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27/10/2014

Russie/ISS : L'avenir de la Station spatiale internationale sera évoqué à Paris

Justement, à quoi sert-elle cette Station Spatiale Internationale depuis 30 ans à coup de milliards de dollars dépensés par an ?  Quels sont les progrès scientifiques faits par l'ISS depuis 30 ans ? Quand la NASA censure les images des planètes et de notre système solaire, qu'elle nous occulte toujours la vérité sur la constitution de notre Galaxie, la voie lactée "une chiure de mouche" que l'on nous présente comme étant le GRAND UNIVERS, qui continue à nous faire croire que la Terre est ronde et qu'elle n'est pas creuse comme toutes les autres planètes, qu'elle nous cache que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire, imaginons ce qu'il doit se passer comme activités ET dans notre Galaxie ? 

Ils y font du commerce avec nos richesses, avec les GRIS et les autres civilisations extraterrestres qui sont en recherche d'énergies, comme nous l'indique le livre portant sur les Alliés de l'Humanité ?

Ou nous fliquent-t-ils à partir de l'ISS tout en nous perturbant et en nous balançant des ondes scalaires pour perturber l'équilibre climatique, magnétique et éthérique de la Terre et des hommes en nous entretenant dans leur "matrice vibratoire" pour nous manipuler mentalement et spirituellement en activant leurs projets militaires ?

Pourquoi tout à coup, les russes qui ont demandé aux USA de lever le secret sur l'existence des ET et qui luttent pour faire s'écrouler la domination du dollar des GRANDS GRIS REPTILIENS sur le monde, voudraient-ils se retirer du projet de l'ISS ?

Rappelons-nous que depuis décembre 2012 la Terre est entrée dans sa phase d'ascension vers la 5D et qu'elle est en voie d'inverser ses pôles magnétiques. Ce qui présenterait un risque pour les astronautes qui vivent dans l'ISS durant de longs mois, de ne plus pouvoir réintégrer la Terre. Interrogeons-nous sur ces possibilités qui nous seraient occultées de toute manière !

L'avenir de la Station spatiale internationale sera évoqué à Paris

11:22 27/10/2014

MOSCOU, 27 octobre - RIA Novosti

Le directeur de l'Agence fédérale spatiale russe Roskosmos, Oleg Ostapenko, s'entretiendra le 4 novembre à Paris avec les responsables des agences partenaires de la Station spatiale internationale (ISS), écrit lundi le quotidien Kommersant.

L'exploitation et le financement du projet auraient dû être discutés lors du 65e Congrès international de l'astronautique à Toronto mais les représentants russes s'étaient vus refuser la délivrance d'un visa par les autorités canadiennes. Cette fois, selon les sources, les Européens ont eux-mêmes décidé de mettre à disposition cette tribune pour les négociations.

Oleg Ostapenko arrivera à Paris le 4 novembre pour s'entretenir, entre autres, avec le président de l'Agence spatiale européenne Jean-Jacques Dordain et le directeur de la NASA Charles Bolden.

Les discussions sur le sort de la station se sont activées en mai 2014 sur fond de refroidissement des relations entre Moscou et Washington après la réunification de la Crimée avec la Russie.

A l'époque, le vice-premier ministre russe a réagi à l'adoption de sanctions occidentales en déclarant que la Russie n'avait pas l'intention de prolonger l'exploitation de l'ISS jusqu'en 2024, comme le suggéraient les USA. "Nous avons besoin de notre station jusqu'en 2020", a déclaré Dmitri Rogozine, soulignant que les fonds prévus pour le programme habité seraient alloués pour d'autres projets à venir.

Du point de vue financier, le projet ISS est relativement coûteux. Selon les estimations, l'entretien annuel de la station coûte aux USA, à la Russie, à l'Europe et au Japon près de 6 milliards de dollars. La majeure partie des frais est prise en charge par la NASA (3 milliards de dollars en 2013), suivie par l'agence japonaise JAXA (un peu plus de 1 milliard de dollars), l'Agence spatiale européenne et Roskosmos (1 milliard de dollars chacune). Le vice-premier ministre reconnaît le faible retour sur investissement de la station orbitale: "Plus de 30% du budget de Roskosmos est dépensé pour l'ISS, mais nous en tirons très peu de bénéfices".

Le rendement, d'un point de vue pratique, est également bas. Dmitri Rogozine a questionné Roskosmos sur les résultats scientifiques ou militaires du séjour de trois cosmonautes russes sur l'ISS. "Je n'ai pas obtenu de réponse", a-t-il déclaré en mai, ajoutant qu'il était nécessaire d'assurer des résultats concrets dans l'espace, au lieu de prolonger ce qui est fait depuis 30 ans déjà sans résultats particuliers.

Ces questions devaient être soulevées par les représentants de Roskosmos au cours du 65e Congrès international de l'astronautique à Toronto: c'était la raison de la présence au sein de la délégation russe du chef de la direction des programmes habités Alexeï Krasnov, à la tête de laquelle se trouvait le directeur adjoint de Roskosmos Denis Lyskov qui supervise le travail de l'ISS. Ce dernier était censé participer à plusieurs rencontres bilatérales et siéger à la réunion plénière avec les directeurs des plus grandes agences spatiales mondiales. Cependant, le ministère canadien des Affaires étrangères a empêché cette réunion en refusant de délivrer un visa à la direction de l'agence russe sans explications. La situation a changé aujourd'hui: selon les sources, les représentants de l'Agence spatiale européenne dirigée par Jean-Jacques Dordain ont eux-mêmes décidé de fournir une tribune à Paris pour évoquer les perspectives et l'état de l'ISS.

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