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25/11/2012

Appel aux juifs pour qu’ils renoncent au sionisme !

C'est une excellente idée !

Que tous les juifs qui sont contre le sionisme se mobilisent pour reprendre leur honneur et le cours de leur vie et de leur histoire !

Appel aux juifs pour qu’ils renoncent au sionisme !


Allô ! allô! Allô!
C’est un appel radio
L’appel de l’ombre
Allô! Allô !
C’est un rappel à l’ordre
Des braves et des justes
Un appel que j’adresse à tous les juifs
Pour qu’ils renoncent au sionisme
À l’impérialisme politique et pathologique
De leurs faux maîtres à penser
Qui n’ont jamais entendu parler
Des tables de la Loi… véritables
Je m’adresse aux juifs du monde entier
Pour qu’ils dénoncent l’iniquité
L’injustice et la cupidité de leurs dirigeants
Et qu’ils exigent la création immédiate
D’un État Palestinien contigu à un état Israélien
Pour laver leur judéité de tout soupçon
Et affirmer leur amour pour la paix et la fraternité
Allô ! allô! Allô!
Juifs du monde, vous m’entendez ?
Qu’est-ce que vous attendez pour vous dresser
Contre les faux- frères qui souillent votre nom, votre action et votre religion
Qu’est-ce que vous attendez pour rendre à Lazare ce qui appartient à Lazare…
Et à Dieu ce qui appartient à Dieu…
Pas d’Israéliens … sans Palestiniens
Main dans la main configurez aujourd’hui même ou demain
la création de deux états libres et divins.
Les mécréants ce sont tous ceux qui n’y croient pas ou vous empêchent d’y croire.
Allô ! allô! Allô!
Merde c’est le noir complet
J’ai dû déranger quelqu’un de très haut placé
J’ai été Copé !

Appel aux juifs

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=UB1UfahA7sw

 

http://www.lejournaldepersonne.com/2012/11/appel-aux-juifs/

04/11/2012

Quand le CRIF s'arroge le droit de réviser l'histoire de la Palestine et nie l'existence du génocide palestinien !

Il n'y a que la vérité qui blesse le CRIF !
Ensuite ils viendront nous dire qu'ils n'ont aucune influence sur les sphères médiatiques pour faire exercer leur censure !

Une insulte à notre intelligence et à notre mémoire sur la vraie histoire de la Palestine !
Il faut aussi nous manipuler pour nous faire renier le génocide Palestinien !
Nous rappelons que l'état sioniste d'Israël est un état privé qui appartient aux Rothschild et état sioniste qui n'existe que depuis mai 1948.

C
e qui prouve qu'avant cette date l'état sioniste d'Israël n'existait pas et que seule la Palestine existait.

Les sionistes ont donc colonisé ce pays et ont consenti dans leur grande magnanimité, à ne laisser aux Palestiniens que la bande de Gaza transformée en véritable prison de ce peuple colonisé et martyrisé depuis plusieurs décennies.

Une honte pour nous tous, de laisser faire cela !
Mais là, la communauté internationale criminelle ne bouge pas le petit doigt !

Histoire d'Israël : ICI


La Vérité sur La Création de l'État d'Israël !
http://www.youtube.com/watch?v=yqc3ouQnHgM

Voici, ce que pense le CRIF d'une chanson écrite en faveur de la libération du Peuple Palestinien.

Tout simplement scandaleux !

Nous vous laissons juger par vous-mêmes de cette arrogance et de l'insulte faite à notre intelligence.

Et encore une fois, nous ne confondons les juifs avec les sionistes.


LE CRIF EN ACTION Publié le 15 Octobre 2012:

Une chanson qui risque de promouvoir la haine d’Israël chez les jeunes

Richard Prasquier a adressé une lettre à Rémy Pfimlin, président de France Télévisions, à propos de la nouvelle chanson du groupe Zelda « Une vie de moins ». Nous publierons cette lettre dans une prochaine newsletter.

Ci-après une tribune de Maître Bertrand Ramas-Mulhbach sur ce sujet, suivie du vidéo-clip édifiant de la chanson.

