Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/01/2014

Israël: "Des enfants palestiniens mis en cages !"

Ceci, se passe dans l’Etat sioniste, celui qui a décrété SEUL, être l’unique Pays démocratique du Moyen-Orient !

Qui dit mieux ?

C'est cela que l'on vous nous cacher ? Et on veut aussi venir nous donner des leçons de morale en France ?

Est-ce que l'on doit la fermer aussi ?

Israël: “Des enfants palestiniens mis en cages !”

Internationalnews

Mondialisation 6 janvier 2014

 

boyarrested_

Une organisation israélienne défendant les droits de l’homme a accusé le pays de torturer des mineurs palestiniens et elle a produit un rapport sur des cas de mise en cage publique ainsi que sur des menaces et des passages à l’acte de violences sexuelles.

 « La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire ” (photo ism-france)

Le Comité public contre la torture en Israël (Public Committee Against Torture in Israel, PCATI) a condamné Israël qui ne protège pas les mineurs palestiniens de la torture arbitraire . Le groupe exige des autorités qu’elles introduisent dans le droit national israélien des dispositions spécifiques protégeant tous les enfants de la torture.

Le groupe de défense des droits de l’homme déclare que [les dispositions du] droit international contre la torture, inscrites dans le Protocole d’Istamboul (« Manuel pour enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants »), n’ont pas été transcrites dans la législation nationale israélienne.

Le PCATI argue que « le terme “torture” désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne », selon les termes mêmes du Protocole d’Istamboul. En outre, « chez les enfants, la torture peut avoir un impact direct ou indirect, selon qu’ils ont eux-mêmes subi la torture ou la détention, que leurs parents ou d’autres proches en ont été les victimes, ou qu’ils ont été les témoins d’actes de torture ou autres formes de violence ».

Le rapport de l’ONG a été publié en préambule à l’audition de mardi dernier par la Commission des Pétitions Publiques de la Knesset sur des sujets connexes. Le PACTI a fondé sa plainte sur les données de rapports enregistrés d’abus sur des enfants, collectés ces dix dernières années.

La pratique consistant à placer les enfant dans des cages à l’extérieur avait été stoppée par la ministre de la Justice Tzipi Livni à la suite de sa découverte, rapporte le Jerusalem Post.

Le PCATI affirme qu’il continue d’enquêter activement sur les cas relatifs à la torture et aux mauvais traitements d’enfants par des soldats et des interrogateurs des Forces de Défense Israéliennes (IDF). Ils enquêtent sur les menaces et actes de violence sexuelle, la mise en cage de prisonniers dans des cages métalliques (y compris des enfants), le comportement militaire au cours de la détention et de l’arrestation de Palestiniens.

Par ailleurs les données collectées par le PACTI sont appuyées par un certain nombres d’ONG également impliquées dans la collecte des preuves d’allégations de tortures. Selon le « Bureau du Défenseur Public » israélien, la découverte de personnes enfermées dans des cages métalliques remonte à l’inspection nocturne d’une prison au plus fort d’une récente tempête hivernale.

Des enfants ont été découverts à l’extérieur, sous des températures glaciales, enfermés pendant des heures pendant la nuit suivant leur arrestation, en attendant d’être inculpés le lendemain matin.

« Pendant notre visite, laquelle se passait au cours d’une violente tempête qui a frappé le pays, les avocats ont rencontré des détenus qui leur ont décrit un tableau choquant : en pleine nuit, des dizaines de détenus sont transférés dans les cages métalliques construites à l’extérieur des installations carcérales de transit de l’IPS [Israël Prison Service] à Ramla », écrit le Défenseur Public dans son site web.

« Il apparaît que cette procédure consistant à faire attendre des prisonniers dans des cages à l’extérieur durait depuis de nombreux mois et elle a été avérée par d’autres responsables officiels ».

Le PCATI souligne que : « ne pas autoriser l’enfant ou le mineur arrêté à jouir pleinement de ses droits, notamment ne pas permettre un avocat ou un adulte accompagnant, au moment de l’arrestation et de l’interrogatoire, met l’enfant dans un état de désarroi, de détresse, et augmente la pression exercée sur l’enfant par les forces de sécurité en vue de parvenir à des aveux ou à des informations au cours de l’interrogatoire ».

