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09/01/2015

France : Mossad Israël : Nom de code de l'opération militaire : "Je suis Charlie, Je suis Israël !"

L'avis d'un ancien militaire et rédacteur de l'écho des montagnes en Savoie qui nous commente la vidéo censurée par Youtube ! !

Ainsi les sionistes ont voulu nous tester et nous montrer qu'ils pouvaient faire la pluie et le beau temps chez nous quand ils veulent avec l'appui de leurs soutiens sionistes planqués au Gouverne-MENT de la République sioniste !

 

JE NE SUIS PAS CHARLIE

vendredi 9 janvier 2015

L’Écho des Montagnes dans le légitime but de vous informer, vous révèle le scandale du massacre des journalistes de Charlie Hebdo.

Scandale, comme disait Georges Marchais, scandale au plus haut niveau de l'Etat colonisa-tueur français, commanditaire de ce massacre pour faire un remake du "11 septembre", afin d’émettre une loi dictatoriale, sous le prétexte de la liberté d'expression.

Liberté d'expression pour les journaux aux ordres d'Usraël, pour les autres la prison.

Souvenez-vous, Christine Lagarde, UMP et ami de Sarkozy à porter plainte contre votre journal, l’Écho des Montagnes et aujourd'hui votre SARKOKOKO se pavanne avec la liberté de la presse.

Oui liberté de la presse sioniste, une étoile c'est tout. *

Je suis Frédéric BERGER.

Je suis le président de Savoie Indépendante

Je suis le rédacteur en chef du journal l’Écho des Montagnes

Je suis le chef de la Brigade de Savoie= Brigata di Savoia


En SAVOIE, dans mon pays on ne tue pas les journalistes au nom du sionisme, au nom du Nouvel Ordre Mondial, au nom de je ne sais quoi ou de je ne sais qui!


.Je suis Charlie signifie en hébreu, je suis Israël, nom de code de l'opération militaire qui a massacré les journalistes de Charlie Hebdo.


Preuve:



C'était signé par avance !


En hébreu, « Je suis Charlie » est l’acronyme de « Je suis Israël » – éléments graphiques by Shmoo

Le mot d’ordre, depuis le carnage de Charlie Hebdo, c’est « Je Suis Charlie. »
En hébreu, Je Suis Charlie s’écrit ainsi:

אני שארלי
 
Avec les lettres identiques, dans un autre ordre, on obtient Je Suis Israël:

אני ישראל
Ce qui, pour ceux qui étudient la Torah, pourrait signifier beaucoup… Et en premier lieu: ceux qui attaquent Charlie sont les mêmes qui attaquent Israël. Tellement vrai !


Ce journal a été hébergé par le journal Libération, dont le patron est ROHTSCHILD.

Bientôt en France, il y aura une loi dictatoriale, pour nous empêcher d'être libre, sous  prétexte du Terrorisme; c'est un remake du "11 septembre"! " avec un "patriot act" à la clé de l'enfer satanique sioniste, dirigé par l'intelligence maléfique des Jésuites.


Charlie Hebdo appartient à la CIA, connu pour son sionisme satanique.

Entendez cette vidéo censurée par youtube, mais que la Savoie possède et mise en sécurité dans une crevasse.

C'est bien une opération militaire avec les pancartes faites et distribuées à l'avance dans toute la France sioniste, au même format, même couleur noir, tout a été prévu à l'avance.

Regardez au G8, au G20, les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial sont habillés en costume noir; en effet c'est la secte de l'Ordre Noir, ordre dirigé par les jésuites, dont le grand chef, fut le REICHFÜRER HEINRICH HIMMLER= 88.


Voila la vidéo "sang-surée" par la liberté d'expression, version sioniste avec les commentaires
de votre rédacteur en chef en personne:

Cliquez sur les liens ci-dessous et sauvegarder la vidéo:

OBSERVATIONS DE BON SENS: 9 points étranges

1 - Après le passeport indestructible du 11 septembre, l'un des deux suspects, Saïd Kouachi, a oublié, malencontreusement, sa carte d'identité dans la voiture., fausse bien sur et laisser là pour diver--sion.

2- Lors de la tuerie, entre
 3 et 5 tireurs ont été aperçus:
"J'ai entendu des coups de feu, j'ai vu des gars cagoulés qui sont partis en voiture. Ils étaient au moins cinq", a précisé Michel Goldenberg, un voisin de Charlie Hebdo. Un autre voisin, Bruno Leveillé, a raconté avoir entendu "à 11 h 30 pile, une trentaine de coups de feu pendant une dizaine de minutes."

- La piste israélienne : 

A - JSS News semble très bien informé. Ne citant pas leurs sources, ils auraient été les premiers à publier l'identité des terroristes:

Selon des informations reçues par JSSNews, un des trois terroristes de Charlie Hebdo, le jeune Hamyd, a été arrêté. Il s'est rendu lui-même à la police - quand il a vu JSSNews publier son identité.

Rappelons que JSSNews a déjà publié deux informations exclusives et vérifiées ces dernières heures. La première concernant l'identité des terroristes (Saïd et Cherif Kouachi et Hamyd Mourad) et la deuxième concernant la voiture des terroristes, retrouvée devant un restaurant casher à Paris.

