé, la marine américaine a un avantage de 2,63 contre 1 vis-à-vis des flottes russe et chinoise combinées… Et qualitativement, elle est très supérieure.

Néanmoins, la Chine fait peur parce qu'elle a d'importants différends territoriaux maritimes avec ses voisins. Et aussi parce qu'elle est devenue le deuxième importateur mondial de pétrole, ce qui ne fait qu'accentuer les revendications territoriales chinoises. Le grave incident naval entre la Chine et le Japon autour des îles disputées de Diaoyu (en chinois) ou Senkaku (en japonais) en mer de Chine orientale en septembre 2010 a conduit à de vives tensions entre Pékin et Tokyo. Au sud, en mer de Chine méridionale, d'autres différends empoisonnent les relations entre Pékin et ses voisins. Outre les Paracels, l'archipel des Spratly (Nansha en chinois), constitué d'îlots et de récifs, est revendiqué par six pays. Pékin a commencé à y débarquer des troupes à partir de 1988, ce qui a donné lieu à des affrontements meurtriers entre les marines chinoise et vietnamienne.

Comme dans les Senkaku, la présence d'hydrocarbures off-shore complique la donne. Ces dernières années, les incidents "collisions entre bateaux ou accusations d'incursion dans les eaux territoriales " n'ont pas été très graves, mais ils ont provoqué à chaque fois de vives réactions diplomatiques.

Elle conduit aussi les voisins à moderniser leur appareil militaire. Après l'incident des Senkaku, le Japon a été conforté dans l'idée de restructurer ses forces : l'accent est porté sur la protection des îles lointaines du sud du Japon et la sécurité des routes maritimes. Le nombre de sous-marins va passer de 16 à 22. Mais d'autres pays asiatiques accroissent aussi leur flotte de sous-marins, et étoffent leur flotte de guerre, au point que certains parlent de course aux armements. […]

Aussi, un réseau de nations, avec pour pivot les Etats-Unis, émerge dans la région qui essaie de contrebalancer la puissance chinoise ascendante, en accroissant leur coopération militaire. Des navires de guerre américains ont ainsi fait récemment escale au Vietnam. Cependant, Washington manifeste une certaine prudence et soutient aussi la volonté des pays de la région de régler les disputes dans un cadre multilatéral. La Chine et l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean) ont adopté jeudi 21 juillet une "feuille de route" modeste, première approche vers un règlement collectif des nombreuses controverses.

Reste que, selon l'expert naval Philippe Langloit, la marine chinoise pourrait connaître un développement encore plus massif et plus rapide en raison de la part modeste consacrée à la défense par rapport au PIB. Il estime aussi que "Les marines sont toujours d'un point de vue historique, les instruments de " l'expansion coloniale". La marine chinoise va maintenant de plus en plus loin de ses bases. Pour assurer la sécurité de ses voies de communication, venant du golfe Persique, Pékin construit un collier de perles" de bases permanentes le long des côtes de l'Océan Indien. Et elle intervient au lointain pour participer à la lutte contre la piraterie au large de la Somalie. Récemment, elle a même déployé un navire en Méditerranée, une première, pour évacuer des ressortissants dans la crise libyenne. La question reste donc de savoir ce que la Chine fera de sa puissance navale. (Source: Le Monde)

07/12/2011

Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Un petit retour en arrière sur un article qui est paru le 17 novembre 2011 sur le nucléaire israélien !

Mais là tout va bien, il faut la fermer !

Celui qui est dangereux c'est le nucléaire hypothétique Iranien, l'Isralien est super bon pour votre santé !

Ne l'aviez-vous  pas compris ?

 

Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Jeudi, 17 Novembre 2011
 

Commentaires (10)

 

Saurons-nous éviter le pire ?Saurons-nous éviter le pire ?Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Le professeur et historien militaire israélien Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n'hésite pas à exercer un chantage atomique à l'encontre des Européens, en affirmant qu'Israël a « la capacité d'atteindre la plupart des capitales européennes avec ses armes nucléaires ». Souhaitant l'expulsion de tous les Palestiniens y compris ceux des territoires occupés depuis 1967, le professeur fait observer que les Européens ne pourront pas réagir parce que dit-il : « Nous possédons plusieurs centaines d'ogives atomiques et de fusées et pouvons atteindre nos cibles tous azimuts, et même Rome. La plupart des capitales européennes font partie des cibles potentielles de notre Armée de l'air ». « Nos forces armées ne sont pas au trentième rang, mais aux deuxième ou troisième rang mondial. Nous avons la capacité de détruire le Monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu'Israël ne disparaisse ».

