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26/07/2014

Leçon de "CHOSES". Vidéo: Vladimir Poutine fait la leçon à Barack Obama et ses alliés

Nous rappelons au passage que Vladimir Poutine a une formation de Juriste.

 

Posted on juil 25, 2014 @ 10:17

poutine force

Dans une conférence de presse tenue le 17 juillet dernier, le président russe revient sur ce qui marque l’actualité du monde, tout particulièrement en Ukraine. Il parle des sanctions américaines à l’encontre de la Russie, fustigeant le manque de professionnalisme des autorités américaines. 

Le président russe accuse les Etats-Unis de pousser Kiev à la guerre et évoque leurs différents échecs en Afghanistan, en Irak ou en Libye. Une façon de leur dire qu’ils ne retiennent jamais les leçons du passé. Que dire du FMI qui donne de l’argent à Kiev alors que le pays est en guerre, ce qui est proscrit dans ses statuts ? Du grand art.

Vladimir Poutine sur l'Ukraine et les nouvelles sanctions US

https://www.youtube.com/watch?v=wPGNcYEA5ak

 

http://allainjules.com/2014/07/25/lecon-de-choses-video-v...

 

24/07/2014

Poutine : Israël n'a d'autre choix que de se soumettre au cessez-le-feu

Jeudi, 24 juillet 2014 11:16

Poutine : Israël n'a d'autre choix que de se soumettre au cessez-le-feu

IRIB- « la poursuite des opérations militaires aggravera davantage la situation humanitaire à Gaza »
a déclaré, le Président russe, Vladimir Poutine, lors d'un entretien téléphonique, avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. « la poursuite des opérations militaires aboutira à la mort de davantage de civils » a-t-il précisé.
 
« Israël n'a d'autre choix que d'accepter le cessez-le-feu et de résoudre la crise actuelle par des voies politiques » a-t-il indiqué. « La Russie est, toujours, prête à mener des efforts de la médiation et contribuer à l'application des ententes entre les deux parties, ainsi que les plans pacifiques dans le cadre de l'ONU » a-t-il ajouté.

 

 

 

 


 

Poutine, le temps de la revanche est venu

Poutine, le temps de la revanche est venu

Par M. K. Bhadrakumar
India Punchline, le 24 juillet 2014

article original : "Putin, it's your payback time"


Le premier sur le terrain remporte la mise et une personne comme le président Barack Obama qui a grandi sous les tropiques d'Hawaï et d'Indonésie devrait le savoir bien mieux que son homologue russe, Vladimir Poutine de Leningrad. L'empressement avec lequel Obama s'est rué pour prendre très tôt la tête de la guerre de propagande sur l'Ukraine par rapport à Moscou donne presque l'impression qu'il espérait qu'une telle tragédie se produise. Jusqu'à présent, il n'a eu aucune conversation téléphonique avec Poutine - pas même pour établir certains faits avant toute chose.

C'est tout le contraire pour la Chancelière allemande Angela Merkel et les deux chefs d'Etats les plus affectés par la tragédie de ce malheureux avion malais - le Premier ministre néerlandais Mark Rutt et le Premier ministre malais Najib Razak. En fait, Rutt a déjà discuté à deux reprises de cette tragédie avec Poutine et ils se sont mis d'accord sur la suggestion de ce dernier d'une ouvrir une « enquête indépendante et équitable » sur le tragique événement de Donetsk, menée par l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale avec la participation de « toutes les parties concernées », et, dans l'attente, d'exiger « un cessez-le-feu inconditionnel et immédiat » en Ukraine de l'Est.

Obama acceptera-t-il une telle approche ? Merkel et Razak ont tout deux été immédiatement d'accord avec Poutine. Or, un cessez-le-feu en Ukraine est la dernière chose qu'Obama a en tête, avec le vive-président Joe Biden qui presse constamment le Président Petro Porochenko à aller de l'avant dans la répression militaire contre la région rétive et rebelle de Donetsk, afin que d'une manière ou d'une autre un point de non-retour soit atteint dans les relations entre la Russie et l'Europe, dont l'équilibre est pour le moins délicat.

Certes, Moscou a perdu la guerre de propagande vis-à-vis de Washington. On en revient à la période de la Guerre Froide. Les USA ont toujours eu des kilomètres d'avance sur l'Union Soviétique en matière d'opportunisme - que ce soit durant la crise des missiles à Cuba, en Afghanistan ou le Dr Jivago de Boris Pasternak.

Pour moi, la Russie est à la faute ici. C'est ce qui arrive à une maison divisée. Tout observateur chevronné a pu s'apercevoir que Moscou a été tiraillé dans des directions opposées par ceux que l'on appelle les « occidentalistes » et ceux que l'on appelle les « orientalistes », ces derniers étant en retrait. La crise ukrainienne devrait être un signal d'alarme. Le fait est que l'histoire n'est pas finie et que la Russie ne pourra jamais faire partie du monde occidental. Elle est trop grande, trop différente, trop puissante et ingérable. La présence de la Russie dans la maison européenne serait un défi au leadership transatlantique des Etats-Unis et remettrait en cause la raison d'être de l'Otan, et avec elle l'euro-atlantisme comme leitmotiv des stratégies mondiales des USA.