Selon le PCATI, le seuil de « l’acte d’abuser » par Israël doit être abaissé quand il s’agit d’enfants. L’ONG croit par ailleurs qu’enfants et adultes ont droit à une réhabilitation. Le Comité estime aussi que les cas d’abus ont droit à bénéficier d’un examen exhaustif de leurs plaintes et d’être « accompagnés d’un représentant de leur choix quand ils témoignent devant un enquêteur israélien ».

Citant le rapport de 2013 par Defense of Children International (DCI-Palestine) et par Lawyers for Palestinian Human Rights (LPHR), le PACTI réaffirme que :


« Israël est la seule nation à poursuivre automatiquement et systématiquement des enfants devant des tribunaux militaires d’où sont absentes les garanties basiques et fondamentales pour un procès équitable ».

L’association de défense des droits humains estime que quelque 700 enfants palestiniens, dont certains n’ont que 12 ans, subissent chaque année le système de détention militaire israélien.

« La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire » selon les preuves collectées par Defence for Children International Palestine.

Il faut ajouter « qu’aucun enfant israélien n’entre en contact avec le système des tribunaux militaires ».

1er janvier 2014 – Russia Today

Article en français : http://french.irib.ir/component/k2/item/308795-«-des-enfa...

Titre original: Israël: “Des enfants dans des cages !”

 

Dossier Gaza

http://mounadil.files.wordpress.com/2012/11/ranan-youssef-arafat.jpg?w=450&h=299

 

http://www.internationalnews.fr/article-israel-des-enfants-dans-des-cages-121944948.html 

 

07/01/2014

ISRAEL. Manifestation monstre de migrants africains clandestins que l'on emprisonne ou que l'on fait travailler au noir !

Et si on regardait un peu ce qui se passe dans le pays « LE PLUS DEMOCRATIQUE » du Moyen-Orient au lieu de venir nous faire la leçon de morale sur notre territoire ?

ISRAEL. Manifestation monstre de migrants africains clandestins

Publié le 05-01-2014 à 16h13 - Mis à jour à 16h14

Le Nouvel Observateur avec AFP

Par Le Nouvel Observateur avec AFP

Entrés clandestinement en Israël, ils dénoncent le refus des autorités d'examiner leurs demandes d'asile et le placement de centaines d'entre eux en rétention.

Plus de 30.000 migrants africains manifestent à Tel-Aviv, le 5 janvier 2014. (AFP PHOTO / JACK GUEZ)

Plus de 30.000 migrants africains manifestent à Tel-Aviv, le 5 janvier 2014. (AFP PHOTO / JACK GUEZ)

Plus de 30.000 demandeurs d'asile africains entrés clandestinement en Israël ont manifesté dimanche 5 janvier à Tel-Aviv, selon la police, le plus grand rassemblement de ce type dans le pays.

"Plus de 30.000 manifestants ont défilé dans le calme à Tel-Aviv", a déclaré une porte-parole de la police, Louba Samri.

Massés sur la place Yitzhak Rabin, les manifestants dénonçaient le refus des autorités israéliennes d'examiner leurs demandes d'obtenir un statut de réfugié, ainsi que le placement en rétention de centaines d'entre eux.

"Nous sommes tous des réfugiés ! Oui à la liberté, non à la prison", ont-ils scandé en anglais, brandissant des drapeaux érythréens et éthiopiens avant d'écouter une série de discours.

Grève de 3 jours sur leurs lieux de travail

Soutenus par des militants israéliens, ces migrants ont également décrété une grève de trois jours sur leurs lieux de travail, en particulier dans la restauration et l'hôtellerie.

"Nous avons fui des persécutions, des dictatures, des guerres civiles, des génocides. Le gouvernement israélien doit étudier nos demandes d'asile et nous traiter comme des êtres humains", a déclaré Daoud, un Érythréen entré clandestinement en Israël il y a quatre ans. "Au lieu de nous considérer comme des réfugiés, le gouvernement israélien nous traite comme des criminels", a-t-il déploré.

Selon une loi votée le 10 décembre, les immigrés clandestins peuvent être placés jusqu'à un an en rétention sans procès.

Clôture électronique le long de la frontière avec l'Egypte

Un centre de rétention surnommé Holot a été ouvert en décembre dans le sud d'Israël. Il est ouvert pendant la journée, mais ses occupants doivent pointer à trois reprises et y passer la nuit. Destiné à accueillir 3.000 personnes, il peut être agrandi afin d'en recevoir près de 11.000.