« Les jeunes Français (peu intéressés par la politique en général et encore moins par la situation au Moyen-Orient, mais amateur de Zebda) sont maintenant prêts pour haïr Israël, cet État injuste, meurtrier et illégal »

Le 7 octobre 2012, le groupe Zebda a diffusé en avant-première, le clip de sa nouvelle chanson intitulée « une vie de moins », écrit par Jean Pierre Filiu, spécialiste (s'il en est) du monde de l'Islam. Cette collaboration entre les chanteurs toulousains (qui n'ont jamais caché leur militantisme pro palestinien) et le Professeur de Sciences politiques arabisant a permis la réalisation d’un produit de propagande anti-israélienne tout à fait hallucinant. Dans le clip, présenté sous la forme d'un dessin animé, Israël est montré comme enfermant les Palestiniens qui ne demandent qu'à jouir d’une vie normale, libérée de l’angoisse permanente et des menaces militaires israéliennes. De leur côté, les Palestiniens apparaissent sous un côté attachant, émouvant, généreux, en grande souffrance, avec une jeunesse en manque de dignité, de sécurité et de paix.

Le premier symbole auquel s’attaque la chanson est la valeur supérieure de la vie dans le judaïsme avec le titre, « Une vie de moins », qui suggère le peu de cas que les Israéliens feraient de la vie des Palestiniens (comme si une vie de plus ou de moins ne changeait pas véritablement la donne). Ce titre désacralise ainsi l’un des principes fondamentaux du judaïsme en vertu duquel « Celui qui tue un homme tue toute l’humanité ».

La chanson et le clip dressent le parcours de vie d’un jeune palestinien depuis sa naissance, où il ne comprend pas les conditions de son existence, jusqu'à sa mort survenant dans des conditions tout à fait absurdes. « Je suis né dans un pays qui n’existe pas, je suis né sur une terre qui n’est plus à moi, une terre occupée, une terre piétinée, une terre autonome sur le papier ». Le clip débute alors avec l'image d'une colombe qui vole sur la mer (symbole de l’aspiration à la paix et à la liberté des Palestiniens) avec le premier couplet qui se termine sur les images des barbelés et du mur de séparation (symbole de l’emprisonnement des Palestiniens par Israël). Bien que Jean Pierre Filiu soit réputé pour ses connaissances du monde arabe, les paroles de la chanson n’en sont pas moins éminemment mensongères. S’agissant de la propriété sur la terre, il oublie que les Palestiniens de la bande de Gaza sont les descendants des philistins, ce peuple de la mer venu s’établir (pour ne pas dire occuper) la terre de Canaan, après leurs déconvenues avec les Égyptiens. De même, il parle d'occupation, alors que plus aucun juif ne réside sur la bande de Gaza. Enfin, au regard de l'autonomie, il est regrettable que Jean Pierre Filiu n’ait pas suggéré aux Palestiniens de créer « l’État palestinien de la bande de Gaza » dans la mesure où ils y exercent un contrôle exclusif, qu'ils disposent d’un gouvernement, d’institutions (« la charia »), d'une philosophie (la destruction de l'entité sioniste) d’une police, d’une justice (expéditive) et d’un budget alloué par la communauté internationale et abondé par les taxes reversées par Israël. Une partie du problème dénoncé dans ce couplet serait réglée.

Dans le couplet suivant, l’enfant palestinien explique être né sous les « youyous et les cris de joie, dans un camp beaucoup trop étroit avec la mer comme frontière, comme sanctuaire pour lui faire oublier les colons, le blocus et la misère ». Il est intéressant sur ce point de rappeler que les camps de réfugiés de la bande de Gaza sont maintenus pour des raisons uniquement « financières » puisque les Palestiniens sont indépendants sur ce territoire : ils sont donc réfugiés chez eux. Par ailleurs, en évoquant les « colons », Jean Pierre Filiu ne semble pas informé de l’opération menée au cours du mois d’août 2005, par Ariel Sharon qui a chassé tous les juifs qui s’y étaient établis (une documentation abondante traite toutefois de la question). Pour ce qu'il en est de la misère, c’est un problème de gestion. Si l’argent est employé à l’acquisition des armes, à la propagande télévisée anti israélienne, et plus généralement à la culture de la haine contre les juifs dans les camps d’entrainement ou les camps d’été pour les jeunes, il ne peut plus l'être pour faire fleurir la société. (LPM : Mais bien sûr !)

