10/01/2015
Comment un conflit inter-ethnique en France permettra une prise de pouvoir communautaire
Comment un conflit inter-ethnique en France permettra une prise de pouvoir communautaire
jeudi 8 janvier 20
La plupart des gens lucides et intellectuellement honnêtes sont dorénavant capables d’accepter l’idée que les événements du 11 septembre 2001 ont été commandités par le Mossad et la CIA, que la politique extérieure française est décidée et mise en œuvre par des sayanim (agents de pression) israéliens comme Bernard-Henri Lévy, corroborée par les crypto-sionistes ou initiés politiques comme François Hollande, Moscovici, Fabius, Valls, Copé. Le tout est vendu à l’opinion publique par la presse de propagande sioniste désormais en place sur tous les médias, ne trouvant que quelques voix dissidentes sur Internet. Si l’on a pu croire que la crise systémique économique était une fatalité depuis 2002, les décisions aberrantes prises en 2008 prouvent sans ambiguïté qu’une crise majeure économique est délibérément voulue et délibérément organisée par les banques supra-étatiques comme Goldman Sachs et de la Réserve « fédérale » américaine.
En parallèle, les pays européens ont perdu totalement – par voie parlementaire contre l’avis exprimé par référendum du peuple – tout pouvoir législatif, judiciaire, budgétaire au profit d’institutions européennes douteuses, si ce n’est non élues. Le Nouvel ordre mondial sioniste en place en Israël et aux Etats-Unis s’étend donc doucement mais sûrement à l’Europe suivant les discours publics, déjà anciens, prononcés par les Rockefeller et Rothschild.
Cependant, personne ne semble réaliser clairement, qu’au-delà de ces grandes instances décisionnaires et financières, existe un réseau d’anonymes communautaires disséminé dans nos villes et nos campagnes, soudé à l’extrême, qui prépare jours après jours le terrain pour la réalisation de ce « Nouvel ordre mondial communautaire ». Même les plus informés des citoyens rechignent à croire que le nouvel ordre mondial n’est pas qu’une question d’hyper classe politique et financière, mais bien un question de prise de pouvoir anonyme dans un effort communautaire. On peut, soit penser que ce tissu communautaire est un moindre mal pour diriger l’humanité, soit penser qu’il s’agit d’une malédiction pour l’humanité. On peut se dire qu’il s’agit d’un bienfait ou d’une horreur absolue. Quoiqu’il en soit, là est désormais le seul clivage sérieux – conscient ou inconscient – qui demeure dans nos sociétés : accepté-je que ma destinée soit régie par le sionisme ou n’accepté-je pas le sionisme comme maître de ma destinée collective ? Chacun doit faire ce choix, chacun doit trancher cette unique et ultime décision.
Le problème étant que le pouvoir sioniste occulte ne dit jamais son nom et ne se présente jamais comme sioniste. Ses moyens et ses lignes directrices sont largement ignorés de tous. Beaucoup se doutent bien de l’impact du sionisme sur notre quotidien, mais pensent encore qu’il s’agit d’un moindre mal. Ceux-là sont dans une molle approbation. Si ce sont des petits « ducs » de province, insérés dans le milieu bourgeois pseudo-intellectuel citant Sartre pour la forme, ils peuvent d’ailleurs être récupérés dans cette ambiance de gouvernance secrète, en entrant dans la franc-maçonnerie des bas degrés. Tous les pouvoirs, tous les centres décisionnels privés et publics en Occident sont désormais entre des mains sionistes ou plus rarement d’affiliés soumis à l’ordre sioniste. Plus personne ne devrait ignorer la réalité de la prise de pouvoir sioniste et les moyens qu’elle utilise. Tout le monde devrait faire son choix en son âme et conscience. Mais pour cela, encore faut-il avoir pleinement connaissance de ceux qui nous dirigent actuellement. Or la plupart des gens sont dans une ignorance totale des méthodes sionistes de conquête et de subversion.
Pour les non-communautaires comme moi, et vous sans-doute, le choix est simple : soit vous cautionnez par votre silence ce nouveau mode de contrôle de la société – au fonctionnement anonyme et opaque où certaines vies humaines sont bafouées – ou vous les dénoncez car vous craignez que la prise de pouvoir sioniste totale ne s’arrête pas là, mais qu’elle évolue vers des plans d’une autre envergure – un mariage entre communisme et capitalisme sous férule sioniste. Ce serait l’épisode suivant de ce qui aurait été entrepris en URSS. (Ce qui s’est soldé par la mort de millions de Russes dans les camps aux mains de cinquante concentrationnaires tous Juifs : Kaganovitch, Yagoda, Frenkel, Jejoff, Rappaport, Abramovici, Ouritski, Firine, Apetter…). Tout me porte à croire, que vous réaliserez bientôt l’étendue de l’effroyable imposture et de la guerre quotidienne de l’information encore dissimulée dont vous êtes les victimes. Dès lors, soit vous commencerez à vous rebeller contre l’ordre sioniste et affilié, soit vous fuirez à l’étranger, car bientôt, il ne sera plus possible de croire que nous vivons des « temps modernes infiniment raffinés », où la mentalité sioniste ne serait plus capable de provoquer des morts par millions comme elle l’a fait au siècle dernier en promulguant et finançant deux guerres ainsi que les Goulags de l’URSS.
