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Dialogue avec Vladimir Poutine. (extrait de" L'Ordre mondial")
Dans un documentaire du célèbre journaliste russe Vladimir Soloviev intitulé "L’ordre mondial" et diffusé le 20 décembre 2015, Vladimir Poutine évoque certaines questions concernant les relations internationales. Vidéo censurée par youtube. Publiée sur un réseau social elle a été visionnée 60 000 fois en une demi-journée.
Nous sommes en droit d'avoir des comptes sur la gestion occulte du gouvernement vis-à-vis de la Syrie, à cause de tous ces corrompus que nous avons au gouvernement qui font la politique des USA et d'Israël !
Ils ne font pas leur travail pour assurer la sécurité des français au profil de leur idéologie criminelle, mettant en danger les français, ensuite ils se permettent soi-disant pour nous protéger de nous instaurer la Loi Martiale !
C'est inacceptable pour le peuple français et notamment pour les familles des victimes !
"L'union sacrée" a fait long feu, la droite républicaine demande déjà des comptes sur les failles des services de renseignement français quant à la lutte contre le terrorisme sur le territoire français, non sans avoir au préalable pointé les ambigüités de la politique étrangère française envers la Syrie. Certes il est peu probable que la commission d'enquête porte sur la politique étrangère de la France tant celle-ci relève du domaine réservé du "Monarque" de la République sous le régime de la Vème République.
En effet, il n'y a pas eu de commission d'enquête sur les responsabilités de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement dans le chaos libyen et les crimes contre l'humanité commis par les forces françaises en Libye, ni sur le présupposé financement de l'UMP (qui depuis a changé de nom) par Kadhafi ni sur l'assassinat présumé du Guide libyen par les services français, il est donc fort peu probable qu'il y en ait une sur la politique de François Hollande en Syrie.
Si l'on revient sur le soutien de la France aux forces rebelles en Syrie et nommément au groupe terroriste tel qu'Al-Nosra affilié à Al-Quaïda en Syrie, cela fait longtemps que l'opposition dénonce cette sombre politique.
Plus récemment, Claude Goasguen, député de l'UMP, accusait explicitement l'Etat français de soutenir Al-Quaïda en Syrie sur l'antenne de la chaîne parlementaire (LCP)
Enfin Olivier Marleix, député des "Républicains" (ex-UMP) a déclaré à Paris Match en novembre 2015 : Selon "Squarcini, le Premier ministre aurait refusé une liste de djihadistes français en Syrie proposée par les services de Bachar el-Assad. Ce refus est d’une extrême gravité. Quoi qu’on pense de Bachar el-Assad, puisque nous sommes en guerre, on ne refuse pas des informations aussi vitales ! Nos services se sont privés de contact indirect avec les services syriens. Ajoutons à cela que la Turquie et les Etats-Unis disent nous avoir avertis. Tout cela justifie une commission d’enquête."
Sur ce dernier point, de nombreuses sources attestent que les services de renseignement français avaient été prévenus début novembre de l'imminence d'un attentat dans la capitale par les services israéliens, les services irakiens et algériens. A tel point que selon Mondafrique, les services de renseignement algériens de la DRSauraient déclaré que quelque chose ne tournait pas rond à la DGSE :
Le DRS s’était procuré, "grâce à ces agents infiltrés des informations très précieuses sur les plans de l’organisation terroriste. « C’est ce qui explique, d’ailleurs, pourquoi nous n’avons pas subi d’attaques d’une aussi grande cruauté que celles de Paris »,se targue un officier du DRS qui ne comprend pas le manque de réactivité de la DGSE face aux informations qui leur ont été transmises".
Il est clair que si une commission d'enquête devait avoir lieu, on s'intéressera au volet débattant de la politique étrangère française en Syrie même si celui-ci pourrait s'avérer très limité.
La candidate à la présidentielle américaine Hillary Clinton estime que la Russie et la Chine constituent les principaux défis militaires auxquels les Etats-Unis sont confrontés.
"Certains différends persistent toujours. Notamment, en mer de Chine méridionale où la Chine poursuit la construction de bases à des fins militaires. De même, la Russie présente des problèmes. Récemment, Moscou s'est lancé dans la construction d'un sous-marin sans pilote, susceptible de transporter des armes nucléaires tactiques, ce qui a été d'ailleurs capté par nos caméras", a-t-elle martelé lors de débats du Parti démocrate.
Soulignant la nécessité de "décisions pondérées" et d'une "approche plus souple et bien ciblée", Mme Clinton s'est toutefois abstenue de tout commentaire sur les mesures à prendre pour relever ces défis.
