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08/07/2014

L'État d'Israël disposera-t-il d'un siège de député français ?

Voilà comment le traître de SARKOZY, VRP du Nouvel Ordre Mondial a ouvert la boîte de Pandore à ses amis sionistes/francs-maçons, en 2009, en livrant la France aux intérêts des lobbies sionistes  ! Voilà comment ils se sont arrangés pour faire passer des représentants politiques de l'état sioniste d'Israël, du statut à la rigueur, de Consul ou d'ambassadeurs, au statut de députés pouvant ainsi influencer les lois et la politique extérieure de la France. 

L'État d'Israël disposera-t-il d'un siège de député français ?

 

Conformément à la réforme constitutionnelle de 2009, l'Assemblée nationale que nous élirons en juin comptera onze députés représentant les deux millions de Français résidant à l'étranger, dont le vote était précédemment réaffecté à leur circonscription d'origine en France. Leur huitième circonscription couvre l'Italie, Saint-Marin, le Vatican, Grèce, Turquie, Chypre, Malte et Israël, en tout 100 000 électeurs dont un peu plus de la moitié d'Israéliens[1].

 

Cette réforme pose de graves problèmes institutionnels. Il existe un Conseil supérieur des Français de l'étranger, ainsi qu'une Assemblée des Français de l'étranger et ceux-ci élisent déjà douze sénateurs (8 UMP et 4 PS). Or, si le Sénat fédère les intérêts locaux, l'Assemblée nationale incarne une souveraineté nationale indivisible. L'élection de députés catégoriels ne peut que dégrader la représentation de l'intérêt général et affaiblir le Parlement.

 

De fait, certains milieux s'engouffrent dans cette faille. II apparaît en effet une différence de nature entre un Français installé en Italie, aux États-Unis ou au Sénégal et un expatrié en Israël. En dehors des problèmes spécifiques des expatriés, la situation des premiers n'implique pas de position politique particulière, tandis que les seconds ont accompli une démarche liée au nationalisme israélien. On note à cet égard, que les Français expatriés possédant aussi la nationalité de leur pays de résidence, sont 95% en Israël contre 55% en moyenne dans les sept autres pays. En d'autres termes les uns sont des Français résidant à l'étranger, les autres sont des Israéliens d'origine française.

 

Un discours qui éclaire la réforme d'une lumière crue.

 

Vice-présidente (PS) de l'Assemblée des Français de l'étranger, Daphna Poznanski est parmi les candidats actuellement déclarés, la seule qui réside effectivement à l'étranger (en Israël) et affiche une expérience dans le domaine des expatriés. Son blog est presque entièrement consacré à leurs problèmes : validation de l'activité pour la retraite, équivalence des diplômes, obtention de documents d'état-civil, couverture sociale, polémique contre la binationalité ... Elle observe des positions modérées au sujet du conflit israélo-palestinien, préconisant une solution à deux états, qui pour elle, doit être un préalable à une solution fédérale. Elle n'aborde toutefois pas la question des frontières.

 

Avec les trois candidats suivants, on entre dans un autre monde. Ils ne possèdent visiblement aucune expérience en matière d'expatriés pour lesquels ils improvisent des promesses électorales, mais ne cachent pas que le lobbying en faveur de la politique israélienne est leur véritable motivation.

 

Soutenu par l'Union des patrons juifs de France, Edward Amiach s'exprime sans fard dans l'interview qu'il donne sur son blog :

 

"(...) Pour résumer, vous voulez être un lobbyiste à l’Assemblée, même si ce n’est pas dans la tradition française.

 

Je n’ai pas peur du mot : oui, un lobbyiste, mais sous la forme de ce que fait l’AIPAC aux États-Unis. Quand on pense que 85 % des parlementaires américains sont pro-israéliens ! Si nous travaillons comme il faut, nous arriverons peut-être à ce résultat en France dans 50 ans."

 

En dépit des apparences, ce ne sont pas là les nouvelles élucubrations du rédacteur des Protocoles des sages de Sion[2], mais la feuille de route d'un authentique lobbyiste d'Israël. L'impasse au Proche-Orient résultant principalement du soutien inconditionnel apporté à la politique israélienne par un gouvernement américain paralysé par le lobby israélien[3], on se propose un objectif comparable pour la France.

 

Adjoint au maire de Neuilly-sur-Seine, Philippe Karsenty se consacre particulièrement à la presse. Il alimente sur son blog une "Agence de notation des médias" spécialement vigilante en matière de traitement de la politique israélienne. Il s'acharne depuis 2000 sur France2 et son journaliste israélien Charles Enderlin qui a osé imputer la mort du jeune Mohamed Al-Durah aux militaires israéliens. Il se montre déçu par Nicolas Sarkozy avec lequel il a fait un bout de chemin au début de leurs carrières respectives, mais qui n'aligne pas ses actes de Président de la République française sur les positions israéliennes. Plus de six mois avant le scrutin, il affirme que "la plupart des médias" le désignent comme favori.

