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27/03/2013

L'effarante histoire du sionisme - le Royaume Khazar. Pour sortir de l'ignorance collective et de l'amnésie ! (Partie 3)

Pour ne plus confondre les Juifs avec les Sionistes !

 

Partie 1 : ICI - Partie 2 : ICI

 

khazar1.jpg


 

Voir aussi :

 

Shlomo Sand : « L’invention du peuple juif »
Conférence de novembre 2011 à New York
http://realinfos.wordpress.com/2013/02/22/shlomo-sand-lin...
 

Luc Ferry: Sionisme, Khazars et invention du peuple juif

Je suis un khazar fier de l’être (Haaretz)
http://www.legrandsoir.info/Je-suis-un-khazar-fier-de-l-etre.html

Le fondateur d'Israël : Théodore Hertzl sioniste et .. antisémite

http://www.partiantisioniste.com/actualites/theodor-herzl...

 

L’'effarante histoire du sionisme



La première guerre mondiale de 14-18,  fut menée d’un côté par la Grande Bretagne, la France et la Russie, et de l’autre côté par l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie.

http://www.youtube.com/watch?v=RsI8F9AgJ1g

En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait remportée la guerre. Les sous-marins allemands, qui furent une totale surprise, occasionnèrent de gros dégâts côté adverse. La Grande Bretagne se trouva sans munitions et sans ravitaillement pour ses soldats.  Au même moment l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’âge dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté, minée par les années de propagande anti tsariste. Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande. Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix honorable,  appelée par les juristes un ’’STATUS QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons aux conditions d’avant la guerre.»

En 1916, l’Angleterre considéra sérieusement cette proposition afin d’éviter d’aller vers une défaite certaine. Tandis que cela ce discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British War Cabinet. Ils dirent : « Ecoutez nous, vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos côtés en tant qu’alliée…Nous vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne, si vous nous promettez la Palestine après la victoire ». En Octobre 1916, l’Angleterre accepta la proposition. Et on vit en très peu de temps, une Amérique pro-allemande devenir tout à coup vindicative à son égard. Les médias de l’époque, étaient pour la plupart, contrôlés par des financiers juifs, souvent d’origine  allemande ou russe, mais qui étaient contre le tsar, et ses alliés.  Aussi avaient-ils commencé à financer les Allemands. Mais devant la possibilité de s’accaparer de la Palestine, ils réussirent à faire en sorte que le président américain Wilson déclare la guerre à l’Allemagne. Il n’y avait aucune raison pour que l’Amérique soit mêlée à cette guerre et envoie ses soldats se faire tuer. Pourtant elle se laissa entrainer dans cette arnaque, tendue par le sionisme international, comme elle se laissa avoir en abandonnant quelques temps avant, sa banque centrale publique, au profit d’un conglomérat de banques privées essentiellement sionistes.


La fameuse ’’Déclaration Balfour’’ (courte lettre adressée à Lord Rothschild par le ministre britannique des Affaires étrangères, A.J. Balfour, envisageant « favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer National pour le peuple juif ») représentait la promesse anglaise faite aux sionistes de leur accorder la Palestine en échange de l’aide des USA.  L’Allemagne fut ainsi écrasée ; elle dut signer l’armistice  à la fameuse conférence de paix de 1919 à Versailles, entourée de 119 juifs représentant le sionisme international et avec à leur tête Bernard Baruch. Durant cette conférence où l’Allemagne fut découpée et l’Europe divisée, les sionistes réclamèrent leur part du gâteau: « Ne vous nous aviez pas promis la Palestine ? » C’est alors qu’ils produisirent leur preuve, révélant pour la première fois la déclaration Balfour devant des yeux allemands ébahis. C’est seulement à ce moment précis que les Allemands comprirent la cause des terribles conséquences et des réparations de guerre qu’on leur affligea. Tous leurs malheurs venaient du fait que ces sionistes, pourtant souvent d’origine allemande,  voulaient la Palestine et étaient prêts à tout pour l’avoir.

Ces juifs avaient pourtant été bien reçus par les Allemands après leur exode de Russie. . Il y avait Mr Rathenau dans l’industrie et la finance, Mr Balin qui possédait les deux plus grandes lignes maritimes, la North German Lloyds et la Hamburg-American ; Mr Bleichroder qui était devenu le banquier de la dynastie impériale des Hohenzollern. Les Warburg à Hambourg qui étaient des grandes banques du négoce, peut être les plus importantes au monde. Sans aucun doute on pouvait  affirmer que les juifs avaient été comme chez eux en Allemagne ! Les Allemands ne digérèrent pas cette trahison.  Eux qui avaient été si généreux avec les juifs depuis 1905, date qui vit la première révolution communiste en Russie, tourner au désastre, et les juifs  fuir ce pays, pour trouver refuge dans une Allemagne qui les avait accueillis à bras ouverts… Pour les Allemands, ces juifs étaient donc les véritables responsables de la défaite. Et pour seule  raison, la Palestine !

