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11/03/2014

Ukraine : un revers majeur transformé en victoire tactique pour Poutine

En préambule :

Voici comment la Russie a piégé l'occident et récupéré la Crimée sans tirer un seul coup de feu !

http://cameroonvoice.com/news/article-news-14426.html

Une bonne leçon de morale pour nos politicards, VRP des banskters internationaux promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !

 

Ukraine : un revers majeur transformé en victoire tactique pour Poutine

tsar-poutine

Le 6 mars 2014
 

Nos politicards nous font honte, leur tsar inspire crainte et respect : qui est le mieux loti ?

 

Les pays de l’OTAN, habitués à agir en toute impunité depuis la fin de l’URSS, se sont trouvés fort dépourvus lorsque l’armée russe pénétra en Ossétie du Sud. C’était la première fois depuis vingt ans que l’ancien empire sortait de chez lui pour s’opposer directement aux projets américains. Si nous avions eu un tant soit peu de jugeote, nous aurions vite compris que les choses avaient changé. Pourtant, après la Libye, nous avons osé récidiver en Syrie où, soutenant matériellement et diplomatiquement nos ennemis mortels, nous nous préparions à attaquer le régime de Bachar el-Assad sous le prétexte ridicule et éculé qu’il serait en possession d’armes chimiques. Qu’à cela ne tienne, Poutine prit les Américains à leur propre jeu en faisant publiquement démanteler par Assad son arsenal. L’idée était d’une simplicité enfantine mais il fallait y penser et surtout pouvoir se le permettre. Sans menacer le moins du monde l’Occident, il a éteint son bellicisme par une simple phrase placée au bon moment de la discussion, n’est-ce pas magnifique ? John Kerry jouait les grands cœurs ; poussé dans ses retranchements, il est tombé.

Et nous voilà enfin, après les Jeux de Sotchi dont tout le monde s’accorde à dire qu’ils furent un succès total, à observer comment Poutine tourne à son avantage une situation que nous pensions lui être défavorable. Qu’on en juge : les Bernard-Henri Lévy et Ashton se frottaient les mains à l’idée que l’Ukraine coupe les ponts avec la Russie honnie à la faveur d’une révolte qui aurait pu faire boule de neige. Patatras ! Il apparaît que ces nobles démocrates sont en fait des milices ultra-nationalistes et qu’en outre, la moitié du pays ne se gêne pas pour passer aux Russes. Le cas de la Crimée est emblématique : entre le chef des forces navales ukrainiennes qui ouvre grand les portes du quartier général aux soldats russes et le Parlement élisant un Premier ministre pro-russe parlant de sécession, voire de rattachement… Ce qui devait être un revers majeur s’annonce en fait une victoire tactique pour Poutine qui réussit là un coup de maître : envahir un pays sans verser la moindre goutte de sang !

Évidemment, la comparaison avec nos propres dirigeants est cruelle. Cela éclate maintenant aux yeux du monde : combien de guerres avons-nous menées en des contrées où nous n’avions rien à faire pour des gains politiques nuls ? Les Américains eux-mêmes, avec leur budget de 500 milliards de dollars, n’imposent plus le respect ni à leurs ennemis coréens ou iraniens, ni à leurs alliés d’Israël ou du Pakistan, ni aux Afghans, ni aux Irakiens… Les pays occidentaux tâtonnent comme des amateurs, multipliant les maladresses grossières et les erreurs stratégiques.

Qui ne comprendrait pas, dans ces conditions, que certains peuples rejettent une pseudo-démocratie qui les rend vulnérables et accueillent à bras ouvert un seigneur autoritaire mais conscient de ses responsabilités ? Nos politicards nous font honte, leur tsar inspire crainte et respect : qui est le mieux loti ?

http://www.bvoltaire.fr/charlesrouvier/ukraine-revers-majeur-transforme-en-victoire-tactique-pour-poutine,52507

 

L’AS DES AS. Ukraine (Crimée): Vladimir Poutine, le maître du jeu ou le métronome

Et un second but à zéro pour Poutine !

Et sans verser une goutte de sang, SVP !!

L’AS DES AS. Ukraine (Crimée): Vladimir Poutine, le maître du jeu ou le métronome

Publié le mar 11, 2014 @ 19:18

Vladimir Poutine

Vladimir Poutine

La meute des aboyeurs a complètement perdu le contrôle de la situation. Il ne leur reste que des cris d’orfraie pour tenter d’exister. Moscou a balayé du revers de la main le "groupe de contact" auquel avaient appelé la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président américain, Barack Obama. On ne peut, d’une part, faire ce vœu pieux, et dans le même temps passer par des sanctions/menaces pour tenter d’infléchir la position du Kremlin qui, sans pousser les régions de l’est de l’Ukraine au bord de l’implosion, vient clairement de mettre une pression supplémentaire sur l’Occident, en promettant de soulager la Crimée avec un apport conséquent de 800 millions d’euros, rubis sur l’ongle.

La réponse du berger à la bergère.

Pour les rendre encore plus fous, puisque les putschistes-nazis de Kiev sont adoubés par l’Occident, la Russie a elle aussi jugé légitime la déclaration d’indépendance adoptée mardi par le parlement de la république autonome ukrainienne de Crimée, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères. Les poils hérissés, les Occidentaux ne savent plus à quels saints se vouer. Hélas, ils n’auront plus que leurs larmes pour pleurer, avec cette déclaration sans nuance de Moscou:

"Le ministère russe des Affaires étrangères qualifie de légitime la décision du parlement de Crimée. La Fédération de Russie respectera pleinement les résultats du référendum programmé en Crimée (pour le 16 mars) où assisteront les observateurs de l’OSCE"

C’est le ministère russe, dans un communiqué, qui a fait l’annonce.

