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27/03/2014

VERROU – Obama accusé par un journaliste d’être pire que Bush pour la liberté de la presse

VERROU – Obama accusé par un journaliste d’être pire que Bush pour la liberté de la presse

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/03/25/verrou-obama-accuse-par-un-journaliste-detre-pire-que-bush-pour-la-liberte-de-la-presse/

Symbole de l'Agence de sécurité nationale américaine (AP/Patrick Semansky).

L'administration Obama est « le plus grand ennemi de la liberté de la presse que l’Amérique ait connu depuis au moins une génération ». A l’occasion d’une conférence organisée à New York sur le thème de la protection des sources et de la sécurité nationale, le journaliste du New York Times James Risen, qui a couvert la Maison Blanche pendant le mandat du président démocrate, a fait le procès de ceux qui dirigent les Etats-Unis depuis 2008.

Pour M. Risen, l’actuelle administration veut « limiter le champ d’investigation sur la sécurité nationale » afin de « créer un chemin balisé pour la couverture de ces sujets », relate le site Poynter dans un compte-rendu de la conférence. N’importe quel journaliste qui se risque à outrepasser les limites posées par le gouvernement « sera puni », a ajouté James Risen. Le journaliste spécialisé dans les activités du gouvernement américain considère que l’administration Obama a créé « de facto un Official Secrets Act », soit un état législatif qui protégerait les secrets d'Etat.

En 2013, la révélation des écoutes des communications téléphoniques et e-mails de journalistes de l’agence Associated Press et de Fox News, interceptés pour des motifs prétendument liés à la sécurité nationale – les journalistes espionnés étaient soupçonnés d'avoir relayé des fuites –, avait scandalisé les défenseurs du premier amendement de la Constitution, qui protège la liberté de la presse aux Etats-Unis. Entre 2009 et 2013, l'administration Obama a poursuivi six personnes pour avoir livré des informations confidentielles à la presse. Soit deux fois plus que tous ses prédécesseurs combinés.

PROTÉGER SES SOURCES

James Risen est l’un des journalistes qui a contribué à dévoiler le programme de surveillance de l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA). Ce travail lui a valu de recevoir, avec Eric Lichtblau, le prix Pulitzer en 2006. Il lui a aussi valu d’être accusé par le gouvernement américain d’entrave à la sécurité nationale. Depuis, M. Risen a saisi la Cour suprême pour tenter de protéger l'une de ses sources.

Les révélations d’Edward Snowden sur la surveillance pratiquée par les agences américaines de renseignement ont ravivé les tensions entre pouvoir politique et médias. Après près d'un an de révélations, plusieurs journalistes, dont Glenn Greenwald, ont rejoint le magazine en ligne The Intercept.

Accusé d'espionnage, de vol et utilisation illégale de biens gouvernementaux par les Etats-Unis, Edward Snowden s’est réfugié en Russie en août dernier, où il a obtenu l’asile temporaire, après être resté bloqué pendant trente-neuf jours dans la zone de transit de l’aéroport de Moscou. L’informaticien et ancien consultant de la NSA s’est exprimé par vidéoconférence le 10 mars dernier à l’occasion du festival South by Southwest – rendez-vous annuel consacré aux nouvelles technologies à Austin (Texas). « La NSA met le feu à Internet, vous êtes les pompiers qui peuvent le sauver », a-t-il lancé à ceux qu’ils considèrent comme « la communauté qui construit Internet ».

 

 

26/03/2014

Russie/Ukraine : Itinéraires de transport du gaz et du pétrole russes

Voici ce que les voleurs des US/UE/Sionistes ont l'intention d'aller voler en Ukraine : le pétrole, le gaz et l'agriculture et s'ils avaient pu prendre la Crimée aussi pour priver les russes de leur base militaire à Sébastopol, c'eut été parfait pour eux outre l'or qu'ils ont déjà déménagé vers les USA.

 

Michel Collon : Ukraine et médiamensonges,
comment ne pas se faire manipuler ?

https://www.youtube.com/watch?v=uTp6CIHh4qs

 

L’Ukraine, un « gisement vert » au cœur de l’Europe

Les principaux itinéraires de transport du gaz provenant de Sibérie occidentale vers les marchés européens traversent l'Ukraine.

Cliquez sur l'image pour zoomer

Gaz russe.jpg

Le pétrole russe est exporté vers plusieurs pays du monde. 87% des exportations sont destinées aux consommateurs européens.

Cliquez sur l'image pour zoomer

Pétrole russe.jpg

 

 

 

La vérité sur Maidan Kiev, les faits passés sous silence des médias!!!

