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20/06/2010

L’Afghanistan vaut « mille milliards de dollars »

Nous avions bien compris depuis longtemps que les soi-disants réseaux terroristes internationaux étaient créés de toutes pièces et financés par les banquiers Illuminati. Les seules raisons d'exister de ces guerres génocidaires, sont celles d'exploiter la main d'oeuvre bon marché sur place pour développer les marchés de la drogue et exploiter à moindre coût les richesses des pays attaqués par les gardiens de la sécurité du monde : L'Angleterre, les USA et ses fidèles alliés, l'Europe, la France  et toute la clique, L'ONU, L'OTAN, etc... !

Article placé le 18 juin 2010, par Mecanopolis

On considérait l’Afghanistan comme l’un des pays les plus pauvres de la planète, on découvre qu’il est richissime.

lithium

C’est un mémo du Pentagone opportunément rendu public par le New York Times lundi qui l’affirme: ses montagnes regorgent de fer, de cuivre, de cobalt, d’or et de bien d’autres métaux rares. Le pays de l’opium pourrait se transformer en «Arabie saoudite du lithium» et sa fortune s’élever à «mille milliards de dollars».

En quelques heures, l’information a fait le tour de la planète. Une opération de communication rondement menée. Seul problème: il n’y a rien de nouveau. Les Soviétiques avaient cartographié ces richesses dès les années 1980, et leurs études avaient été publiées dans les revues géologiques occidentales en 2007. Il y a six mois, le président Hamid Karzaï évoquait déjà ce chiffre de «mille milliards».

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Ressources minérales de l’Afghanistan (Cliquer pour agrandir)

D’où cette question: pourquoi cet effet d’annonce? Deux hypothèses se dégagent. Alors que l’OTAN piétine et que les talibans ne cessent de gagner du terrain, les Américains, à la suite des Européens, s’interrogent sur leur présence dans l’Hindu Kuch. Il faut redonner du sens à cette «guerre choisie», comme la qualifie Barack Obama, dont l’objectif initial affiché était de punir Al-Qaida et chasser ses protecteurs de Kaboul. Au risque de brouiller le message comme ce fut le cas avec le pétrole en Irak.

U.S. DoD Map (NATO-Afghanistan Occupation)
Carte de l’occupation militaire de l’Afghanistan (cliquer pour agrandir)

Seconde piste: la course au trésor a déjà commencé et les Chinois ont pris une longueur d’avance. Ils ont aligné 4 milliards de dollars pour une mine de cuivre, le plus gros investissement jamais vu à Kaboul, mais ne déboursent pas un sou pour sécuriser le pays, une tâche qui commence à coûter cher aux Américains. Il s’agirait donc pour le Pentagone de faire monter les enchères et de contrer cette influence. Et nous voilà replongés dans le «Grand Jeu», comme au XIXe siècle, lorsque la Grande-Bretagne et la Russie se disputaient la domination de l’Afghanistan. Les joueurs ont changé, mais leur convoitise est immuable. Tant pis pour la paix afghane, car ce pauvre pays riche, dont la valeur marchande est désormais connue, semble condamné à rester un terrain d’affrontement pour les grandes puissances du moment.

Frédéric Koller

http://www.mecanopolis.org/?p=18145

Le président Obama va disposer d’un « bouton d’arrêt d’urgence » d’Internet

Faut bien nous musuler et nous couper de toute information pendant qu'ils trucideront les nôtres dans l'ombre et le silence !

Article placé le 20 juin 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)

Un projet de loi, soutenu par le sénateur Joe Lieberman, pourrait donner au président américain Barack Obama le pouvoir de fermer des pans entiers d’Internet en période d’état d’urgence nationale.

internet

L’initiative parlementaire soutenue par le sénateur Joe Lieberman pourrait être un véritable coup de tonnerre pour internet et pour ses centaines de millions d’utilisateurs à travers le monde. L’initiative donnerait au président américain le pouvoir de « fermer » internet en cas d’urgence dictée par les impératifs impérialistes étasuniens.