 

L'épouse de Gil Taïeb est conseillère municipale socialiste de Paris. Il est lui aussi fortement impliqué dans le lobbying israélien. Il pratique depuis longtemps une forme d'action qui sous une couverture caritative, soutient la politique israélienne (collecter des fonds en France en faveur des nécessiteux israéliens, ceux-ci pouvant être les soldats). Son comité de soutien est presque exclusivement israélien : ministres, militaires, maires, ainsi que Michel Boujenah et Rika Zaraï. Il reproche au Ministère des Affaires étrangères français d'avoir critiqué les récentes colonisations en Cisjordanie et incrimine dans une lettre ouverte au Président de la République, le vote français favorable à l'admission de la Palestine à l'UNESCO.

 

"Alors qu’Israël est attaqué et que des milliers d’Israéliens subissent les tirs des terroristes de la bande de Gaza, l’UNESCO vient d’accueillir les palestiniens en son sein et reconnait la Palestine.
Quelle leçon donnée par le monde !!!
La souffrance juive n’intéresse personne ! (...)"

 

Il se plaint en des termes d'un sentimentalisme affecté de ce que lors de sa récente visite en Israël, Bertrand Delanoë n'ait pas réservé l'exclusivité à l'État juif, mais ait également rencontré les représentants de l'Autorité palestinienne.

 

"Israël ne mérite t-il donc pas une visite exclusive ?
Israël n’aurait il pas le droit à un bonheur entier et non partagé ?
Les israéliens se doivent-ils toujours d’être aimés en silence ?
Monsieur Bertrand Delanoë, l’amitié a besoin parfois d’exclusivité et de courage, ne l’oubliez pas et revenez visiter Israël et sa capitale Jérusalem."

 

 Le Maire de Paris apparaît pourtant comme un soutien de la politique israélienne, mais ces militants semblent réincarner les staliniens de jadis : un compagnon de route est tenu d'obéir sans état d'âme ni égard pour sa propre fonction politique.

 

 Ancienne représentante en France de l’American Jewish Committee, l'une des principales officines américaines de lobbying israélien, Valérie Hoffenberg est la candidate de l'UMP. Elle contraste avec le discours sans retenue des trois précédents. Elle s'efforce de convaincre son public juif qu'en dépit des critiques que lui valent certaines positions françaises, le Président Sarkozy est bien un ami d'Israël. Elle déplore toutefois le vote français en faveur de l'admission de la Palestine à l'UNESCO.

 

 

L'envahissant lobby israélien

 

En résumé, cette réforme semble devoir aboutir à une officialisation du lobbying israélien. La République française offre un siège de député à un état en guerre dont la vision raciale et l'agressivité régionale se sont dramatiquement exacerbées depuis un an, pour lequel le soutien occidental constitue un enjeu vital et trois candidats sur cinq s'affirment d'emblée déterminés à utiliser la fonction élective qu'ils briguent, comme levier pour contrôler depuis l'étranger, la politique extérieure française.

 

 Selon l'Agence juive, la population juive française compterait près de 500 000 personnes[4] ce qui en ferait la troisième population juive du monde, loin derrière Israël (5,5 millions) et les USA (5,3 millions). D'où les efforts considérables de propagande. On a vu ces derniers mois, les thèmes idéologiques comme délégitimation et autres nature juive de l'état se succéder à rythme croissant sous la plume des philosophes maison et autres agents d'influence. Pour résumer, toute critique à l'égard de la colonisation des territoires occupés aboutirait à "délégitimer" l'État d'Israël et on exige que les nations s'engagent sur sa nature "juive", comme si la Communauté internationale devait avaliser le caractère essentiel de son expansionnisme aux dépends des Palestiniens et ses visions raciales.

 

 Depuis que le Président de l'Autorité palestinienne a posé la candidature à l'ONU, c'est le thème de "l'inexistence du Peuple palestinien" qui est agité. Les Palestiniens ne seraient que des gens accourus récemment en Palestine pour ramasser les miettes de la créativité juive comme l'affirme un livre dont le CRIF assure la promotion.

 

 Ceci d'autant plus que dans le même temps, s'enflamme en France un débat récurrent relatif au vote des résidents étrangers dans nos élections locales, que l'UMP rejette en invoquant des dangers subliminaux.