Plus tôt, ce soir, Libération titrait: « les trois suspects interpelés » - le titre a été changé par « les trois suspects identifiés et localisés.

Toujours selon JSS News, les premiers médias à diffuser la vidéo du policier abattu auraient été ceux d'Israël:

Voici une vidéo qui montre des échanges de tirs entre les musulmans qui ont attaqué le journal Charlie Hebdo et la police. BFM TV vient d'annoncer « ne pas vouloir montrer cette vidéo. »La vidéo est diffusée par les médias israéliens. Le policier mort dans cet échange de feu serait musulman (son prénom est Ahmed).

B - Russia Today nous apprend qu'Amchai Stein, l'éditeur en chef de la chaine israélienne IBA Channel 1, était présent sur les lieux du crime et postait des photos de la fusillade:

 


Amichai Stein @AmichaiStein1
רכב מנוקב כדורים בזירת האירוע בפריס
12:24 PM - 7 Jan 2015

5 - La police était injoignable lors du massacre:

Une journaliste de Première Ligne, qui a souhaité rester anonyme, témoigne

Il a aperçu deux personnes armées de kalachnikov qui demandaient 'C'est où Charlie Hebdo ?' Mon collègue est remonté en courant. Nous nous sommes barricadés et nous avons essayé d'appeler la police, mais ils étaient injoignables, c'était hallucinant.

6 - Un temps d'attente anormalement long entre la tuerie et l'arrivée des secours:

On était une dizaine dans l'atelier quand on a entendu des tirs, sans trop comprendre d'abord ce qu'il se passait. On entendait des bruits venant de l'immeuble, qu'on n'a pas identifié tout de suite, puis dans la rue. Là on a tout de suite compris que c'était des tirs. On s'est éloigné des fenêtres. Entre une demi-heure et trois-quart d'heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas sortir. Cette situation est un peu oppressante.

- Moins d'une heure après l'attaque, Hollande se rend, sans aucune peur, sur le lieu du drame:

Ce que je trouve fort, c'est que moins d'une heure après, Hollande est déjà sur place, 56 minutes après très exactement.... l'a pas peur des balles perdus ou des bombes planquées dans le périmètre le pantin qui nous sert de Président.

8 - Un commissaire de police de Limoges qui travaillait sur l'affaire Charlie Hebdo se suicide mystérieusement dans son bureau:

Il travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l'affaire Charlie Hebdo. Ce suicide intervient un peu plus d'un an après la mort d'un autre responsable du service régional de la police judiciaire de Limoges. En novembre 2013, le numéro 3 de ce service s'était lui aussi donné la mort et c'est le commissaire décédé la nuit dernière qui l'avait découvert.

- Des soi-disant « terroristes » ressemblant plus à la police antiterroriste qu'à autre chose:

Deux personnes qui ont croisés la route des frères Kouachi témoignent ce matin du 9 janvier

D'abord l'homme qui s'est fait volé sa voiture ce matin dans l'Oise, sur RTL. "Ils étaient en tenues paramilitaires et avec leurs armes à la main, très calmes, très sereins, très professionnels, pas énervés. Ils ont jamais couru ni élevé la voix. Ils n'étaient pas transpirants. Ils donnaient l'impression d'être en opération",explique le conducteur de la clio grise vraisemblablement attaquée par les frères Kouachi vendredi matin. "La simple chose qu'il m'ont dite en partant : "si les médias te posent une question, tu n'as qu'à dire que c'est Al Qaïda Yémen". C'est la dernière chose qu'il m'ont dite."

Puis, sur France info, un commercial qui était dans la zone artisanale de Dammartin et qui a d'abord cru avoir affaire à un policier : "Je ne les ai pas reconnus formellement, ils étaient habillés comme des policiers d'intervention, tenue noire, gilet pare-balles et fusil. Ça aurait pu être un policier s'il ne m'avait pas dit 'on ne tue pas les civils'. Ils étaient lourdement armés, comme des policiers qui interviennent avec des fusils type kalach. J'étais devant la porte de l'entreprise, j'ai serré la main de Michel [un client, NDLR] et de l'un des terroristes. Il m'a dit 'je suis la police. Partez, on ne tue pas les civils'. Après je suis parti, et Michel a fermé le portail derrière moi. Je suis parti dans la foulée"

TEST DE LA POPULA-SION FRANCAISE

 

 

 

 

 

 

 

Frédéric BERGER 


Charlie Hebdo: Israël espère être désormais « mieux compris par les Européens » : « Le Big Bang interviendra tôt ou tard. Espérons pour les Européens qu’il ne soit pas trop tard » !

Si vous vous posiez encore des questions sur les instigateurs des attentats chez Charlie Hebdo, vous avez les réponses ci-dessous !

Ce n'est pas Fabius qui avait dit dernièrement à Shimon Perès qu'il était toujours chez lui en France ? Ils sont chez eux en France depuis la révolution française maçonnique !