L’idée n’est pas nouvelle et repose sur la volonté du département de la Sécurité intérieure des États-Unis (United States Department of Homeland Security) à bâilloner le cyberespace, en cas de conflit majeur, de sorte à empêcher la diffusion d’informations qui seraient défavorables à l’administration américaine.

Mais la législation envisagée par Joe Lieberman, appelée « Protecting cyberespace as a national asset act » (« projet de loi visant à protéger le cyberespace en tant que capital national ») va encore plus loin que ça. Le texte prévoit en effet la création d’un organisme dénommé National Center for Cybersecurity and Communications (Centre national pour la cybersécurité et les communications), qui pourrait, en période critique, prendre la direction des opérations de toute une série d’entreprises figurant sur une liste dressée par la Sécurité intérieure. Il ne s’agit donc pas seulement de réduire au silence tout ceux qui s’opposeraient à la propagande l’ordre mondial, mais de contaminer l’ensemble de la planète en diffusant uniquement les informations qui lui seraient favorables.

Frédéric Courvoisier, pour Mecanopolis

Information communiquée par notre camarade Folamour, du site Crashdebug

02/06/2010

Cendres volcaniques électrifiées du volcan islandais: la source ne serait pas d'origine naturelle

Bizarre n'est-ce pas toutes ces coïncidences ? L'OTAN qui fait des manoeuvres sur des nouvelles armes et la découverte de cendres électrifiées ?

Cendres volcaniques recevant des décharges électriques; « L’électricité atmosphérique et l’activité météorologique habituelle » n’en sont probablement pas la source

28 mai 2010

HAARP?

Via: National Geographic:

Le panache de cendres du volcan islandais Eyjafjallajökull, qui a paralysé le trafic aérien international en avril, a révélé un secret choquant: une charge électrique inattendue.

Les panaches de cendres qui se trouvent directement au-dessus des volcans en éruption sont connus pour générer de la foudre, et des cendres électriquement chargées ont été trouvées dans de précédents panaches à une distance de 30 miles (50 kilomètres) de leurs volcans d’origine.

Mais, selon une nouvelle étude, de la cendre électrifiée en provenance du volcan Eyjafjallajökull a été retrouvée à une distance record de 745 miles (1.200 kilomètres) de l’éruption.

A cette distance, ce n’est pas l’énergie de l’éruption elle-même qui a pu charger la cendre, a déclaré le coauteur de l’étude Giles Harrison, un météorologue de l’Université de Reading au Royaume-Uni, sur la base de la taille moyenne et de la forme des particules dans les cendres, « toute charge initiale qui se serait produite, aurait baissé en intensité à plusieurs reprises. »

En fait, les cendres situées dans la partie la plus profonde du panache volcanique, étaient encore chargées électriquement 32 heures après avoir été éjectées du pic islandais, ce qui suggère que la charge se renouvelait d’elle-même, disent les scientifiques. La découverte signifie que de nombreux panaches de cendres volcaniques peuvent être électrifiés, ce qui pourrait avoir des implications pour l’industrie des transports aériens.

Cendre volcanique électrifiée située à un niveau profond dans le panache volcanique

Le volcan Eyjafjallajökull a commencé à entrer en éruption vers la fin mars, et le 14 avril, le volcan a commencé a cracher un panache de cendres gigantesque.

Le panache a voyagé en direction de l’Europe continentale, clouant au sol les avions dans le monde entier pendant des jours, en raison des craintes que les cendres ne détériorent les moteurs.

Article complet ici en Anglais

http://news.nationalgeographic.com/news/2010/05/100527-sc...

 

Le nuage de cendres que personne n'a vu...

http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/02/1286165588.jpg

Quelles furent les vraies raisons du blocage du trafic aérien en Europe occidentale? Notre ami et conseiller Robert synthétise les principales incohérences scientifiques de la thèse officielle et pointe sur les indices qui pourraient expliquer ce qui s'est vraiment passé pendant cette semaine très particulière.

Une grande manœuvre de l'OTAN, prévue depuis longtemps, a débuté le 12 avril, impliquant une soixantaine d'avions de combat. Officiellement, il s'agit d'un exercice de routine, mais l'on trouve dans un des documents publiés par l'OTAN cette petite phrase révélatrice : «Tester de nouvelles armes non conventionnelles liées au bouclier anti-missile.»


