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28/10/2014

Russie : Les Européens boycottent les gazoducs Nord Stream et South Stream

Comme vous l'aurez compris les pays nazis européens  qui soutiennent l'Ukraine nazie, veulent empêcher la Russie de contourner ce pays pour desservir les pays européens et surtout que ceux-ci ne feront rien pour forcer  l'Ukraine à payer quelques milliards de dollars de gaz dus à Gazprom et qu'au contraire il puisse voler et détourner le gaz russe, comme nous le verrons dans un prochain article ! !

C'est la punition pour la Russie de s'être annexé la Crimée à la demande du peuple, d'avoir adhéré aux BRICS et créé une banque mondiale de développement, ainsi que l'Union Eurasique et de vouloir sortir de la domination du dollar et du nazisme des pays occidentaux  !  !

Et puisque les pays européens veulent éviter de se rendre dépendants du gaz russe, la Russie n'a qu'à leur couper le gaz purement et simplement. On verra comment ils feront pour se chauffer cet hiver et les autres à venir !

Les Européens boycottent les gazoducs Nord Stream et South Stream

Dossier: Le gazoduc Nord Stream

13:50 28/10/2014
MOSCOU, 28 octobre - RIA Novosti

L'augmentation du transit gazier en contournant l'Ukraine pourrait devenir une mauvaise idée pour Gazprom, écrit mardi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

Alors que leurs relations avec la Russie se détériorent, les Européens souhaitent en effet réduire leur dépendance envers les fournitures russes. Cela affecte directement les projets majeurs de la Russie en matière d'exportation d'hydrocarbures – le gazoduc Nord Stream déjà en service et le projet South Stream. Le Royaume-Uni a renoncé hier à prolonger le gazoduc Nord Stream jusqu'à son territoire. La Roumanie, qui aurait pu aider Gazprom à lever les restrictions anti-monopole du projet South Stream, renonce également à une coopération gazière étroite avec la Russie.

 

Le projet de prolongation du gazoduc jusqu'au Royaume-Uni a été suggéré il y a près de deux ans et les dirigeants britanniques l'avaient alors soutenu. Mais l'expansion du gazoduc était encore plus bénéfique pour la Russie. Une coopération plus étroite avec le Royaume-Uni aurait permis de remplir le Nord Stream, qui est loin de travailler aujourd'hui au maximum de ses capacités.

 

Étant donné que le facteur politique prévaut de plus en plus sur l'économie, les perspectives du projet South Stream, qui suscitait déjà des difficultés conséquentes avant le conflit ukrainien, deviennent encore plus floues.Par exemple, la Roumanie aurait pu aider Gazprom à diversifier ses approvisionnements via le South Stream. Si ce dernier transportait, hormis le gaz russe, du gaz provenant d'au moins un autre pays, la Roumanie, Gazprom aurait eu des chances de lever les restrictions anti-monopole de l'UE pour ce projet.

 

Finalement, la Roumanie a renoncé au projet South Stream et souhaite devenir énergétiquement indépendante de la Russie, ce qu'elle perçoit comme un signe d'indépendance politique.

 

Le remplissage en gaz du South Stream a été remis en question mais aussi la construction en soi du gazoduc sur le territoire d'autres pays, notamment de la Bulgarie. Toutefois, tous les pays ne sont pas encore prêts à renoncer à la construction du gazoduc.

 

Des communiqués rapportaient hier que les autorités hongroises cherchaient un moyen de contourner les interdictions de l'UE pour construire le South Stream. Elle pourrait modifier ses lois de manière à lancer la construction du gazoduc sans devoir consulter l'Union européenne. D'après l'agence Reuters, la Hongrie devrait lancer le projet dans six mois et l'achever d'ici 2017.

Artem Deev, responsable du département d'analyse chez AForex, ajoute que la confrontation politique affecte l'aspect économique: "Le coût du projet South Stream a décuplé". Toutes les dépenses de la Russie, y compris la construction du Corridor sud sur le territoire russe, risquent au final de s'avérer inutiles.

 

© RIA Novosti.

EUROPE : Selon Valéry Giscard d'Estaing, la France risque de se retrouver dans la situation de la Grèce et de devoir "demander l'aide du FMI" !