* - Fabius à l’ex-président israélien : « Tu es toujours ici chez toi »

 Charlie Hebdo: Israël espère être désormais « mieux compris par les Européens » : « Le Big Bang interviendra tôt ou tard. Espérons pour les Européens qu’il ne soit pas trop tard » !

VIDEO : déclarations de Shimon Peres 


INCROYABLE déclaration d’Israël :


« Le Big Bang interviendra tôt ou tard. Espérons pour les Européens qu’il ne soit pas trop tard »


Qu’entendent-ils par « BIG BANG » ? Guerre civile ?

 Israël espère être désormais « mieux compris par les Européens »  ??? 


 

L’ancien président israélien Shimon Peres s’est rendu jeudi après-midi, en compagnie de plusieurs responsables politiques, à la résidence de l’ambassadeur de France Patrick Maisonnave, pour témoigner du soutien du peuple israélien à la suite de la tragédie à Charlie Hebdo.

« Le crime commis nous place du même côté, dans le même combat », a déclaré Shimon Peres.

Le maire de Jérusalem Nir Barkat dont la ville a été meurtrie par une récente vague d’attentats, a envoyé un message à son homologue de Paris, Anne Hidalgo : “Il faut continuer de vivre normalement. Ce sera votre victoire!”.

Comme dans la plupart des pays, l’attentat meurtrier contre la rédaction de Charlie Hebdo à Paris a provoqué une onde de choc en Israël et les commentateurs n’ont pas manqué d’analyser, en la rapportant et en la comparant à Israël, la situation en France et ses conséquences.

Page Facebook Shimon Peres

Page Facebook Shimon Peres« L’ex-président Shimon Peres avec l’ambassadeur de France Patrick Maisonnave

Anshel Pfeffer, dans le Haaretz, reprend la formule du pasteur antinazi allemand Martin Niemöller: « D’abord ils ont commencé avec les Juifs, puis ils ont continué avec les journalistes ».

Pour Pfeffer, il s’agit d’une lutte entre ceux qui continuent à croire dans les vraies valeurs de l’Occident et ceux qui estiment que ces libertés sont répugnantes ».

Amos Harel, le correspondant militaire d’Haaretz, écrit que « si autorités israéliennes espèrent que les Européens vont dorénavant comprendre que nous sommes embarqués sur le même navire, elles risquent d’être déçues ».

Et il ajoute: « Bien que l’Europe soit de plus en plus vulnérable aux attaques terroristes d’organisations islamistes radicales, les Etats de l’Union européenne ne traduiront pas nécessairement cela en une empathie à l’égard des problèmes d’Israël, pour preuve la conduite de la France ces dernières semaines par rapport aux efforts de l’Autorité palestinienne pour améliorer sont statut ».

D’ailleurs, estime Harel, « même Israël ne croit pas au slogan « Hamas = Etat islamique, la meilleure preuve en est la politique israélienne durant l’été dernier lorsque le gouvernement israélien, se targuant de sa force contre le terrorisme, a fait tous les efforts possibles pour ne pas faire tomber le régime du Hamas à Gaza », par peur, en cas de vide politique, de se retrouver dans une situation encore pire, « l’anarchie avec des organisations affiliées à Al Qaïda ou à l’Etat islamique ».

Amos Biderman, parmi les dessinateurs caricaturistes les plus célèbres d’Israël, écrit dans le Haaretz un éditorial dont le titre est: « L’attaque de Paris prouve que les méchants ont gagné ».

« Ils ont déjà gagné », écrit-il, admettant qu’il ne fait pas de caricature sur des sujets concernant l’Islam ou le prophète depuis l’affaire des caricatures danoises. « Les méchants nous ont battus. Toute l’Europe et l’Amérique aussi tremblent. Maintenant il n’y a plus de dessinateurs ou caricaturistes qui osera les défier ».

Michel Kichka pour i24news
Michel Kichka pour i24news« Caricature Michel Kichka »

Dans Al-Monitor, Ben Caspit note « une certaine jubilation », mais aussi une inquiétude » au sein du public israélien pour ce qui concerne les Européens.

 » Le fait que l’Europe prend automatiquement le parti des Arabes dans presque tous les conflits ou différends avec Israël a fait de l’Europe un substantif presque péjoratif pour les Israéliens. Ainsi, beaucoup en Israël considèrent le massacre horrible à Paris comme une sorte de goutte d’eau qui a fait déborder le vase pouvant marquer un changement stratégique dans la façon dont les Européens perçoivent leur situation ».

Et Ben Caspit cite une source diplomatique qui lui aurait confié que cela lui rappelait la prise de conscience des Américains après Pearl Harbor, le 7 décembre 1941. « Jusqu’alors les Américains essayaient de ne pas être impliqués dans la Seconde Guerre mondiale. Pearl Harbour est une réalité qui a éclaté à la face des Américains

Pearl Harbor poussée réalité dans leurs visages et a changé le cours de la guerre. Il se pourrait que ce qui est arrivé à Paris génère un changement similaire en Europe « .