Les autorités israéliennes estiment à 60.000 le nombre d'Africains entrés clandestinement et ont lancé en 2012 une campagne qui a abouti au départ ou à l'expulsion de 3.920 d'entre eux.

Parallèlement, Israël a achevé en 2013 la construction d'une clôture électronique le long des 230 km de frontière avec l'Egypte, ce qui a permis de réduire pratiquement à néant le nombre d'entrées illégales.

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140105.OBS1410/isr...

 

 

 

01:35 Publié dans Israël, Palestine, Colonisation, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

06/01/2014

TRES URGENT ! A l'attention des Avocats de Dieudonné qui est victime de 7 escroqueries aux Jugements pour antisémitisme en faveur de la LICRA !

A DIFFUSER LARGEMENT AUTOUR DE VOUS NOTAMMENT AUPRES DE DIEUDONNE ET DE SES AVOCATS !

Nous souhaitions attirer la particulière attention de DIEUDONNE et de ses Avocats, tant il est vrai que celui-ci est la victime de plusieurs escroqueries aux jugements dirigées à son encontre par la Licra et le Gouvernement Sioniste qui a signé encore l’un de ses nombreux forfaits, en le faisant condamner arbitrairement pour incitation à la haine raciale et pour tenir des propos antisémites  sur la base de la Loi GAYSSOT qui est une Loi inconstitutionnelle qui n’est pas passée au contrôle du Conseil Constitutionnel et qui n’a donc aucune valeur juridique pour être appliquée ni inapplicable !

ET C’EST SUR LA BASE DE TOUTES CES ESCROQUERIES QUE L’ETAT SIONISTE SE PERMET DE DETRUIRE UN HOMME PUBLIQUEMENT ET SON IMAGE PAR LE BIAIS DE LEUR LOBBY DE LA PRESSE AUX ORDRES ET QUE L’ON ESCROQUE UN PEUPLE TOUT ENTIER SUR LA BASE DE MENSONGES D’ETAT ?

ET EN PRIME ILS N’HESITENT PAS PAR VOIE DE PRESSE A APPELER A LA HAINE ET AU RACISME PAR LE BIAIS DE MANIFESTATIONS VISANT A EMPÊCHER LES SPECTACLES DE DIEUDONNE, FERMER SON THEÂTRE, SAISIR LES PREFETS POUR FAIRE ARRÊTER SES SPECTACLES ?

ARRETONS LE MASSACRE DE DIEUDONNE TOUS ENSEMBLE !

QUE FONT NOS GENERAUX ET NOS MILITAIRES, EN FRANCE, POUR NOUS LAISSER SUPPORTER CES MENSONGES ET LA DICTATURE QUI NOUS SONT IMPOSES DEPUIS DE TROP LONGUES ANNEES DÉJÀ !

NE SONT-ILS CAPABLES QUE D’ALLER TUER DES INNOCENTS CHEZ EUX AUX ORDRES DES CRIMINELS QUI NOUS GOUVERNENT ?

Où SONT NOS GENERAUX ET NOS MILITAIRES ?

QUE FAIT LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL ?

Est-il muselé ou menacé par le lobby Sioniste qui l’empêche de statuer sur la validité des Lois ?

En serions-nous réduits à ce point d’infiltrations, de menaces et de dictature au niveau des plus hautes instances de l’Etat ?

Ce n’est pas la première fois que nous constatons que des Lois n’ont pas été soumises au Contrôle du Conseil Constitutionnel pour être validées.

Il en est de même pour la Loi sur la Programmation Militaire qui aurait été publiée par Hollande le 19 décembre 2013.

En effet, La LOI GAYSSOT qui n’a pas été soumise au Contrôle du Conseil Constitutionnel, Dieudonné n’a jamais pu être condamné pour antisémitisme à l’appui d’une Loi qui n’a aucune valeur juridique ni constitutionnelle !

Mais en revanche, Dieudonné a le droit :

1 – de ne pas payer ses amendes pénales en invoquant l’inconstitutionnalité de la Loi GAYSSOT,
2 - de déposer une QPC ou Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil Constitutionnel pour faire réformer et annuler ses condamnations pénales,

3 – de déposer plainte à l’encontre de la Licra aux motifs de : « Calomnies, Diffamation, Escroqueries aux Jugements, Faux et Usages de Faux, Persécutions judiciaires, Menaces, et autres joyeusetés et motifs que ses avocats voudront bien viser dans ses plaintes !