Ce livre prétend briser la spirale du fonctionnement communautaire secret à l’échelle quotidienne qui permet de contrôler et surveiller le peuple. Ce secret devient de plus en plus difficile à maintenir pour les sionistes et affiliés, ce qui se traduit par l’apparition de phénomènes ciblés d’élimination ou d’empoisonnement psychique des acteurs de la dénonciation comme moi, comparable à ce qui a été utilisé contre les dissidents Russes comme Soljenitsyne. Il ne sera bientôt plus possible aux sionistes et affiliés de maintenir ce secret. Car l’éveil des consciences est là. Cet éveil est sensible chez les vingtenaires même si la jeunesse – porteuse naturelle d’espoir – se disperse encore un peu dans les activités de son âge, ce qui atténue la colère. Cet éveil est virulent chez les trentenaires déclassés socialement par rapport à ce que leur intelligence devrait leur permettre si le manque de soumission à l’ordre sioniste ne les tuait pas définitivement de manière occulte, lors d’opérations indignes, anonymes sionistes.
Cet éveil ne concerne cependant pas encore les couches populaires. Ces couches n’ont plus les moyens intellectuels de se figurer le monde tel qu’il est. Et si ces classes populaires s’éveillent, ce sera de toute manière, dans une bestialité guidée par des clivages accessibles à leur faible intellect – principalement un clivage ethnique. Malheureusement, les sionistes dirigeront cet éveil bestial des classes populaire à leur avantage en opposant – sur un clivage ethnique – les caucasiens de souche à faible intellect aux immigrés africains (qui ont déjà naturellement tendance au repli communautaire ethnique). Les sionistes seront les grands vainqueurs de ce pugilat interethnique qu’ils se seront efforcés de créer depuis 40 ans sous un paravent droit-de-l’hommiste et d’immigration dite « économique » – c’est pour dire que le plan de neutralisation de l’Europe par le biais ethnique a été décidé depuis très longtemps dans les hautes instances Juives de ce monde.
Les voix pacifiques (comme l’association Egalité et réconciliation de l’intellectuel dissident Alain Soral) seront bientôt impuissantes pour informer le peuple de base de cette machination ; elles seront entraînées qu’elles le veuillent ou non dans cet affrontement ethnique sanglant ; d’autant plus sanglant que des mercenaires payés par les sionistes et affiliés seront déployés en Europe comme ils l’ont été en Libye ou en Syrie pour mettre le feu aux poudres et perpétrer des attentats sous faux drapeaux pour que les deux côtés s’accusent mutuellement et s’entretuent.
En dernier lieu, les dissidents pacifiques seront obligés de se battre du côté de leur ethnie dans un chaos où personne ne comprendra rien à ce qui se passe, où tout le monde sera manipulé par les organes de presse demeurant (tous aux mains sionistes), et où chaque recoin du territoire français, surtout périurbain, sera un espace de guérilla, difficile pour la survie. Et comme les ethnies africaines sont encore beaucoup plus racialement soudées que l’ethnie blanche qui n’a désormais ni conscience ni fierté de race ; un conflit interethnique en France risque de se concrétiser par de lourdes pertes où la population caucasienne blanche sera la plus touchée.
Ainsi, prenons quelques minutes pour comprendre qui sont les réels responsables de tout cela. Bien entendu, à la base, il y a la folie Talmudo-sioniste éternellement revancharde face au monde de « Rome » dont nous sommes les héritiers, dans une volonté folle d’hégémonie mondiale toujours plus renforcée, sur laquelle nous reviendrons amplement. Mais qui sont – à part les sionistes – en toute objectivité nos bourreaux indirects ? Qui sont ceux dont l’ignorance et la mystification atteint des sommets ? Ce ne sont ni les vingtenaires et trentenaires caucasiens et africains éveillés comme Kémi Seba, ni les couches à faible intellect ignorantes caucasiennes, mais bien les catégories suivantes, dont vous faites peut-être partie :
• les quadragénaires, quinquagénaires, sexagénaires caucasiens actifs ou en retraite, dont la vision du monde est intégralement façonnée par les médias sionistes et affiliés, que rien ne peut plus sortir de leur paradigme illusoire. Il semble qu’ils ne peuvent plus réaliser pleinement que des anonymes sionistes et affiliés sont le chaînon exécuteur de la philosophie de conquête du nouvel ordre mondial. Ils ne croient pas au Nouvel Ordre Mondial, ne veulent, ne peuvent plus y croire. Même les plus lucides l’ignorent ou veulent l’ignorer avec d’autant plus de véhémence qu’ils estiment que leur fin de vie constitue « un bonus » de loisirs... Même les « intellectuels » autoproclamés de ces catégories l’ignorent totalement. Ils ont voté Hollande ou Sarkozy ou Mélenchon… Tout sauf Marine Le Pen (qui bien qu’étant obligée de montrer des gages de soumission au sionisme, constitue une alternative goy, ne serait-ce que dans son terreau idéologique paternel non talmudique).
• Les immigrés de première, deuxième, troisième génération d’ethnies africaines qui sont tout autant sous influence « viscérale » des médias sionistes et affiliés, constituent la deuxième catégorie responsable indirectement de la situation. Ce sont ces immigrés qui ont élus François Hollande à la place de Marine Le Pen, pensant qu’il s’agissait là encore d’une élection à clivage ethnique, le seul clivage qui fonctionne encore pour diriger leur vote. Or cette élection proposait deux choix : le choix des candidats sionistes de droite ou de gauche avec la sécession définitive de nos démocraties européennes aux sionistes et affiliés organisés désormais des deux côtés de l’Atlantique en institution supra-étatiques (choix présenté par la presse comme un progressisme, une démocratie renforcée, une ouverture sur le monde…) ou le choix de l’organisation à l’échelle du pays de nos institutions monétaires, législatives, judiciaires, budgétaires (choix présenté quotidiennement sur toutes les antennes comme raciste, obscurantiste, protectionniste, fermé sur le monde, dangereux, nazi, fasciste... etc.).