Il est grand temps que les « occidentalistes » au sein des élites moscovites réalisent que ce à quoi ils s'accrochent n'est qu'une chimère. Il n'y a aucun précédent dans l'Histoire où les USA ont jamais traité un autre pays - y compris la Grande-Bretagne - sur un pied d'égalité. Par conséquent, le destin de la Russie est dicté par le besoin de consolider sa position en tant qu'acteur mondial indépendant. Elle a la capacité de le faire, mais, hélas, la volonté et l'intérêt de discerner qui est un allié potentiel et qui ne l'est pas lui fait trop souvent défaut.

Cela fait de l'appel téléphonique, [samedi dernier], du Président iranien Hassan Rouhani à Poutine une chose des plus intéressantes pour un observateur de la Russie. Bien sûr, Rouhani n'a pas abordé l'Ukraine. Il aurait été surprenant qu'il le fasse.

Certes, c'est un moment poignant dans les relations russo-iraniennes. Le Kremlin a dû coopérer avec l'administration Obama dans l'esprit de la (tristement) célèbre « réinitialisation » américano-russe pour faire pression sur l'Iran et isoler ce pays à un moment où Téhéran avait le dos au mur. Bien sûr, c'était à un moment où les « occidentalistes » à Moscou faisaient la loi et qu'ils débordaient de confiance, pensant qu'ils avaient un accord avec Obama, en montrant sans retenue qu'ils partageaient les valeurs américaines. Pour eux le monde entier semblait tourner à l'heure américaine.

A présent, la roue a fait tour un complet. La réinitialisation s'est avérée être une farce macabre que l'administration Obama a jouée à ceux du Kremlin. Et la plus grande ironie de toutes est que la Russie est aujourd'hui traitée avec une avalanche de sanctions par les Etats-Unis, à moins qu'elle n'agisse de façon appropriée vis-à-vis de l'Ukraine, de façon très similaire au traitement subi par l'Iran jusqu'à l'année dernière.

Et pourtant Rouhani n'a pas abordé l'Ukraine avec Poutine. Mais il a laissé à Moscou de quoi réfléchir. Le fait est que la Russie est tout simplement un ami sincère et un partenaire stratégique de l'Iran à ce moment précis où les discussions entre les Etats-Unis et l'Iran sont finalement prêtes à avancer. Moscou peut prendre l'avantage sur les Etats-Unis et rendre des coups aux partisans de la guerre froide à Washington là où ça fait le plus mal.

Il est assez évident que l'avantage américain dans les négociations avec l'Iran faiblit. Un retour en arrière (avant que les pourparlers directs n'aient commencé) est impossible ; une frappe militaire contre l'Iran n'est pas réaliste ; si les pourparlers n'aboutissent pas, Téhéran reprendra son programme nucléaire à pleins gaz. En somme, l'Iran a rompu l'encerclement par les Etats-Unis. C'est la signification de la date limite du 20 juillet pour trouver un accord sur le nucléaire. Il n'y a rien d'autre à dire.

A présent, ce que la Russie peut faire est de faire des confettis avec le régime des sanctions américaines contre l'Iran en procédant simplement à étendre à leur pleine capacité ses relations avec ce pays - que ce soit dans le domaine de l'énergie ou en matière de coopération de défense. Après tout, l'argument de la Russie a tout du long été qu'elle se conforme uniquement aux sanctions des Nations Unies. Pour le dire simplement, mettre en pratique ce que prêche Moscou. Par ailleurs, ce sera également la chose correcte à faire vu sous l'angle des relations d'affaires - être à Téhéran avant les entreprises américaines.

On peut le dire autrement : obliger les Etats-Unis à négocier dans l'urgence avec l'Iran qui a le soutien total de la Russie. Il n'y a aucune confrontation ici avec les Etats-Unis de la part de la Russie, d'autant plus que la Russie ne fera que renforcer et élargir ses relations avec un pays ami.

Le fait est que les Iraniens donneront du fil à retordre aux Américains. Il n'y a aucune chance pour que Téhéran renonce à ses énormes actifs qui représentent des centaines de milliards de dollars, que les Etats-Unis ont confisqués dans le sillage de la chute du Shah ; c'était un vol manifeste. Les Iraniens n'oublieront jamais non plus que les Américains ont délibérément abattu un avion civil iranien en 1988 - sachant parfaitement bien qu'il s'agissait d'un avion civil - tuant 300 personnes à bord.