Mais bien sûr ! Il faut continuer à enrichir les Banksters de la FED et du FMI !
La dernière chance pour nous en sortir c'est de sortir de l'Europe Nazie et non pas venir nous inventer  son "EUROPA : 
la dernière chance de l'Europe».

On croyait que nous pouvions pas sortir de l'Europe, ils se sont étendus à 28 pays en fonction de leur désir d'expansionnisme et maintenant selon GISCARD, il faudrait revenir à 12 pays ! Tiens le chiffre des Rothschild !

Ils sont encore en train de nous inventer de nouvelles solutions pour nous endetter, nous ruiner et vendre complètement la France et les pays européens à ROTHSCHILD et toute sa clique de mafieux, FED et FMI et Cie !

Celui qui a présidé le comité de rédaction de la constitution européenne et se voyait déjà Président de l'Europe, n'a pas encore compris que le "libéralisme avancé" est désormais en décomposition. La FED vient d'ailleurs d'annoncer qu'elle ne toucherait pas les taux, ni ses rachats de dettes. La dette de la France flirte avec les 90% du PIB, celle de la Grèce a doublé depuis que le FMI est venu à son secours, et les aides qu'elle a reçues dépassent le montant de sa dette initiale. En effet, Giscard a validé le fait de ne plus emprunter auprès des banques centrales, mais des banques privées et les dettes sont composées de 50 à 75 % d'intérêts, qui n'auraient jamais du être.

C'est lui qui a participé à faire voter la Loi Pompidou/Giscard/Sarkozy/Rothschild qui ruine la France depuis janvier 1973 !

Après nous avoir placés sous la tutelle des Rothschild il faut nous mettre sous celle du FMI dont on ne sait pas qui se trouve derrière cette organisation occulte et  mafieuse !

Si la France risque de se trouver dans la situation de la Grèce à de devoir faire appel au FMI. La question est celle de savoir qui nous a mis dans cette situation ? Si ce n'est la création de l'Europe NAZIE ! 

Et contrairement, à ce qu'avance GISCARD ce sont les Francs-Maçons sionistes, qui souhaitent conserver leur fabrication nazie et non pas les peuples européens !
 

 

EUROPE L'ancien Président de la République s'en explique dans une interview au Figaro publiée ce samedi...

Selon Valéry Giscard d'Estaing, la France risque de se retrouver dans la situation de la Grèce

Valéry Giscard d'Estaing, le 14 octobre 2014 au Bourget.

Valéry Giscard d'Estaing, le 14 octobre 2014 au Bourget. - Opening of the World nuclear Exhibition

Nicolas Bégasse Créé le 25.10.2014 à 13:17
Mis à jour le 25.10.2014 à 13:17

L'ancien président Valéry Giscard d'Estaing estime que la France «risque de se retrouver dans la situation qu'a connue la Grèce» et de devoir «demander l'aide du FMI», dans une interview publiée ce samedi dans Le Figaro.Celui qui fut chef de l'Etat de 1974 à 1981, propose, avec le soutien d'Helmut Schmidt, chancelier allemand à la même époque, de former autour de l'euro un «ensemble homogène» d'une douzaine de pays dotés des mêmes règles budgétaires et fiscales, qu'il appelle «Europa».Malgré une dette élevée, explique-t-il, «aujourd'hui nous sommes protégés par des taux d'intérêt très bas, mais c'est provisoire. La Fed (banque centrale américaine, ndlr) a annoncé son intention de relever ses taux d'intérêt dès que la conjoncture le permettra, probablement dans les 18 mois (...) Ce jour-là, notre pays risque de se retrouver dans la situation de la Grèce. Les pouvoirs publics seront conduits à demander l'aide du FMI».