Le peuple aura le dernier mot

Moscou a piégé l’Occident en acceptant enfin que les 54 observateurs internationaux dépêchés par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à entrer dans la péninsule de Crimée. Leur rapport suite au référendum du 16 mars, par exemple s’ils disent qu’il y a eu des fraudes risque d’être très amusant. Les choses sont faites et rien ne sert de jouer demain, les vierges effarouchées. La population, russophone à plus de 90% et russophile, a déjà fait son choix et le scrutin ne sera qu’une formalité.

Quand hier, à Donetsk, près de 10 000 manifestants pro-russes ont défilé, contraignant le "leader" pro-européen Vitali Klitschko, L’ami de Botul qui était récemment à l’Elysée -vous savez, le mec qui n’a pensé des années durant qu’avec ses muscles-, candidat à l’élection présidentielle, à annuler son meeting, on peut se dire que c’est plié. Les autres contrées de l’est, du sud-est et du sud emboîteront, sans doute, le pas à la Crimée. Ils vous diront que la Russie les a annexés, flouant comme le fait Obama, l’autodétermination des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ces gens, quand les règles qu’ils ont édictées ne correspondent pas à leur idéologie du moment, ils renversent toujours la table. Des losers on vous dit !

L’ultime syncrétisme ou la quenelle supplémentaire

Les députés du Parlement pro-russe de Crimée ont déclaré ce mardi la péninsule indépendante de l’Ukraine, étape préalable avant le référendum de dimanche pour permettre son rattachement à la Russie. «Une déclaration d’indépendance de la république autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol» a été adoptée par 78 des 81 députés présents, selon un communiqué de ce parlement élu, lui, et considéré comme illégal par les autorités de Kiev, élus à la criée ou s’auto-désignant. Qui est plus légitime ?

La Crimée est russe. Définitivement. Les forces russes, qui a vu les autorités locales craindre une attaque des nazis de Kiev, contrôlent désormais les points stratégiques de la péninsule. le Premier ministre de la région, Serguiï Axionov a pris en charge les forces armées et les 2 millions de Criméens, majoritairement russophones, ont vu les chaînes russes remplacer les chaînes ukrainiennes sur leur poste de télévision. La radio militaire ukrainienne a cessé d’émettre et la plupart des militaires ukrainiens ont fait allégeance à Moscou. Des forces d’auto-défense non-identifiées, en treillis et vestes fourrées et cagoules fouillent tout voyageur arrivant à Simféropol en provenance du Nord. Que les amateurs se taisent à jamais car, "trop parler c’est une maladie"

T.P. Poly-Rythmo De Cotonou (Benin)
Trop Parler, C'est Maladie (80's Classic Soukous!!!!)

http://www.youtube.com/watch?v=PfZzm8H4YCE

http://allainjules.com/2014/03/11/las-des-as-ukraine-crim...

 

 

 

Le parlement de Crimée déclare son indépendance de l'Ukraine avant le référendum du 16 Mars !.

 Et une ENORME QUENELLE au système pourri et néonazi occidental à commencer par la France, l’Europe et l’US/Israël !

L’autodétermination des peuples c’est ça !

Qu’attendons-nous pour sortir de l’Europe, la dictature des Peuples Européens ?

Le parlement de Crimée déclare son indépendance de l’Ukraine avant le référendum du 16 Mars !…

http://scd.france24.com/fr/files_fr/imagecache/france24_ct_api_bigger_169/article/image/crimee-parlement.jpg

© AFP | Le chef de la diplomatie française

Texte par FRANCE 24

Dernière modification : 11/03/2014

Le Parlement de Crimée a adopté, mardi, une déclaration d'indépendance vis-à-vis de l'Ukraine. Une étape préalable au référendum prévu dimanche, qui permettra le rattachement de la province à la Russie.

La Crimée fait un pas de plus vers la Russie. Les députés du Parlement pro-russe de Crimée ont déclaré, mardi 11 mars, la péninsule indépendante de l'Ukraine, étape préalable avant le référendum de dimanche pour permettre son rattachement à Moscou.

"Une déclaration d'indépendance de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol" a été adoptée par 78 des 81 députés présents, selon un communiqué de ce Parlement, considéré comme illégal par les autorités de Kiev.

Cette initiative des parlementaires intervient alors que les forces russes contrôlent les points stratégiques de la péninsule ukrainienne depuis la semaine dernière. Tout est en place pour une sécession rapide de la péninsule : le "Premier ministre" Serguiï Axionov s'est autoproclamé "chef des armées" et les deux millions de Criméens, majoritairement russophones, ont vu les chaînes russes remplacer les chaînes ukrainiennes sur leur poste de télévision. Des hommes en treillis fouillent tout voyageur arrivant à Simféropol en provenance du Nord et seuls les vols en provenance de Moscou peuvent y atterrir.

Pour le président déchu Viktor Ianoukovitch, la péninsule de Crimée se sépare de l'Ukraine en raison de ceux qui l'ont contraint à quitter le pouvoir. S'exprimant devant des journalistes à Rostov-sur-le-Don, en Russie, il a rappelé qu'à ses yeux, il était toujours "le président légitime de l'Ukraine " et a assuré qu'il rentrerait bientôt à Kiev.

Les Occidentaux jugent le référendum illégitime

De leur côté, les pays occidentaux ont jugé le vote du 16 mars illégitime et averti Moscou qu'ils pourraient prendre des sanctions à son encontre. John Kerry a prévenu, samedi, que toute initiative de Moscou en vue d'annexer la Crimée mettrait fin aux efforts diplomatiques pour régler la crise russo-ukrainienne.

Laurent Fabius a également adopté un ton des plus fermes envers Moscou, mardi 11 mars. Selon le chef de la diplomatie française, des sanctions contre la Russie pourraient être prises dès cette semaine, si Moscou ne répond pas à la proposition transmise par le secrétaire d'État américain, John Kerry, pour éviter une escalade en Ukraine.

"Nous leur avons envoyé une proposition pour cette désescalade. S'ils répondent positivement, John Kerry ira à Moscou et, à ce moment-là, les sanctions ne seront pas immédiates", a-t-il déclaré sur France Inter. "S'ils ne répondent pas ou s'ils répondent négativement, à ce moment-là, il y aura un train de sanctions qui pourra être pris dès cette semaine", a-t-il ajouté.