Dans le couplet suivant, le jeune Palestinien explique avoir grandi « au son du récit de l’exil » (alors qu'il vit sur sa terre), « au creux des lits suspendus à un fil » (c'est un mode de vie culturel), « à l’espoir tenace dans l’impasse », mais qu’un jour, « la tête haute, les Palestiniens auront leur passé…» (Les Palestiniens sont nés en tant que peuple avec la Charte de l'OLP de 1968. Il est donc encore un peu tôt pour avoir du recul sur leur histoire). L’enfant palestinien développe ensuite avoir « grandi trop vite, entre le deuil et l’oubli » (puisque les Israéliens tuent et que la communauté internationale se contre fiche de leur problème), mais qu’il garde l’espoir de devenir quelqu’un : « le sable chaud sous mes pas me portait vers l’au-delà. Je serai si grand et si fort qu’on ne verra que moi ». (À ce stade de la chanson, on ne peut que lui souhaiter de réussir sa vie et de ne pas la finir en martyr, entouré d’une bombe confectionnée par le Hamas).

Dans le couplet suivant, le jeune Palestinien explique l’enfer de la prison « j’ai vécu sans jamais sortir » (il ne doit pas savoir naviguer, ni où se trouvent le passage vers l'Égypte, voire, l'emplacement des tunnels). Cette séquestration est encore appuyée avec la référence « de jour en jour, sans remords ni soupirs, malgré les barbelés, le couvre-feu, les blessés ». On ne sait pas bien de quel couvre-feu il s’agit, mais cette référence tend à montrer l’existence d’une présence militaire israélienne sur la bande de Gaza, ce qui est encore faux. Il précise alors «avoir chéri au fond de lui le rêve d’en partir » pendant que le clip montre une petite fille qui s’envole, accrochée à des ballons gonflés à l’hélium, qui seront crevés par une aiguille dans le ciel, avant que la fillette ne s'écrase sur le sol.

La ferveur des Palestiniens, pacifiques et inoffensifs, est alors illustrée par sa participation « aux vagues humaines de l’intifada » (rassemblement pacifique des Palestiniens) avec les « drapeaux portés à bout de bras » (ce ne sont pas des armes) à l’occasion desquels « nous chantions à plein poumon notre passion » (les Palestiniens s’expriment par des chants) tandis qu’« au-dessus de nous, paradaient leurs avions » (les mirages qui contrôlent les faits et gestes des Palestiniens).

Bien évidemment, ce jeune palestinien va être tué dans des conditions dramatiquement injustes : « je suis mort d’une balle perdue » (comble de l’absurdité). Puis, le jeune Palestinien insiste « je suis mort assassiné par un homme inconnu » (on ne saura jamais qui), « un homme qui croyait faire son devoir » (les Israéliens sont aussi méchants que stupides puisqu’ils tuent dans le cadre d’un devoir), « en tirant dans le brouillard » (sur n’importe qui, sans savoir), « sur des ombres ennemies aux armes dérisoires » (l’adversaire n’est pas armé). Le clip montre ensuite des Palestiniens qui tombent les uns après les autres, sous les balles israéliennes alors que la chanson se poursuit : « je suis comme d’autres, mille autres, et mille et mille avant », telle une hécatombe, un génocide…

La mort du jeune palestinien « un soir de Ramadan » laisse entendre que la Palestine est occupée (puisque terre d’Islam), avant que la chanson ne conclue sur les modestes, mais légitimes motivations du jeune palestinien : « je ne voulais que vivre libre »... Les jeunes Français (peu intéressés par la politique en général et encore moins par la situation au Moyen-Orient, mais amateur de Zebda) sont maintenant prêts pour haïr Israël, cet État injuste, meurtrier et illégal. Pour Jean Pierre Filiu, spécialiste du monde arabe, ce n’est pas très fort.

Source: http://lessakele.over-blog.fr/article-une-chanson-pour-pr...

La chanson de Zebda - Une vie de moins
http://www.youtube.com/watch?v=fDGR_1gYFtM&feature=pl...


http://www.crif.org/fr/lecrifenaction/une-chanson-qui-ris...