Les débats en question, impliquant l'ex-secrétaire d'Etat Hillary Clinton, le sénateur du Vermont Bernie Sanders et l'ex-gouverneur du Maryland Martin O'Malley, se sont tenus le 14 novembre à Des Moines, en Iowa.
L’ancien dirigeant cubain affirme que le sénateur américain John McCain a collaboré avec le Mossad pour créer le groupe terroriste Etat islamique. L’ancien dirigeant cubain Fidel Castro s’est exprimé en disant que l’agence de renseignement israélienne Mossad était derrière l’État islamique (Daesh), un groupe terroriste, selon l’AFP.
Les allégations de Castro ont été faites dans une colonne publiée dans les médias cubains dans laquelle il a fustigé les États-Unis et l’Europe, et les a accusés de bellicisme. Il a aussi comparé les représentants de l’alliance militaire de l’OTAN aux SS nazis.
Castro a également attaqué le sénateur américain John Mc Cain sur la politique des États-Unis au Moyen -Orient, l’appelant «l’allié le plus inconditionnel d’Israël. »
Il a choisi Mc Cain, le candidat républicain à la présidentielle de 2008, disant qu’il avait soutenu l’agence de renseignement du Mossad et «participé avec ce service dans la création de l’Etat islamique, qui contrôle aujourd’hui une partie importante et vitale de l’Irak et aurait un tiers de la Syrie » Il a accusé l’Occident de « cynisme », et a déclaré qu’il était devenu «un symbole de la politique impérialiste», selon l’AFP.
En ce qui concerne l’OTAN, Castro a déclaré que les représentants de l’alliance rappelaient l’Allemagne nazie : « Beaucoup de gens sont surpris quand ils entendent les déclarations faites par certains porte-paroles d’Europe pour l’OTAN quand ils parlent avec le style et le visage de la SS nazie, »« L’empire basé sur la cupidité d’Adolf Hitler est entré dans l’histoire avec pas plus de gloire que l’encouragement fourni aux gouvernements agressifs et bourgeois de l’OTAN, ce qui les rend la risée de l’Europe et du monde», a ajouté Castro. Le mois dernier, Castro a comparé l’opération militaire israélienne dans la bande de Gaza à une «forme dégoûtante de fascisme ».Il a signé plus tard un manifeste international « soutenir la Palestine » demandant à Israël de respecter les résolutions des Nations Unies et de se retirer de «Gaza, la Cisjordanie et Jérusalem-Est. »
Enfin, un courageux présidentiable qui ose dire la vérité, sur les attentats du 11 septembre 2001 aux USA !
Donald Trump a soulevé que BUSH était au courant des attentats et qu’il aurait pu les éviter ? Ce qui n’a pas manqué de titiller le frère de Gorges BUSH, Jeb BUSH !
«Pitoyable» : C’est l’épithète que Jeb Bush et Donald Trump se sont lancé hier après les propos tenus par ce dernier au sujet de George W. Bush et des attaques terroristes du 11 septembre 2001.
«Quand vous parlez de George Bush, vous pouvez dire ce que vous voulez, mais le World Trade Center s’est effondré durant son mandat», a d’abord déclaré Trump lors d’une interview accordée à Stephanie Ruhle de Bloomberg (voir la vidéo qui coiffe ce billet).
Et d’ajouter, après que la journaliste lui eut demandé s’il blâmait Bush : «Il était président, OK? Blâmez-le, ne le blâmez pas, mais il était président. Le World Trade Center s’est effondré durant son règne.»
Cette déclaration a fait réagir Jeb Bush sur Twitter. «Pitoyable de la part de @RealDonaldTrump de blâmer le président pour le 11/9. Nous avons été attaqués et mon frère nous a gardés en sécurité», a-t-il écrit.
How pathetic for @realdonaldtrump to criticize the president for 9/11. We were attacked & my brother kept us safe.
Et Trump a répliqué à son tour dans une série de tweets dont le premier faisait allusion à une réponse que Jeb Bush avait donnée lors du premier débat des primaires républicaines : «Au débat vous avez dit que votre frère nous a gardés en sécurité – je voulais être gentil & je n’ai pas mentionné que le WTC s’est effondré durant sa présidence.»
Et d’enchaîner : «Non @JebBush, vous êtes pitoyable d’avoir dit que rien n’est arrivé durant le mandat de votre frère quand le WTC a été attaqué et s’est effondré.»
L’échange entre Trump et Bush est d’autant plus remarquable que la critique formulée par le milliardaire est ni plus ni moins tabou parmi les politiciens républicains ou démocrates d’une certaine envergure. On verra maintenant comment les électeurs républicains réagiront à des propos qui auraient très bien pu être tenus par une de leur bête noire, en l’occurrence Michael Moore.