Un possible gel des avoirs

Laurent Fabius a notamment cité le possible gel d'avoirs personnels visant des Russes ou des Ukrainiens, ou des sanctions en matière de visas.

"De toutes les manières, le seul vote légitime, c'est le vote du 25 mai pour le président de la République en Ukraine. Le vote du 16 mars n'a aucune légitimité", a ajouté Laurent Fabius, en référence au referendum programmé sur un rattachement de la Crimée à la Russie.

Le Parlement de Crimée a fait, jeudi 6 mars, un pas de plus vers la partition de l'Ukraine en demandant à Vladimir Poutine le rattachement de la péninsule à la Russie et en annonçant un référendum le 16 mars.

Avec Reuters et AFP        

http://www.france24.com/fr/20140311-sanctions-ukraine-cri...

 

Le parlement de Crimée déclare son indépendance de l’Ukraine avant le référendum du 16 Mars !…

L’assemblée nationale de Crimée déclare son indépendance de l’Ukraine avant le référendum

RT - 11 mars 2014

 url de l’article original:

http://rt.com/news/crimea-parliament-independence-ukraine...

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

L’assemblée nationale de la république autonome de Crimée a adopté une déclaration d’indépendance de l’Ukraine, ce qui est nécessaire pour tenir le referendum prévu le 16 mars.

Nous, membres de l’assemblée nationale (parlement) de la République Autonome de Crimée et de la Mairie de Sébastopol, en considération de la charte des Nations-Unies et d’un grand nombre de documents internationaux, prenant en considération la confirmation du statut du Kosovo par les Nations-Unies et sa cour internationale de justice en date du 22 Juillet 2010, qui dit que la déclaration unilatérale d’indépendance d’une partie d’un pays ne viole aucunement quelques normes internationales que ce soit, nous prenons cette décision,” dit le texte de la déclaration qui a été publié par les médias de Crimée.

“Ce document est très important à la fois pour le référendum à venir et pour que la Crimée puisse rejoindre la Russie”, a dit un employé du service de presse de l’assemblée de Crimée à l’agence RIA-Novosti.

Ce document a été adopté durant une session extraordianire de l’assemblée de Crimée.

D’après le membre du service de presse, 78 des 100 parlementaires ont voté en faveur de cette déclaration.

Après le référendum, la Crimée en tant qu’état indépendant demandera aux autorités russes de rejoindre la Fédération de Russie”, a-t’il ajouté.

http://resistance71.wordpress.com/2014/03/11/le-parlement...

Crimée: Moscou juge légitime la déclaration d'indépendance

Dossier: L’avenir de la Crimée

Crimée: Moscou juge légitime la déclaration d'indépendance

Crimée: Moscou juge légitime la déclaration d'indépendance

© REUTERS/ Baz Ratner

19:49 11/03/2014

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

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Multimédia

La Russie juge légitime la déclaration d'indépendance adoptée mardi par le parlement de la république autonome ukrainienne de Crimée, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères.

"Le ministère russe des Affaires étrangères qualifie de légitime la décision du parlement de Crimée. La Fédération de Russie respectera pleinement les résultats du référendum programmé en Crimée (pour le 16 mars) où assisteront les observateurs de l'OSCE", a indiqué le ministère dans un communiqué.

Le Conseil suprême de Crimée a adopté mardi la déclaration d'indépendance de la république autonome et de la ville de Sébastopol à l'égard de Kiev. Selon la déclaration, la Crimée "deviendra un Etat indépendant et souverain avec une forme républicaine de gouvernement", si le référendum du 16 mars débouche sur son rattachement à la Russie.

La semaine dernière, le parlement de Crimée a voté en faveur de l'adhésion de la république au sein de la Fédération de Russie et décidé d'organiser un référendum sur ce sujet le 16 mars.

http://fr.ria.ru/world/20140311/200693597.html

 

21/01/2014

Belgique,Pédophilie : L'ultime crime de Dutroux !

 

La réaction du Député Laurent Louis à l’annonce de ce nouvel élément apporté au dossier, ce d’autant plus qu’il passe demain devant le Tribunal Correctionnel de Bruxelles.

 

Très content qu’un vent favorable ait permis à la DH de se procurer une lettre de 44 pages de Dutroux. Nous pourrons tous découvrir demain dans ce journal les propos de Dutroux. Bien entendu, il serait sot de croire tout ce que Dutroux raconte mais n’oublions pas que même le diable peut dire des vérités ! Il serait dès lors inadmissible de faire comme tous les médias et de tout rejeter d’un revers de la main au prétexte que les révélations viendraient de Dutroux.

A ce que je sache, cet individu est le mieux placé pour savoir ce qui s’est passé et surtout quelles sont les personnes impliquées.

N’oublions pas que des milliers de traces ADN ont été retrouvées dans la cache de Marcinelle, des traces qui n’ont jamais été analysées... Comme par hasard...

N’oublions pas non plus que les rapports d’expertises médico-légales prouvent que Julie et Mélissa ont été violées atrocement avant de décéder. La Justice nous a fait croire que les fillettes étaient mortes de faim sans voir personne pendant plus de 103 jours d’enfermement dans la cache... Comment expliquer que des dilatations anales et vaginales, très visibles lors des expertises, persistent pendant 103 jours ? C’est scientifiquement impossible ! Lors du viol et de l’assassinat de Julie et de Mélissa, Dutroux était en prison. Il n’a donc pas pu violer et tuer les fillettes ! Qui a violé et tué Julie et Mélissa ? Personne n’a jamais voulu répondre à ces questions jusqu’ici ! Quelle honte !

Et dire que je passerai demain devant la Chambre du Conseil pour avoir osé remettre en question la vérité judiciaire et demander la ré-ouverture du dossier BIS, ce fameux dossier qui devait enquêter sur les protections et les réseaux, un dossier qu’on s’est empressé d’étouffer... Suite aux révélations de Dutroux et aux incohérences du dossier, il est vital pour notre pays de demander la ré-ouverture du dossier bis et de le confier à un magistrat au-dessus de tout soupçon !

