03/04/2013
Assemblée nationale : quand Guaino invoque Zola et l'affaire Dreyfus. Et pourquoi pas la Shoa tant qu'il y est ?
Comme vous l'aurez compris tout va bien en France et en Europe pour que l'attention des Français soit monopolisée par les merdias aux ordres sur la garde rapprochée de l'imposteur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOSCA.
Apparemment, il n'y a pas plus urgent à régler dans les intérêts des peuples !
Et tout cela pour défendre un Troll sioniste qui a ruiné la France, qui a passé son temps à violer ladite constitution de la Ripoux-blique bananière, en nous imposant le traité liberticide de Lisbonne et la dictature de l'Europe au profit de ses Maîtres Illuminati-sionistes, grands promoteurs du Nouvel Ordre Mondial et qui est allé assassiner des innocents en Libye et ailleurs ?
L'avocat pénaliste Me Olivier Metzner retrouvé mort au large de son île en Bretagne
Il représentait dans la saga Bettencourt la fille de l'héritière de L'Oréal, Françoise Bettencourt-Meyers
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/l-avocat-penaliste-me-olivier-metzner-retrouve-mort-au-large-de-son-ile-en-bretagne_1232388.html
Suicide présumé d'un grand policier parisien
Il avait chapeauté l'enquête de la brigade financière dans le dossier Bettencourt.
http://www.rmc.fr/editorial/365332/suicide-presume-dun-gr...
Assemblée nationale : quand Guaino invoque Zola et l'affaire Dreyfus
P.Th. | Publié le 02.04.2013, 16h11 | Mise à jour : 18h15
«Souvenez-vous de Zola, accusé ici-même (...) d'avoir déshonoré l'armée parce qu'il avait remis en cause l'autorité de la chose jugée», a-t-il lancé au Premier ministre, prenant tout de même le soin de préciser : «Je ne suis pas Zola. Nous ne sommes pas dans l'affaire Dreyfus.» A Jean-Marc Ayrault, qui l'a tancé la semaine dernière après ses vives critiques envers le juge Jean-Michel Gentil, le député UMP a demandé de «défendre (sa) liberté de critiquer un abus».
Taubira à Guaino : «Vous avez attaqué l'institution judiciaire»
Suite à la mise en examen de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino avait fermement «contesté» la façon dont le magistrat avait fait son travail, jugeant que ce dernier avait «déshonoré un homme, les institutions, la justice». Ces déclarations avaient suscité l'ire des syndicats de magistrats, de la majorité et décidé le juge Jean-Michel Gentil à poursuivre l'élu.
«Décidément, vous persistez et vous signez dans le peu d'égards que vous portez au Conseil supérieur de la magistrature», a répondu la garde des Sceaux, Christiane Taubira, à Henri Guaino ce mardi. «Vous n'avez pas attaqué un homme, vous avez attaqué l'institution judiciaire. Et vous êtes invité à de la réserve concernant l'institution judiciaire», a-t-elle tranché.
Son intervention a par ailleurs valu à Henri Guaino d'être raillé par ses opposants sur Twitter. «Guaino fait toujours trop grand : après Malraux, Zola, difficile de faire mieux la prochaine fois !» s'est ainsi moquée la ministre déléguée en charge des Personnes âgées, Michèle Delaunay. «Guaino se prend pour Zola en prenant l'élocution de Malraux», a de son côté commenté le député socialiste Christophe Caresche. Un autre député PS, Laurent Grandguillaume se fait plus sévère : «Avec M. Guaino nous aurons eu le droit au Malraux de poche pour les nuls.»
Michèle Delaunay @micheledelaunay
#QAG Guaino fait toujours trop grand : après Malraux, Zola, difficile de faire mieux la prochaine fois !
#QAG Guaino se prend pour Zola en prenant l'élocution de Malraux.
#directAN #QAG Avec M. Guaino nous aurons eu le droit au Malraux de poche pour les nuls
Borloo s'exprime «au nom des camarades de l'intersyndicale»
Le président de l'UDI, Jean-Louis Borloo a remis, ce mardi au cours de la séance des questions au gouvernement, le dossier Florange sur la table. Evoquant ce site d'ArcelorMittal en Moselle, où il s'est rendu pour «rencontrer les salariés et l'intersyndicale», le député du Nord a lancé à l'adresse du Premier ministre : «Depuis vos funestes décisions, ils n'ont rencontré ni membre du gouvernement ni élu socialiste.»
Assurant s'exprimer «au nom des camarades de l'intersyndicale», Jean-Louis Borloo a demandé où en était le redémarrage de la filière liquide et le dossier Ulcos. «Le dossier est suivi, le gouvernement est actif et nous trouvons des solutions aux problèmes qui sont posés», a répondu le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici.
http://www.leparisien.fr/politique/assemblee-nationale-qu...
09:19 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Contestation élection illégale de Nicolas SARKOZY, Escroquerie, France/Israël/Elections, Justice, Les Illuminati-Reptiliens, Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
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