 

 

 

[1] Ce billet s'inspire de la matière fournie par Daniel Horowitz il y a environ une semaine

 

[2] Les Protocoles des sages de Sion sont un faux antisémite rédigé sans doute au tout début du XXe siècle. Ils simulent un ensemble d'instructions émanant d'une autorité juive clandestine et visant dans chaque pays à la corruption des élites afin d'asseoir la suprématie juive sur le monde.

 

[3] Dans Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, (2007, Édition La découverte) John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt détaillent les moyens mis en œuvre pour aligner la politique américaine sur les impératifs israéliens.

 

[4] La population concernée par ce décompte est composite et sujette à interprétation. Lire La population juive de France : socio-démographie et identité, Doris Bensimon, Sergio Della Pergola, 1984, CNRS/Université hébraïque de Jérusalem

http://blogs.mediapart.fr/blog/berjac/131211/letat-disrael-disposera-t-il-dun-siege-de-depute-francais

 

 

La double nationalité, une tradition française

Un peu d'éclairage sur la double nationalité dont certains profitent pour venir influencer les lois et les décisions françaises tout en travaillant au profit des lobbies sionistes par exemple et par là-même pour l'état sioniste d'Israël. En sachant que des pays qui pratiquent l'allégeance perpétuelle nationale, ne laissent pas la possibilité à leurs ressortissants de renoncer à leur nationalité, s'agissant du Maroc et d'Israël, de la Chine et de l'Allemagne. 

La double nationalité, une tradition française

Par Constance Jamet - Mis à jour le 09/07/2011 à 08:49 - Publié le 22/06/2011 à 08:48

FOCUS - Ce statut concernerait près de cinq millions de personnes en France.

 

» Binationalité: Guéant n'a «aucune intention de changer la loi»

 

Qu'est ce que la binationalité (ou double nationalité) ? C'est l'appartenance simultanée d'une personne à la nationalité de deux Etats. Cela existe aussi bien pour un Français ayant acquis une autre nationalité que pour un étranger devenu français et ayant conservé sa nationalité d'origine. La binationalité résulte d'accords internationaux. Elle n'est pas inscrite dans le droit français mais est ancrée dans une longue tradition. «La France a toujours accepté la double nationalité, comme le Royaume Uni. Après la Première Guerre mondiale, lors de la réintégration de l'Alsace-Moselle dans la République française, certains Allemands installés dans la région voulaient devenir Français tout en gardant aussi leur nationalité d'origine. Cela n'a posé aucun problème», rappellait en mai dernier à l'AFP l'historien Patrick Weil.

 

Combien de personnes sont-elles concernées en France ? Aucune statistique officielle n'existe, la loi française n'obligeant pas un citoyen à signaler à l'état civil qu'il possède une autre nationalité. L'UMP avance le chiffre de quatre à cinq millions de binationaux. Selon les évaluations des ambassades, plus de la moitié des 2,5 millions des Français de l'étranger sont binationaux.

 

Comment acquière-t-on la double nationalité? On peut la décrocher à la naissance. Un enfant ayant vu le jour dans un pays étranger qui applique le droit du sol se voit reconnaître la nationalité dudit pays. Il acquiert en plus celle de ses parents, lorsque l'État dont ils sont les ressortissants attribue la nationalité par filiation, comme c'est le cas en France.

 

La double nationalité peut s'obtenir également «par naturalisation, par mariage, ou par accès à l'indépendance d'un État», rappelle l'administration sur son site web, qui cite le cas de l'Algérie en 1962. «La loi française n'exige pas qu'un étranger devenu français renonce à sa nationalité d'origine ou qu'un Français ayant acquis une autre nationalité renonce à la nationalité française», précise-t-elle.

 

Un point que Claude Goasguen avait un temps envisagé de modifier. Dans un document de travail, publié fin juin par Libération, le député de Paris proposait de subordonner la nationalité française par mariage ou par naturalisation à «la renonciation expresse du déclarant» à sa nationalité étrangère. Selon le rapport du député, la double nationalité constitue «un vecteur potentiel de conflits d'allégeance et d'intérêts» entre le pays d'origine et celui d'adoption, limitant l'intégration. Une proposition retoquée lors d'une réunion du groupe UMP.

 

Quels sont les droits et les devoirs d'un binational ? Dans l'Hexagone, il jouit des mêmes droits et devoirs qu'un Français. Aucun métier ne lui est fermé. Etant un citoyen français comme les autres, le binational ne peut se prévaloir de sa nationalité étrangère lorsqu'il réside en France. De même, un Français binational ne peut se réclamer de sa nationalité française auprès des autorités de l'autre État dont il possède aussi la nationalité lorsqu'il réside sur son territoire.