05/10/2012

Un prêtre syrien écrit à Hollande

Lisez les commentaires sous l'article pour avoir l'avis de français sur cette lettre.


Un prêtre syrien écrit à Hollande

Je nourrissais le vague espoir de voir définitivement tournée, la politique de cirque de votre burlesque prédécesseur. À vous écouter, je me suis rapidement surpris à m’interroger sur le bienfondé de mon attente. Il m’a fallu vite déchanter. Je restais ébahi devant votre visage bon enfant, pendant que vous vous permettiez de prononcer des jugements péremptoires, sur tout et sur tous, sans la moindre nuance, ni hésitation.

Mais quand je vous ai entendu parler de la Syrie et de son président, j’ai bien cru entendre la voix même des Maîtres qui vous ont juché sur ce premier poste de France, dans l’unique but de mener à bien le projet de destruction de la Syrie, que votre prédécesseur a été incapable de conduire jusqu’au bout.

Pour une première à la Télévision, c’en était bien une ! Je vous attends de pied ferme, lors des tout proches désenchantements des français. Pour ma part, vieux connaisseur de la France et des français, je me suis surpris à me dire : quelle dégringolade, depuis le départ du Général de Gaulle !

Mr le Président, Avant de poursuivre, il est une coïncidence historique que je me dois de vous signaler, et que vous ignoriez sans aucun doute. Sinon vous auriez évité de vous laisser interviewer, un 29 Mai ! En effet, il est un autre 29 Mai, au cours duquel la France s’est misérablement déshonorée.

C’était en 1945. En ce jour même, la France « mandataire », s’est permis de bombarder le Parlement Syrien à Damas, pour, ensuite, laisser ses soldats noirs, assassiner les 29 gendarmes, en poste, dans ce haut-lieu de la démocratie. Le saviez-vous ?

Mr le Président, N’est-il pas temps, pour la France, et, donc, pour vous-même, de réfléchir pour de bon sur cette ignoble politique qui, depuis 1916, année des accords aussi secrets que honteux, appelés depuis « Accords Sykes-Picot », la conduit sur les ordres du Sionisme, à détruire la Syrie et le Monde Arabe ? N’y avait-il de clairvoyant et de noble, dans toute la France d’alors, que Mr Aristide Briand, ministre des Affaires étrangères, pour avoir donné à votre Consul Général à Beyrouth, Mr Georges Picot, en date du 2 Novembre 1915, en prévision de ces accords, cette consigne claire et perspicace : « Que la Syrie ne soit pas un pays étriqué… Il lui faut une large frontière, faisant d’elle une dépendance pouvant se suffire à elle-même ? »

Pour une Syrie « se suffisant à elle-même », et telle que l’avait, déjà, tracée, en 1910, une carte géographique émanant de ce même ministère des Affaires étrangères, vous devez savoir ce qu’il en fut, après qu’elle fût amputée, au Nord-Ouest de la Cilicie, au Nord-Est de la région de Mardine, dans ce qui est l’Irak actuel, de Mossoul, à l’Ouest du Liban, au Sud de la Jordanie et de la Palestine, pour être décapitée, en 1939, d’Antioche et du golfe d’Alexandrette, offerts en cadeaux à la Turquie !

Mr le Président, Il est aussi une question capitale, que je me dois, en tant que citoyen arabe de Syrie, de vous poser, ainsi qu’à tous les « leaders » occidentaux : « Pourquoi vous faut-il systématiquement assassiner les peuples arabes et musulmans ? »

Vous l’avez déjà fait en dressant, entre 1980-90, l’Irak contre l’Iran, cet Irak, dont le malheureux Saddam Houssein se faisait traiter de « Grand ami », tant par Donald Rumsfeld que par Jacques Chirac ! Ce fut aussitôt après, le guet-apens du Koweït, entraînant la guerre contre l’Irak, suivi d’un blocus de (13) ans, qui a causé à lui seul, d’après les rapports américains mêmes, la mort de 1.500.000 enfants irakiens ! Ce fut ensuite la chevaleresque « guerre contre le terrorisme »… en Afghanistan ! Aussitôt suivie d’une nouvelle guerre contre l’Irak.