Compléter l'euro par une union budgétaire et fiscale

Selon VGE, «le mécanisme de l'Europe a été disloqué avec le non français au référendum de 2005. Pour autant, les sondages l'attestent: une grande majorité de nos compatriotes ne veut en aucun cas abandonner l'euro ! Nous devons prendre appui sur ce soutien de l'opinion pour retrouver le fil du projet européen initial avec ceux qui, parmi nos voisins, le veulent bien. Et laisser les autres vivre leur vie». Feraient partie de cette union approfondie la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg, l'Espagne, le Portugal, l'Autriche, et «le moment venu la Pologne», précise-t-il, en ajoutant que «la participation de l'Irlande et de la Finlande peut être envisagée». «Ces douze pays constitueraient un ensemble homogène que nous appellerons Europa. Son objectif est de compléter l'euro par une union budgétaire et fiscale, dotée à terme d'un Trésor public commun et d'un mécanisme de solidarité financière», détaille Valéry Giscard d'Estaing, qui défend cette thèse dans un livre «Europa - la dernière chance de l'Europe» (XO Editions), préfacé par Helmut Schmidt.

 

[RECOMMANDÉ] Nouvel ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ? par Vladimir Poutine

Quand Vladimir Poutine appelle un chat un chat !

Selon la divise des Illuminati Ordo Ob Caos, leur Nouvel Ordre Mondial doit naître du chaos planétaire qu'ils auront créé de toutes pièces avec la soi-disant crise économique et financière que les BANKSTERS auront savamment  orchestrée.

C'est donc bien leurs plans qu'ils font avancer en créant le chaos sur la Planète et notamment dans les pays arabes, Africains, d'Amérique Latine et européens riches en pétrole en gaz ou en hydocarbures car toutes les richesses doivent appartenir aux 13 familles Illuminati qui doivent gouverner le monde et réduire l'humanité à l'esclavage en créant l'Unique Gouvernement Mondial dont la base sera celle d'instaurer au  préalable l'Unique religion Mondiale.

Aussi, ces 13 familles diaboliques n'ont pas intérêt à mettre les énergies libres à la disposition de l'humanité, et  qu'elles cachent volontairement depuis près de 70 ans, Nicolas Tesla en ayant fait les frais en son temps avec sa théorie de l'Univers électrique, 

[RECOMMANDÉ] Nouvel ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ? par Vladimir Poutine

28 oct 2014
 
Allez, je continue la propagande :)

Ça me fait rire tous les gens scandalisés par la diffusion des discours russes – cela me rappelle souvent les discours nationalistes qui ont conduit à 1914.

Comme si donner de l’information pouvait être nuisible – à chacun de les lire avec recul et esprit critique…

Vladimir Poutine a pris part à la dernière séance plénière de la XIe session du Club International de Discussion Valdaï. Le thème de la réunion était : L’ordre mondial : de nouvelles règles ou un jeu sans règles ?

Cette année, 108 experts, historiens et analystes politiques originaires de 25 pays, dont 62 participants étrangers, ont pris part aux travaux du Club.

La réunion plénière a présenté une synthèse des travaux du Club au cours des trois journées précédentes, qui ont été consacrées à l’analyse des facteurs d’érosion du système actuel des institutions et des normes du droit international.

Discours du Président Vladimir Poutine durant la dernière séance plénière de la XIe session du Club Valdaï 

Retranscription :

Chers collègues, Mesdames et Messieurs, chers amis,

C’est un plaisir de vous accueillir à la XIe réunion du Club Valdaï.

Il a déjà été mentionné que le Club a de nouveaux co-organisateurs cette année. Ils comprennent des organisations non gouvernementales russes, des groupes d’experts et de grandes universités. Il a également été suggéré d’élargir les discussions à des questions qui ne sont pas seulement liées à la Russie elle-même, mais aussi à la politique et à l’économie mondiales.

J’espère que ces changements dans l’organisation et le contenu des sessions renforceront l’influence du Club en tant que forum de discussion et d’experts de premier plan. Dans le même temps, j’espère que « l’esprit de Valdaï » sera conservé – cette atmosphère libre et ouverte, cette opportunité d’exprimer toutes sortes d’opinions très différentes et franches.

Permettez-moi de dire à cet égard que je ne vais pas vous décevoir et que je vais parler directement et franchement. Certains de mes propos pourront sembler un peu trop rudes, mais si nous ne parlons pas directement et honnêtement de ce que nous pensons vraiment, alors il est absolument inutile de tenir de telles réunions. Il serait préférable, dans ce cas, de se contenter des rencontres diplomatiques, où personne ne dit rien qui ait une véritable portée et, reprenant les paroles d’un célèbre diplomate, où vous vous rendez compte que les diplomates ont une langue faite pour ne pas dire la vérité.