 

La double nationalité existe-t-elle partout ? Le principe de binationalité s'est développé dans la deuxième partie du XXe siècle mais certains pays ont des législations plus restrictives. Jusqu'en 2002, l'Australie obligeait ses nationaux qui prenaient une autre nationalité à renoncer à leur passeport australien. La Chine ne reconnaît pas non plus la double nationalité. Plus près de nous, Berlin n'autorise la double nationalité que pour les ressortissants de l'Union européenne et suisses, les Aussiedler (minorités allemandes qui vivaient en Union soviétique), et les enfants nés de deux parents de nationalités différentes. Les étrangers vivant outre-Rhin, ne correspondant pas aux critères susmentionnés, ne peuvent acquérir la nationalité allemande qu'à condition de renoncer à leur nationalité d'origine.

 

En France, est-il possible de restreindre l'accès à la binationalité ? S'il est toujours possible de légiférer en France, certains pays comme Israël et le Maroc, qui pratiquent l'allégeance perpétuelle nationale, ne laissent pas la possibilité à leurs ressortissants de renoncer à leur nationalité.

 

Actuellement, peut-on perdre sa binationalité ? Pour un étranger ayant acquis la nationalité française, cela peut arriver en cas de «changement de situation personnelle». Un Français qui a acquis une autre nationalité peut perdre sa nationalité française par manifestation de volonté, via une déclaration auprès du consulat français du pays de résidence ou, s'il vit en France, auprès de la sous-direction des nationalisations. Dans ce dernier cas, la décision sera rendue par décret ministériel.

 

LIRE AUSSI :

 

» Marine Le Pen demande la fin de la binationalité

 

» ANALYSE - France : des binationaux par millions

 

» «130.000 naturalisations par an, c'est trop»

http://www.lefigaro.fr/politique/2011/06/22/01002-20110622ARTFIG00689-la-double-nationalite-une-tradition-francaise.php

 

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03/07/2014

Nicolas Sarkozy sur TF1 : mensonges, erreurs et approximations

Quand les copains de SARKOZY de TF1 et d'Europe 1 lui ouvrent leurs portes pour faire son cinéma et vomir ses mensonges.

Apparemment SARKOZY a dû trouver son diplôme d'avocat dans une pochette surprise pour ignorer les règles du Droit et de la procédure, et critiquer les magistrats.

Pauvre petit chou qui a été choqué par sa garde-à-vue !

Nous rappelons que SARKOZY pour apporter l'immunité judiciaire à tous ses copains républicains francs-maçons, avait envisagé de supprimer le statut du Juge d'Instruction qui est un juge indépendant attaché au siège et qui n'est pas sous la tutelle du Ministère de la Justice et de la Présidence de la République comme tel est le cas pour les Procureurs de la République.

On pleure quand SARKOZY ? Quand tu t'es présenté aux élections sous un nom d'emprunt ? Quand tu nous a imposé le Traité Liberticide de Lisbonne ? Quand tu as déclaré la guerre à la Lybie et fait tuer des innocents au nom du Peuple Français, sans avoir obtenu l'autorisation du Parlement pour lancer la guerre sur les deniers des français ? Une habitude apparemment des VRP des Illuminati/Sionistes ! On pleure quand SARKOZY quand tu as livré la France aux banksters US/UE/Sionistes ?

Une chose est sûre une place peut lui être réservée dans un théâtre pour aller jouer au mauvais acteur ! Et il n'est plus à un mensonge près !

Heureusement que les journalistes rédacteurs de l'article ci-dessous, font enfin un travail de recherches et qu'ils ne nous perfusent pas leur propagande infâme habituelle.

Nicolas Sarkozy sur TF1 : mensonges, erreurs et approximations

Le Nouvel Observateur

Publié le 03-07-2014 à 15h25

 

Instrumentalisation de la justice ? Acharnement ? Ecoutes illégales ? Pour mieux se poser en victime, Nicolas Sarkozy a pris de nombreuses libertés avec les faits...

Nicolas Sarkozy (Sipa)
Nicolas Sarkozy (Sipa)

L'heure de la contre-offensive médiatique a sonné pour l'ancien Président de la République. Au lendemain de sa garde à vue, Nicolas Sarkozy s'est rendu sur TF1 et Europe 1 pour présenter sa défense devant les Français. Lui qui est désormais mis en examen pour corruption active et trafic d'influence présumés a joué la carte de la victimisation. Quitte à prendre des libertés avec les faits...