Même si cette déclaration (reprise par l'hebdomadaire néerlandais Elsevier) remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd'hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains. C'est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d'esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu'ils sont à l'abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant «le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l'Europe et nous voyons que la propagande atteint  son but : détourner l'attention contre les Musulmans.

Pourtant le professeur israélien n'hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements. Pourquoi ? L'Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n'y a-t'il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d'Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n"en mentionne qu'une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l'Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu'il faut faire sauter.

Si ces propos n'avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n'auraient pas eu une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C'est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime. En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd'hui qu'Israël c'est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu'Israël,  c'est soixante ans d'illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c'est justement parce que la vérité finit par s'imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.

Nous avons déjà écrit qu'un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n'est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu'il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L'absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie), a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre, c'est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe, les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n'est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd'hui, la principale cause de guerre et d'instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.

L'entité sioniste continue de fabriquer, chaque année, un véritable arsenal de destruction massive. Classé sixième puissance nucléaire mondiale, le pays possède, selon une note confidentielle du Pentagone, plus de 200 ogives nucléaires et vient de développer un nouveau missile, le Jéricho III, à très longue portée 'plus de 11 000 km' pour étendre sa zone d'«influence». Elle produit également des armes biologiques et chimiques, et refuse systématiquement de se soumettre à de nouvelles inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de signer le Traité sur la non-prolifération nucléaire.

Seule une union de tous, Musulmans, Chrétiens, Juifs, humanistes, tous anti sionistes, peut empêcher le pire.

http://www.partiantisioniste.com/communications/nucleaire...

 

Bouclier de l'OTAN: Moscou active son système d'alerte antimissile

Tout va bien, braves gens dormez tranquilles, les politiques aux ordres de leurs maîtres, pensent et agissent pour votre bien.

Que diriez-vous d'une grande guerre mondiale nucléaire ?

Vous reprendrez bien un petit coup d'atome, non ?

Combien en voulez-vous ??


Publié le 29 novembre 2011 à 09h47 | Mis à jour le 29 novembre 2011 à 09h47

 

Bouclier de l'OTAN: Moscou active son système d'alerte antimissile

 
«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons... (Photo: Mikhail Klimentyev, Reuters)

 

«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons d'autres moyens de défense, nous prendrons des mesures sévères, comme je l'ai promis le 23 novembre», a mis en garde le président russe, Dmitri Medvedev.

Photo: Mikhail Klimentyev, Reuters

Agence France-Presse
Moscou

La Russie a activé son système d'alerte antimissile à Kaliningrad, enclave russe aux portes de l'Union européenne, afin de répondre aux «menaces» représentées par le projet de bouclier antimissile de l'OTAN en Europe, a indiqué mardi le président Dmitri Medvedev.

La station radar «Voronej-TM» a été activée, a précisé le chef de l'État après avoir menacé le 23 novembre de déployer des missiles balistiques à Kaliningrad si les États-Unis et l'OTAN continuaient de mettre Moscou devant le «fait accompli».

«J'espère bien que cette démarche sera considérée par nos partenaires comme un premier signal montrant que notre pays est prêt à répondre de manière adéquate aux menaces du système de défense antimissile (de l'OTAN) pour nos forces stratégiques nucléaires», a déclaré M. Medvedev au cours d'une réunion avec des hauts responsables de l'armée dans la région de Kaliningrad.

«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons d'autres moyens de défense, nous prendrons des mesures sévères, comme je l'ai promis le 23 novembre», a mis en garde le président russe, cité par les agences.

 

M. Medvedev avait alors expliqué que l'une de ces mesures consisterait à déployer dans la région de Kaliningrad une batterie de missiles Iskander.

Il s'agit de missiles de courte portée, dont le champ d'action est de 280 kilomètres mais peut atteindre, selon des responsables russes, 500 kilomètres dans certaines versions.

Le président russe a rappelé que Moscou exigeait depuis des mois des garanties que le projet de bouclier antimissile américain en Europe ne menaçait pas la Russie.

«Nous ne pouvons plus nous contenter de promesses verbales selon lesquelles le système (de bouclier antimissile américain) n'est pas dirigé contre la Russie. Des déclarations verbales ne sont pas une garantie pour nos intérêts», a-t-il ajouté.