Mais Caspit estime que peu d’Israéliens placent un espoir dans une telle prise de conscience. Le contraire pourrait même survenir comme en témoigne les reportages du spécialiste des affaires arabes pour la chaîne Aroutz 10 Zvi Yehezkieli dont l’enquête dans les milieux islamistes européens dans laquelle il se fait passer lui-même pour un musulman a semé l’effroi. Le reportage décrit de quelle manière l’Islam radical s’est emparé des symboles européens et comment le style de vie européen pourrait changer ces prochaines années sous l’influence islamique.

Caspit ajoute que « l’Israélien moyen n’a pas beaucoup d’estime pour ses pairs européens qu’il considère comme des lâches ».

Caspit conclut en citant un ancien ambassadeur israélien en Europe: « Un jour, il faudra que cela cesse. L’islam n’admet pas les autres religions, il a un noyau résiduel violent qui n’est pas prêt à accepter les autres, leurs croyances et leur mode de vie. Le Big Bang interviendra tôt ou tard. J’espère pour les Européens qu’il ne sera pas trop tard, lorsqu’ils seront trop faibles pour le combat et pour gagner la guerre sanglante qui les attend ».

 

 

 

08/01/2015

CHARLIE-HEBDO ou « la trahison des clercs » par Jacob COHEN !

Un bravo spécial au toujours excellent Jacob Cohen, qui a bien du mérite, vu ses origines...

 

CHARLIE-HEBDO ou « la trahison des clercs » par Jacob COHEN !

mercredi 7 janvier 2015

J’emprunte ce titre à un livre des années 20 et dans lequel l’auteur critique les intellectuels de l’époque de se détourner du combat politique.

Quel rapport avec l’attentat d’aujourd’hui ?

Il se trouve que Charlie-Hebdo, journal satirique, anarchiste, révolutionnaire, caustique, ennemi de tous les pouvoirs et dénonciateur de tous les abus (pour vous donner une idée, il fut le 1er à dénoncer le nucléaire et à combattre la croissance capitalistique dès la fin des années 60, sans compter ses superbes « Unes » ses dessinateurs comme Reiser ou son pseudo philosophe anar qui tournait tout en dérision : le professeur Choron), une véritable institution de l’esprit révolutionnaire gaulois, ce magazine donc a été pris en otage par un certain Philippe Val, qui avait des casseroles à se faire pardonner, et qui s’est mis au service de BHL, transformant Charlie-Hebdo en organe pro-sioniste, dénigrant les Arabes et en particulier les Palestiniens, adorant le CRIF et ses valets, poussant sa logique jusqu’à reprendre la bannière de l’islamophobie gratuite et délirante, vomissant tout ce qui représentait l’islam ou les musulmans. Il paraît, Sarkozy l’avait dit vous voyez donc le lien, que la liberté d’expression est à ce prix. Sauf que ce principe s’est toujours arrêté au seuil des synagogues, de l’ancien testament, du régime sioniste, de la Shoah, etc. pour ne pas faire de peine à ceux « qui ont beaucoup souffert ».


La morale de l’histoire, et on peut étendre ce principe à d’autres collabos, Philippe Val a été nommé directeur de France Inter. Et Charlie-Hebdo a poursuivi dans cette belle voie de la collaboration avec les puissants du moment, ce qui lui a apporté soutiens financiers médiatiques et politiques.

Ce n’est pas la 1ère fois que le lobby judéo-sioniste réussit à « retourner » un organe de presse, comme on « retourne » un espion. Je citerai 2 exemples qui me semblent particulièrement révélateurs. D’abord « Les Lettes Modernes », revue créée après la guerre par Jean-Paul Sartre et qui représentait le summum de la réflexion anti-impérialiste. Revue reprise par Claude Lanzmann, l’auteur du film « Shoah » qui lui a rapporté des millions, et qui en a fait un torchon au service du sionisme. L’autre exemple c’est Libération sur lequel je ne m’étendrai pas tellement sa collusion avec le sionisme est flagrante et sa haine de l’islam incommensurable.

Ces campagnes de propagande islamophobe et de soutien à l’Amérique et à Israël ont pour conséquence de créer un climat détestable et de susciter des pulsions de violence et de revanche aveugle. Ce que l’on reproche généralement au « terrorisme ». Phénomène bien connu des sociétés sous domination impérialiste et qui n’ont aucun moyen de se défendre. Le « terrorisme » est créé et alimenté, intentionnellement ou non, par des forces dominantes qui peuvent ainsi se retourner contre la « sauvagerie » des dominés. Que l’on pense aux habitants de Gaza. Qu’avaient derrière la tête ceux qui ont détruit l’Irak et la Libye et mènent des guerres en Afrique ? Pourquoi la France participe à ces combats et au profit de qui ? Pourquoi ce harcèlement constant des musulmans et ces campagnes de dénigrement ? Si ce n’est en grande partie pour complaire au lobby judéo-sioniste, à l’Amérique et à Israël.

 

Charlie-Hebdo, à l’image de tous les médias en France, portent une énorme responsabilité dans ce chaos généralisé. À force de jouer avec le feu au profit d’intérêts qui ne sont pas ceux du peuple de France, on aboutit à des attentats et on risque la guerre civile. Il serait temps que les « clercs », ceux qui ont une responsabilité intellectuelle soient ramenés à la raison.