 

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27/10/2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

On s'en serait douté avec les nazis occidentaux et de l'UE qui soutiennent le pouvoir nazi à Kiev !

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

Dossier: Ukraine: législatives 2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

13:54 27/10/2014

LONDRES, 27 octobre – RIA Novosti

Les législatives ukrainiennes de dimanche étaient une farce, affirme le rédacteur en chef de la revue britannique Politics First Marcus Papadopoulos.

"Les législatives en Ukraine étaient une farce, un outrage à la démocratie et une humiliation pour des millions d'Ukrainiens", a déclaré le journaliste.

Selon le sondage national à la sortie des urnes, sept partis politiques entreraient au parlement ukrainien. "Premièrement, le gouvernement ukrainien prooccidental chapeauté par Piotr Porochenko a employé la tactique de la violence et de l'intimidation pour réprimer les voix de la communauté russophone d'Ukraine, par exemple avec les parades néonazies récemment organisées à Kiev, à Odessa et à Kharkov, la destruction de monuments russes/soviétiques y compris consacrés à la Seconde Guerre mondiale, et les attaques physiques contre les politiciens russophones comme Piotr Simonenko", a-t-il expliqué.

Marcus Papadopoulos a également rappelé que les partis prorusses avaient, de fait, cessé d'exister en Ukraine. "Depuis le coup d'Etat de février soutenu par l'Occident, qui a permis de renverser un président démocratiquement élu, le gouvernement de Porochenko a utilisé les médias ukrainiens pour diaboliser le Parti des régions et le Parti communiste, les accusant d'être des traîtres et des agents du gouvernement russe".

D'après l'expert, de nombreux Ukrainiens n'avaient simplement aucun choix de vote aux dernières législatives. "Les gouvernements et les médias occidentaux reconnaissent les résultats des élections ukrainiennes mais la réalité est telle que des millions d'Ukrainiens n'ont pas voté - par peur ou parce qu'ils n'avaient personne à choisir. L'Ukraine est aujourd'hui un pays où des millions de citoyens sont persécutés par le gouvernement, soutenu par l'Occident en raison de son fond culturel. Ces gens sont devenus des sous-citoyens dans leur propre pays. L'Ukraine a rejoint la longue liste des pays illustrant amèrement la politique perfide de l'Occident", conclut Marcus Papadopoulos.

 

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© RIA Novosti. Ramil Sitdikov

 

 

Russie/ISS : L'avenir de la Station spatiale internationale sera évoqué à Paris

Justement, à quoi sert-elle cette Station Spatiale Internationale depuis 30 ans à coup de milliards de dollars dépensés par an ?  Quels sont les progrès scientifiques faits par l'ISS depuis 30 ans ? Quand la NASA censure les images des planètes et de notre système solaire, qu'elle nous occulte toujours la vérité sur la constitution de notre Galaxie, la voie lactée "une chiure de mouche" que l'on nous présente comme étant le GRAND UNIVERS, qui continue à nous faire croire que la Terre est ronde et qu'elle n'est pas creuse comme toutes les autres planètes, qu'elle nous cache que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire, imaginons ce qu'il doit se passer comme activités ET dans notre Galaxie ? 

Ils y font du commerce avec nos richesses, avec les GRIS et les autres civilisations extraterrestres qui sont en recherche d'énergies, comme nous l'indique le livre portant sur les Alliés de l'Humanité ?

Ou nous fliquent-t-ils à partir de l'ISS tout en nous perturbant et en nous balançant des ondes scalaires pour perturber l'équilibre climatique, magnétique et éthérique de la Terre et des hommes en nous entretenant dans leur "matrice vibratoire" pour nous manipuler mentalement et spirituellement en activant leurs projets militaires ?

Pourquoi tout à coup, les russes qui ont demandé aux USA de lever le secret sur l'existence des ET et qui luttent pour faire s'écrouler la domination du dollar des GRANDS GRIS REPTILIENS sur le monde, voudraient-ils se retirer du projet de l'ISS ?