L’ultime crime de Dutroux !

Rédaction Publié le lundi 20 janvier 2014 à 17h42 - Mis à jour le lundi 20 janvier 2014 à 20h57

http://r.ldh.be/image/e5/52dd7f733570ba3e183ef9e5.jpg

Faits divers Après avoir tué des enfants, il tente… de tuer la vérité.

Pour tenter l’impossible. Obtenir toute la vérité et rien que la vérité sur le drame de sa vie. Jean-Denis Lejeune avait envoyé en date du 27 août 2012 une lettre à Michelle Martin, l’ex-femme et complice de Marc Dutroux. « Vous êtes maintenant libre et je reste prisonnier de ma douleur. J’ai envie de hurler » , lui confiait-il alors pour l’enjoindre à répondre aux « questions dont l’absence de réponse a fait de (sa) vie un enfer ».

La DH vous révèle aujourd’hui en exclusivité que l’ennemi public numéro 1 utilise ce cri de détresse pour tenter… de tuer la vérité dans une lettre manuscrite prétendument… adressée qu’à Jean-Denis Lejeune, « son légitime destinataire » pour reprendre ses mots. L’odieux pédophile y explique notamment pouvoir « enfin (se) considérer libéré du devoir de (se) taire parce la mère de (ses) enfants est enfin sortie de prison » et avoir « le devoir de répondre aux questions (du papa de Julie) parce que (Michelle Martin) ne veut pas et ne peut plus (lui) répondre honnêtement » .

Il nous faut pourtant vous assurer que l’objectif de Dutroux n’est malheureusement pas d’aider les parents de ses victimes à répondre aux questions qui les tourmentent mais, au contraire, d’alimenter la théorie d’un gigantesque complot politico-judiciaire à son encontre comme il l’avait déjà fait auparavant. Il ne livre en effet aucun élément nouveau qui permettrait d’accréditer le moindre de ses fantasmes. Il préfère – et c’est bien plus facile – faire parler les morts pour se dédouaner de toute responsabilité et se présenter comme une victime, soi-disant tout autant qu’eux en quête de « la Vérité » . Il va à cet égard jusqu’à expliquer qu’il ne serait en réalité même pas pédophile !

Tout au long de 44 pages… le psychopathe prend également un malin plaisir – et vous en jugerez par vous-mêmes – dans votre DH de ce mardi !

Lettre de Marc Dutroux: Dominique Demoulin analyse la lettre

http://www.rtl.be/videos/video/473364.aspx


Lettre de Marc Dutroux: Dominique Demoulin analyse la lettre

Lettre de Marc Dutroux: analyse du psychiatre Isidore Pelc

http://www.rtl.be/videos/video/473365.aspx


Lettre de Marc Dutroux: analyse du psychiatre Isidore Pelc

Lettre de Marc Dutroux: sa "vérité" va à l'encontre de la vérité judiciaire

http://www.rtl.be/videos/video/473366.aspx


Lettre de Marc Dutroux: sa "vérité" va à l'encontre de la vérité judiciaire

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http://www.dhnet.be/actu/faits/l-ultime-crime-de-dutroux-...

 

20/01/2014

Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

Voilà pourquoi, il ne suffirait pas de mettre Hollande dehors ! Il faut mettre dehors, toute la Grandee famille sioniste Rothschild et tous ses VRP dits politiques et toutes leurs officines sionistes !


Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …

4 septembre 2013

Bienvenue ici le blog RS017, la Banque Rothschild dirige la france

TROP FORT …
QUI DIRIGE LA FRANCE LA BANQUE Rothschild SI  SI PREUVE …

 http://www.youtube.com/watch?v=Na3LlV5hoQA

 

Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :

Emmanuel Macron qui s’occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.

Dans le documentaire de Patrick Rotman, Le Pouvoir, il crève l’écran

Brillant, sympathique, charmeur, le secrétaire général adjoint de l’Elysée,  Emmanuel Macron, a les convictions de la gauche libérale. Mais les prudences de  François Hollande l’obligent à la patience.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...

C’est un dîner comme Paris sait les mitonner. Des banquiers, des  communicants, des conseillers de ministre… de droite et de gauche. Nous sommes  à la fin de 2008, Nicolas Sarkozy dirige la France, tandis que François  Hollande a pris le sombre corridor qui mène aux oubliettes de  l’Histoire. Il n’est plus premier secrétaire du PS et les socialistes commencent  à regarder Dominique Strauss-Kahn avec les yeux de Chimène.

Autour de la table, deux hommes font connaissance en parlant politique. « En  2012, ce sera François Hollande, je mise sur lui », dit le premier au  second, qui le prend pour un fou. En Bourse, on appelle cela « acheter à la  baisse » et il n’est pas étonnant que ce hollandais précoce soit directeur à  Rothschild & Cie Banque. Il se nomme Emmanuel  Macron. Moins de quatre ans plus tard, le 15 mai 2012, il devient,  à 34 ans, secrétaire général adjoint de la présidence de la  République.

Très vite, Macron se fait remarquer. Par son âge, un objet de curiosité – il  fréquente l’école primaire à l’époque où Laurent Fabius habite Matignon. Par son parcours, une  hyperbole de l’excellence: en sixième, il connaît déjà les racines grecques et  latines de la langue française (1). Par ce supplément d’âme qu’il donne à son CV  d’énarque en tâtant de la philosophie – il est un temps l’assistant de Paul  Ricoeur – et de la politique – il milite dans le Pas-de-Calais dans les années  2000. 

Emmanuel Macron, 35 ans, grand-père…

Par sa vie personnelle, pas banale. Quand il dit qu’il va rejoindre ses  petits-enfants en week-end, le trentenaire ne parle pas de ses enfants en bas  âge, mais bien de ses petits-enfants. En réalité, ceux de sa femme, vingt ans de  plus que lui et mère de trois grands adultes. Cette professeure de français  enseigne dans une institution religieuse réputée de la capitale. « Elle est de  ces profs dont les élèves se souviennent longtemps, parce qu’elle leur a donné  le goût de la littérature », relate l’un de ses collègues.

