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28/11/2015

Crise migratoire: le grand remplacement n'est pas une vue de l'esprit mais un plan de l'ONU !

Ce document provient du département des affaires sociales et économiques de l'ONU.

Après nous avoir tannés sur le fait que nous serions trop nombreux sur terre pour ouvrir largement les vannes des guerres génocidaires tous azimuts dans le monde, sous couvert de l'escroquerie universelle du "réchauffement climatique", voilà que désormais nous ne sommes finalement pas assez nombreux en Europe notamment et la solution mondialiste au problème de natalité de la vieille Europe est toute trouvée: une immigration massive qui favorisera le métissage, la perte d'identité des peuples, la montée du racisme afin de provoquer des guerres civiles qui doivent servir les plans des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, les Illuminati !

Et surtout que l'ONU continue à faire la promotion de l'avortement et à financer ses guerres génocidaires, et ses mercenaires terroristes pour permettre de n'instaurer en finalité qu'UNE UNIQUE POPULATION MONDIALE au profil de son Nouvel Ordre Mondial et de ses vaillants promoteurs, Illuminati  !

Voir aussi :

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Extrait:

"La Migration de remplacement:
Est-elle une solution au déclin et au vieillissement des populations?

Les projections des Nations Unies indiquent qu'au cours des 50 prochaines années, les populations de presque tous les pays d'Europe ainsi que le Japon devront faire face à un déclin démographique et au vieillissement de la population. Les nouveaux défis que constituent le déclin et le vieillissement des populations vont nécessiter de nouvelles évaluations de nombreuses politiques et programmes mis en place, y compris celles relatives à la migration internationale.


Mettant l'accent sur ces deux tendances démographiques frappantes et critiques, le rapport considère une migration de remplacement pour les huit pays à basse fécondité (l'Allemagne, la France, l'Italie, le Japon, la République de Corée, la Fédération de Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis) et deux régions (Europe et l'Union européenne). La migration de remplacement se réfère à la migration internationale qu'un pays aurait besoin pour compenser le déclin démographique et le vieillissement de la population résultant de taux de fécondité et de mortalité faibles."


En plus de cette introduction, le rapport indique que de façon a éviter d'avoir à élever l'age de départ en retraite entre 71 et 76 ans (sans rire) dû au manque de dynamisme démographique en se projetant en 2050, l'objectif serait...de tripler au minimum les d'habitants en Europe. Le trois-quart de la population européenne serait alors composée d'immigrés. 


Extrait:


"Le nombre annuel d'immigrés nécessaires pour maintenir le ratio de soutien potentiel constant par rapport à celui de 1995 serait 15 fois plus élevé que le niveau de migration nette des années 1990. Vers la fin de la période, c'est à dire vers l'horizon 2040-2050, le nombre annuel net de migrants requis par l'Union européenne serait l'équivalent de la moitié de la croissance annuelle de la population de la planète.


 Ainsi, si la migration de remplacement devait être utilisée en tant que mécanisme pour consolider le potentiel rapport de soutien au sein de l'Union européenne à son niveau actuel, d'ici 2050, la population totale de l'Union Européenne augmenterait à plus de trois fois son niveau actuel. Dans ce processus, la part de la population mondiale de l'Union européenne aurait plus que doublé, passant de 6,6 pour cent en 1995 à 13,8 pour cent en 2050. En outre, les trois-quarts de la population totale en 2050 seraient constitués de migrants post-1995 en provenance de l'extérieure des frontières actuelles de l'Union et de leurs descendants.

 

Défense russe : les F-16 turcs ont tendu l'embuscade à l'avion russe abattu

Après que la Russie ait décidé de placer ses S-400 qui peuvent créer une zone d'exclusion dans le ciel Syrien, Erdogan a considéré que : l’utilisation du S-400 contre les chasseurs turcs serait une agression, du coup,  L'armée de l'air turque a suspendu ses vols au-dessus de la Syrie.

Défense russe : les F-16 turcs ont tendu l’embuscade à l’avion russe abattu

27 nov. 2015, 20:24

Un F-16 turc

Un F-16 turc

Les résultats obtenus par le service de contrôle aérien en Syrie laissent penser que les avions de chasse turcs auraient planifié leurs actions afin de tendre une embuscade au bombardier russe, selon un haut commandant de l’armée russe.

«Les résultats objectifs du contrôle des stations de contrôle aérien syriennes confirment que deux F-16 se trouvaient en service dans la zone de 9h11 à 10h26 (heure locale) à une altitude de 2 400 mètres, ce qui témoigne d’une action préméditée et de la volonté des chasseurs à tenir une embuscade dans les airs», a déclaré ce vendredi le commandant suprême des forces aériennes de la Russie Victor Bondarev. Si cela n’avait pas été prémédité, les avions turcs n’auraient pas eu le temps de décoller depuis l’aérodrome le plus proche, a souligné le militaire.