4 – de demander le remboursement des dommages et intérêts qu’il a versés à La Licra ou auprès de tout autre organisme ou association qui l’aurait escroqué de ces sommes,

5  – de déposer plainte à l’encontre de Valls pour les motifs de : « Calomnies, Diffamation, Escroqueries aux Jugements, Faux et Usages de Faux, Persécutions judiciaires, Menaces, et autres joyeusetés et motifs que ses avocats voudront bien viser dans ses plaintes !

Nos sources juridiques :

La brillante analyse juridique établie par « Les avocats de la Ligue Judiciaire des Musulmans », dont nous saluons le talent, et que vous trouverez ci-dessous :

Ligue judiciaire des Musulmans.jpg

 

Par La Ligue Judiciaire des Musulmans

"Vue juridique de l'actualité de l'affaire Dieudonné"

La polémique concernant l'humoriste Dieudonné M'bala M'bala - dit Dieudonné - ne cesse d'enfler. Le Ministère de l'Intérieur, Manuel Valls, devrait adresser, dès demain, une circulaire à l'ensemble des préfets dont le but affiché est celui d'interdire les représentations de l'artiste, qui démarre une nouvelle tournée dès jeudi à Nantes. La candidate PS à la mairie de Paris demande - quant à elle - la fermeture du Théâtre parisien de la Main d'Or, tandis que Arno Klarsfeld appelle sciemment au "trouble à l’ordre public" jeudi afin d'empêcher les représentations de l'artiste.

Tout d'abord, concernant l'interdiction des spectacles - réunions publiques - souhaitée par le Ministère de l'Intérieur, il s'agit de préciser qu'au point de vue juridique aucune interdiction ne peut être prononcée avant une représentation, car le principe constitutionnel et conventionnel de liberté d'expression prévaut. En outre, les réunions publiques sont régies par la loi du 30 juin 1881 sur la liberté de réunion. Cette loi dispose notamment qu'elles 'ne peuvent être tenues sur la voie publique', 'ni se prolonger au-delà de 23 heures', mais indique avant tout qu'elles sont 'libres'. Cette liberté - à savoir la liberté de réunion - est fondamentale en droit français, et n'a pour seule limite que le trouble à l'ordre public, qui doit être dûment justifié. Dans le cas où un arrêté préfectoral ou municipal interdit un spectacle, le Tribunal administratif pourra être saisi en référé afin d'obtenir la suspension de cette mesure (référé-suspension de l'article L521-1 du Code de Justice Administrative), parallèlement à une action au fond en recours pour excès de pouvoir. Le juge estimera si l'interdiction est proportionnée ou non au risque de trouble à l'ordre public.

Ensuite, concernant les déclarations de la candidate PS à la Mairie de Paris, qui souhaite fermer le Théâtre de la Main d'Or, il convient de préciser, très simplement, que ce théâtre est un théâtre privé et, à ce titre, aucune autorité, si tant est municipale, ne saurait disposer des compétences afin d'obtenir la fermeture - du point de vue juridique - de ce théâtre.

Quant à celles d'Arno Klarsfeld, deux éléments, très simples, sont à relever. D'une part, appeler à troubler l'ordre public s'analyse juridiquement comme la provocation à l'attroupement. Le délit d'attroupement est prévu à l'article 431-3 du Code pénal aux termes duquel "Constitue un attroupement tout rassemblement de personnes sur la voie publique ou dans un lieu public susceptible de troubler l'ordre public". L'article 431-6 du Code pénal prévoit que "La provocation directe à un attroupement armé, manifeste soit par des cris ou discours publics, soit par des écrits affichés ou distribués, soit par tout autre moyen de transmission de l'écrit, de la parole ou de l'image, est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. Lorsque la provocation est suivie d'effet, la peine est portée à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende". Le Procureur de la République pourrait donc se saisir des déclarations d'Arno Klarsfeld, tout autant que le Bâtonnier de l'Ordre des avocats. D'autre part, Arno Klarsfeld étant avocat, inscrit au Barreau de Paris, il est soumis aux règles déontologiques à l'instar de l'ensemble du corps de cette profession. À ce titre, un avocat ne peut - quand bien même cela se ferait hors de son rôle professionnel - appeler les gens à l'émeute ou la rébellion.