• La dernière catégorie, et non des moindres, futur bras armé de la phase finale de conquête du Nouvel Ordre Mondial sioniste est constituée par les jeunes, voire très jeunes immigrés africains anarchistes en rejet de tout, incontrôlables, ayant perdu tout ciment social, toute valuation de la vie d’autrui, dans un fonctionnement purement d’appartenance ethnique, se prétendant islamiques (un islamisme criant, ostensible, revanchard, vengeur, dont ils ne perçoivent pas la sagesse, loin de la lumière divine reçue dans sa sphère la plus intime) pour la plupart, sans doute poussés à la haine et armés par des infiltrés sionistes. Ils sont actuellement poussés à souhaiter un conflit armé civil en France, par, notamment, des groupes de rap crypto-sionistes islamiques, ils sont poussés à voir le caucasien comme un ennemi.
C’est précisément par ces centaines de milliers d’individus décérébrés, animaux et violents, regroupés à la périphérie des grandes agglomérations françaises – que les bobos quinqua et sexa feignent d’ignorer ou osent encore penser victimes de racisme – que va venir le chaos en France. Ces jeunes vont être armés et récupérés par des mercenaires armés (appelés « Al Qaïda » pour effrayer le crédule européen), envoyés sur place par les sionistes eux-mêmes (comme ils l’ont fait en Libye). Ces mercenaires existent déjà, ce sont des combattants armés, drogués, vaguement fanatisés, recrutés dans des couches ultra défavorisées du Maghreb, d’Afghanistan, du Yémen, qui sont entraînés, armés par les services américano-franco-israéliens. Ces mercenaires ont été envoyés en Libye pour y créer le chaos. Puis ils ont été dépêchés en Syrie.
Ces mercenaires sont situés dans des bases en Afrique du Nord et déposés par les services franco-américano-israéliens pour déstabiliser des zones si besoin est, en se faisant passer pour « l’armée rebelle » dans les médias sionistes français. Cette « armée rebelle » massacre la population autochtone, tue la police avec des moyens armés importants (dont les occidentaux ne se demandent jamais la provenance ! Comme si les « opposants » – ces fameux « rebelles » des JT de 20h – avaient tous des pick-ups avec mitrailleuse automatique dans leur garage et des kalashnikov avec des dizaines de chargeurs et des grenades dans leur cuisine, achetés au sook du coin !). Le pays sous attaque (Libye, Syrie) envoie l’armée pour empêcher ces mercenaires de tuer le peuple et la police. Puis les médias occidentaux sionistes disent que l’armée du régime en place « bombarde les populations »…La bobo européenne est convaincue…Son mari s’en fout… Il n’en faut pas plus pour vendre la guerre à l’opinion de nos jours..
Telle est la guerre de IVème génération. (Infiltration de mercenaires / massacre aveugles des populations par ces mercenaires / propagande journalistique accusant le régime / chute du régime antisioniste). Ces mercenaires vont être dépêchés en France, à commencer par les grandes villes du Sud (Marseille) dès que le signal politique aura été donné ; ils vont constituer des milices ethniques faisant alliance avec les jeunes de banlieue africains encore sauvages (et ré-islamisés de l’intérieur notamment par des fonds Qataris et Américains) et ils vont tuer indistinctement tout caucasien alentours.
Ce sont les acteurs futurs d’une rage génocidaire aveugle qui va décimer dans un futur proche la population caucasienne en Europe. Tel est le plan réel des sionistes et affiliés. Une fois cette première vague de guerre civile initiée par les sionistes (Ils attendront consciencieusement qu’il y ait assez de victimes avant d’intervenir), la coalition armée franco-américano-israélienne interviendra au prétexte « de protéger les populations civiles » (exactement de la même manière qu’ils justifient les bombardements en Libye ou Syrie) avec des moyens d’une autre ampleur militaire pour anéantir les mercenaires (qui se feront, au final, tuer par leur employeur sioniste !) avec les jeunes de banlieue cooptés qui y passeront aussi. La force militaire israélo-américaine pourra tout aussi bien bombarder des zones civiles tuant indistinctement caucasiens autochtones, mercenaires et africains de banlieue cooptés. Il en résultera une diminution de la population européenne souhaitée. Le choc psychologique chez les survivants sera tel qu’ils seront en mesure d’accepter n’importe quel gouvernement dictatorial pourvu que celui-ci garantisse le retour à la paix.
Si les autorités sionistes décident qu’il n’y a pas eu assez de morts, le recours à de fausses épidémies déclenchées (mais aux morts réels) est envisageable. L’Afrique du nord deviendra en même temps le théâtre de l’affrontement de la coalition franco-britanico-israélo-américaine contre les pays musulmans du monde, sous prétexte de défense d’Israël qui serait soi-disant menacée, maintenant que les pays alentours ont été ré-islamisés par ces mêmes israéliens ! Il y aura des morts par millions, et peut-être le recours à l’arme atomique dans certaines régions au sous-sol pauvre. La Russie et la Chine s’impliqueront ou non dans le conflit. Il pourra être étendu au Venezuela et au reste des pays non alignés.