1. "Est-il normal que je sois écouté ?" > OUI

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Est-il normal que je sois écouté dans mes conversations les plus intimes (...) que les conversations qui sont les miennes, avec mon avocat, soient écoutées et diffusées en violation de tout secret de l'instruction par des journalistes, des médias."

- OUI. La contestation des écoutes de Nicolas Sarkozy et de son avocat Thierry Herzog est le principal angle de défense des intéressés. Le dossier repose sur ces écoutes, qui ont révélé un trafic d'influence supposé : Nicolas Sarkozy aurait tenté d'obtenir des informations sur le dossier Bettencourt auprès du haut magistrat Gilbert Azibert, qui aurait réclamé en échange un poste à Monaco.

Les écoutes judiciaires sont soumises à des règles précises, détaillées sur le site du ministère de l'Intérieur. Pour l'avocat de Nicolas Sarkozy, "les conversations entre un avocat et son client ne peuvent être écoutées, pire enregistrées et retranscrites pour fonder l'ouverture d'une information". Ce n'est pas l'avis de la Cour de cassation : "La conversation [entre un avocat et son client] ne peut être transcrite et versée au dossier de la procédure que s'il apparaît que son contenu est de nature à faire présumer la participation de cet avocat à une infraction". Or, dans cette affaire, c'est justement le cas, puisque Me Herzog est également mis en examen.

- Quant à la diffusion de ces écoutes dans les médias, la jurisprudence française et européenne tend à reconnaître une liberté d'expression presque illimitée en cas de "questions d'intérêt général". Ce qui est le cas ici, puisque Nicolas Sarkozy est un ancien président, une personnalité publique. La violation du secret de l'instruction (par les personnes qui ont fait "fuiter" le contenu des écoutes) est, elle, répréhensible.

2. Les juges ont "l'obsession de me détruire" > Vraiment ?

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Est-il normal qu'on choisisse pour instruire une affaire, où mon nom est cité, un magistrat qui appartient au Syndicat de la magistrature", "dont l'obsession politique est de détruire ?"

- PROCES D'INTENTION. La juge Claire Thépaut est effectivement engagée au Syndicat de la magistrature (SM), marqué à gauche. Elle a été déléguée syndicale pour la région parisienne jusqu'en 2012. Cependant, l'appartenance à un syndicat est tout à fait légale. C'est même une liberté constitutionnelle. En outre, la magistrate n'agit pas seule, mais en binôme avec la juge Patricia Simon. Toutes leurs décisions sont susceptibles d'un recours devant la chambre de l'instruction.

Et contrairement à ce qu'affirment les sarkozystes, Claire Thépaut n'a pas signé de tribune anti-Sarkozy sur Mediapart. La juge n'apparaît que dans un article, dans lequel elle livre un témoignage sur le manque d'effectifs au tribunal de Bobigny.

3. "Il y a une volonté de m'humilier" > FAUX

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Est-il normal que je sois placé en garde à vue pendant 15 heures ? (…) Monsieur Cahuzac (…) n'a pas fait une seconde de garde à vue."

- OUI, MAIS... Jérôme Cahuzac n'a pas fait de garde à vue car l'ancien ministre socialiste du Budget avait d'ores-et-déjà avoué sa fraude fiscale. Longtemps, l'usage voulait que les responsables politiques bénéficient d'un régime d'exception. Ni Jacques Chirac, ni Alain Juppé, ni Charles Pasqua n'ont connu de garde à vue. Les temps ont changé. Nombreux sont les responsables politiques entendus sous le régime de la garde à vue : Jean-Noël Guérini, Claude Guéant, Dominique Strauss-Kahn, Dominique de Villepin...

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Le statut de la garde à vue n'est pas un statut normal."

- FAUX. Les juges auraient pu entendre Nicolas Sarkozy dans le cadre d'une audition libre, mais alors la durée n'aurait pas pu dépasser quatre heures. Les 15 heures de la garde à vue de Nicolas Sarkozy n'ont en soi rien de choquant. Il est même "exceptionnel" que l'on reparte aussi vite, souligne Julia Katlama, avocate pénaliste au Barreau de Paris, sur Slate.

Ce que dit Nicolas Sarkozy : Les juges "m’ont signifié, sans même me poser une question, trois motifs de mise en examen, avant même d’avoir répondu à quoi que ce soit."

- NORMAL. Les juges ont appliqué l'article 116 du code de procédure pénale : "Le juge d'instruction constate l'identité de la personne et lui fait connaître expressément, en précisant leur qualification juridique, chacun des faits dont il est saisi et pour lesquels la mise en examen est envisagée."

4. "Il y a une instrumentalisation de la justice" > Vraiment ?