Enfin, afin de conclure, intéressons nous à la loi Gayssot. La loi Gayssot est la désignation courante de la loi française no 90-615 du 13 juillet 1990, « tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe ». L'article 9 de cette loi introduit un article 24 bis dans la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse. Cet article qualifie de délit la contestation de l'existence des crimes contre l'humanité, tels que définis dans le statut du Tribunal militaire international de Nuremberg, qui ont été commis soit par les membres d'une organisation déclarée criminelle en application de ce statut soit par une personne reconnue coupable de tels crimes. La compatibilité de cette loi avec la liberté d'expression - à portée constitutionnelle (article 11 DDHC) et conventionnelle (article 10 CESDH) est contestable. Cette loi n'a jamais été soumise à un contrôle du Conseil Constitutionnel, ni dans le cadre d'un contrôle a priori, ni dans le cadre d'une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) - contrôle a posteriori. Or, la conformité à la Constitution de cette loi est sujet à discussion. Le Conseil Constitutionnel a déclaré, le 28 février 2012, la "loi visant à réprimer la contestation de l'existence des génocides reconnus par la loi" comme contraire à la Constitution. Le fondement de la censure résidait dans l'atteinte que porte en elle-même à la liberté d'expression et de communication l'incrimination de la contestation de l'existence et de la qualification juridique de crimes reconnus et qualifiés comme tel par la loi.

Dès lors, se pose la question de la constitutionnalité de la loi Gayssot, qui pourrait être tranchée par le biais d'une QPC de Dieudonné...

Karim ACHOUI et Samim BOLAKY
Président et membre de la LDJM

Ligue de Défense Judiciaire des Musulmans – LDJM
https://www.facebook.com/LigueDeDefenseJudiciaireDesMusul...

Karim Achoui : "La LDJM est la force judiciaire dont le combat contre l’islamophobie avait besoin"
http://oumma.com/20222/karim-achoui-ldjm-judiciaire-dont-...

 

 

 

01/01/2014

The Lab, le film qui dérange le régime sioniste d'Israël !

 Comment les sionistes dont l'économie n'est basée que sur l'économie de la guerre se servent des Palestiniens pour tester leurs armes et les vendre au monde entier  avec le label : "Armes testées" ! Bien évidemment sur le vivant de préférence palestinien !

Cela s'appelle comment en Droit ?

L'incitation à la haine raciale, l'antisémitisme ou des crimes de génocides organisés ?

 

Publiée le 22 déc. 2013

Ce film n'est pas encore sorti en Europe : il raconte comment le gouvernement d'Israël utilise la guerre contre les palestiniens pour inventer, utiliser et vendre des armes au monde entier. Cela fait froid dans le dos...

Il pose la question de manière très crue : Israël a t'il intérêt à faire la paix ?

Reportage à Lyon avec son réalisateur, Yotam Feldman qui ne laisse pas indifférent.

The Lab, le film qui dérange, le régime sioniste d'Israël !

http://www.youtube.com/watch?v=9jYOiozbjCk


 

Voici quelques échos de la projection du vendredi 13 décembre 2013 à lyon, en présence du réalisateur au Cinéma OPERA ainsi qu’une vidéo de Denis de Montgolfier.

Devant la salle pleine, après la projection du film documentaire, Yotam Feldman explique qu’il a eu beaucoup de difficultés pour réaliser ce film qui "dérange". Ce film qui est destiné d’abord à un public israélien a suscité des réactions violentes. Il explique qu’auparavant on pensait que l’occupation de la Cisjordanie représentait un coût pour Israël, mais en réalité, elle rapporte. Ce film montre comment la population palestinienne est utilisée pour tester les armes israéliennes.

Puis un débat a eu lieu entre la salle, Yotam et Patrice Bouveret de l’observatoire des armements.

Yotam explique qu’en Israël hommes politiques, militaires et marchands d’armes sont interchangeables. Les décisions d’attaquer les Palestiniens sont prises par des politiques qui ont des intérêts économiques directs. De ce point de vue Israël n’est pas intéressé à conclure la paix.

Il existe des organisations qui dénoncent le militarisme israélien, New profile,

Breaking the silence

… Comme le montre le film, les militaires sont partout et notamment à l’université.

Patrice Bouveret indique que les USA aident militairement Israël, et l’Europe également, notamment l’Allemagne qui a donné des sous-marins nucléaires qui permettent d’avoir une "seconde frappe".

