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30/10/2015

URGENT : Des conseillers spéciaux américains auraient été déployés en Syrie

Les USA ont du mal apparemment à lâcher leur racket sur la Syrie et l'Irak !

Commando de déstabilisation en Syrie !

Alors que les négociations sur la Syrie se poursuivent à Vienne sous la houlette de la Russie, sans la présence de la France, les USA en profitent pour adresser un petit groupe de 20 à 30 conseillers militaires en Syrie pour qu’ils «conseillent et assistent» les rebelles syriens dans leur lutte contre Daesh.

EN DIRECT : les négociations sur la Syrie se poursuivent à Vienne

Alors que Bagdad avait bien dit aux américains qu'ils n'avait pas besoin de leur aval pour lutter contre l'EI en Irak, ils insistent par la force pour y envoyer des unités des forces spéciales américaines qui se trouvent déjà en Irak pour aider l’armée à combattre Daesh.

Bagdad déclare ne pas avoir besoin d'opérations spéciales US

 

Voir aussi :

Washington envoie 50 commandos en Syrie en qualité de conseillers

16:28 30.10.2015 (mis à jour 16:37 30.10.2015)

Washington enverra une cinquantaine de conseillers militaires dans le nord de la Syrie.

Les commandos américains aideront les "forces terrestres locales" à combattre les terroristes de l'Etat islamique (EI), a annoncé un représentant de l'administration présidentielle américaine.

Des conseillers spéciaux américains auraient été déployés en Syrie

Les Etats-Unis auraient envoyé un petit groupe de 20 à 30 conseillers militaires en Syrie pour qu’ils «conseillent et assistent» les rebelles syriens dans leur lutte contre Daesh.

Selon certaines estimations, le président américain Barack Obama devrait faire une déclaration officielle plus tard dans la journée.

Jusqu'à présent, le président américain avait nié la possibilité d’envoyer des troupes en Syrie, précisant que les arabes sunnites locaux devraient se battre contre Daesh au sol tandis que la coalition dirigée par les Etats-Unis les soutiendrait par voie aérienne.

Des unités des forces spéciales américaines se trouvent déjà en Irak pour aider l’armée à combattre Daesh. La semaine dernière, l’un des conseillers américain, le sergent Joshua Wheeler, a été tuée lors d’une opération de sauvetage des otages détenus par l’organisation terroristes dans le nord du pays.

Selon les estimations du journaliste britannique Jonathan Steele qui a accordé un interview à RT, les «conseillers américains auraient été envoyés au nord de la Syrie, là où les milices kurdes combattent Daesh».

Pourtant, les seules forces étrangères a lutter officiellement contre Daesh sont celles de la Fédération de Russie. Mais le président Poutine a précisé à plusieurs reprises que la Russie ne se lancerait pas dans une opération terrestre.

Même si les opérations aériennes russes portent leurs fruits, plus de 1 600 cibles terroristes ont été détruites en un mois, certains ne se gênent pas de critiquer ces raids.

Le général des forces aériennes américaines Philip Breedlove a accusé la Russie d’avoir aggravé la situation en Syrie avec ses frappes. «L’opposition modérée est une composante du processus politique, nous sommes persuadés que ce que fait la Russie va allonger le conflit en Syrie et augmenter le nombre de réfugiés qui fuient pour l’Europe».

Les détails à suivre

Mer Caspienne : enjeux pétroliers

Un dossier de la documentation Française portant sur la Mer Caspienne une région stratégique aux enjeux pétroliers importants, dont Poutine avait pris le plus grand soin de virer les USA et l'OTAN, et mer Caspienne à partir de laquelle la Russie avait lancé 26 missiles sur la Syrie. 

Une région convoitée tant par la France que par les USA et l'Iran.

Voir aussi :

Poutine avait déjà interdit l'accès des USA et de l'OTAN à la Mer Caspienne !