Quant à l’immortelle épopée de l’OTAN, en Lybie, conduite par « le général-philosophe », Bernard Henri Lévy, elle vint, à nouveau, compléter ces horreurs, sous prétexte de protection des droits de l’homme ! Et voici que, depuis 15 mois, tout l’Occident s’acharne contre la Syrie, oubliant une infinité de problèmes très graves, à commencer par le Conflit israélo-arabe, qui menacent, réellement, la survie de l’humanité !

Or, toutes ces tragiques politiques occidentales, vous les pratiquez sans honte et sans vergogne, sous couvert de tous les mensonges, de toutes les duplicités, de toutes les lâchetés, de toutes les contorsions aux Lois et Conventions Internationales. Vous y avez en outre engagé ces Instances Internationales, que sont les Nations-Unies, le Conseil de Sécurité et le Conseil des droits de l’homme, alors qu’elles n’ont existé que pour régir le monde entier vers plus de justice et de paix !

Seriez-vous donc, en Occident, en train de nourrir l’espoir stupide de mettre fin de cette façon à l’Islam ? Vos savants et vos chercheurs ne vous ont-ils pas fait comprendre que vous ne faites que provoquer un Islam outrancier, que vous vous obstinez d’ailleurs à financer, à armer et à lâcher avec nombre de vos officiers, un peu partout dans les pays arabes, et surtout en Syrie ? Ne vous rendez-vous pas compte que ce faux Islam se retournera, tôt ou tard, contre vous, au coeur de vos capitales, villes et campagnes ?

Pour tout cela, laissez-moi vous rappeler, moi simple citoyen de Syrie, que cet Islam que vous armez et dressez contre le Monde Arabe, en général, et la Syrie, en particulier, n’a rien à voir avec le véritable Islam, celui-là même que la Syrie a connu, lors de la Conquête arabe, ainsi que l’Égypte et, enfin, l’Espagne. Faut-il vous rappeler que les historiens occidentaux, dont des historiens juifs, ont dû reconnaître que l’Islam conquérant s’est révélé être le plus tolérant des conquérants ?

Ou ne seriez-vous, leaders occidentaux, dans vos différents pays, repus d’opulence et de « grandeur », que les vils exécuteurs des projets sionistes, depuis ces fameux Accords Sykes-Picot, et l’ignominieuse « Promesse Balfour », jusqu’à ce jour, et pour longtemps, semble-t-il, toujours empressés d’apporter à Israël, tous les soutiens possibles, connus et secrets, à tous les niveaux, aussi bien politiques et diplomatiques, que militaires, financiers et médiatiques ?

Oui, pourquoi vous faut-il assassiner et détruire des peuples entiers, pour qu’Israel, seul, puisse enfin vivre et survivre ? Est-ce de la sorte que vous cherchez à réparer votre terrible complexe de culpabilité vis-àvis des juifs, dû à un antisémitisme plus que millénaire et proprement occidental ? Vous faut-il le faire au prix de l’existence même de ces peuples arabes et musulmans, au milieu desquels les juifs avaient mené une vie quasi normale, faite de cordialité, voire, de riche collaboration ?

Si mes interrogations vous paraissent exagérées ou outrancières, permettez-moi de vous prier de lire ce qu’ont écrit sur l’emprise du Sionisme aux États-Unis, des hommes comme John Kennedy et Jimmy Carter, et des chercheurs courageux et connus, comme Paul Findley, Robert Dole, David Duke, Edward Tivnan, John Meirsheimer, Stephen Walt, Franklin Lamb, et surtout Noam Chomsky.

Pour ce qui concerne l’emprise du Sionisme en Europe, je m’en tiens aujourd’hui à la France seule. Vu la responsabilité qui est la vôtre, vous est-il permis d’oublier ou d’ignorer ce qu’ont, si courageusement, écrit : Roger Garaudy, Emile Vlajki, Pierre Leconte, Régis Debray, et surtout les juifs Michel Warshawsky, Stéphane Hessel, Serge Grossvak et le Professeur André Noushi ?

Si par impossible, tous ces noms ne vous disaient rien, laissez-moi vous rappeler quelques noms si connus en Israël même, qu’il serait malhonnête de les ignorer et d’ignorer ce qu’ils ont osé dire depuis quarante, voire, cinquante ans, et certains bien avant la « création » d’Israël : Martin Buber, Albert Einstein, Yshayahou Leibowitz, Israël Shahak, Susan Nathan, Tanya Rheinhart.

