Après les Etats, Standard & Poor's menace les banques de la zone euro et l'UE (08/12/2011)

Voilà comment les traîtres qui nous gouvernent et qui ont livré les peuples européens entre les mains ennemies des banksters mondiaux, acceptent de se faire noter par des agences privées étrangères qui sont financées par qui ? Toujours les mêmes ! 

Au lieu de dissoudre l'Europe et de nous redonner notre souveraineté monétaire nationale,  il faut à tout prix ruiner les peuples européens, les porteurs d'actions et les épargnants pour enrichir les banksters !

Quand aurez-vous compris qu'il faut retirer votre argent des banques ?

Il leur faut notre argent pour financer leurs guerres génocidaires en enrichissant les banksters : Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes !

On baisse la note des banques juste à la veille du prochain sommet européen pour nous faire avaler la pillule de l'instauration par la force du  MECANISME EUROPEEN DE STABILITE (MES). Voir l'article précédent : ICI  et le traité Européen du MES : ICI

Accessoirement, vous avez compris qu'ils n'ont de cesse que de provoquer les peuples européens et les américains à la révolte, aux émeutes et à la guerre civile. Ce afin qu'ils aient les mains propres qaund les populations se déchirent entre elles, le bon prétexte pour avoir les moyens de faire enfermer les rebelles ou les manifestants dans les camps de la FEMA pour les américains, et les faire zigouiller par les forces de l'ordre en France et en Europe !


Après les Etats, Standard & Poor's menace les banques de la zone euro et l'UE

 

Publié le 08-12-11 à 05:54    Modifié à 08:43     par Le Nouvel Observateur avec AFP     3 réactions

 

L'agence de notation envisage d'abaisser la note de banques européennes, dont plusieurs françaises, et a placé sous surveillance la note qu'elle accorde à la dette de l'Union européenne.

 

Le siège de l'agence de notation Standard & Poor's à New York.
(c) Afp
Le siège de l'agence de notation Standard & Poor's à New York. (c) Afp

 

A la veille de l'ouverture d'un sommet européen jeudi et vendredi, l'agence de notation Standard & Poor's s'en est pris mercredi 7 décembre à plusieurs grandes banques de la zone euro, dont de nombreuses françaises, et à l'Union européenne.

 

Pour S&P, ces décisions sont la suite logique du placement sous surveillance négative lundi des notes qu'elle attribue à la dette à long terme de quinze pays de la zone euro, dont l'Allemagne, l'Autriche, la Finlande, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas qui bénéficient de la meilleure possible ("triple A").

 

L'agence de notation s'attaque maintenant au secteur bancaire, qui se trouve déjà au cœur de la tourmente financière et qui est un vecteur de propagation de la crise de la dette publique, mais aussi l'Union européenne.

 

De nombreuses banques françaises sont à présent menacées d'une dégradation de leur note, dont BNP Paribas, BPCE (maison mère du Crédit Foncier), la Société Générale, la BRED-Banque Populaire, le Crédit foncier de France, le Crédit lyonnais, le Crédit Agricole et des caisses régionales.

 

Côté allemand, Deutsche Bank et sa filiale Postbank, Commerzbank ou encore Eurohypo sont concernées, tout comme UniCredit et Intesa Sanpaolo en Italie.

 

Banques françaises sous pression

 

Le fait que les banques françaises soient particulièrement menacées n'est pas vraiment une surprise. Dès lundi, lorsque Standard & Poor's avait dit envisager d'abaisser de deux crans la note de la France, l'agence s'était inquiétée des contraintes nouvelles pesant sur le financement des établissements bancaires français.

 

Elle allait jusqu'à dire qu'une intervention de l'Etat pourrait être nécessaire pour les renflouer.

 

Depuis le mois d'août, les banques françaises empruntent plus difficilement sur les marchés en dollars, elles qui en étaient jusqu'ici grandes consommatrices. Sous pression, les trois grandes banques françaises cotées ont toutes annoncé, en septembre, des mesures pour réduire leurs besoins en billets verts.

 

S&P ne compte pas s'en tenir là. "Des décisions similaires concernant la notation d'autres grandes banques de la zone euro seront bientôt prises", précise-t-elle dans un communiqué.

 

"Nous tenterons de trancher ce placement sous surveillance de ces banques peut après la décision sur le placement sous surveillance des Etats" concernées, promet encore Standard & Poor's.

 

L'UE placée sous surveillance

 

L'Union européenne, notée "AAA" depuis 1976, pourrait également perdre cette note, mise sous surveillance négative. S&P a invoqué ses "inquiétudes quant aux répercussions potentielles du service de la dette des Etats de la zone euro à l'avenir".

 

L'Union est un petit émetteur de dette, qui est obligée d'avoir un budget équilibré, mais qui a placé des obligations avec des maturités de 5 à 15 ans pour financer des prêts à des pays membres en difficulté (Hongrie, Roumanie, Grèce, Irlande et Portugal).

 

La décision de lundi soir a entraîné dans son sillage plusieurs annonces de placement sous surveillance des notes d'entités liées aux Etats, comme plusieurs régions espagnoles ou des entreprises publiques françaises ainsi que la ville de Paris et la région Ile-de-France.

 

Cette annonce sur les banques, quoique logique, devrait encore renforcer la pression sur les chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne qui se retrouveront jeudi à partir à Bruxelles lors d'un nouveau sommet jugé décisif pour sauver la zone euro.

 

Sommet européen

 

Mercredi, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont appelé leurs partenaires européens à mettre en place une gouvernance renforcée de la zone euro, avec plus de discipline budgétaire et de convergence dans certains domaines comme la finance et le travail.

 

Dans un courrier adressé au président du Conseil européen Herman Van Rompuy, le président et la chancelière ont détaillé leur proposition commune de révision des traités européens, dévoilée lundi à l'Elysée au terme d'intenses tractations, pour tenter d'enrayer la crise des dettes souveraines.

 

Les deux dirigeants doivent également rencontrer, avant le sommet, le président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi, selon une source européenne.

 

Le Nouvel Observateur - AFP

http://tempsreel.nouvelobs.com//chronique-du-triple-a/201...


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