Seul un recul important face au travail de manipulation quotidien par la presse sioniste très organisée de France peut vous amener vers cette lucidité. Il serait donc temps pour ceux qui ferment les yeux sur ce nouveau mode de contrôle, qu’ils participent à la résistance active pour empêcher la mise en application de cette destinée pour l’Europe. S’il en est encore temps.
Source :
Lien vers le livre :
Raivelot Hamed - L'homme trafiqué
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04/01/2015
Ukraine: nouvelle rencontre "format Normandie" prévue le 5 janvier à Astana au KHAZAKHSTAN
Et voilà, comme cela nous avons la signature parfaite des Illuminati dans le coup d'état de KIEV et la déstabilisation de la Russie et qui souhaiteraient entraîner Poutine et la Russie dans leur giron nazisioniste.
Ce n'est pas pour rien qu'Hollande est allé le 5 décembre 2014 à Astana, que Sarkozy s'y était intéressé du temps de son règne et que le KHAZAKHSTAN soit un partenaire stratégique de l'EU.
Pas étonnant non plus que le nazi de Kiev ait déclaré que la prochaine réunion au "format Normandie" pour l'Ukraine aurait lieu le 15 janvier à Astana, capitale du Kazakhstan. Comme par hasard ce sont ceux qui ont accompagné le coup d'état à Kiev qui seront présents à cette réunion, dont la France et l'Allemagne à l'exception toutefois de la Pologne qui ne semble pas se mouiller sur ce coup !
Articles en lien :
*- ASTANA au KHAZAKHSTAN : CAPITALE OCCULTE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL
*- Arrivée de Hollande à Astana pour une visite officielle de deux jours au Kazakhstan (délégation)
5 décembre 2014
* - Sarkozy au Kazakhstan pour une visite éclair, à dominante économique
Ukraine: nouvelle rencontre "format Normandie" prévue le 5 janvier
Dossier: Règlement de la situation en Ukraine
BERLIN, 3 janvier - RIA Novosti
Une nouvelle réunion sur la crise ukrainienne au "format Normandie" (Russie, Ukraine, Allemagne, France) au niveau de directeurs politiques est prévue le 5 janvier, a annoncé à RIA Novosti une source diplomatique.
"Une rencontre au +format Normandie+ au niveau de directeurs politiques est programmée pour le 5 janvier à Berlin", a fait savoir l'interlocuteur de l'agence.
Auparavant, le président ukrainien Piotr Porochenko a déclaré que la prochaine réunion au "format Normandie" au niveau supérieur aurait lieu le 15 janvier à Astana, capitale du Kazakhstan.
Le format Normandie fait référence à une première rencontre entre le dirigeant russe Vladimir Poutine et son homologue ukrainien Piotr Porochenko, organisée sous l'égide du président François Hollande et en présence de la chancelière allemande Angela Merkel en marge des commémorations des 70 ans du Débarquement allié en Normandie, le 6 juin dernier.
Sur le même sujet
Ukraine: rencontre au "format Normandie" le 15 janvier à Astana (Porochenko)
Ukraine: réunion du "groupe de contact" les 24 et 26 décembre
Crise ukrainienne: entretien Hollande-Poutine-Merkel-Porochenko
Milan/rencontre au "format Normandie": Ukraine et gaz russe pour l'UE au menu
03:45 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Conspiration, Complot, Corruption, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, International, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |
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30/12/2014
Cuba : Nouveau pacte entre le Vatican et Washington
Voilà un article qui nous donne encore raison ainsi qu'à Hugo Chavez, des intentions du Vatican et des USA/Nazisonistes non seulement de nuire à l'Amérique Latine mais aussi à la Russie et à l'Orthodoxie !
Rappelez-vous qu'il faut surveiller le Pape Noir Jésuite/Luciférien dans tous ses déplacements, ses déclarations et interventions géopolitiques, car il est là pour corrompre les autres religions qui ont été inventées de toutes pièces de toutes manières, pour faire avancer les plans du NOM et pour instaurer l'Unique Religion Mondiale qui est la base idéologique de l'instauration du Nouvel Ordre Mondial !
La place du Vatican et des Jésuites Lucifériens dans l'organigramme des élites
Cliquez sur l'image pour zoomer
Quelques liens qui nous démontrent avec qui, pour qui et contre qui travaille le Pape Noir/Jésuite Luciférien :
*- L'armée russe revient à Cuba.
*- Cuba/USA : L’espion US, relâché par Cuba, encadrait la communauté juive et la maçonnerie
*- Visite historique du Patriarche Cyrille en Chine
*- Le pape François souhaiterait rencontrer le patriarche Cyrille
*- Les Jésuites lucifériens, espions et assassins du Vatican
*- Satanisme au Vatican: Intronisation de Satan au Vatican le 29 juin 1963, qu'ils disent !
Cuba : Nouveau pacte entre le Vatican et Washington
Le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis d’Amérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde.
Quatre personnages représentatifs de deux Etats agissant à deux époques différentes, deux murs politiques qui s’effondrent à plusieurs années d’intervalle, le Mur de Berlin en 1989 et celui des Caraïbes en 2014, deux philosophies politiques distinctes qui dessinent des réalités sans aucun élément commun, le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis d’Amérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde. Trente ans séparent les deux pactes. Leurs objectifs, leur nature et leurs intentions vont de l’obscurité à la lumière, de la manipulation à la clarté, de l’entêtement au réalisme réfléchi.