 

Jacob COHEN

 

7 janvier 2015 

 

 

La stratégie du choc - Naomi Klein - 2007

Voilà comment on nous manipule avec des images chocs et les émotions !

Apparemment les promoteurs des guerres et du Nouvel Ordre Mondial maîtrisent parfaitement cette stratégie !

 

La stratégie du choc - Naomi Klein - 2007

 

Tous manipulés : documentaire TSR sur la manipulation psychologique et la publicité

 

31/08/2014

Les Secrets de la Réserve Fédérale au service du Nouvel Ordre Mondial par Eustace Mullins - Livre & Vidéos

LISEZ CE LIVRE PARCE QUE L'IGNORANCE TUE !

Voilà quelles sont les cibles à abattre pour l'humanité pour qu'elle ait enfin la paix dans le monde ! Les Rothschilds et tous ses acolytes Illuminati/Sionistes/Reptiliens/Satanistes !

Les hybrides humano/reptiliens qui mènent le monde !

Un livre qui vous ouvrira les yeux sur tous ceux qui dirigent le monde en secret, les créateurs et adeptes de la secte du Dollar et les élites de la Franc-maçonnerie sioniste !

Grands promoteurs du Grand Israël et du Nouvel Ordre Mondial !

Ils commencent par inventer la monnaie de papier puis ils provoquent les guerres génocidaires d'invasion et de colonisation, ils financent les deux parties en guerre, ils endettent les peuples et leurs pays, et ils s'accaparent les pays sur la base de leurs dettes.

Quand un particulier ou une société ne peuvent plus payer leurs dettes, leurs biens appartiennent aux Banques Privées.

C'est pareil pour les pays endettés, ils appartiennent d'emblée aux banques privées et la dictature nazie s'installe dans les pays endettés !

Ensuite ils ont beau jeu pour installer leurs pions et leurs VRP dits politiques dans tous les pays du monde qu'ils doivent s'accaparer ainsi que leurs richesses avant d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

 

Les Secrets de la Réserve Fédérale par Eustace Mullins

Table des Matières

Préface de Michel Drac
Avant-propos de l’auteur
Introduction
Chapitre I - Jekyll Island
Chapitre II - Le Plan Aldrich
Chapitre III - The Federal Reserve Act
Chapitre IV - Le Comité Consultatif Fédéral
Chapitre V - La Maison de Rothschild
Chapitre VI - La Connexion Londonienne
Chapitre VII - La Connexion Hitlérienne
Chapitre VIII - La Première Guerre Mondiale
Chapitre IX - La Crise Agricole
Chapitre X - Les Créateurs de Monnaie
Chapitre XI - Lord Montagu Norman
Chapitre XII - La Grande Dépression
Chapitre XIII - Les Années 30
Chapitre XIV - Exposé Parlementaire
Addenda
Appendice 1
Biographies
Bibliographie

  Les Secrets de la Réserve Fédérale par Eustace Mullins

 

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Les Secrets de la Réserve Fédérale

par Eustace Mullins
préface de Michel Drac
traduction : Jean-François Goulon

éditeur : le retour aux sources
436 pages



"Le livre le plus important jamais écrit pour comprendre comment l'oligarchie bancaire domine le monde."— Alain Soral
"Des choses, j’'en ai appris en abondance en lisant « Les secrets de la Réserve fédérale » !"


—Guillaume de Thieulloyns le reste du monde, pensent que les dollars en circulation sont créés par le gouvernement américain. Que le nom de « Réserve Fédérale », mentionné sur chaque billet, désigne une administration gouvernementale. Or, il n’'en est rien : la « Réserve Fédérale » est une institution privée, possédée par des banques commerciales.

Ce livre, traduit pour la première fois en français, a représenté quarante années de travail pour son auteur. C’est probablement un des ouvrages les plus importants du XX° siècle. C’est le seul livre brûlé en autodafé, par décision de justice, en Europe après 1945. C'’est une enquête minutieuse, servie par l’'honnêteté et la compétence. C’est, aussi et surtout, une révélation sur la manière dont fonctionne réellement le monde, depuis un siècle.

Dans ce livre, vous apprendrez, entre autres choses, que : Le système de Réserve Fédérale n’est pas fédéral. En outre, il ne possède pas les moindres réserves. C'’est un syndicat de l’'émission monétaire, dont les membres se sont octroyé le privilège exorbitant de fabriquer l’'argent que vous gagnez durement. Sans ce système, il est très probable que les deux guerres mondiales n'’auraient pu être déclenchées, ni financées.