L'OTAN avait donc besoin d’une liberté maximum dans l'espace aérien pour pouvoir mener à bien ces expérimentations sans risques, ni observateurs indésirables. Et curieusement, un petit volcan islandais, l'Eyjafjöl, entre au même moment en éruption et se met à cracher des cendres qui imposent la fermeture de tout l'espace aérien des pays de l'OTAN au trafic civil, mais pas aux manœuvres militaires.


Le secrétaire général de l’Alliance, Anders Fogh Rasmussen, a d'ailleurs déclaré : «Je peux vous assurer que le volcan islandais n’a aucun effet sur nos opérations, ni sur la défense territoriale des États alliés»


La Russie et la Biélorussie n’ont fermé aucun de leurs aéroports bien que, selon l'organisme météorologique britannique, tout le territoire biélorusse et la moitié du territoire russe soient couverts par le nuage de cendres.


Les compagnies européennes ont rapidement mené des tests indépendants et ont conclu à l'absence de danger. Joachim Hunold, PDG d’Air Berlin, a ainsi déclaré : «Pas une seule sonde météo n’a été lancée en Allemagne pour mesurer si et dans quelles proportions il y a des cendres volcaniques dans l’air. La fermeture de l’espace aérien est entièrement basée sur les résultats de simulations par ordinateur du
Volcanic Ash Advisory Center (VAAC)»

Guido Visconti, directeur du Centre des Phénomènes Extrêmes, a indiqué : «Les valeurs mesurées en France, Allemagne, Pays-Bas, Suisse et Roumanie sont égales ou inférieures à celles des standards acceptés pour la pollution urbaine». Des poussières, des cendres volcaniques ou du sable du Sahara sont présents toute l'année dans l'atmosphère. Une vingtaine de volcans sont en éruption simultanément dans le monde.


D'autre part, très peu d'images convaincantes, exceptés les mêmes reportages qui passent en boucle (la vidéo d'un avion pris dans le nuage d'un volcan). Le nuage de cendres lui-même est quasiment invisible, excepté sur certaines photos d'un ciel rougeoyant parcouru par de longues traînées, typiquement liées à l'utilisation de certaines ondes (HAARP, ondes scalaires…)


Il ne faut pas oublier la troisième coïncidence : le crash de l'avion polonais et l'élimination de la structure dirigeante d'un Etat. Ce genre «d'accident-sacrifice» sert généralement à prévenir tous ceux qui ne seraient pas à la hauteur des exigences du Nouvel Ordre Mondial... La Pologne a été le seul pays à ne pas accepter le vaccin H1N1 et a toujours fait bande à part dans la stratégie européenne. (
Note du CROM : le gouvernement polonais se rendait à la commémoration d’un massacre généralement attribué aux Nazis mais qui, aujourd’hui, semble avoir été le fruit des Soviétiques. Allaient-ils faire des déclarations gênantes?)

C'est aussi une façon de dire aux Européens qu'ils devront se plier à toutes les "ordonnances" qu'on projette de leur imposer...


En effet, dans la perspective d'une déstabilisation de l'économie mondiale, cette opération est extrêmement préjudiciable au commerce européen. Ce sont les compagnies européennes qui sont le plus gravement touchées et certaines pourraient se rapprocher rapidement de la faillite, au bénéfice des compagnies états-uniennes.


Il faut toujours se poser la même question : à qui profite un événement de ce genre ?


Commentaire du CROM: Il nous a aussi été rapporté que, pendant la semaine d'immobilisation du traffic aérien, on trouvait un grand nombre d'oiseaux au sol, près des routes. Par ailleurs, des troupeaux entiers de vaches étaient couchées sur le sol, comme évanouies. Les animaux étant extrêmement sensibles aux ondes, cela semble indiquer qu'il y a en effet eu des tests d'armes électromagnétiques cette semaine-là.


Mise en Ligne: 05.05.2010


21/04/2010

Nuages de cendres - Claude Lelaie, pilote de l'Airbus 380,

"On n'a rien trouvé" !