Le SU-24, quant à lui, a décollé de la base aérienne de Lattaquié à 9h34 et se trouvait dans la zone de détection pendant 34 minutes. Le missile turc a été tiré sur lui immédiatement après avoir effectué une frappe sur les terroristes.

En savoir plus : Pour Vladimir Poutine, «les forces armées turques n’ont pas pu ne pas distinguer l’origine de l'avion»

Mardi 24 novembre, un bombardier russe SU-24 a été abattu par la Turquie à la frontière syrienne. Ankara prétend que celui-ci avait violé son espace aérien, ce que nie résolument la Russie. L’un des pilotes a été tué par des rebelles syriens après avoir déclenché son parachute. Le second a lui été recueilli puis acheminé vers la base aérienne russe de Lattaquié.

La Russie répond à l’attaque du Su-24 en déployant un système de défense aérien S-400 en Syrie

 

La France prévient officiellement qu'elle ne respectera peut-être pas les droits de l'Homme

Pourquoi, la France respectait-elle les Droits de l’Homme, avant les attentats et ni après, du reste ?


Libertés fondamentales

La France prévient officiellement qu’elle ne respectera peut-être pas les droits de l’Homme

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par Agnès Rousseaux 27 novembre 2015

La France vient d’informer le Conseil de l’Europe qu’elle pourra, à cause de l’état d’urgence, déroger à certains droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Tout pays signataire de cette convention peut demander une dérogation à l’application de celle-ci, pour une durée limitée, en cas de guerre mais aussi de « danger public menaçant la vie de la nation ». Et cela dans la « stricte mesure où la situation l’exige », précise l’article 15 de la convention. Situation ironique : la France annonce qu’elle va enfreindre des droits et libertés fondamentales – et l’officialise – pour combattre ceux qui menacent les droits et libertés...

En vertu de cet article 15 de la convention, les autorités françaises ont donc envoyé un courrier le 24 novembre pour avertir le Secrétariat général du Conseil de l’Europe que, dans le cadre de l’état d’urgence instauré suite aux attentats terroristes, certaines mesures appliquées « sont susceptibles d’impliquer une dérogation » à des droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme. Signée par les 47 membres du Conseil de l’Europe et basée sur la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948, cette convention protège les libertés fondamentales : la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression, le respect de la vie privée, la liberté de réunion et d’association, le droit à un procès équitable... Certains droits ne peuvent pas faire l’objet de dérogations, comme le droit à la vie, l’interdiction de la torture et de l’esclavage [1]. Mais les autres, donc, peuvent être exceptionnellement mis entre parenthèses.

Pourquoi une telle demande officielle ? Cette procédure permet notamment à la France de se prémunir d’éventuels futurs procès devant la Cour européenne des Droits de l’homme (CEDH), qui contrôle et veille à la bonne application de la convention. Cette situation n’est pas inédite. D’autres pays européens ont fait valoir récemment cette dérogation, comme la Grande-Bretagne en 2005 lors des attentats de Londres. La demande officielle doit être suffisamment argumentée : des « attentats terroristes de grande ampleur », explique la France, et une « menace terroriste [qui] revêt un caractère durable, au vu des indications des services de renseignement et du contexte international », appellent à de telles mesures (lire le courrier).

Reste que des abus concernant l’application de ces mesures commencent à faire réagir (lire nos articles : L’état d’urgence face au terrorisme tourne à la répression des mouvements sociaux et Perquisition administrative chez des maraîchers bio : « Ils s’attendaient à quoi, des légumes piégés ? »). Les changements apportés au texte de 1955 sur l’état d’urgence laissent craindre également des dérives : si le texte initial faisait état de restriction des libertés des personnes ayant une activité « dangereuse pour la sécurité et l’ordre publics », le texte modifié autorise désormais des perquisitions et assignations à résidence en tenant compte du seul « comportement » suspect [2].

L’ONG Human Rights Watch fait l’inventaire de tous les droits garantis par la convention européenne que menace la nouvelle loi. L’état d’urgence voté en France pour trois mois permet d’enfreindre certains libertés fondamentales, telles la liberté de circulation, la liberté d’expression ou le respect de la vie privée : assignation à résidence, perquisitions sans autorisation judiciaire, copie de données informatiques,... « Le gouvernement doit s’assurer que toute mesure prise en vertu de la loi soit strictement proportionnelle à l’objectif poursuivi, alerte Human Rights Watch. Le gouvernement doit également veiller à ne pas appliquer ces pouvoirs de manière discriminatoire et à ne pas stigmatiser en fonction d’une appartenance ethnique, religieuse ou sociale particulière. » La volonté de la France de se prémunir de tout futur recours auprès des instances européennes de la part de potentielles victimes d’abus ou de personnes ayant subi des restrictions de libertés injustifiées ne semble pas être un bon signal.