Poutine en visite officielle au Kazakhstan, délimitation nord de la Mer Caspienne

Poutine : quatre navires russes ont tiré des missiles contre Daesh en Syrie depuis la Caspienne

Mer Caspienne : enjeux pétroliers

Mer-Caspienne-enjeux-petroliers.jpg

Mis à jour le 03/08/2005

Introduction

La mer Caspienne est apparue au cours de la dernière décennie comme l’une des zones du globe les plus prometteuses en terme d’investissements et de développement pétroliers. Cette mer intérieure, fortement enclavée est le centre d’une très forte concurrence internationale tant pour le développement des gisements offshore que pour la maîtrise des voies d’accès à ces nouvelles ressources.

 

Pour Pékin, les manœuvres US en mer de Chine méridionale pourraient «déclencher une guerre»

Après la Russie à présent la Chine dans le collimateur des USA avant d'aller s'attaquer aux pays d'Asie Centrale sous les faux prétextes d' aller y assurer la sécurité et la lutte anti-terroriste !

Kerry en Asie centrale: sécurité et lutte antiterroriste au menu

Objectifs clairs : mettre entraves au projet de la Route de la Soie, projet auxquels adhèrent la Chine et la Russie, en y apportant leurs mercenaires pour semer la guerre dans ces régions !

Surtout que la Chine a réussi à faire entrer le Yuan, dans les monnaies mondiales de réserve !

 

Le yuan, nouvelle monnaie mondiale de réserve?
10:42 27.10.2015

yuan
A partir d'octobre 2016, le yuan chinois sera sur un pied d'égalité avec le dollar, l'euro, la livre sterling et le yen japonais.
 

Pékin accuse Washington de jouer avec le feu en mer de Chine
08:46 30.10.2015 (mis à jour 11:01 30.10.2015)

Le navire lance-missiles américain USS Lassen s’est approché, mardi 27 octobre, à moins de 12 milles nautiques d’au moins une des îles artificielles que Pékin construit en mer de Chine méridionale, dans l’archipel des Spratleys.

Pour Pékin, les manœuvres US en mer de Chine méridionale pourraient «déclencher une guerre»

30 oct. 2015, 10:55

Le destroyer américain USS Lassen

Au milieu des tensions pour la zone maritime, disputée entre les pays de la région, les manœuvres de bateaux militaires américains sont peu appréciées par la Chine, qui craint que les Etats-Unis ne déclenchent une guerre à coup de provocations.

Jeudi 29 octobre, le Commandant de la Marine chinoise, Wu Shengli, s’est entretenu par vidéoconférence avec son homologue américain, John Richardson. «Si les Etats-Unis continuent avec ce genre d’actes dangereux, provocateurs, il pourrait bien y avoir une situation très sérieuse et urgente entre les forces frontalières des deux côtés, en mer et dans les airs, ou même un incident mineur qui déclenche une guerre», a-t-il mis en garde. Il a ajouté qu’il espérait que «les Etats-Unis chérissent la bonne situation entre les marines chinoises et US qui ne s’est pas faite en un jour» et qu’ils «évitent que ce genre d’incidents arrive à nouveau».

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Les déclarations ont suivi de quelques heures la décision par Washington d’envoyer un navire de guerre destroyer en mer de Chine méridionale, à proximité des îles Spratley, revendiquées par six pays différents dont la Chine, qui y a vu une menace à sa souveraineté. Les Etats-Unis, eux, s’inquiètent de la récente construction par Pékin d’infrastructures sur les îles, qui pourraient, selon eux, accueillir des installations militaires et menacer leur liberté de navigation.

La mer de Chine méridionale, où se trouvent les îles disputées, est un enjeu régional particulièrement important. Cette voie commerciale, où transite près d’un tiers du pétrole vendu mondialement, est très prisée par le gouvernement de Pékin. Les Etats-Unis, eux, refusent de reconnaître la revendication chinoise des îles, soutenant qu’il s’agit d’une menace à la libre circulation des mers.

 

Pour la députée Véronique Besse, "la France aide l’Etat islamique" (Vidéo)

Enfin des députés indépendants de l'idéologie politique criminelle ambiante !

A la question de savoir si les députés se devaient d'aller se rendre compte sur place de la situation et de rencontrer Bachar Al-Assad ?

Heureusement que les députés qui sont mis en place par les citoyens français et payés sur les deniers du peuple ont encore la possibilité de se libérer de la pensée unique, de la propagande criminelle du gouvernement, pour reprendre contact avec un Président légitime et se rendre compte sur place de la situation en dehors de la propagande qui nous servie par les merdias aux ordres des lobbies. 