Le premier a été scellé le 7 juin 1982 dans la bibliothèque du Vatican entre l’ex président étasunien Ronald Reagan et le pape de l’époque Jean Paul II. Le second a été négocié fin mars 2014, également au Vatican, entre le président des Etats-Unis Barack Obama et le pape François. Le premier, connu sous le nom de « Sainte Alliance » doit son existence à l’un des personnages les plus sombres de la diplomatie du Vatican : Pio Laghi, ex Nonce Apostolique en Argentine (1974-1980) et artisan, dans les années 80, de la reprise des relations diplomatiques entre le Saint Siège et Washington. Laghi était un homme de robe, ambigu et à la main de fer, ami et protecteur de la Junte Militaire argentine, réactionnaire et aveuglé par le spectre du communisme. Le pacte Reagan/ Jean Paul II avait un seul objectif : fomenter une cabale pour renverser le communisme, à n’importe quel prix. Richard Allen, premier conseiller de Reagan à la Sécurité Nationale, dira qu’il s’agissait de « l’une des alliances les plus secrètes de tous les temps ».
Et ses développements comme ses résultats sont proprement hallucinants. Le pacte Obama/François a emporté le dernier bastion du Mur mais sans la participation des acteurs, c’est à dire Cuba, il n’est pas animé par la même morale ou les mêmes objectifs géopolitiques, pas plus qu’il ne s’accompagne d’assassinats ou de financements occultes.
La Sainte Alliance conduisit à un montage financier frauduleux organisé par le Vatican pour épauler clandestinement le syndicat polonais Solidarnosc, dont le leader de l’époque, Lech Walesa, deviendra président de la Pologne après la chute du Mur de Berlin. Ronald Reagan et Jean-Paul II étaient habités par la même obsession. Le juge William P. Clark, autre conseiller de Reagan à la sécurité nationale (et aussi le plus influent), dira également que tous deux « partageaient les mêmes choix spirituels et la même vision de l’empire soviétique : le bien et le droit triompheraient selon les plans divins » (The Judge : William P. Clark, Ronald Reagan’s Top Hand, de Paul Kengor et Patricia Clarck Doerne, Ignatius Press 2007). Quant à l’utilité du Vatican dans cette croisade anticommuniste, le secrétaire d’Etat de Reagan, Alexandre Haig, l’a très bien résumée : « Le réseau d’information du Vatican était meilleur et plus rapide que le nôtre ». Pour l’Amérique Latine, cette Sainte Alliance fut synonyme d’un véritable bain de sang, de guerres et de répression. Le Saint Siège poursuivit de façon inhumaine tout ce que le continent comptait de progressistes en soutane. S’appuyant, pour ce faire, sur les secteurs les plus réactionnaires de l’Eglise et du pouvoir politique local et avec la participation de la Maison Blanche, c’est sans aucune hésitation, non plus, qu’il s’est accoquiné avec des congrégations et des personnages impliqués dans des agressions sur mineurs ou des vols en tout genre, comme ce fut le cas avec « Les légionnaires du Christ », de Marcial Maciel, que Jean-Paul II éleva à des hauteurs incroyables alors même que ses escroqueries et abus sexuels étaient de notoriété publique. De nombreux adeptes de la « Théologie de la Libération » payèrent de leur vie une telle persécution.
La complicité entre le Vatican et Washington est parfaitement documentée, et reflétée jusque dans les discours officiels de Ronald Reagan :
« L’Amérique latine est une zone pour laquelle nous éprouvons une préoccupation commune. Nous voulons y travailler en étroite collaboration pour promouvoir la paix, la justice sociale, les réformes et empêcher la propagation de la répression et des réimes tyranniques athées. »
(Ronald Reagan, Jack Nelson, « Reagan, Pope Join in Urgent Plea for Peace », Los Angeles Times, June 8, 1982).
Monter ce dispositif anti communiste éleva Jean-Paul II au rang d’interlocuteur privilégié des membres de la CIA et d’autres personnages de la sécurité nationale américaine qui allaient à Rome grâce à Pio Laghi. A partir du milieu 1981, une sorte de « navette de renseignements » ( intelligence shuttle) s’instaura entre Washington et le Saint Siège. L’un des visiteurs régulier de cette époque est aussi de triste mémoire pour l’Amérique latine, le général Vernon Walters, ambassadeur itinérant de l’administration Reagan, ex directeur adjoint de la CIA à l’époque du Coup d’Etat contre Salvador Allende. Dans son livre « The Mighty and the Meek » (St Ermin’s Press, 2001), le général Walters révèle les dessous de ses entretiens papaux. « L’administration avait conscience de la collusion d’intérêts entre l’Eglise Catholique et les Etats-Unis dans leurs efforts pour contenir l’expansion communiste. Je devais, en accord avec les ordres reçus, exposer les faits en m’appuyant sur les meilleures sources d’information disponibles. C’est ainsi qu’ont débuté les allers-retours réguliers au Vatican, deux ou trois fois par an. (…) Je faisais au Pape le compte-rendu des menaces engendrées par les missiles, les forces terrestres conventionnelles, l’aviation et la marine soviétiques ». Mais les sujets de discussion allaient bien au-delà. Aux dires des journalistes Carl Bernstein et Marco Politi (« His Holiness : John Paul II and the Hidden History of Our Time », Doubleday, 1996), les entretiens avec le Souverain Pontife portaient aussi sur l’Amérique Centrale, région, à cette époque, durement touchée par la guerre au Salvador, au Guatemala et au Nicaragua sandiniste, où Washington apportait son aide militaire aux « contras ». Pio Laghi, lors de sa mission en tant que délégué Apostolique aux Etats-Unis (1980), assistait régulièrement aux réunions de sécurité et rencontrait fréquemment le directeur de la CIA, William Casey, qui était catholique. Beaucoup de choses ont changé entre ces deux pactes, bien que les scénarii soient les mêmes, à commencer par le Vatican. En juin 1982, alors que Reagan et Jean-Paul II célébraient leur Sainte Alliance, dans les sphères pontificales proches du secrétaire d’Etat du Saint Siège, Agostino Casaroli,et l’archevêque Achille Silvestrini, négociaient avec le secrétaire d’Etat US Alexandre Haig et avec le juge William Clark.