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Turquie: le chapitre 17 du processus d'adhésion à l'UE ouvert "mi-décembre"

Et comme La Turquie n'est pas assez arrosée par l’argent de l’Union européenne soit par les citoyens européens, l'UE se prépare à ouvrir mi-décembre le chapitre 17 du processus d'adhésion de la Turquie à l'UE, sous couvert qu'Erdogan partagera le "fardeau des réfugiés syrien" qu'il crée lui-même en alimentant le terrorisme de Daesh en Syrie, au profit de sa famille ! 

Et maintenant que le monde entier sait qui est Erdogan, croyez-vous que l'UE insistera pour faire rentrer la Turquie dans l'UE et nous faire participer à alimenter le terrorisme ?

Extrait : "Ce qu'on nous a dit en dernier lieu, c'est qu'on va nous donner 3 milliards d'euros sur un an (...) vers fin 2016, on parle d'une libération des visas pour les citoyens turcs", a déclaré jeudi soir M. Erdogan. 

"Mais pour nous, le fond du problème, c'est qu'on puisse partager le fardeau de cette question des réfugiés. Plus nous pourrons partager ce fardeau, plus facilement nous pourrons contrôler le flux de réfugiés", a déclaré l'homme fort de la Turquie. 

 

Turquie: le chapitre 17 du processus d'adhésion à l'UE ouvert "mi-décembre"

Par AFP , publié le , mis à jour à
afp.com/MICHAEL KAPPELER

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Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004

Ankara - Le chapitre 17 des négociations pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne (UE) sera ouvert "à la mi-décembre", a affirmé jeudi le président turc Recep Tayyip Erdogan, à trois jours d'un sommet à Bruxelles sur la crise des migrants.

"On nous a dit que le dix-septième chapitre des négociations sera ouvert vers le mi-décembre", a déclaré lors d'un entretien accordé à la chaîne d'information France 24. 

"Nous ouvrirons, si Dieu le veut, ce chapitre le 14 ou le 15 décembre à Bruxelles", avait assuré un peu plus tôt jeudi le ministre turc des Affaires européennes Volkan Bozkir lors d'une conférence de presse à Ankara. 

Le chapitre 17 porte sur les politiques économique et monétaire. 

"Nous ne nous contenterons pas de cela et nous allons travailler ensemble à l'ouverture de cinq ou six chapitres supplémentaires en 2016", a poursuivi M. Bozkir. 

Les dirigeants européens et le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu doivent se réunir dimanche à Bruxelles pour un sommet extraordinaire visant à "redynamiser" leurs relations et surtout à "freiner le flux migratoire" vers l'UE, confrontée à sa plus grave crise de réfugiés de ces dernières décennies. 

Les Européens espèrent obtenir une coopération accrue des Turcs sur les réfugiés, notamment syriens, qui partent en majorité depuis les côtes turques pour rejoindre la Grèce, avant de poursuivre leur route au nord. 

La Turquie, qui accueille officiellement 2,2 millions de Syriens, souhaite en retour une augmentation de l'aide financière européenne, une libéralisation du régime des visas d'entrée dans l'UE pour ses citoyens et un coup de fouet au processus d'adhésion à l'UE. 

"Ce qu'on nous a dit en dernier lieu, c'est qu'on va nous donner 3 milliards d'euros sur un an (...) vers fin 2016, on parle d'une libération des visas pour les citoyens turcs", a déclaré jeudi soir M. Erdogan. 

"Mais pour nous, le fond du problème, c'est qu'on puisse partager le fardeau de cette question des réfugiés. Plus nous pourrons partager ce fardeau, plus facilement nous pourrons contrôler le flux de réfugiés", a déclaré l'homme fort de la Turquie. 

Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004Drapeaux de l'UE et de la Turquie, à Berlin, le 16 juin 2004

27/11/2015

Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie, un ultra d’origine turque ? (VIDEO)

Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie, un ultra d’origine turque ? (VIDEO)

27 nov. 2015, 21:56

William Whiteman, journaliste de RT

William Whiteman, journaliste de RT

Des détails cruciaux ont été révélés par les médias concernant le soi-disant commandant syrien qui a affirmé avoir tué le pilote du SU-24 russe abattu par la Turquie : il semble qu’il s’agit plutôt d’un citoyen turc au parcours ultranationaliste.

En savoir plus : Qui sont les Turkmènes de Syrie ?



Le rebelle qui a tué le pilote russe en Syrie... par RTFrance