A la question posée par la journaliste à la députée : avez-vous des preuves que la France aide les mercenaires criminels ?

Est-ce que la France n'est pas l'alliée d'une coalition US, illégale qui n'a aucun mandat de l'ONU ni l'aval pour intervenir en Syrie de son président légitime, Bachar Al-Assad, et qui viole le Droit international ?

Qui insiste depuis des années pour rabâcher à qui veut l'entendre que le préalable au règlement de la soi-disant crise en Syrie qui a été fabriquée de toutes de pièces par les US/CIA/MOSSAD et Cie, c'est le départ de Bachar Al-Assad ? Hollande et Fabius, notamment.

Qui insiste pour rabâcher à la Russie qu'il ne faut pas tirer sur l'Armée modérée liée à Al-Qaïda et liée à Daesh, qui est armée par les US et la France, et qui coupe des têtes modérément ?

A cause de sa position criminelle, la France a été écartée tout simplement des débats qui se tiennent à Vienne aujourd'hui, sous la houlette du Ministre des affaires étrangères Russe, Lavrov.

Après l'affaire des Mistrals refusés à la Russie une autre HONTE pour le Peuple Français !

 EN DIRECT : les négociations sur la Syrie se poursuivent à Vienne

Pour la députée Véronique Besse, "la France aide l’Etat islamique"

29/10/2015 à 09h37

Bachar al-Assad et Jean-Frederic Poisson, le 28 octobre 2015, à Damas.

Véronique Besse, accompagnée de deux autres élus, s'est rendue en Syrie en début de semaine pour rencontrer Bachar al-Assad. La députée de Vendée et membre du Mouvement pour la France était l’invitée de RMC ce jeudi matin.

Bien que le gouvernement français désapprouve ce genre d’initiatives, les visites de parlementaires français en Syrie se multiplient. En début de semaine, le député et président du Parti Chrétien-démocrate Jean-Frédéric Poisson, ainsi que les élus Véronique Besse et Xavier Breton se sont rendus en Syrie pour rencontrer Bachar el-Assad.

Véronique Besse, députée (non inscrite) de Vendée et membre du Mouvement pour la France, était l’invitée de RMC ce jeudi matin.

"Nous voulions voir la réalité", a-t-elle expliqué. "Nous voulions voir si ce qu’on nous dit en France est celle que nous voyons sur le terrain. La situation politique, économique et humanitaire, ne correspond pas à ce qu’on nous dit en France. Nous avons vu toutes sortes de personnes: le président du parlement syrien, le président, le grand mufti, des chefs d’entreprise... La réalité politique, c’est que l’Etat et les institutions fonctionnent."

"La France manque son rendez-vous"

Interrogée sur la violence dont ferait preuve el-Assad et les 250.000 morts depuis le début du conflit, Véronique Besse estime qu’il "faut rencontrer tout le monde. La position du gouvernement français n’est pas la bonne. La Syrie est un pays qui est en guerre. La France manque son rendez-vous alors qu’elle est attendue en Syrie. C’est une grosse faute de ne pas collaborer avec l’Etat syrien. On nous a dit là-bas : pourquoi la France nous a lâchés, pourquoi elle nous tourne le dos ?"

"Nous n’avons même plus de représentation diplomatique en Syrie", a-t-elle déploré. "Bachar al-Assad nous a dit qu’il souhaitait que la France retisse des liens avec la Syrie, compte tenu de son rôle culturel qu’elle a eu pendant des siècles. Il voudrait que les liens soient beaucoup plus forts."

"Le choix est simple : c’est Bachar ou Daesh, et mon choix est fait", a martelé la députée. "Il est président d’un Etat et la France devrait être aux côtés de l’armée syrienne."

"Le peuple syrien estime Assad"

Véronique Besse a également déclaré que "la France aide l’Etat islamique en fournissant des armes à des groupes soi-disant modérés proches d’al-Qaïda, et donc proche de l’Etat islamique, comme al-Nostra. C’est ce qu’un certain nombre de personnes bien informées nous ont dit", a-t-elle indiqué, admettant ne pas avoir de preuves. 