Pour finir, laissez-moi vous rappeler un texte trop connu pour passer inaperçu. Il date du mois de février 1982. À lui seul, il constitue et condense l’implacable dictat sioniste, imposé depuis des dizaines d’années, à toute la politique occidentale. Il a paru dans la revue sioniste « Kivounim », publiée à Jérusalem. Il s’agit d’un article intitulé « Stratégie d’Israël dans les années 1980 », et il porte la signature de Mr Oded Yinon. Je me contente d’en citer un seul paragraphe, reproduit (p.62) dans un livre récent, intitulé « Quand la Syrie s’éveillera… », paru, à Paris, chez Perrin, en 2011. Ses auteurs sont Richard Labévière et Talal El-Atrache. On y lit textuellement :

« La décomposition du Liban en cinq provinces, préfigure le sort qui attend le monde arabe tout entier, y compris l’Égypte, la Syrie, l’Irak et toute la péninsule Arabe. Au Liban, c’est un fait accompli. La désintégration de la Syrie et de l’Irak en provinces ethniquement ou religieusement homogènes, comme au Liban, est l’objectif prioritaire d’Israël, à long terme, sur son front est ; à court terme, l’objectif est la dissolution militaire de ces États. La Syrie va se diviser en plusieurs États, suivant les communautés ethniques, de telle sorte que la côte deviendra un État alaouite chi’ite ; la région d’Alep un État sunnite ; à Damas, un autre État sunnite hostile à son voisin du nord ; les druzes constitueront leur propre État, qui s’étendra sur notre Golan peut-être, et en tout cas dans le Hourân et en Jordanie du Nord. Cet État garantira la paix et la sécurité dans la région, à long terme : c’est un objectif qui est maintenant à notre portée ».

Mr le Président, Pour finir, laissez-moi vous prier vivement de chercher à vous rendre personnellement compte, de tout ce dossier, et à mesurer la responsabilité que vous y assumez, avant qu’il ne soit trop tard.

Un ami, prêtre français, fin connaisseur de la Syrie, le Père Jean-Paul Devedeux, vient de vous écrire en ce jour même. Sa lettre est une invitation pressante qu’il vous adresse, pour une meilleure connaissance des Arabes, en général, et de la Syrie, en particulier. L’enjeu est de taille.

Veuillez, donc, vous libérer du « rôle » que vous êtes en droit de rechercher, et, surtout, de celui que l’on cherche, immanquablement, à vous imposer.

La Syrie, « seconde patrie de tout homme civilisé » comme l’a si bien dit votre grand savant « André Parot », et terreau de toutes les civilisations, mérite une visite. Elle ne manquera pas de vous étonner, et même de vous captiver. Ayez le courage de la connaître de près. Vous en reviendrez porteur d’un projet de politique nouvelle, clairvoyante et juste, faite d’équilibre humain, qui repose sur les droits et devoirs de TOUS, à l’égard de TOUS ! La vie, la liberté et la dignité sont, pour TOUS !

Nouveau Président de la France, Je vous souhaite d’en prendre l’initiative. Vous n’y serez pas perdant autant que vous l’êtes, en ce moment, et moins que vous le serez demain, si vous vous défilez !

Mr le Président, En vous confiant cet espoir, je vous dis mon respect.

Pr. Elias ZAHLAOUI Église Notre-Dame de Damas Koussour – Damas

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-pretre-syrien-ec...


Les Juifs anti-sionistes soutiennent… l’Iran ! Evidemment !

Rencontre entre M. Ahmadinejad et des juifs antisionistes à New-York après sa dernière intervention à l'ONU.


Vidéo avec la traduction en français.

 

Rencontre entre M. Ahmadinejad et des juifs antisionistes

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...



04/10/2012

« L’art de la guerre » La ligne noire de Netanyahu

L'art pour l'entité sioniste de nous prendre pour des débiles mentaux et des antisémites lorsque nous exigeons la Paix Mondiale !



Quand le ridicule ne tue pas !