Encore une preuve qu'ils se moquent de nous !

Mercredi 21 avril 2010
Société

Publié le 20/04/2010 à 10:22

TESTS

NUAGE DE CENDRES - Claude Lelaie, pilote de l'Airbus 380, au point.fr : "On n'a rien trouvé"

Par Thierry Vigoureux

NUAGE DE CENDRES - Claude Lelaie, pilote de l'Airbus 380, au point.fr :

Claude Lelaie, pilote de l'Airbus 380 © GREG WOOD / AFP

Deux vols ont été réalisés à la recherche de cendres dans le nuage volcanique par les essais en vol d'Airbus avec des avions qui servent à tester, puis à certifier les différents systèmes et équipements qui évoluent au cours de la vie d'un modèle. Claude Lelaie, ancien directeur des essais en vol qui effectua le 27 avril 2005 le premier vol de l'A380, était aux commandes du très gros porteur. "J'ai rapporté une pleine épuisette de cendres", plaisante-t-il, ajoutant immédiatement : "On n'a rien trouvé, mais une ultime inspection doit avoir lieu pour être complètement formel et rigoureux." Les examens faits au retour du vol portent sur les filtres de conditionnement et de tous ceux qui équipent l'avion. Plus longue est l'analyse des moteurs au boroscope, qui sera connue en fin de matinée.

En vol, peut-on percevoir visuellement quelque chose au niveau 300 (10.000 mètres) ? "Rien, sinon le grand beau temps", raconte Claude Lelaie. "Notre vol est passé par Nice, Lyon, Nantes, Bordeaux, puis Toulouse entre les niveaux 180 et 300. Un autre Airbus des essais en vol, un A340-600, a volé à haute altitude entre les niveaux 380 et 410 de Toulouse à Hambourg où il s'est posé. Il n'a rien trouvé non plus."

Tous les tests négatifs

Près d'une cinquantaine de vols de test ont été effectués dans toute l'Europe souvent à l'occasion de rapatriement d'appareils vides de passagers. Aucun vol n'a révélé de particule volcanique sur les réacteurs. Cette variété d'essais est intéressante, car elle a mis en oeuvre des avions Airbus et Boeing, mais aussi des moteurs produits par Rolls Royce, CFM, Pratt & Whitney ou General Electric. Certains sont plus symboliques que d'autres, comme celui effectué par un Boeing 747 de British Airways avec Willie Walsh, le directeur général du groupe à bord.


Le vol de l'Airbus 319 de la compagnie Aigle Azur est techniquement un peu différent. L'avion est neuf, livré il y a quelques jours. La chambre de combustion des réacteurs n'a donc pas subi d'élévation anormale de température. Si des anomalies apparaissent, elles seront dues uniquement aux cendres. Dans le cockpit, sur le siège central entre les deux pilotes, François Hersen, directeur de la compagnie et ingénieur, a eu l'occasion dans sa carrière de gérer des flottes volant près de sites volcaniques. Pendant le vol, l'équipage n'a pas vu de poussière, n'a pas noté de variation anormale des paramètres moteur. Ces observations sont ensuite doublement corroborées au sol. Les mécaniciens introduisent dans le réacteur un boroscope. Cette fibre optique permet de visualiser les chambres de combustion, le coeur du moteur sans le démonter. C'est presque un acte chirurgical. En parallèle, le CD-Rom du Quick Access Recorder, un enregistreur de paramètres de vol utilisé pour la maintenance, est analysé sur un ordinateur équipé d'un logiciel spécialisé. Rien à signaler. L'ensemble des données techniques collectées à l'issue de ce vol d'intérêt général ont été partagées avec la communauté scientifique et aéronautique européenne, la DGAC, ainsi que les équipes d'Airbus et d'Aigle Azur.


On sait aussi qu'un avion de chasse F 16 de l'Otan a été victime d'un "processus de vitrification" de son unique réacteur. Ce phénomène, qui montre que le danger n'est pas absent, reste toutefois difficile à analyser tant que l'Otan gardera secrètes la position et les circonstances de cet incident.

 

LE POINT