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "La situation [est] suffisamment grave pour que je dise aux Français ce qu'il en [est] de l'instrumentalisation politique d'une partie de la justice aujourd'hui. [...] Il y a une instrumentalisation de la justice, les choses sont claires."

THEORIE DU COMPLOT. Nicolas Sarkozy et ses proches tentent depuis des mois de distiller l'idée que l'exécutif, de François Hollande à Christiane Taubira, serait le responsable des déboires judiciaires de l'ancien président. Tout est instrumentalisé : du lapsus à la petite phrase non sourcée.

  • Taubira, la cible privilégiée

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Madame Taubira, garde des Sceaux, sur le plateau de monsieur Bouleau, a été convaincue de mensonge lorsqu'elle a dit : 'Je n'ai jamais eu connaissance des écoutes des conversations de monsieur Sarkozy'."

Christiane Taubira a elle-même tendu le bâton pour se faire battre. Sur TF1, la Garde des Sceaux a assuré qu'elle "n'avait pas l'information" sur les écoutes de Nicolas Sarkozy avant leur divulgation dans la presse. Mais elle a ensuite brandi, avec un amateurisme certain, un courrier prouvant que son cabinet était au courant depuis quelques jours. Finalement, sa directrice de cabinet affirmera ne pas lui avoir transmis le courrier dans les temps. En tout état de cause, la ministre assure n'avoir jamais été informée du contenu des écoutes.

  • Valls et les "faits supposés"

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Monsieur Valls a menti lorsqu'il était ministre de l'Intérieur."

- Lors de la révélation des écoutes, Manuel Valls a affirmé avoir été informé par la presse. Ce dont doutent notamment d'anciens ministres de l'Intérieur, qui assurent que ce genre d'affaires sensibles remontent jusqu'au ministre.

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Ce matin même, monsieur Valls dit : 'Les faits qui sont reprochés à Nicolas Sarkozy sont très graves.' Mais qu'en sait-il ? (...) Il aurait dû dire 'Les faits supposés, reprochés à monsieur Sarkozy'."


Sarkozy mis en examen: "les faits sont graves...par BFMTV

- Dans un respect scrupuleux de la présomption d'innocence, Manuel Valls aurait en effet dû dire "les faits supposés", sur BFMTV, mercredi matin, au lieu de : "Les faits sont graves, vous venez de rappeler la mise en cause." Néanmoins la critique de Nicolas Sarkozy peut surprendre venant d'un ancien président qui avait évoqué "les coupables" de l'affaire Clearstream... avant même ledit procès.

  • Sapin et son lapsus

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Monsieur Sapin, ministre des Finances, a déclaré dans une interview récente, stupéfiante de sincérité : 'Sarkozy, mais on va s'en occuper !'"

LAPSUS. Il s'agit d'un lapsus du ministre, en mars 2014. Michel Sapin souhaitait recentrer son propos sur le sujet du jour : "Au début il y des enquêtes contre Nicolas Sarkozy, à la fin il y a des enquêtes sur Nicolas Sarkozy. Et on va s'occuper des enquêtes de Nicolas Sarkozy... Enfin, les juges vont continuer à s'occuper des enquêtes de Nicolas Sarkozy."


Le lapsus de Michel Sapin par Europe1fr

5. Avec Bygmalion, "il n'y a jamais eu de double facturation" > FAUX

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "En ce qui concerne ma campagne, je le dis à tous ceux qui m'ont soutenu, il n'y a jamais eu le moindre système de double facturation."

FAUX. Les aveux de Jérôme Lavrilleux montrent le contraire. Le directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy a admis le 26 mai que des meetings de la présidentielle ont été indument facturés à l'UMP : "une partie" du coût des meetings "a été intégrée dans le compte de campagne", "une autre absorbée par l'UMP". L'avocat de Bygmalion le reconnaît également.

Une double-comptabilité a bien été mise en place. Le site Mediapart a dévoilé que 58 fausses factures, pour un montant de 15 millions d'euros, ont été adressées à l'UMP par Event & Cie, la filiale événementielle de Bygmalion. Les frais de campagne de Nicolas Sarkozy ont ainsi atteint 39 millions, alors qu'un candidat ne peut dépasser 22,5 millions, selon la loi. Soit, pour 44 meetings de Sarkozy, autant de fraudes.

Ce que dit Nicolas Sarkozy : "Ma campagne n'a pas coûté un centime au contribuable !