Rappelons-nous que depuis décembre 2012 la Terre est entrée dans sa phase d'ascension vers la 5D et qu'elle est en voie d'inverser ses pôles magnétiques. Ce qui présenterait un risque pour les astronautes qui vivent dans l'ISS durant de longs mois, de ne plus pouvoir réintégrer la Terre. Interrogeons-nous sur ces possibilités qui nous seraient occultées de toute manière !

L'avenir de la Station spatiale internationale sera évoqué à Paris

11:22 27/10/2014

MOSCOU, 27 octobre - RIA Novosti

Le directeur de l'Agence fédérale spatiale russe Roskosmos, Oleg Ostapenko, s'entretiendra le 4 novembre à Paris avec les responsables des agences partenaires de la Station spatiale internationale (ISS), écrit lundi le quotidien Kommersant.

L'exploitation et le financement du projet auraient dû être discutés lors du 65e Congrès international de l'astronautique à Toronto mais les représentants russes s'étaient vus refuser la délivrance d'un visa par les autorités canadiennes. Cette fois, selon les sources, les Européens ont eux-mêmes décidé de mettre à disposition cette tribune pour les négociations.

Oleg Ostapenko arrivera à Paris le 4 novembre pour s'entretenir, entre autres, avec le président de l'Agence spatiale européenne Jean-Jacques Dordain et le directeur de la NASA Charles Bolden.

Les discussions sur le sort de la station se sont activées en mai 2014 sur fond de refroidissement des relations entre Moscou et Washington après la réunification de la Crimée avec la Russie.

A l'époque, le vice-premier ministre russe a réagi à l'adoption de sanctions occidentales en déclarant que la Russie n'avait pas l'intention de prolonger l'exploitation de l'ISS jusqu'en 2024, comme le suggéraient les USA. "Nous avons besoin de notre station jusqu'en 2020", a déclaré Dmitri Rogozine, soulignant que les fonds prévus pour le programme habité seraient alloués pour d'autres projets à venir.

Du point de vue financier, le projet ISS est relativement coûteux. Selon les estimations, l'entretien annuel de la station coûte aux USA, à la Russie, à l'Europe et au Japon près de 6 milliards de dollars. La majeure partie des frais est prise en charge par la NASA (3 milliards de dollars en 2013), suivie par l'agence japonaise JAXA (un peu plus de 1 milliard de dollars), l'Agence spatiale européenne et Roskosmos (1 milliard de dollars chacune). Le vice-premier ministre reconnaît le faible retour sur investissement de la station orbitale: "Plus de 30% du budget de Roskosmos est dépensé pour l'ISS, mais nous en tirons très peu de bénéfices".

Le rendement, d'un point de vue pratique, est également bas. Dmitri Rogozine a questionné Roskosmos sur les résultats scientifiques ou militaires du séjour de trois cosmonautes russes sur l'ISS. "Je n'ai pas obtenu de réponse", a-t-il déclaré en mai, ajoutant qu'il était nécessaire d'assurer des résultats concrets dans l'espace, au lieu de prolonger ce qui est fait depuis 30 ans déjà sans résultats particuliers.

Ces questions devaient être soulevées par les représentants de Roskosmos au cours du 65e Congrès international de l'astronautique à Toronto: c'était la raison de la présence au sein de la délégation russe du chef de la direction des programmes habités Alexeï Krasnov, à la tête de laquelle se trouvait le directeur adjoint de Roskosmos Denis Lyskov qui supervise le travail de l'ISS. Ce dernier était censé participer à plusieurs rencontres bilatérales et siéger à la réunion plénière avec les directeurs des plus grandes agences spatiales mondiales. Cependant, le ministère canadien des Affaires étrangères a empêché cette réunion en refusant de délivrer un visa à la direction de l'agence russe sans explications. La situation a changé aujourd'hui: selon les sources, les représentants de l'Agence spatiale européenne dirigée par Jean-Jacques Dordain ont eux-mêmes décidé de fournir une tribune à Paris pour évoquer les perspectives et l'état de l'ISS.

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