Dans « The Lab », le réalisateur Yotam Feldman dévoile l’industrie militaire israélienne et son fonctionnement, il interviewe des protagonistes majeurs du marché israélien de la sécurité. Il développe sur le rôle de l’industrie au sein de la société et de l’économie israéliennes

Durant les dernières années les exportations militaires israéliennes ont atteint le niveau sans précédent de 7 milliards de dollars par an. 20% des exportations israéliennes sont militaires ou d’ordre militaire et Israël est maintenant le quatrième plus gros exportateur de matériel militaire.

L’industrie militaro-industrielle israélienne développe et teste de nouvelles armes. Les médecins palestiniens, en soignant les victimes d’attaques israéliennes, découvrent souvent de nouvelles types de blessures.

Yotam Feldman explique :

« Je pense que le principal produit que vendent les Israéliens, en particulier au cours de la dernière décennie, c’est l’expérience … le fait que les produits ont été testés : c’est la chose essentielle que les clients viennent acheter. Ils veulent le missile qui a été tiré dans la dernière opération à Gaza, ou le fusil utilisé lors du dernier raid en Cisjordanie » …

Un acteur clé du com­plexe militaro-​​industriel m’a dit que les tests opé­ra­tionnels effectués à Gaza sur le BMS d’Elbit lui a permis d’augmenter son prix de vente lors de la signature d’un contrat avec l’Australie un an plus tard …

Un vendeur de chez IAI (Indus­tries Aéro­spa­tiales Israé­liennes) m’a dit que les assas­sinats et autres opé­ra­tions à Gaza pro­voquent une crois­sance des ventes de l’entreprise.



07/04/2013

Israël : attaque informatique massive des Anonymous

Chose promise chose due !


Israël : attaque informatique massive des Anonymous

Publié le 07.04.2013, 11h19 | Mise à jour : 11h21

ILLUSTRATION. Israël subit actuellement une attaque informatique massive mais a pour l'instant réussi à limiter les dégâts grâce à une meilleure préparation qu'il y a un an, a assuré dimanche l'un des experts informatiques les plus reconnus du pays.

ILLUSTRATION. Israël subit actuellement une attaque informatique massive mais a pour l'instant réussi à limiter les dégâts grâce à une meilleure préparation qu'il y a un an, a assuré dimanche l'un des experts informatiques les plus reconnus du pays. | LP/FREDERIC DUGIT

 
Israël subit actuellement une attaque informatique massive mais a pour l'instant réussi à limiter les dégâts grâce à une meilleure préparation qu'il y a un an, a assuré dimanche l'un des experts informatiques les plus reconnus du pays. Le groupe de pirates informatiques Anonymous a annoncé samedi une grande attaque dimanche sur les sites internet israéliens, avec pour objectif d'«effacer Israël du cyber-espace», en solidarité avec le peuple palestinien.

Mais dimanche en fin de matinée, les dégâts étaient «plus ou moins inexistants», a assuré à la radio militaire le professeur Yitzhak ben Israël, fondateur d'un centre national contre la cybercriminalité qui dépend du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu. L'attaque a touché en particulier les sites du Premier ministre, des ministères de la Défense et de l'Education, ainsi que le Bureau central des statistiques, mais tous ces sites semblaient fonctionner normalement dimanche.

 
«Anonymous n'a pas la capacité, ni l'objectif, de détruire les infrastructures essentielles du pays. Si cela avait été le cas, il ne l'aurait pas annoncé à l'avance», a expliqué M. Ben Israël, estimant que le groupe cherchait plutôt à relancer le débat sur le conflit israélo-palestinien. «Le pays était bien mieux préparé qu'il y a un an, lors d'une vague d'attaques contre la Bourse et (la compagnie aérienne) El Al et d'autres sites. Cette fois-ci l'attaque est plus massive et plus intense, mais nous sommes mieux préparés», a-t-il insisté, en référence à une attaque début 2012.

Selon Guy Mizrahi, co-fondateur de Cyberia, une agence de consultants en protection de données, les sites internet israéliens subissent une «attaque importante» depuis plusieurs jours. «Hier (samedi), il y a eu une vraie tempête, pas mal de sites gouvernementaux piratés, avec des messages laissés sur certains et des données dérobées sur d'autres», a-t-il déclaré à la radio publique.

En novembre, le groupe Anonymous avait déjà lancé une attaque contre de nombreux sites israéliens, et affirmé avoir bloqué ou vidé près de 700 sites, pour protester contre l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza.

LeParisien.fr

http://www.leparisien.fr/high-tech/israel-attaque-informatique-massive-des-anonymous-07-04-2013-2704515.php