Et surtout, vous apprendrez que, pour citer Henri Ford, un grand capitaine d’'industrie et un VRAI américain : « L’'unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes inextinguibles. » Des mots qui, à l'’heure actuelle, prennent une actualité brûlante…


Table des Matières

Préface de Michel Drac
Avant-propos de l’auteur
Introduction
Chapitre I - Jekyll Island
Chapitre II - Le Plan Aldrich
Chapitre III - The Federal Reserve Act
Chapitre IV - Le Comité Consultatif Fédéral
Chapitre V - La Maison de Rothschild
Chapitre VI - La Connexion Londonienne
Chapitre VII - La Connexion Hitlérienne
Chapitre VIII - La Première Guerre Mondiale
Chapitre IX - La Crise Agricole
Chapitre X - Les Créateurs de Monnaie
Chapitre XI - Lord Montagu Norman
Chapitre XII - La Grande Dépression
Chapitre XIII - Les Années 30
Chapitre XIV - Exposé Parlementaire
Addenda
Appendice 1
Biographies
Bibliographie


Extrait

En cette soirée du 22 novembre 1910, un groupe de journalistes se trouvait à la gare de Hoboken, dans le New Jersey. Ils avaient la mine déconfite. Ils venaient juste de voir une délégation constituée des financiers les plus importants du pays quitter la gare en mission secrète. Cela se passait de nombreuses années avant qu'’ils découvrissent en quoi consistait cette mission ; et, même lorsqu'’ils le surent, ils ne comprirent pas que l'’histoire des Etats-Unis avait subi un changement drastique après cette nuit-là à Hoboken.

La délégation était partie dans une voiture de chemin de fer hermétiquement fermée, rideaux baissés, pour une destination non divulguée. Le Sénateur Nelson Aldrich, le chef de la Commission Monétaire Nationale, conduisait cette délégation. Deux ans plus tôt, en 1908, après la panique tragique de 1907 qui déclencha un tollé général pour que le système monétaire de la nation soit stabilisé, le Président Théodore Roosevelt avait promulgué la loi qui allait créer la Commission Monétaire Nationale. Aldrich, lui, avait emmené les membres de la commission dans une tournée européenne de deux ans, dépensant quelques trois cent mille dollars d'’argent public. Il n’'avait pas encore établi le compte-rendu de ce voyage et il n'’avait pas non plus proposé le moindre projet pour une réforme bancaire.

À la gare de Hoboken, le Sénateur Aldrich était accompagné de son secrétaire particulier, Shelton, d’A. Piatt Andrew, le Secrétaire-adjoint au Trésor et assistant spécial de la Commission Monétaire Nationale, de Frank Vanderlip, le président de la National City Bank of New York, d’Henry P. Davison, l’associé principal de J.P. Morgan Company et généralement considéré comme l’émissaire personnel de Morgan, et de Charles D. Norton, le président de la First National Bank of New York dominée par Morgan. Juste avant le départ du train, le groupe fut rejoint par Benjamin Strong, connu aussi pour être un lieutenant de J.P. Morgan, et par Paul Warburg, un récent immigré d’'Allemagne qui avait rejoint la maison bancaire Kuhn, Loeb & Co. à New York, en tant qu'’associé rémunéré cinq cent mille dollars par an.

Six ans plus tard, l'’auteur financier Bertie Charles Forbes, qui fonda par la suite le magazine Forbes (l'é’diteur actuel, Malcom Forbes , est son fils), écrivait : “Imaginez un groupe constitué des plus grands banquiers de la nation quittant subrepticement New York dans un train privé. Cachés par l’'obscurité, ils sont partis à toute allure, furtivement, à des centaines de kilomètres au sud. Ils se sont embarqués sur une vedette mystérieuse, se sont faufilés sur une île désertée de tous, sauf de quelques serviteurs, et ont vécu là toute une semaine dans un secret si rigide que pas un seul de leurs noms ne fut mentionné une seule fois, de peur que les serviteurs n'’apprennent leur identité et rapportent au monde cette expédition des plus étranges et hautement secrète dans l’'histoire de la finance américaine. Ceci n’est pas une fiction : je livre au monde entier, pour la première fois, la véritable histoire sur la manière dont le célèbre rapport monétaire d’'Aldrich, la fondation du système monétaire actuel des Etats-Unis, fut écrit.

“Le secret le plus total fut prescrit à tous. En aucun cas le public ne devait glaner le moindre indice sur ce qui allait être accompli. Le Sénateur Aldrich avait intimé à chacun de se rendre discrètement dans un wagon privé que la compagnie de chemin de fer avait reçu l’'ordre de tracter vers un quai non-fréquenté. Le groupe est parti au loin. Les reporters new-yorkais omniprésents avaient été déjoués.…

“Nelson Aldrich avait confié à Henry, Frank, Paul et Piatt qu'’il allait les garder enfermés à Jekyll Island, loin du reste du monde, jusqu’'à ce qu’ils aient mis au point et rédigé un système monétaire scientifique pour les Etats-Unis. Ce fut la véritable naissance du Système de la Réserve Fédérale actuel, projet établi à Jekyll Island dans une conférence avec Paul, Frank et Henry […] Warburg est le lien qui unit le système d’'Aldrich au système actuel. Lui, plus que tout autre, a rendu ce système possible, devenu une réalité qui fonctionne.”

Voici ce qui est exposé dans la biographie officielle du Sénateur Nelson Aldrich :

“En automne 1910, six hommes s’'en allèrent chasser le canard : Aldrich, son secrétaire Shelton, Andrews, Davison, Vanderlip et Warburg. Des journalistes attendaient à la gare de Brunswick, en Géorgie. M. Davison alla les voir et leur parla. Les journalistes se dispersèrent et le secret de cet étrange voyage ne fut pas divulgué. M. Aldrich lui demanda comment il avait réussi ce tour de force et ce dernier ne fournit pas spontanément cette information.”