Avant d'entrer à l'Elysée, il a demandé à avoir la main sur l'économie, le social et l'Europe.
Avant d’entrer à l’Elysée, il a demandé à avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe.REUTERS/Bertrand Langlois/Pool

Ces derniers temps, Emmanuel Macron est dans la peine: en avril, il a perdu  sa grand-mère. Une passion. A 5 ans, le petit Amiénois demande à vivre avec  cette directrice d’école. En pratique, elle l’élève autant que ses parents, tous  deux médecins. Cet enfant de la bourgeoisie et de la province, formaté par les  jésuites et les écoles de l’élite, n’a pas le cynisme de son profil. Il est  (encore?) protégé par son enthousiasme, voire sa naïveté, et par son humour. A  l’Elysée, pendant les réunions ennuyeuses – et il y en a -, il envoie des SMS  aux autres conseillers, ceux qu’il aime bien, pour croquer une situation ou  moquer un personnage. Il en expédie aussi à 2 heures du matin: le Mozart de  l’Elysée dort de quatre à cinq heures par nuit, par obligation, par  inclination.

A l’Inspection des finances (2004-2008), il ne se signale pas uniquement par  un rapport sur la gestion de la trésorerie de l’Etat. Il fait rire ses  camarades. « Il était mon voisin de bureau et, quand je rentrais de mission,  j’allais le voir pour décompresser », raconte Sébastien Proto, le jumeau de  Macron. Elèves de la promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA (2004), ces deux-là alternent  cabinets et banque d’affaires. La gémellité s’arrête là où commence la  politique: « Je suis de droite, sarkozyste, il est de gauche », affirme Proto, qui  a travaillé avec Eric Woerth et Valérie Pécresse. Les deux hommes ont échangé  beaucoup de textos durant la campagne. Ils continuent à se voir et à « se faire  la bise ».

La Sarkozie l’a dragué en 2007, en vain

Macron aurait pu, lui aussi, embrasser la Sarkozie, qui l’a sollicité en  2007. « Mais il avait choisi la gauche, confirme un ancien conseiller de  l’ex-président, bien que, intellectuellement, je ne voie pas très bien ce qui  nous sépare. Du moins en matière économique. » Il n’est pas étonnant que deux  tenants d’une gauche pétrie de réalisme, Jean-Pierre Jouyet, ami de Hollande, et Jacques Attali, recruteur du jeune François en 1981, l’aient  repéré. Jouyet l’encourage à travailler pour Hollande. Attali aussi, qui l’a  présenté au futur président au cours d’un dîner, en 2007, et le choisit pour  être rapporteur général adjoint (puis membre) de sa Commission pour la  libération de la croissance française. Un concentré d’expertises et d’ego que  l’intelligence analytique de Macron réussit à harmoniser.

Au milieu des années 2000, le jeune technocrate produit quelques notes pour  l’équipe de DSK. Il est de nouveau sollicité à la fin de 2010. En vain. Il  appartient alors à la petite troupe qui se réunit tous les lundis matin du côté  du Trocadéro, dans l’appartement parisien d’André Martinez, camarade d’HEC de François Hollande. Puis, de  juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d’experts et d’économistes, le  groupe de la Rotonde, qui rapporte tous les quinze jours au  candidat.

Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs (Emmanuel  Macron)

Déjà, on parle de lui comme du futur secrétaire général adjoint de l’Elysée.  Sûr de sa valeur, il n’acceptera pas moins. Il veut avoir la main sur  l’économie, le social et l’Europe, triptyque indissociable selon lui. Au début  de mai 2012, il s’est déjà renseigné: le passage de Rothschild à l’Elysée n’est  pas contraire aux règles déontologiques. La feuille de route est dans sa tête:  redresser les comptes publics et retrouver de la compétitivité, y compris à  coups de réformes dites libérales, qui font hurler la moitié des socialistes.  

Marché du travail plus flexible, mise sous conditions de ressources des  allocations familiales et des remboursements maladie, lutte contre les « rentes  de gauche », celles de la fonction publique. Mais il croit aussi que l’on peut  augmenter les impôts et qu’ »une société respire mieux quand chacun réussit selon  ses mérites et quand l’Etat est présent dans les moments durs de la vie ». En mai  2012, il annonce à un proche: « Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux  trucs. »

La Macron-économie, c’est quoi?

C’était il y a un siècle. Depuis, l’apprenti du pouvoir a compris la  différence entre un rapport de la commission Attali et la politique version Hollande. « Certains  jours, il s’en accommode, d’autres, il s’impatiente », dit l’un de ses amis.  Pourtant, les grands choix vont dans son sens. La réduction de la dépense  publique est engagée, comme la bataille de la compétitivité, certains excès  fiscaux du début du quinquennat sont corrigés (mode de paiement de la taxe à 75%  sur les très riches, fiscalité des plus-values mobilières), la flexibilité du  marché du travail est lancée à travers la loi qui transpose un accord des  partenaires sociaux. Macron s’y implique, rencontrant Jean-Claude  Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, à plusieurs reprises pour le  convaincre de grogner avec parcimonie contre ce texte qu’il a refusé de signer.  

Le secrétaire général adjoint joue aussi, avec succès, un rôle protecteur des  patrons d’entreprises publiques tour à tour menacés: Carlos Ghosn (Renault), Stéphane Richard (France Télécom), Henri  Proglio (EDF) et, tout dernièrement, Jean-Paul Bailly (La Poste). Il est enfin le metteur en scène  et le pédagogue de la stratégie de redressement des finances publiques, en  particulier auprès de Berlin: plaider que la France respectera l’objectif de  retour des déficits publics au-dessous de 3 % du PIB, mais plus lentement que  prévu.

Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence.
Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres  se signalent par leur silence ou leur déférence.J.-C. Coutausse/Divergence

La Macron-économie semble à l’oeuvre, mais il faut un  entomologiste très minutieux pour la déceler, tant les piétinements divergents  des Ayrault, Moscovici, Montebourg, Le Foll ou Duflot brouillent les  pistes. Peu de ministres portent le message de cette social-démocratie chère au  secrétaire général adjoint. Si le premier d’entre eux s’en revendique, son  expression est couverte par un président soucieux d’équilibres politiques.  

Macron semble d’autant plus isolé que le naufrage de Jérôme Cahuzac l’a privé d’un allié. Les deux hommes se  connaissent depuis 2008, Macron fait partie de ceux qui ont réconcilié le député  de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande. « Pourtant Cahuzac se sentait mal  aimé de l’Elysée, Macron y était sa seule attache », note un ministre. En  décembre, quelques jours après les révélations de Mediapart, le conseiller de  Hollande confie: « Je crois ce qu’il dit, c’est mon ami. ». Aujourd’hui, il  conjugue cette amitié à l’imparfait.

Ce que François Hollande pense de lui…

La Macron-économie existe, mais François Hollande n’est pas homme à s’en  remettre à un seul inspirateur. Il n’est pas Nicolas Sarkozy, pour qui Xavier  Musca, secrétaire général adjoint puis secrétaire général, était le grand  chambellan de l’économie. Et Emmanuel Macron n’a ni l’expérience administrative  et politique ni la stature internationale d’un Xavier Musca, qu’Angela  Merkel reconnaissait et appréciait. D’ailleurs, en Hollandie, les  conseillers n’ont pas de vie propre. 

C’est un bon élément, original et créatif (François  Hollande)

C’est donc à titre exceptionnel que le président a accepté de parler de  Macron à L’Express: « C’est un bon élément, original et créatif. » Les deux hommes  s’aiment bien, ils partagent le goût des bons mots et la détestation des  conflits. Mais, à l’Elysée, Macron n’est pas un enfant unique. S’il s’entend  bien avec Aquilino Morelle, conseiller politique, il doit cohabiter avec Philippe Léglise-Costa, spécialiste des questions  européennes, diplomate aussi discret que Macron est solaire. Et avec Pierre-René Lemas, le secrétaire général. Entre ce préfet,  soucieux de préserver la France telle qu’elle est, et l’inspecteur des finances,  qui la rêve telle qu’elle devrait être, le courant ne passe pas  vraiment.

Dans le film de Patrick Rotman Le Pouvoir, sorti en salles le 15  mai, un seul collaborateur émerge quand les autres se signalent par leur silence  ou leur déférence: Emmanuel Macron intervient avec naturel, insiste pour que le  président donne de la profondeur à son action et se projette en 2020. Il parle  avec familiarité d’Angela Merkel: « Elle veut danser le tango avec toi et elle  pense que c’est elle qui doit mettre la jambe droite. Nous, on pense  pareil. »

>> Lire aussi notre critique du documentaire de Patrick Rotman sur la  première année de François Hollande à l’Elysée, Le Pouvoir

Macron écrit aussi de longues notes pour le chef de l’Etat, afin de préciser  sa pensée, notamment sur la social-démocratie. Dans les réunions avec ministres,  il lui arrive de presser son patron de réduire les dépenses. « Ah oui, mais il  faut dire lesquelles! » rétorque le président.

Rien n’échappe à ce faux débonnaire qu’est François Hollande. « Tiens, on t’a  beaucoup vu », remarque-t-il, lorsque son conseiller apparaît dans des articles.  Et quand il apprend – très vite – que Macron vient de partager un petit déjeuner  avec un grand patron étiqueté sarkozyste, il interroge: « Que faisais-tu chez  lui? » Ces incartades et escapades sont constatées, mais tolérées, car utiles:  « Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas, mais avec  laquelle il faut composer », dit un PDG.

Macron est le lien avec une certaine économie que l’on n’aime pas (un  PDG)

A quoi sert la Macron-économie ?

A calmer les patrons. Ils entrent, vibrants  d’espoir, dans le bureau du secrétaire général adjoint, ils en sortent des  étoiles plein la tête. « Vous êtes d’accord avec lui à 100%, cela en est même  troublant », soupire l’un de ces visiteurs. Et après? Rien ou pas grand-chose à  leurs yeux. Ils ne voient pas les dépenses publiques se réduire, malgré les  promesses, ils redoutent de nouvelles hausses d’impôts. Laurence Parisot est  l’une des rares à plaider en sa faveur. « Les patrons sont trop gourmands,  Emmanuel est un précieux relais de la voix des entreprises. Il a été le premier,  dès juin, à comprendre les exigences de la compétitivité », dit la présidente du  Medef.

Trop politique pour les patrons, trop libéral pour les politiques…

La Macron-économie est donc condamnée à la suspicion: trop politique pour les  patrons, trop libérale pour les politiques. Le secrétaire général adjoint, c’est  son rôle, navigue entre ces mondes. Environ tous les deux mois, il continue de  réunir le groupe de la Rotonde à l’Elysée. Il consulte ses aînés de l’Inspection  des finances. Avant de choisir la banque d’affaires – il entre chez Rothschild  en septembre 2008 -, il avait sondé Alain Minc, l’un des parrains de cette  institution. Qui lui indique le chemin de la finance privée, avec ce  commentaire: tu gagneras de l’argent et la liberté de faire ensuite de la  politique. 

Il interroge aussi Xavier Musca, qui lui donne l’avis inverse, préférer le  service public. Marque de courtoisie, Macron téléphone à ce dernier après que Jean-Marc  Ayrault a annoncé, le 23 mai 2012, que Xavier Musca ne serait pas nommé à la  tête de la Caisse des dépôts. Les contacts n’ont pas cessé : de l’Elysée, Macron  téléphone encore à Musca pour lui demander son avis au moment de la crise  chypriote, en mars.