En 2014, ce sont les secrétaires d’Etat, respectivement John Kerry et Pietro Parolin, avec le sénateur démocrate Patrick Leahy, qui ont jeté les bases de l’accord entre Obama et Bergoglio.
« Le monde doit écouter la voix du Pape », dit Obama au sortir de son entretien avec François. Le rapprochement était en marche depuis 2009, mais tout récemment en juin 2013, il est devenu plus effectif, en partie grâce aux positions adoptées par Bergoglio et Obama. Les personnages de cette saga diplomatique des temps modernes n’ont pas grand-chose à voir avec les membres du sinistre dispositif mis en place par Reagan et Jean-Paul II dans les années 80. Les diplomates expérimentés de Rome conjuguent dorénavant leurs efforts de négociations secrètes avec les envoyés spéciaux de Cuba et divers conseillers de la nouvelle génération venus tout droit de Washington. Le spectre du communisme ne poursuit plus personne. La jeunesse a été également un allié de poids. Voici l’exemple de l’un des hommes clés de ce cercle restreint, Ricardo Zúñiga, nommé par Obama en 2012 conseiller aux Affaires Latinoaméricaines à la place de Dan Restrepo. Né au Honduras, en 1970, Zúñiga émigre aux Etats-Unis à l’âge de quatre ans. L’autre pilier central est Ben Rhodes, viceconseiller à la Sécurité Nationale pour les Communications Stratégiques et l’Ecriture de Discours, lui aussi jeune (il est né en 1977). Leurs interlocuteurs ont été des hommes expérimentés et plus âgés, comme par exemple le secrétaire d’Etat du Vatican, Pietro Parolin, qui avait été nonce au Vénézuela de 2009 à 2013.
L’entretien Obama-Bergoglio de cette année préfigure la ligne d’arrivée. En octobre 2014, La Havane et Washington ont conclu au Vatican même, les accords finalisant les négociations sur l’échange de prisonniers entre Cuba et les Etats-Unis.
Eduardo Febbro
Article original : Nuevo pacto entre el Vaticano y Washington, Página 12. Buenos Aires, 21 décembre 2014
Photo : EFE
Traduit de l’espagnol pour El Correo par : Florence Olier-Robine.
13:11 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, CIA, MOSSAD, Al-Quaïda, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, International, Le Vatican & Les Jésuites Lucifériens, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Les secrets du Vatican & des Jésuites Lucifériens, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël, Vatican, Mensonges, Politique | Lien permanent | |
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L'armée russe revient à Cuba.
Une petite piqûre de rappel pour nous souvenir que le 12 juillet 2014 Poutine était allé à Cuba y signer des accords pour effacer sa dette, favoriser le retour de l'armée Russe à Cuba et promettre à Castro qu'il allait l'aider à lever le blocus illégal imposé par les USA !
16 juillet 2014
Lors de la visite officielle du président russe à Cuba, samedi 12 juillet, Vladimir POUTINE et Raul CASTRO ont signé l'accord actant le retour des troupes russes dans la base de Lourdes, près de La Havane.
Pendant l'époque soviétique, ce centre d'interception radio-électronique a permis d'écouter les communications radio et téléphoniques dans une grande partie du territoire de "l'ennemi potentiel" américain.
Moscou a évacué ces installations en 2001, "pour faire une concession aux exigences de Washington". Les négociations pour le retour de ce centre à la Russie ont été entamées avec Cuba il y a quelques années et s'étaient fortement intensifiées au début de cette année.
Lors de la visite du président Vladimir Poutine à Cuba, cette question a pu se résoudre définitivement au profit de la Russie. Le coût des travaux de remise en service du centre est encore inconnu.
La veille de la visite Vladimir POUTINE signait la loi ratifiant l'accord du 15 octobre 2013 prononçant l'effacement de 90% de la dette de Cuba, dont le montant total était de près de 35,2 milliards de dollars. Les 10% restant (environ 3,5 milliards de dollars) seront transformés en investissement sur le territoire cubain.
A l'époque soviétique, le centre était opéré par 1500 militaires du GRU (direction principale du renseignement du ministère de la défense) et du KGB. Il comptait aussi un détachement de la DGI (le KGB cubain).
On peut ajouter que lors de cette visite, le président russe a déclaré, s'agissant du blocus imposé par les USA sur l'île : "Et bien sûr nous allons aider Cuba à surmonter le blocus illégal"
Sources :
http://tvzvezda.ru/news/vstrane_i_mire/content/2014071603...
http://lemonderusse.canalblog.com/archives/2014/07/16/302...
11:51 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
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29/12/2014
Les Khazars, des trucos-mongoles, peuple de la steppe converti au Judaïsme
A rapprocher de l'article ci-dessous :
Les Khazars, des trucos-mongoles, peuple de la steppe
En langue persane, la mer Caspienne est nommée mer de Khazar (daryâ-ye khazar – دریای خزر). Sa désignation dans les langues turque et turkmène (Hazar Denizi) a la même signification. Qui sont ces Khazars, peuple depuis longtemps disparu, qui a tant marqué cette région d’Asie au point de laisser son nom à cette mer fermée, considérée comme le plus grand lac du monde (avec une superficie de 370 000 km²) et qui partage ses eaux entre la Russie, le Kazakhstan, le Turkménistan, l’Iran et l’Azerbaïdjan ?