Davison avait l’'excellente réputation d’être quelqu’'un qui pouvait concilier des factions en guerre, un rôle qu’il avait accompli pour J.P. Morgan durant le règlement de la Panique Monétaire de 1907. Un autre associé de Morgan, T.W. Lamont, a déclaré :

“Henry P. Davison a servi de médiateur dans l’'expédition de Jekyll Island.”

À partir de ces références, il est possible de reconstituer cette histoire. Le wagon privé d’'Aldrich qui avait quitté la gare de Hoboken tous rideaux baissés emmenait ces financiers à Jekyll Island, en Géorgie. Quelques années auparavant, un groupe très exclusif de millionnaires, emmenés par J.P. Morgan, avait acheté cette île comme lieu de retraite pour l’hiver. Ils s’'étaient baptisés « Le Club de Chasse de Jekyll Island » et, au départ, ils utilisaient cette île uniquement pour des expéditions de chasse, jusqu’'à ce que les millionnaires réalisent que son climat agréable offrait une retraite clémente contre la rigueur des hivers new-yorkais. Ils commencèrent donc à construire de splendides demeures qu’'ils appelaient « chaumières » pour les vacances d’'hiver de leurs familles. Le bâtiment du club lui-même, plutôt isolé, était parfois réservé à des sorties entre hommes ou autres activités n’'ayant rien à voir avec la chasse. En de telles occasions, il était demandé aux membres du club qui n’'étaient pas invités à ces sorties spécifiques de ne pas y venir pendant un certain nombre de jours. Avant que le groupe de Nelson Aldrich ne quittât New York, les membres du club avaient été avertis que celui-ci serait occupé pendant les deux prochaines semaines.

Le Club de Jekyll Island fut choisi comme lieu pour élaborer le projet destiné à contrôler l’'argent et le crédit du peuple des Etats-Unis, non seulement à cause de son isolement, mais aussi parce que c’'était le lieu de la chasse privée de ceux qui élaboraient ce projet. Plus tard, le 3 mai 1931, le New York Times nota dans une chronique funéraire après la mort de George F. Baker, l'’un des plus proches associés de J.P. Morgan, “le Club de Jekyll Island a perdu l’'un de ses membres les plus distingués. Un-sixième de la richesse totale du monde était représentée par les membres du Club de Jekyll Island”. La qualité de membre était exclusivement héréditaire.

Le groupe d'Aldrich ne s'’intéressait pas à la chasse. Jekyll Island fut choisie comme site pour la préparation de la banque centrale, parce qu’'elle offrait une intimité totale et qu’'il n'’y avait aucun journaliste à quatre-vingts kilomètres à la ronde. Le besoin de secret était tel que les membres de la délégation ont accepté, avant d’arriver à Jekyll Island, qu’'aucun nom de famille ne fût prononcé à quelque moment que ce soit durant leur séjour de deux semaines. Plus tard, lorsqu'’ils parlaient d’eux-mêmes, les membres du groupe se référaient au Club des Prénoms, puisque les noms de Warburg, Strong, Vanderlip et des autres avaient été prohibés durant leur séjour. Les domestiques habituels se virent offrir par le club deux semaines de vacances, et l'’on fit venir du continent, pour cette occasion, de nouveaux serviteurs qui ne connaissaient pas les noms des personnes présentes. Même s'’ils avaient été interrogés après le retour de la délégation d’'Aldrich à New York, ils n'’auraient pu livrer aucun nom. Cet arrangement s’'avéra si satisfaisant que les membres, limités à ceux qui avaient été réellement présents à Jekyll Island, tinrent plus tard un certain nombre de petites rencontres informelles à New York.

Pourquoi tout ce secret ? Pourquoi ce voyage de plusieurs milliers de kilomètres dans un wagon de chemin de fer privé vers un club de chasse isolé ? Apparemment, c’'était pour accomplir un programme de service public, afin de préparer la réforme bancaire qui offrirait un avantage précieux au peuple des Etats-Unis et qui avait été commandée par la Commission Monétaire Nationale. D'ordinaire, les participants n’'étaient pas opposés à ce que publicité soit faite de leur générosité. En général, leurs noms étaient inscrits sur des plaques de bronze ou à l’'extérieur des immeubles qu'’ils avaient offerts. Ce ne fut pas la procédure qu’'ils suivirent à Jekyll Island. Aucune plaque de bronze n’'a jamais été érigée pour marquer les actions désintéressées de ceux qui se rencontrèrent en 1910 à leur club de chasse privé pour améliorer le sort de tous les citoyens des Etats-Unis.

En fait, aucun désintéressement ne se produisit à Jekyll Island. Le groupe d'’Aldrich y a séjourné à titre privé pour écrire la législation bancaire et monétaire que la Commission Monétaire Nationale avait reçu l’'ordre de préparer en public. Le futur contrôle de la monnaie et du crédit des Etats-Unis était en jeu. Si jamais une véritable réforme monétaire avait été préparée et présentée au Congrès, elle aurait mit fin au pouvoir des créateurs élitistes de l'unique monnaie mondiale. Jekyll Island permit que la banque centrale qui serait établie aux Etats-Unis donnât à ces banquiers tout ce qu’'ils avaient toujours désiré.