Passer de la banque à l’Elysée et vice versa, c’est très sarkozien…  (Emmanuel Maurel)

Les ministres qui le connaissent l’aiment bien. Pierre Moscovici,  sans surprise; plus curieusement, Arnaud Montebourg, alors que les deux hommes, c’est un  euphémisme, ne sont pas tout à fait sur la même ligne. Avec Marisol Touraine, il  prend un petit déjeuner environ tous les mois. Il a fait connaissance avec Cécile Duflot lors d’un déjeuner, en février, organisé par le  directeur du cabinet de la ministre du Logement, Manuel Flam. 

Pascal Canfin, lui, est encore surpris que Macron l’ait  soutenu dans un combat peu orthodoxe: affecter une partie du produit de la taxe  sur les transactions financières au développement des pays pauvres et non au  seul désendettement de la France. Tous ne tombent évidemment pas sous le charme: Emmanuel  Maurel, chef de file, au PS, du courant Maintenant la gauche, se dit gêné  par ce parcours typique d’une « oligarchie qui passe de la banque à l’Elysée et  vice versa; c’est très sarkozien ».

Président de la République dans vingt ans?

La banque, l’argent… Partageant un café avec Macron dans le bureau de  celui-ci, un conseiller de l’Elysée ressent un choc en découvrant le montant du  tiers provisionnel dû par son hôte – l’imprimé fiscal traîne sur la table : une  somme à six chiffres ! Macron n’est pas resté assez longtemps chez Rothschild  pour devenir riche à millions, mais il a très bien gagné sa vie en 2011 et pour  les cinq premiers mois de 2012: 900 000 euros (550 000 après charges et impôts),  à comparer à ses 156 000 euros annuels aujourd’hui, rémunération identique à  celle du président de la République. L’ex-banquier ne paie pas l’ISF (à partir  de 1,3 million d’euros).

A un ami il avait confié qu’il ne resterait pas plus d’un an ou un an et demi  à l’Elysée. Et après? La politique? Les uns le verraient bien ministre de  Hollande, mais la mode est aux poids lourds de la politique. D’autres suggèrent  un retour vers la banque, la direction d’une grande entreprise. Jacques Attali  fait plus simple: président de la République dans vingt ans. La rumeur dit que  l’ancien conseiller de François Mitterrand cherche déjà le Macron de  Macron!

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elysee-emmanue...

Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes.
Arnaud Montebourg a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël.

Le « conseiller spécial » de M. Montebourg sera Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, holding de tête du groupe Edmond de Rothschild.

Emmanuel Macron

Les dernières élections viennent de démontrer encore une fois que les Français ne savent plus à quel saint se vouer tant le manque de choix est manifeste.

Les partis actuels ne semblent-ils pas tous représenter les lobbies financiers ?  François Hollande qui aimait pourtant clamer « que son adversaire était le monde de la finance » :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...!

Les Banquiers de chez  Rothschild  dirige la France ... dans Bienvenue ici le blog RS017 C. Ferguson dans la Banque Rothschild dirige la france

Nomme néanmoins comme secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République : Emmanuel Macron pour s’occuper des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Mais depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance ! Et Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, qui était jusqu’ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes. Arnaud Montebourg, ministre du redressement,  a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, un ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël. Et son « conseiller spécial » est Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré.

Ces étroits liens avec les financiers expliquent en partie les 44 % d’abstention lors du second tour d’élections législatives :

 Christophe Bejach

Et puis, n’est-il pas démotivant et injuste de voir par exemple qu’un député FN (Le Pen) représente 421 342 Français alors qu’un député Front de gauche (Mélenchon) seulement 24 952 ? Cela dit, un député aujourd’hui ne fait qu’entériner les décisions européennes. Des décisions qui ne sont plus prises indirectement par les peuples. Même la toute puissance présidentielle relève en grande partie de l’illusion. Lui non plus ne peut pas faire grand-chose car l’essentiel des compétences ont été transférées à Bruxelles. Il faut lire Verbatim de Jacques Attali, un précieux témoignage sur la vie politique française de 1981 à 1991. Les grands débats de  politique monétaire, sur la question de la dévaluation du franc, sortir ou rester dans le SME, étaient toujours, in fine arbitrés par le chef de l’Etat. Avec l’euro, la politique monétaire échappe désormais entièrement au niveau national donc au Président.  Il n’est plus question non plus d’appliquer une politique interventionniste pour aider l’industrie,  Bruxelles l’interdirait. Compte tenu des règles européennes et du poids des dépenses publiques, les marges de manœuvre budgétaires du gouvernement sont désormais infimes.  Les autorités nationales gardent, en gros,  la possibilité d’augmenter et de baisser les impôts, mais cela ne suffit pas pour piloter une nation dans la tempête…

Comment en est-on arrivé là ?

 Economie Emmanuel Macron

Robert Schuman est considéré comme l’un des pères fondateurs de la construction européenne. Pourtant le 19 septembre 2000, le Daily Telegraph de Londres, par la voix d’Ambrose Evans-Pritchard, annonçait que les archives déclassifiées de l’administration américaine montraient que l’ancien premier ministre belge Paul Henri Spaak, Robert Schuman et bien d’autres étaient employés par les services américains. Les fonds étaient transités pour camoufler leur action, par le biais des fondations Rockefeller et Ford.

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 1/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggd5_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 2/3

http://www.dailymotion.com/video/xeggk4_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 Le complot européen ou la fin de la démocratie 3/3

http://www.dailymotion.com/video/xehv39_le-complot-europe...


Le complot européen ou la fin de la démocratie... par Antipenseunique

 

 Eurogendfor

Le passage en force du traité de Lisbonne alors que par référendum le peuple hollandais et français s’y opposait n’est pas surprenant. Car ce traité soulignait dorénavant la primauté du droit européen sur le droit national et donnait une personnalité juridique à l’Europe, au détriment des pays.  La seconde mouture de ce texte entraîna de la même façon  le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008. Il ne fut pas non plus respecté mais on lui demanda de revoter. Pour qu’il change d’avis, les stratèges de la propagande  dépensèrent 10 fois plus que ceux qui défendaient le non. Ils ne bénéficièrent pas non plus du même temps d’antenne. Pendant ce temps, les 499 parlementaires européens ignoraient complètement le non irlandais et continuèrent la ratification du traité de Lisbonne. Ils balayèrent ainsi trois référendums d’un revers de manche. Difficile aujourd’hui de nous faire croire que nous sommes en démocratie !  C’est plutôt un pas en arrière pour l’humanité mais un pas en avant pour la dictature.