La Russie, qui dit craindre que ce système ne réduise à néant sa force de dissuasion, a exigé d'y être associée, en vain jusqu'à présent.

De leur côté, les États-Unis ont indiqué à maintes reprises que le système antimissile auquel la Roumanie, la Turquie, la Pologne et plus récemment l'Espagne ont officialisé leur participation ne menaçait pas la Russie.

M. Medveved a toutefois observé que l'activation du système d'alerte antimissile «ne fermait pas la porte au dialogue pour continuer à discuter de ces questions avec nos partenaires».

Ces équipements sont un «instrument de contrôle de l'espace aérien» et ne constituent «pas, en soi, une menace pour nos voisins», a-t-il dit.

Mercredi, les États-Unis avaient répondu à Moscou en soulignant à nouveau que leur système ne menaçait pas la Russie, et qu'ils ne comptaient pas renoncer à sa mise en place. L'OTAN avait jugé que la menace russe était une réponse «décevante».

La nouvelle station radar «Voronej-TM» permet d'observer simultanément jusqu'à 500 objets volants -missiles, avions, etc.- sur une distance allant jusqu'à 6000 km, a précisé pour sa part le ministre russe de la Défense, Anatoli Serdioukov.

http://www.cyberpresse.ca/international/europe/201111/29/01-4472701-bouclier-de-lotan-moscou-active-son-systeme-dalerte-antimissile.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_europe_287_section_POS1

Ambassade britannique attaquée: un complot pour déstabiliser Ahmadinejad (experts)

Et voici la version des experts Russes sur l'attaque de l'ambassade Britanique en Iran

Il s'agit d'une autre version que celle perfusée en boucle par les merdias français et Occidentaux.

Propagande sioniste et manipulations mentales des peuples pour nous tenir et nous entretenir dans les mensonges !

International

Ambassade britannique attaquée: un complot pour déstabiliser Ahmadinejad (experts)

Attaque contre l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran
15:38 02/12/2011
 
MOSCOU, 2 décembre - RIA Novosti

L'attaque perpétrée mardi contre l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran a été organisée par les forces islamistes du pays en vue de nuire au président Mahmoud Ahmadinejad à l'approche des élections législatives de 2012, estime Viktor Sajine, chercheur à l'Institut d'études orientales de l'Académie des sciences russes.

"On a l'impression que cette attaque a été organisée par les conservateurs religieux pour faire du tort au gouvernement d'Ahmadinejad", a-t-il déclaré vendredi lors d'une table ronde à RIA Novosti.

Le 29 novembre un groupe d'étudiants a tenu un meeting devant le bâtiment principal de l'ambassade britannique à Téhéran, avant d'attaquer d'autres bâtiments de la mission diplomatique situés dans différents quartiers de la ville. Selon les médias iraniens, six employés de l'ambassade ont été pris en otage, mais libérés peu après par la police. Les étudiants ont lancé cette action pour protester contre les nouvelles sanctions décrétées par Londres en réaction au programme nucléaire iranien.

D'après M. Sajine, il est peu probable que l'attaque se soit déclenchée spontanément. Il s'agit, selon lui, d'un coup monté. Les cailloux, les cocktails Molotov et les drapeaux britanniques, qui devaient être incendiés par les manifestants, avaient été préparés d'avance. La télévision iranienne est très vite arrivée sur les lieux, à la différence de la police qui, cette fois, a été lente à intervenir.

L'expert a également constaté que la diplomatie iranienne semblait être "un peu déroutée", ce qui donne à penser que "le gouvernement n'a visiblement pas participé à l'action" et que celle-ci "pourrait être l'oeuvre de l'opposition".

Si l'opposition a réellement organisé cette attaque, elle a atteint son objectif, car les pays étrangers en imputent la faute à M. Ahmadinejad, a conclu l'expert.

Le directeur du Centre d'étude de l'Iran contemporain, Radjab Safarov, conteste ce point de vue. Selon lui, le saccage de la mission britannique avait effectivement pour but de ternir la réputation des autorités iraniennes. Cependant, il n'a pas été organisé par l'opposition, mais par des services spéciaux occidentaux.

"L'Iran n'avait aucun intérêt à fournir à l'Occident une nouvelle occasion de le critiquer", a indiqué M. Safarov.