Comme il était le plus compétent sur le plan technique parmi les présents, Paul Warburg fut chargé de réaliser la plus grande partie de la conception de ce projet. Son travail était ensuite discuté et passé en revue par le reste du groupe. Le Sénateur Nelson Aldrich était là pour s’'assurer que le projet, une fois achevé, sortirait sous une forme qu'’il pourrait faire voter par le Congrès, et les autres banquiers étaient là pour inclure tous les détails nécessaires afin d’être sûrs d’'obtenir tout ce qu’ils voulaient dans un avant-projet complet composé au cours d’un seul séjour. Après leur retour à New York, il ne pouvait y avoir de deuxième réunion pour retravailler sur leur projet. Ils ne pouvaient espérer un tel secret pour leurs travaux lors d’'un deuxième voyage.

Le groupe de Jekyll Island séjourna au club pendant neuf jours, travaillant avec acharnement afin de mener sa tâche à bien. Malgré les intérêts communs de ceux qui étaient présents, ce travail ne se fit pas sans frictions. Le Sénateur Aldrich, perpétuel dominateur, se considérait comme le leader naturel du groupe et il ne put s’empêcher de donner des ordres à tout le monde. En tant que seul membre non-banquier professionnel, Aldrich se sentait aussi quelque peu mal à l’aise. Il avait eu des intérêts bancaires importants durant toute sa carrière, mais seulement en tant qu’'actionnaire tirant profit des actions bancaires qu’'il possédait. Il ne connaissait pas grand chose aux aspects techniques des opérations financières. Tout à son opposé, Paul Warburg pensait que chaque question soulevée par le groupe nécessitait un cours et non une simple réponse. Il perdit rarement une occasion de faire un long discours aux membres, dans le but de les impressionner par l’'étendue de sa connaissance des opérations bancaires. Les autres en prirent ombrage et Aldrich fit d'’acerbes commentaires. Le sens inné de la diplomatie dont était pourvu Henry P. Davison s’'avéra être le catalyseur qui les maintint au travail. Le fort accent étranger de Warburg leur écorchait les oreilles et leur rappelait constamment qu’'ils devaient accepter sa présence si un projet de banque centrale devait être inventé, qui leur garantît leurs futurs profits. Warburg fit peu d’'efforts pour atténuer leurs préjugés et les contesta à chaque occasion possible sur les questions techniques bancaires, qu’'il considérait comme sa chasse-gardée.

“Dans toute conspiration il faut conserver un très grand secret.”

Le projet de « réforme monétaire » préparé à Jekyll Island devait être présenté au Congrès comme un travail réalisé par la Commission Monétaire Nationale. Il était impératif que les véritables auteurs de cette loi restent cachés. Depuis la panique de 1907, le ressentiment populaire contre les banquiers était tel qu’'aucun parlementaire n’'aurait osé voter pour une loi portant la marque de Wall Street, peu importe celui qui avait contribué à ses dépenses de campagne électorale. Le projet de Jekyll Island était un projet de banque centrale et, aux USA, il y avait une longue tradition de lutte contre le fait d’imposer une banque centrale aux citoyens. Cela avait commencé avec le combat de Thomas Jefferson contre le projet d’'Alexander Hamilton, soutenu par James Rothschild, pour créer la Première Banque des Etats-Unis. Ce combat s'’était poursuivi avec la guerre victorieuse que le Président Andrew Jackson avait livrée contre le projet d’Alexander Hamilton pour une Deuxième Banque des Etats-Unis, dans lequel Nicholas Biddle agissait en tant qu'’agent de James Rothschild de Paris. Le résultat de ce combat fut la création de l’'Independent Sub-Treasury System, qui gardait les fonds des Etats-Unis soi-disant hors de portée des financiers. Une étude sur les paniques de 1873, 1893 et 1907 indique que celles-ci furent la conséquence des opérations des banquiers internationaux de Londres. Le public exigea en 1908 que le Congrès promulguât une loi afin de prévenir la réapparition de paniques monétaires artificiellement provoquées. Une telle réforme monétaire semblait alors inévitable. C'’était pour barrer la route à ce genre de réforme et pour la contrôler que la Commission Monétaire Nationale avait été créée, avec Nelson Aldrich à sa tête, puisqu’'il était le chef de la majorité [républicaine] au Sénat.

Le principal problème, ainsi que Paul Warburg en avait informé ses collègues, était d'’éviter le nom de « Banque Centrale ». Pour cette raison, la dénomination qu'’ils choisirent fut celle de "Federal Reserve System". Ceci tromperait les gens et les inciterait à penser qu’'il ne s’agissait pas d’'une banque centrale. Toutefois, le projet de Jekyll Island était bien celui d’'une banque centrale, remplissant les fonctions principales d’'une banque centrale ; elle serait possédée par des personnes privées qui tireraient profit de la propriété de ses actions. En tant que banque émettrice, elle contrôlerait la monnaie et le crédit de la nation.

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