J'ai commencé à m'occuper de l'Iran pour la première fois en 1989, lorsque j'étais un diplomate de carrière, et je me suis rendu dans ce pays de si nombreuses fois que je suis incapable de dresser toute la liste de mes visites dans ce pays. Si je connais bien l'Iran, je peux aller jusqu'à affirmer : Rouhani est venu en aide à Poutine à un moment capital de la politique mondiale de notre époque.

Lire également : L'ombre de l'Ukraine plane sur les steppes d'Asie Centrale

M K Bhadrakumar a servi en tant que diplomate de carrière dans les services extérieurs indiens pendant plus de 29 ans. Ses affectations incluent l'Union Sovétique, la Corée du Sud, le Sri Lanka, l'Allemagne, l'Afghanistan, le Pakistan, l'Ouzbékistan, le Koweït et la Turquie.

Traduction [JFG-QuestionsCritiques].

Lire également : L'ombre de l'Ukraine plane sur les steppes d'Asie Centrale

http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/M_K_Bhadrakumar/Poutine_Kiev_USA_revanche_200714.htm

 

18/07/2014

Kiev a communiqué trop vite que le Boeing s'était écrasé (aiguilleur du ciel espagnol)

Assassinat manqué de Poutine ?

Ils sont devenus tous prophètes dans l'état sioniste quand ils ont prédit à l'avance que les 3 jeunes israéliens allaient être enlevés et tués, et maintenant les nazis de KIEV ont communiqué trop vite que le Boeing s'était écrasé alors qu'il s'avère qu'il a été abattu en vol ?

Si ce n'est pas de la préméditation, on peut se demander ce que c'est ?

Il faut dire que Poutine a de quoi agacer les USRAEL/UE, les Rothschild et Cie, en ce moment, en voulant sortir de la main mise du Dollar en ayant créé la Banque du Développement avec les pays des BRICS !

 Les BRICS en route vers l'indépendance financière (Poutine)

Aujourd'hui, 00:51

Kiev a communiqué trop vite que le Boeing s'était écrasé (aiguilleur du ciel espagnol)

Kiev a communiqué trop vite que le Boeing s'était écrasé (aiguilleur du ciel espagnol)

Par La Voix de la Russie | Quelques minutes avant le crash du Boeing malaisien en Ukraine des avions militaires ukrainiens ont été observés dans sa proximité, a communiqué sur son compte Twitter l'aiguilleur du ciel espagnol qui gérait le vol de l'avion de Malaysia Airlines.

Selon lui des avions militaires ont croisé le Boeing 777 trois minutes avant sa disparition des radars.

« Quang le Boeing a disparu, les autorités de Kiev nous ont annoncé qu'il s'était écrasé. Comment pouvaient-elles l'apprendre si vite ? », écrit le contrôleur aérien sur sa page.


Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_07_18/Kiev-a-communique-trop-v...

Crash du Boeing 777 : l'avion du président Poutine la cible d'un missile ukrainien ?

Un attentat râté ? 

L'article original sur Russia Today :

Reports that Putin flew similar route as MH17, presidential airport says 'hasn't overflown Ukraine for long time'

http://rt.com/news/173672-malaysia-plane-crash-putin/

 

Question

Crash du Boeing 777 : l'avion du président Poutine la cible d'un missile ukrainien ?


Russia Today
jeu., 17 juil. 2014 13:56 CDT
Carte Imprimer

Traduction : SOTT

© AFP Photo / liu Jin

Le vol MH17 de Malaysian Airlines suivait une trajectoire quasi identique à celle du jet du président russe Vladimir Poutine peu de temps avant le crash qui a fait 295 victimes, selon des sources citées par l'agence de presse Interfax.

« Je peux dire que l'avion de Poutine et le Boeing de la Malaysian Airlines se sont croisés au même point et au même échelon, à proximité de Varsovie, sur un échelon de 330-m, à une altitude de 10 000 mètres. Le jet présidentiel se trouvait à cet endroit à 16h21 heure de Moscou, et l'avion de la Malaysian Airlines à 15h44 heure de Moscou », a déclaré une source à l'agence de presse sous condition d'anonymat.

« Les contours des deux avions sont similaires, les dimensions linéaires sont également très similaires ; quant à la couleur, à forte distance, ils sont quasi identiques », a ajouté la source.

Le vol MH17, qui a décollé d'Amsterdam à destination de Kuala Lumpur et qui transportait 295 passagers, s'est écrasé en Ukraine.

Le vol commercial devait pénétrer dans l'espace aérien russe à 17h20 heure locale, mais ne l'a jamais fait, a déclaré une source de l'industrie d'aviation russe citée par Reuters.

L'avion s'est écrasé à 60 km de la frontière ; il avait un signal d'urgence, selon une source citée par ITAR-TASS.

http://fr.sott.net/article/22258-Crash-du-Boeing-777-l-avion-du-president-Poutine-la-cible-d-un-missile-ukrainien