Est-ce que c'est Poutine et la Russie qui ont financé les nazis et qui leur ont donné l'ordre d'attaquer les forces de police et de sécurité ?

La vérité sur Maidan Kiev, les faits passés sous silence des médias!!!

https://www.youtube.com/watch?v=z2qvf6lugWI&feature=youtu.be

Michel Collon : Ukraine et médiamensonges,
comment ne pas se faire manipuler ?

https://www.youtube.com/watch?v=uTp6CIHh4qs

 

La réponse des Pays des BRICS aux US/UE,Sionistes à La Haye : l'avenir est à nous !

Voici pourquoi Poutine était serein face aux menaces des US/UE/Sionistes qui prennent une nouvelle humiliation de la part de la Russie, du Brésil, de l’Inde de la Chine et de l’Afrique du Sud.

Ukraine: les BRICS condamnent les sanctions
http://fr.ria.ru/world/20140325/200805806.html

Voilà à quoi ont mené les menaces de sanctions contre la Russie par les US/UE/Sionistes : A LA LIBERATION DES PAYS DU BRICS (Russie, Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) qui ont déjà leur banque mondiale.

À Durban, les Brics lancent leur propre banque mondiale
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/03/26/20002-20130...

Il ne leur reste plus qu’à exiger que les US et les pays occidentaux paient dans la monnaie des pays du BRICS pour que le dollar soit définitivement enterré et les USA avec !

Que voulez-vous qu’ils fassent de leur G8 ?

Pays des BRICS : l’avenir est à nous !

Pays des BRICS : l’avenir est à nous !

© Collage: La Voix de la Russie

Par La Voix de la Russie | A l’heure où les pays occidentaux menacent (encore) la Russie de sanctions (bien que de moins en moins ardemment), le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a ouvertement donné le ton lors du sommet sur la sécurité nucléaire à La Haye.

Ce forum a été une occasion supplémentaire de discuter avec le secrétaire d’Etat étasunien John Kerry, ainsi que d’une rencontre avec le ministre ukrainien par intérim des Affaires étrangères Andreï Dechtchitsa (la rencontre a eu lieu à la demande de la partie ukrainienne). Mais nous n’allons pas nous focaliser sur ces deux rencontres, mais bien sur celle qui s’est déroulée en tout premier lieu à La Haye : celle des ministres des Affaires étrangères des pays des BRICS.

D’ailleurs le fait même que la première rencontre de Lavrov à La Haye ait été consacrée aux BRICS est tout un symbole. A l’heure où les leaders occidentaux ne savent plus à quoi s’en tenir, notamment en affirmant que la Russie « ne ferait plus partie du G8 », le ministre russe des Affaires étrangères a une nouvelle fois montré la priorité de la Russie. Sergueï Lavrov a dit une chose importante durant son passage à La Haye, qui concerne justement le G8 : « Le G8 est un club informel, il ne distribue pas de cartes de membre et personne ne peut en exclure qui que ce soit. Si nos partenaires occidentaux estiment que ce format est dépassé, la Russie ne s’y accrochera pas ».

Quant aux pays des BRICS, et c’est effectivement une grande nouvelle, les quatre pays autres que la Russie (à savoir le Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) ont condamné dans une déclaration commune les sanctions occidentales contre la Russie en tant qu’instrument de règlement de la situation en Ukraine, rapporte le quotidien canadien The Globe and Mail. Sergueï Lavrov a quant à lui exprimé la reconnaissance de la Russie envers les autres pays membres des BRICS pour leur « compréhension de la position russe au sujet de la Crimée ».

« En ce qui concerne la rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays des BRICS ici à La Haye, nous avons entendu la compréhension de la situation, ainsi que la compréhension des aspects historiques de toute cette situation, et nous sommes reconnaissants à cet effet à nos partenaires », a déclaré Sergueï Lavrov durant la conférence de presse qui a suivi ses rencontres à La Haye.

Pour revenir aux BRICS, faut-il rappeler ce qu’ils représentent ? 25% du Produit Intérieur Brut (PIB) mondial, 42% de la population mondiale et plus de 25% du territoire terrestre mondial. Faut-il également rappeler que d’ici 2015, les pays des BRICS devraient assurer 61% de la croissance mondiale (selon le FMI) ? Les BRICS constituent déjà un véritable contrepoids au G7. Ils partagent une vision commune sur la plupart des aspects d’ordre économique, notamment en vue de réformer le système économique du monde. La création décidée par les pays des BRICS d’une nouvelle banque de développement dont le capital devra atteindre 100 milliards de dollars en est une preuve supplémentaire. Un projet il faut le dire grandiose et qui représentera une véritable alternative à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international.