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« L’art de la guerre »

La ligne noire de Netanyahu


Le Premier ministre israélien a voulu frapper les esprits en brandissant un dessin naïf à la tribune de l’ONU, le 27 septembre, pour accuser l’Iran de préparer une bombe atomique. Mais ce procédé semble se retourner contre lui : il a surtout manifesté la vacuité de son argumentation et rappelé à tous qu’il avait beaucoup à cacher.

Réseau Voltaire | Rome (Italie) | 4 octobre 2012

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Nous savons maintenant comment sera la bombe nucléaire iranienne : une boule avec la mèche allumée, comme celle des bandes dessinées pour enfants. Le Premier ministre israélien Netanyahu l’a montrée avec un dessin, à l’Assemblée générale de l’Onu et, comme un maître d’école maternelle, il a sorti un feutre et il a tracé sur la bombe une belle ligne rouge. Ici, a-t-il expliqué, doit être arrêté « le plus dangereux régime terroriste du monde  », l’iranien, « avant qu’il ne porte à terme l’enrichissement nucléaire nécessaire pour fabriquer une bombe ».

Un tout autre cadre aurait dû être présenté à l’ONU : celui du puissant arsenal nucléaire israélien, entouré de la ligne noire du secret et de l’omertà. Selon Jane’s Defense Weekly, Israël — la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient — possède de 100 à 300 têtes nucléaires, prêtes au lancement sur des missiles balistiques qui, avec le Jericho 3, atteignent une portée de 8 à 9 000 km. L’Allemagne a fourni à Israël (sous forme de don ou à prix réduits) quatre sous-marins Dolphin modifiés : dans chacun d’eux, aux six tubes de lancement de missiles de croisière à courte portée en ont été ajoutés quatre pour les Popeye Turbo, des missiles nucléaires de 1 500 km de portée. Les sous-marins israéliens Made in Germany, silencieux et pouvant rester en immersion pendant une semaine, croisent en Méditerranée orientale, en Mer Rouge et dans le Golfe Persique, prêts 24 heures sur 24 à l’attaque nucléaire. Les États-Unis, qui ont déjà fourni à Israël plus de 350 chasseurs-bombardiers F-16 et F-15, se sont engagés à leur fournir au moins 75 chasseurs F-35, eux aussi à double capacité nucléaire et conventionnelle. Le Pentagone, qui garde secrets les codes d’accès au software du F-35 même avec les pays (comme l’Italie) qui participent à sa construction, les fournira par contre à Israël pour qu’il puisse intégrer le F-35 dans ses propres systèmes de guerre électronique. Il donnera en outre la priorité à l’entraînement des pilotes israéliens, en les préparant à l’attaque nucléaire avec ces chasseurs de cinquième génération.

Israël, qui à la différence de l’Iran refuse le Traité de non-prolifération, n’admet pas qu’il possède un arsenal nucléaire (dont l’existence est reconnue par l’Agence internationale pour l’énergie atomique), mais laisse entendre de façon menaçante qu’il l’a et qu’il peut s’en servir. Il refuse ainsi de participer à la Conférence pour la création au Moyen-Orient d’une zone sans armes nucléaires, ordonnée par l’ONU, à laquelle l’Iran a par contre adhéré.

Pendant ce temps, Israël, qui selon le Sipri a produit jusqu’en 2011 690 à 950 kg de plutonium, continue à en produire en quantité suffisante pour fabriquer chaque année 10 à 15 bombes de la puissance de celle de Nagasaki. Il produit certainement aussi du tritium, un gaz radioactif avec lequel il fabrique des armes nucléaires de nouvelle génération. Parmi lesquelles des mini-nukes, à utiliser dans un théâtre guerrier réduit, et des armes neutroniques, qui provoquent une contamination radioactive mineure, mais une létalité plus élevée à cause de leur forte émission de neutrons rapides : les plus adaptées contre des objectifs peu distants d’Israël.

Les États arabes de l’AIEA, qui avaient préparé une résolution sur « Les capacités nucléaires israéliennes », en ont, sous la pression des USA, renvoyé la présentation en 2013.

Tandis que la mèche de la bombe, pas l’iranienne de la bande dessinée mais la vraie d’Israël, peut être allumée à tout moment.

Traduction
Marie-Ange Patrizio

Source
Il Manifesto (Italie)

http://www.voltairenet.org/article176117.html