Alors que Laurent Fabius va participer en fin de semaine aux discussions sur la Syrie à Vienne avec plusieurs ministres des affaires étrangères, le patron du quai d’Orsay souhaite négocier un départ du président syrien avec les partenaires européens, occidentaux et arabes.

Mais Valérie Besse a estimé que "le peuple syrien estime beaucoup al-Assad" et affirme que le rôle de la Russie "est primordiale. Depuis que Moscou est arrivé aux cotés des Syriens. Bachar al-Assad nous a dit qu’il était très heureux que la Russie l’ait rejoint. La position française devrait être beaucoup plus claire autour de la Syrie."

Etats-Unis: mandat d'arrêt contre Thomas Fabius pour de gros chèques en bois

Etats-Unis: mandat d'arrêt contre Thomas Fabius pour de gros chèques en bois

AFP le 29/10/2015 à 22:41, mis à jour à 00:00

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Thomas Fabius le 1er juin 2011 au Tribunal de Grande Instance de Paris ( AFP/Archives / Bertrand Guay )

Thomas Fabius, fils du ministre français des Affaires étrangères, fait l'objet d'un mandat d'arrêt aux Etats-Unis pour des chèques en bois à des casinos de Las Vegas, d'un montant total dépassant 3,5 millions de dollars, a annoncé jeudi à l'AFP le bureau du procureur local.

Ces énormes dettes de jeu ont été contractées dans la nuit du 15 au 16 mai 2012, selon l'hebdomadaire Le Point qui a révélé l'affaire. Ce même 16 mai 2012 Laurent Fabius était officiellement nommé chef de la diplomatie française.

Le mandat d'arrêt visant l'homme de 33 ans n'est pas international mais s'applique à tout le territoire américain, a indiqué à l'AFP un porte-parole du bureau du procureur du comté de Clark, dans l'Etat occidental du Nevada où se trouve Las Vegas.

En d'autres mots, Thomas Fabius risque de se faire arrêter s'il pose le pied aux Etats-Unis, a précisé ce porte-parole.

Joueur invétéré et personnalité sulfureuse, Thomas Fabius a déjà par le passé été accusé de jongler avec des millions dans des casinos où il a parfois laissé de lourdes "ardoises".

Le mandat d'arrêt, signé par le juge William Kephart en mai 2013, mentionne que les poursuites sont engagées par "l'Etat du Nevada contre Thomas Emmanuel Fabius".

Selon la plainte officielle remontant elle à avril 2013, obtenue jeudi par l'AFP, Thomas Fabius semble avoir été pris d'une frénésie d'achat de jetons et de plaques de casino, rédigeant des chèques à répétition.

Utilisant un chéquier de la banque italienne Banca Monte dei Paschi di Siena, il a libellé trois chèques à l'ordre de l'hôtel de luxe-casino The Palazzo: un de 200.000 dollars, un de 409.000 dollars et le troisième d'un million de dollars.

Au Aria Resort & Casino, un autre complexe offrant des jeux et des chambres luxueuses, le fils aîné de Laurent Fabius a remis cinq chèques, en sortant cette fois un carnet de la Société générale: deux chèques de 300.000 dollars, deux chèques de 100.000 dollars et un dernier de 200.000 dollars.

Enfin, au casino Cosmopolitan of Las Vegas, Thomas Fabius a écrit un chèque de 900.000 dollars, "sachant que le chèque ne serait pas encaissé quand il serait présenté", a relevé la plainte officielle.

La justice américaine n'est pas la première à s'intéresser à Thomas Fabius, dont le train de vie apparaît depuis plusieurs années ne pas correspondre aux revenus censés provenir de sa société de conseils.

Le trentenaire a ainsi été visé, avec d'autres personnes, par une information judiciaire contre X ouverte en France en juin 2013 pour "faux", "escroquerie" et "blanchiment".

Cette enquête avait été lancée pour éclaircir d'importants mouvements de fonds ayant pu transiter par le fils du ministre des Affaires étrangères.

Thomas Fabius avait notamment éveillé les soupçons en réalisant l'acquisition en 2012, pour 7 millions d'euros, d'un appartement à Paris. La transaction a fait l'objet d'un signalement à la cellule de renseignement financier Tracfin.