Mis à part l’aspect économique, faut-il rappeler que les BRICS sont de plus en plus unis sur les questions de politique internationale ? L’aspect sur lequel au départ de ce grand projet ambitieux un certain nombre de spécialistes occidentaux doutaient (concernant l’unité politique) aujourd’hui prend véritablement forme et l’on voit un point de vue commun sur la plupart des questions politiques internationales. Politique d’indépendance vis-à-vis des USA et globalement de l’Occident, respect de l’ONU et critique commune du diktat étasunien, non-reconnaissance du Kosovo en tant qu’Etat indépendant, opposition aux interventions armées en Côte d’Ivoire, Libye et Syrie pour ne citer que cela. Et maintenant un soutien pratiquement déclaré à la position russe en Crimée et face à la crise en Ukraine. D’ailleurs les précédents ivoirien et libyen ont permis aux BRICS d’avoir désormais une approche beaucoup plus efficace face aux « partenaires » occidentaux.

Pour finir sur notre projet commun des BRICS, il serait bon de reprendre une citation de Sudhir Vyas, secrétaire aux Affaires économiques du ministère des Affaires étrangères de l’Inde : « Au-delà de leur rôle de moteur de la croissance mondiale, nos cinq pays sont unis dans leur volonté de chercher des solutions durables face aux défis mondiaux. Nous en avons les moyens ». Autre aspect qui pourrait surprendre certains et pourtant, celui de la lutte et résistance face à l’impérialisme occidental tout au long de leurs histoires respectives. En marge donc des réflexions sur les BRICS, il serait également plus qu’intéressant de reprendre un commentaire d’un camarade chinois : « Je suis très heureux du fait que nos pays s'unissent ensemble pour un monde meilleur. D'une manière ou d'une autre tous nos pays ont été la cible de l'impérialisme occidental. Le Brésil a dû se libérer du colonialisme portugais. L'Inde du colonialisme britannique. Qui peut oublier les sacrifices de la Russie, de son peuple et de tous les peuples frères pour abattre la peste brune nazie d’Hitler ? Qui peut oublier la lutte du peuple de l'Afrique du Sud contre le régime raciste antihumain d'apartheid soutenu par les gouvernements occidentaux ? Et enfin en ce qui concerne mon pays, la Chine, nous avons très longtemps dû résister aux interférences néfastes occidentales, que ce soit celles des Britanniques, des Etasuniens ou d'autres pays occidentaux et ayant également perdu des dizaines de millions de vies humaines !". Un résumé pratiquement parfait.

L’avenir est à nous, l’avenir est aux BRICS !
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_03_26/Pays-des-BRICS-l-avenir-...

 

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Une question ?

Comment les autorités nazies de l’UEUS/Sionistes peuvent-elles faire signer des accords avec l’UE à un « gouvernement illégitime et nazi installé en Ukraine par les USA » ?

Quand est-ce que les élections démocratiques ont eu lieu en Ukraine depuis le coup d’état organisé en Ukraine contre l’ancien président Ukrainien ?


Ces documents qui vont emprisonner le Peuple Ukrainien, sont tout simplement INVALIDES !

Tout comme le mythe de l’UNION EUROPENNE est INVALIDE dans la mesure où aucun peuple européen n’a jamais voté pour élire ces représentants fantoches, quand les peuples n’ont pas été privés purement et simplement de référendums pour voter la Constitution Européenne !

Et nous allons encore payer pour l’Ukraine ?

L'Ukraine signe l'accord d'association avec l'UE

Le Monde.fr | 21.03.2014 à 10h20 • Mis à jour le 21.03.2014 à 12h46

Le premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, a signé, vendredi 21 mars, lors du sommet des chefs d'Etat de l'Union européenne (UE), le premier volet de l'accord d'association entre son pays et l'UE. C'est le refus d'entériner ce document par les précédentes autorités ukrainiennes qui avait déclenché la révolution de Maïdan, à la fin de novembre, et la chute de Viktor Ianoukovitch.

  • Que contient cet accord ?

Négocié entre 2007 à 2012, l'accord d'association entre l'UE et l'Ukraine doit remplacer l'accord de partenariat et de coopération (APC), qui régit leurs relations depuis 1998. Qualifié « d'ambitieux et de novateur » par la Commission européenne, il doit permettre à Kiev de se rapprocher fortement de Bruxelles, mais il n'inclut pas de perspective d'adhésion à l'UE pour l'Ukraine.