FAUX. S'il est vrai que les comtes de campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidentielle de 2012 n'ont pas été remboursés - en raison du dépassement de 466.118 euros découvert par le Conseil constitutionnel - le contribuable a bel et bien mis la main au portefeuille. Endettée, l'UMP a fait appel à ses sympathisants pour récolter 11 millions d'euros. Tous les donateurs de ce "Sarkothon" ont eu droit à une déduction fiscale de 66% du montant versé. Ainsi, un militant qui versait 100 euros a payé en réalité 34 euros de sa poche, tandis que l'Etat lui a reversé 66 euros en réduction d'impôts.

Renaud Février et Baptiste Legrand - Le Nouvel Observateur

http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20140703.OBS2635/n...

Quand SARKOZY fait allégeance publique en s'adressant et en, en appellant à ses amis, frères et maîtres Francs-maçons !

Sarkozy a souhaité utiliser l'organe de propagande médiatique pour soi-disant s'adresser aux français, dont il se fiche éperdument.

En vérité, il a voulu faire allégeance publique, en s'adressant et en, en appelant à ses amis, frères et maîtres Francs-maçons !

On ne sait jamais si parmi les juges de la république maçonnique il pouvait s'en trouver quelques-uns qui pouvaient arranger ses dossiers judiciaires et lui faire obtenir la relaxe.
 
En effet, pour ceux qui connaissent l'histoire de France et notamment la période de la soi-disant révolution française qui n'a jamais existé, la France est encore et toujours à ce jour, une Monarchie. Les termes choisis par SARKOZY dans ses dernières déclarations, ne font aucun doute sur le public qu'il souhaitait toucher et notamment les inventeurs de la République soit, la secte maçonnique sioniste dont il est le VRP pour les aider à instaurer leur Nouvel Ordre Mondial.
 
La révolution française a été fomentée par la secte maçonnique sioniste, afin de détruire la monarchie et l'église catholique, et de prendre leur place sur le territoire français.
 
LA REPUBLIQUE = LA REPUBLIQUE MACONNIQUE et non pas la France ni le peuple français.s

LES PRINCIPES REPUBLICAINS = LES PRINCIPES MACONNIQUES.
 
Quant à l'Etat de Droit nous y repasserons, n'est-ce pas ?
 
 
EXTRAIT : « Je n'ai jamais commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit », affirme l'ancien président.

 
 
Nicolas Sarkozy lors de son interview, le 2 juillet 2014.
 
 
« Je n'ai jamais commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit », affirme l'ancien président.

”La Franc-maçonnerie, religion de la République”, c'est Peillon qui le dit )

 
 
 
La suite ci-dessous :

 
jeudi 3 juillet 2014  
 
  C'était le principal message qu'il entendait adresser aux Français, mercredi soir lors de son interview radiotélévisée : Nicolas Sarkozy est bien décidé à revenir au pouvoir en 2017.  
Pour mieux revenir, Nicolas Sarkozy se victimise
 
C'était le principal message qu'il entendait adresser aux Français, après sa mise en examen : il reste bien décidé à revenir au pouvoir en 2017.
 
 
 
  Nicolas Sarkozy lors de son interview, le 2 juillet 2014.  
Nicolas Sarkozy : « Je ne suis pas un homme qui se décourage devant les vilenies »
 
« Je n'ai jamais commis un acte contraire aux principes républicains ou à l'Etat de droit », affirme l'ancien président.
 
 
 
  Nicolas Sarkozy, à Nice, le 10 mars.  
Les intox des sarkozystes sur Claire Thépaut
 
L'une des deux magistrates qui enquêtent sur l'affaire des écoutes est la cible des attaques tous azimuts du camp Sarkozy. Dont une bonne part d'intox.
 
 
 
  Nicolas Sarkozy, le soir de sa mise en examen et de son entretien radiotélévisé, mercredi 2 juillet à Paris.  
Une majorité de Français jugent que Sarkozy est « traité comme n'importe quel justiciable »
 
Pour 63 % des personnes interrogées dans un sondage BVA, l'ex-président est traité comme n'importe quel justiciable.
 
 
 
  Pour le président du groupe socialiste à l'assemblée nationale Bruno Leroux « M. Sarkozy manque à tous les principes de responsabilité quand il cherche à dresser l'opinion contre ses juges ».  
Sarkozy a confondu « les affaires de l'Etat avec ses intérêts et ceux de son clan »
 
Pour le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Leroux, « M. Sarkozy manque à tous les principes de responsabilité quand il cherche à dresser l'opinion contre ses juges ».

Ukraine/Russie/Gaz : Rothschild et Israël derrière le conflit gazier et pétrolier ?

Le projet est-il celui pour Rothschild et son état privé sioniste d'Israël d'éliminer la Russie pour pouvoir exporter le gaz en Europe, dès l'année 2014, voire d'aller coloniser les réserves de gaz russes ?