C’est ce que symboliquement représente le rétablissement de la peine de mort dans le traité :

 europe

Mais d’une manière discrète, car les conditions sont floues : seulement quand il faut assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ; quand il faut effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ; quand il faut réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection. Et pour devenir le bras armé de cette dictature, on créa l’Eurogendfor (European Gendarmerie Force) qui a un droit d’occupation dans n’importe quel pays européen. C’est un conseil de guerre, composé des différents ministères de la Défense des pays européens, qui gère leurs interventions (accord de Velsen), réduisant ainsi le droit et la souveraineté nationale des pays.  Tous les bâtiments ou lieux de l’Eurogendfor jouissent de l’immunité les rendant inaccessibles aux autorités des pays concernés. Mais l’Eurogendfor ne dispose pas que de compétences policières mais aussi de celles des services secrets. Elle peut de même avoir pour mission de faire respecter l’ordre et le calme dans une zone en collaboration avec l’armée.

Le dernier ouvrage de C. Ferguson a été publié aux Etats-Unis le 21mai : « Predator Nation » (« Une nation de prédateurs », Crown Business Publishing).

 france

Il explique parfaitement l’invraisemblable impunité des coupables de cette récession qui ravage aujourd’hui l’Europe. Depuis les années 80, l’essentiel du secteur financier s’est criminalisé. Une culture industrielle qui tolère, voire encourage la fraude systématique s’y est développée. Ce comportement se trouve à l’origine de la bulle des crédits immobiliers “subprimes” et de la crise financière de 2008. Cette dernière en est même le résultat direct. Elle n’est pas une sorte d’accident économique. Les occidentaux ont encouragé la dérégulation des marchés, ce qui a rendu le système financier encore bien plus puissant. Moins d’obstacles, moins de comptes à rendre, moins de règles à respecter : on se rapproche du pouvoir absolu. Et il devient de plus en plus acceptable de se comporter de façon malhonnête. D’énormes dissimulations volontaires de transactions financières ont certainement favorisé le terrorisme sous opération false flag, le blanchiment, la prolifération nucléaire et l’évasion fiscale à l’échelle du globe. Sans cette motivation criminelle, la crise n’aurait pas eu ce retentissement mondial. En Europe, que penser par exemple des conseils prodigués par la banque Goldman Sachs à la Grèce, pour aider le pays à maquiller ses comptes ? Cette crise économique est particulièrement grave. Même le PIB de la Chine ne progresse pas. Sa consommation d’électricité n’a augmenté que de 0,7%. Ce qui donne une idée de sa réelle croissance. Tous les autres chiffres donnés sont faux et ne servent qu’à encenser ceux qui ont le pouvoir en Chine. Même ses ventes de logements ont baissé de 25% !

Cependant, si on voulait éviter la récession, il existe des solutions rapides :

 la Banque Rothschild dirige la France

Pourquoi donc ne les prend-on pas ? Bien entendu à cause, encore une fois, du poids des lobbies financiers sur le politique. Déjà Sarkozy n’était-il pas conseillé principalement par Michel Pébereau, le patron de BNP Paribas ?  Ce qui ne l’a pas empêché de faire des erreurs incompréhensibles :

http://cee.e-toile.fr/index.cfm/2011/12/13/Les-erreurs-in...

C’est ainsi que l’on a assisté sans pouvoir faire quoique ce soit, à ce scandale que fut de prêter 1 000 milliards d’euros aux banques privées au taux de 1% alors qu’à l’Espagne et à l’Italie on leur demandait de payer 10 fois plus cher d’intérêt ? Pourtant, sans changer les traités européens, la banque centrale européenne, si elle n’a pas le droit d’aider directement ces pays, peut par contre prêter à 1%, à la banque européenne d’investissement. Et celle-ci prêter ensuite à 1,1% à l’Espagne et à l’Italie. Ces pays se retrouveraient alors avec un petit excédent budgétaire. La récession serait évitée. N’est-ce pas  l’augmentation de ces frais financiers exorbitants qui leur sont nocifs ?

La Crise va vraiment commencer - Juin 2012

 

http://www.dailymotion.com/video/xrg5hb_la-crise-va-vraim...


La Crise va vraiment commencer - Juin 2012 par khalem2012

Il y a donc volonté manifeste d’endetter les pays.

 le « non » du peuple irlandais le 12 juin 2008

On retrouve ce piège avec la fameuse loi du 3 janvier 1973. Cette loi n’interdit pourtant pas à la Banque de France de faire ce que la loi appelle des « avances » à taux nuls à l’état, avances qui sont parfaitement encadrées. Cette loi interdit juste au Trésor d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France, ce qui peut être contourné par le fait que la Banque de France peut agir sur le marché secondaireLe fait de ne plus financer l’état français au travers de sa banque centrale n’est donc qu’une décision purement politique qu’on ne peut réduire à cette loi. En d’autre terme, cette loi est une bonne excuse pour exonérer les politiques depuis quarante ans de leurs responsabilités !

Pourquoi donc cet endettement volontaire des pays, si ce n’est pour donner le pouvoir à la haute finance ? En 1789, les banques avaient supprimé le roi pour mettre en place en France ce système des intérêts si lucratif mais interdit par l’église catholique. Aujourd’hui, c’est à l’échelle mondiale qu’ils rêvent d’avoir le pouvoir.

Lire aussi : le coup d’état européen, un pouvoir exécutif qui ne se plie pas au suffrage universel.

http://rso17.unblog.fr/2013/09/04/les-banquier-de-chez-ro...