Les khazars, alliés de l’empire byzantin
Entre la fondation de sa capitale, Constantinople, en 330, et 1453, date de sa conquête par les Ottomans, l’empire byzantin ne cessa de se défendre contre une multiplicité d’adversaires. Aucun Etat, hors la Chine, ne connut une telle adversité pendant plus de mille ans.
Au VIIe siècle de l’ère chrétienne, l’empire byzantin est attaqué de toutes parts par des hordes nomades venues des steppes de l’Asie septentrionale – Avars et Turcs en particulier, qui convoitent ses richesses et, surtout, par les Perses sassanides, ses voisins, qui convoitent ses terres. Selon la défense classique des empires sédentaires, les Byzantins cherchent des alliés en nouant des alliances avec les nombreuses tribus nomades qui les menacent, les dressant au besoin les unes contre les autres. A cette fin, ces empires leur paient de généreux tributs ou contractent avec eux des mariages pour les tenir tranquilles ou s’assurer une neutralité bienveillante, au moins momentanément.
L’empereur byzantin Héraclius (610-641) convainc les Khazars de le soutenir contre les Perses sassanides. Cette alliance, qui durera de 622 à 627, lui permettra de remporter une victoire décisive contre les Perses en 627, rétablissant son empire dans ses frontières initiales.
Les Khazars, peuplade d’ethnie turque, venue d’Asie centrale [1], avaient fondé dès 582, au nord-est de la mer Noire, un puissant état, la Khazarie, qui s’étendra, à son apogée, dans la deuxième moitié du VIIIe siècle, du delta de la Volga au nord Caucase et du Don aux frontières du Califat abbasside et de l’empire byzantin.
Ils seront à nouveau les alliés de Byzance lorsque les troupes nomades arabes, profitant de l’épuisement des Byzantins et des Sassanides au terme de plusieurs décennies de conflit, auront la volonté de propager le message du Prophète Mohammad, mort en 632 après J.-C. Ils seront aussi à ses côtés lorsque Bulgares, Magyars, Petchenègues, et autres tribus barbares venues d’Asie centrale, menaceront cet empire par des assauts répétés jusqu’au début du XIe siècle. Comme c’était l’usage, l’alliance des deux alliés sera scellée par un mariage, celui de l’empereur Constantin V (741-775) avec Petite Fleur, princesse khazare. Léon, né de cette union, règnera sur l’empire byzantin, de 775 à 780, sous le nom de Léon IV le Khazar.
Le « phénomène khazar », conversion d’un peuple au judaïsme
Peu d’écrits nous sont parvenus sur l’histoire des Khazars. Quelques chroniqueurs arabes et byzantins qui traversèrent le Caucase décrivent d’une manière fragmentaire les us et coutumes du royaume khazar avant sa conversion au judaïsme, qui eut lieu vers l’an 740.
La source la plus complète est l’échange de correspondances entre le roi khazar Joseph et Hasdai Ibn Shaprut, ministre juif du calife de Cordoue, rédigées entre 954 et 961, soit plus de deux cents ans après la conversion des Khazars, même si la réalité de cette correspondance est contestée par quelques historiens.
Sur le plan politique, le royaume est gouverné par un roi, le Kagan, qui vit quasiment reclus. Les affaires de l’Etat et le commandement de l’armée sont confiés au Kagan Bek qui exerce, dans les faits, le pouvoir, le Kagan ne représentant que le pouvoir religieux. La première capitale de cet empire fut probablement la forteresse de Balandjar dans le piémont septentrional du Caucase. Après les incursions arabes du VIIIe siècle, elle fut transférée à Samandar, sur la rive occidentale de la mer Caspienne, et plus tard à Itil sur l’estuaire de la Volga [2]. L’hégémonie régionale de la Khazarie s’explique par le fait que seul le roi des Khazars possède une armée de métier, comprenant une garde prétorienne qui, en temps de paix, fait régner l’ordre dans la mosaïque des ethnies et qui, en temps de guerre, peut structurer les hordes qui comptent jusqu’à cent mille hommes.
Sur le plan culturel, les arts et métiers sont florissants, même s’il s’agit d’un art d’imitation, proche des modèles perses sassanides. Les bijoux, les fourrures, les étoffes de soie, la vaisselle d’or et d’argent sont admirés au cours des mariages princiers. Certains archéologues hongrois soutiennent que les orfèvres qui travaillaient en Hongrie au Xe siècle étaient en fait des Khazars.
Avant leur conversion, les Khazars s’adonnaient à une forme de chamanisme, telle que pratiquée par leurs voisins de la steppe. C’est le roi khazar Bulan qui décida de cette conversion, l’islam et la chrétienté restant présents dans le royaume, y compris parmi les dignitaires de haut rang. L’adoption du judaïsme - une première dans l’Histoire, de la part d’un peuple n’appartenant pas à l’une des douze tribus d’Israël - peut être interprétée comme une volonté des Khazars d’échapper à l’influence de leurs puissants voisins Byzantins et Arabes. Adopter le christianisme ou l’islam les aurait immédiatement soumis à l’autorité, soit de l’empereur byzantin, soit du calife de Bagdad. Le Kagan n’embrasse pas pour autant une religion dont il ignore le contenu. En fait, depuis plus d’un siècle, les Khazars connaissaient les Juifs et leurs observances par le flot continu des réfugiés qui fuyaient les persécutions religieuses de Byzance ou qui venaient d’Asie mineure conquise par les Arabes.