Ainsi pendant que l'on nous occupe l'esprit avec l'Ukraine et la Russie, Rothschild et l'état sioniste avancent sur leurs affaires fructueuses. Voir ci-dessous :

Ukraine/Russie : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

La Méditerranée orientale aiguise les appétits

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Pour comprendre que les évènements en Irak, en Syrie, en Libye, en Ukraine, à Gaz/A au Liban, en Cisjordanie, en Afrique, etc... sont liés, toujours dans l'objectif de permettre à l'Oligarchie financière des banskters de virer les dirigeants mondiaux qui s'opposent à l'empire US/UE/Sioniste/Dollar afin de leur permettre d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial contrôlé par les élites Illuminati/sionistes/reptiliens/jésuites/satanistes et de s'accaparer toutes les richesses de la Terre.

Leurs motifs ne sont donc pas que financiers mais idéologiques, ceux d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial unipolaire soit, leur Nouvel Ordre Mondial.

Lire ci-dessous quelques articles portant sur les projets pétroliers et gaziers d'Israël au détriment de Gaza et d'autres pays limitrophes à Israël :


Extraits : "Sous le mandat britannique, l'Etat juif de Palestine déployait déjà des efforts considérables pour aller chercher ce précieux carburant, le pétrole. Les résultats ne furent pas à la hauteur des espérances. C'est au début des années 1950, après la proclamation de l'Etat, qu'Israël décide de se lancer dans la production d'énergie en reprenant en main ce secteur. Une Loi sur le pétrole est ainsi promulguée en 1952."

"UN PROBLEME GEOPOLITIQUE.
Une fois résolu la définition de son périmètre d'extraction, Israël va faire face à un autre défi géopolitique : le choix des pays de destination et des lieux de transit des surplus gaziers. Deux marchés s'ouvrent désormais au gaz israélien : l'Europe et l'Extrême-Orient. Grâce à des gazoducs sous-marins la voie vers l'Europe transiterait soit par la Turquie, soit par la Grèce."

 

AU LARGE DE LA BANDE DE GAZA.
"Les palestiniens pourraient importer du fuel et du pétrole à des prix plus bas de leurs voisins et supposés alliés riches en pétrole, ou puiser dans les réserves de gaz au large de Gaza découvertes il y a 13 ans par British Gas Group. Les gisements sont estimés à 39 milliards de m3, et suffiraient à couvrir les besoins des palestiniens pendant 15 ans. Pour British Gas, les gisements sont financièrement viables, un accord a été signé entre British Gas, le Palestine Investment Fund et une entreprise appelée Consolidated Contractors Company, pour développer et commercialiser les champs. Pourtant, 13 ans après pas un seul gallon n'a été extrait.
Le développement des champs gaziers de Gaza briserait un monopole important de l'offre israélienne qui ne veut pas que les Palestiniens accèdent à l'autosuffisance énergétique. Israël n'autoriserait l'accès des Palestiniens à leurs propres gisements gaziers que s'ils promettaient de le vendre à Israël à un prix nettement inférieur aux prix mondiaux. Israël a dit aux hommes d'affaire palestiniens, Nous voulons que vous fassiez des affaires, mais pas sans nous. Monopoliser la possibilité de faire des affaires est un autre moyen de domination qui ne coûte rien à Israël." La suite: ICI

Petit préambule sur l'attaque dirigée contre la Russie par le biais de l'Ukraine en 2008/2009 :

Publié le 06/01/2009 à 17:15, Mis à jour le 06/01/2009 à 22:47

 


Voyons ce qui s'est passé par le passé concernant les énormes réserves de gaz maritimes qui appartiennent à la Gaz/A (GAZ/A, GAZA a d'énormes réserves de Gaz qui sont convoitées par Israël depuis des années).

 

Tel Aviv affirme pouvoir alimenter l'Europe en gaz pendant ses guerres d'extension avec l'aide la compagnie Mehriv (mossad), qui a obtenu un contrat gazier au Turkmenistan. Lire ici (en anglais).Source : Islamic Intelligence.

Voici comment Israël voit les choses dans l'article ci-dessous, mais la question est celle de savoir: a qui appartiennent les réserves de gaz dites israéliennes, syriennes, libanaises et gazaouis, et si elles ne sont pas les réelles raisons d'orchestrer les guerres et les évènements que nous connaissons ?

 

 

 

 

 

Et si en même temps on peut aller coloniser l'Afrique par le biais des lobbies sionistes, c'est encore mieux !

 


L'expansion d'Israël et de la colonisation par le biais de l'argent et des banksters.


La question est : quand vont-ils cesser de nous prendre pour des imbéciles ?