L'accord prévoit une coopération avancée dans différents secteurs, dont la politique extérieure, la politique énergétique et nucléaire, et les domaines légal et judiciaire. Un chapitre entier est aussi consacré à la création d'une zone de libre-échange, comprenant la mise en place de normes communes. Ces différents dispositifs doivent, de plus, être renforcés par des négociations sur la libéralisation du régime des visas.

L'accord d'association aurait dû être signé à Vilnius, les 28 et 29 décembre 2013, lors d'un sommet où étaient aussi conviés l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Géorgie, la Moldavie et la Biélorussie. Mais, une semaine avant ce sommet, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch avait annoncé son refus de signer. C'est suite à cette volte-face que les manifestants investirent la place de l'Indépendance, à Kiev.

Lire : Partenariat oriental de l'UE : ce qui se joue au sommet de Vilnius

  •  Qu'est-ce qui a été signé le 21 mars ?

Le volet « politique » de l'accord. Concrètement, il s'agit du préambule, et des chapitres 1, 2 et 7. Ce sont les parties les plus symboliques : le chapitre 1 énonce les grands principes de l'accord, le deuxième aborde le dialogue politique, et le septième les dispositions générales.

« Le volet politique de l'accord réaffirme les valeurs européennes et la nécessité d'une coopération institutionnelle, expliquait au Monde en début de semaine le ministre français chargé des affaires européennes, Thierry Repentin. Il comporte aussi plusieurs points pratiques, et notamment un volet sur la mobilité, avec une levée des visas pour les Ukrainiens circulant dans l'Union européenne.

Les points importants de l'accord, comme les mesures de coopération et la zone de libre-échange, se trouvent dans d'autres chapitres. Ils ne rentreront donc pas en vigueur suite à la signature.

La Commission compte tout de même offrir une aide économique à court terme à l'Ukraine, à travers deux actions. Premièrement, un prêt d'un milliard d'euros, proposé le 19 mars. Deuxièmement, une baisse des droits de douane pour les importations en provenance d'Ukraine. Cette dernière mesure, qui devrait permettre à l'Ukraine d'économiser un demi-milliard d'euros sur un an, a été approuvée par la Commission le 15 mars. Elle devrait entrer en vigueur dans les prochaines semaines, après approbation du Conseil et du Parlement.

  • Pourquoi signe-t-on le volet politique maintenant ?

A la Commission, on explique que cette signature constitue un signal fort, alors que la Russie vient d'annexer la Crimée. « C'est un signe de solidarité, pour montrer notre soutien », résume Maja Kocijanci, porte-parole de Catherine Ashton, haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères. « On veut montrer à la Russie qu'on soutient toujours l'Ukraine », complète Peter Stano, porte-parole de Stefan Füle, le commissaire européen chargé de l'élargissement et de la politique de voisinage.

« Il faut accompagner l'Ukraine vers un autre avenir, renchérissait Thierry Repentin. Cet accord établit les bases pour une future négociation politique et fait rentrer l'Ukraine dans un grand forum démocratique. »

Lire : Poutine : 1, Merkel et Obama : 0

  • Quand sera signée la seconde partie ?

Pas avant l'élection présidentielle du 25 mai et la formation d'un nouveau gouvernement. « Nous voulons un gouvernement démocratiquement élu, avec un fort soutien des électeurs », explique Peter Stano. Selon lui, les réformes à mener seront de grande ampleur, et nécessiteront donc un fort engagement du gouvernement et de la population.

Pour autant, la date n'est pas fixée. Le Conseil européen, à l'issue de sa réunion du 6 mars, déclarait que cela devait se faire d'ici à la fin août 2014. La Commission, elle, vise le 1er novembre comme date butoir. Pour ne pas retarder l'application du dispositif de libre-échange, la Commission et le gouvernement ukrainien ont convenu de l'appliquer dès qu'il sera signé, avant même sa ratification par le Parlement.

L'Ukraine espère obtenir 15 milliards de dollars (10,8 milliards d'euros) du FMI, avec lequel elle est actuellement en négociation. L'organisme international imposera, en échange, un plan d'austérité. Une hausse du prix du gaz, l'augmentation de l'âge de la retraite et la privatisation des mines publiques sont d'ores et déjà anoncées.

Jean Comte

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/21/l-ukraine-a-signe-un-accord-d-association-avec-l-ue_4386643_3214.html