La fin d’un royaume
Les Khazars s’opposent aux Rhus - Slaves de l’Est à l’époque byzantine - qui, après avoir tenté en vain de prendre Constantinople en 860, ravagent une partie de leurs possessions. Puis, en 965-967, Sviatoslav, Prince de Kiev [3], défait leur royaume. L’empire byzantin a cessé d’apporter son soutien au royaume juif khazar, son ancien allié, car entretemps, Olga, veuve du Prince Igor et mère de Sviatoslav, a embrassé le christianisme. Les Khazars conservent cependant leur indépendance et leur foi judaïque sur un territoire réduit, jusqu’à ce que les redoutables hordes mongoles le détruisent au milieu du XIIIe siècle. Il semble qu’ils soient retournés alors à leurs habitudes premières de pillage et de nomadisme. Ils disparaîtront en tant que peuple en se fondant, selon toute vraisemblance, dans les populations locales. Les rares sources à ce sujet mentionnent plusieurs établissements khazars à la fin du Moyen-âge en Crimée, en Ukraine, en Hongrie, en Pologne et en Lituanie.
Carte de la steppe pontique aux environs de l’an 650
De fait, à l’aube des temps modernes, c’est en Russie et en Pologne, notamment, que l’on trouvera les plus importantes communautés juives. Une grande partie des juifs d’Europe orientale, les Ashkénazes, seraient d’origine khazare, se distinguant ainsi des migrations séfarades du pourtour méditerranéen.
Marquant bien cette différence, Marek Halter, dans son roman Le Vent des Khazars fait dire au vieux Benjamin, ancien Kagan khazar : "Les enfants d’Israël sont les fils d’Abraham et de Moïse. Ce sont aussi les fils du Livre et de l’Exil. Leur histoire est différente de la nôtre. Ils galopent dans les mots comme nous galopons sur la steppe. Ils savent écouter la sagesse des écrits et nous celle du vent. Ils sont juifs depuis des milliers d’années, mais ils n’ont plus de royaume. Nous avons choisi leur religion depuis moins de deux cents ans, mais nous sommes assez forts et puissants pour que l’empereur de Byzance souhaite être notre ami… Cependant, Juif d’Israël ou Juif du royaume khazar, nous avons foi dans le même Dieu, béni soit Son nom, et nous respectons la même loi."
L’histoire universelle n’a, curieusement, retenu que peu de choses de ce royaume, hormis le nom donné à une mer intérieure. Cependant, il peut être tenu pour certain que, sans la contribution des Khazars à l’histoire mondiale, l’islam et la chrétienté auraient eu une histoire bien différente de ce qu’elle fut. Contenant, pendant plus de cent ans les attaques arabes, les Khazars empêchèrent la conquête musulmane de l’Europe de l’Est. Dans son importante monographie intitulée Histoire khazare, publiée en 1962, l’historien et archéologue russe Mikhaïl Artamonov écrit [4] : « La Khazarie fut le premier état féodal d’Europe orientale à pouvoir se comparer à l’empire byzantin et au califat arabe… C’est grâce aux puissantes attaques khazares, détournant le flot des armées arabes vers le Caucase, que Byzance put se maintenir… ».
Sources bibliographiques : Chaliand, Gérard, Les Empires nomades de la Mongolie au Danube Ve s. av. J.-C.-XVIe S., Editions Perrin.
Koestler, Arthur, La Treizième Tribu L’Empire khazar et son héritage, Collection Texto Le goût de l’histoire.
Halter, Marek, Le vent des Khazars (roman historique), Editions Robert Laffont.
Notes
[1] Au sens d’origine turco-mongole. Venant probablement de l’Altaï, massif de l’Asie centrale russe, chinoise et mongole, les Khazars parlaient un dialecte turc et avaient une physionomie mongoloïde. Celle de Lénine en serait un des types.
[2] Il semble que les vestiges d’Itil, que l’on croyait engloutie par la mer Caspienne, aient été découverts dans le Delta de la Volga. Des fouilles y sont entreprises depuis l’an 2000 par des archéologues russes.
En 1934, l’archéologue soviétique Mikhaïl Artamonov découvrit, dans la région de Rostov sur le Don, les ruines de la forteresse khazare de Sarkel, connue dans les chroniques russes sous le nom de Biélaïa Viéja (le Château blanc). Cet événement provoqua une prise de conscience de l’intérêt historique du kaghanat khazar auprès des scientifiques, l’historiographie officielle de l’URSS considérant, jusqu’à cette date, que la Khazarie était « un petit ةtat semi-nomade à caractère parasitaire », minimisant ainsi sa portée historique et son rôle effectif dans le développement de la culture russe.
[3] L’État de Kiev, ou Russie kiévienne, est le premier État des Slaves de l’Est (IXe-XIIe s.) qui se développa sur le cours moyen du Dniepr, autour de la ville de Kiev.
[4] Cité par Arthur Koestler dans son ouvrage La treizième tribu – L’Empire Khazar et son héritage.
20:22 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International, Israël, Palestine, Colonisation, Poutine, Russie, Crimée, Ukraine, Chine, BRICS; Sy, Religions, Inventions, Mensonges, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, USA, Israël | Lien permanent | |
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