Toutefois, aucun juif ne fut agressé. Il existait bien des camps de prisonniers politiques. Mais ces camps étaient remplis de communistes, dont la grande majorité s’avérait être juifs.

Tout simplement du fait qu’en cette période, pas seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe, les communistes se trouvaient être composés à 98% de juifs. On y trouvait aussi quelques prêtres,  chefs syndicalistes, francs-maçons et autres affiliations internationales. Il ne faut pas oublier qu’entre 1918 et 1919, les communistes avaient réussis à prendre le contrôle de la Bavière durant un courte période : Rosa Luxembourg avec Karl Liebknecht à la tête d’un groupe d’autres juifs, gouvernèrent trois jours. En fait, à la fin de la guerre, le Kaiser s’était enfui en Hollande, tout simplement parce qu’il craignait que les communistes s’emparent de l’Allemagne comme ils l’avaient fait en Russie et qu’il lui serait réservé le même sort que le Tsar. Il prit donc la fuite par mesure de sécurité. Mais après que la menace communiste eut été balayée du sol allemand, les juifs étaient encore très actifs, essayant de recouvrer leur statut. Les allemands les combattirent en une lutte générale ; sans pour autant que ce soit physique. En ce temps là,  il y avait autour de 90 millions d’allemands pour seulement 460 000 juifs. N’empêche qu’ils contrôlaient tous les médias et les principaux rouages de l’économie. Ils étaient venus en Allemagne après la guerre avec beaucoup d’argent, et avaient profité de la dévaluation drastique du Mark pour tout acheter pour une bouchée de pain.

 

En juillet 1933, une conférence du sionisme international fut organisée à Amsterdam. Les juifs du monde entier y participèrent. Ils s’adressèrent à l’Allemagne en des termes impératifs : à savoir qu’ils la sommaient de limoger Hitler et de faire réintégrer tous les juifs dans leur fonction, eussent ils été communistes ou non. En aucun cas les sionistes ne permettraient aux allemands de les traiter de la sorte ; et en toute chose qu’il fallait considérer cet avertissement comme un ultimatum.

On imagine aisément ce que fut la réponse des allemands. Mais c’est la réaction juive qui allait être des plus étonnantes. En 1933, quand l’Allemagne refusa de se plier aux exigences sionistes à la conférence d’Amsterdam qui se clôturera sans avoir entamé la résilience allemande, le président de cette conférence et chef de la délégation américaine, Samuel Untermeyer,  la quitta aussitôt pour retourner aux USA.  Du bateau, il transmit par le biais des studios de la CBS (Columbia Broadcasting System) un discours qui passa sur tout le territoire américain et fut publié le 7 Aout 1933 dans le New York Times :  « le sionisme international maintenant appelle à la guerre sainte contre l’Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans une bataille sacrée contre les allemands. Nous allons les forcer à se rendre. Nous allons exercer un boycott international contre eux qui les détruira du fait qu’ils dépendent exclusivement de leurs exportations…. Ce boycott économique est notre moyen d’auto défense ; le président Roosevelt l’a soutenu dans le programme de l’administration de reprise nationale. »

C’est un fait que  2/3 des besoins alimentaire allemands devaient être importés. Ils devaient donc beaucoup exporter pour se les payer. . Sans çà,  l’Allemagne allait mourir de faim. Mais aux USA,  quiconque ne respectait pas les lois du New Deal se voyait aussi boycotté,  même si ces lois  furent déclarées inconstitutionnelles par la cour suprême américaine. Les juifs de par le monde déclarèrent donc un boycott contre l’Allemagne qui fut tellement efficace qu’il ne fut plus possible de trouver dans un  magasin un produit ’’ MADE IN GERMANY’’. Un représentant de la Woolworth Company rapporta qu’ils avaient du jeter des millions de Dollar en vaisselle dans la rivière ; parce que leurs magasins auraient été boycottés si quiconque avait trouvé des assiettes portant la mention ’’ MADE IN GERMANY’’. Ils auraient tout simplement subi des manifestations avec des slogans « Hitler assassin » .

 

Notre dernier espoir !

Au début, les Allemands ne surent comment réagir contre ceux qui les soumettaient à un boycott qui entraînait  tous les salariés au chômage. Ce fut  un total désarroi. Ils se mirent à dessiner des swastikas (croix gammée) sur les murs des magasins juifs. Car pourquoi diable un allemand irait donner son argent à un commerçant faisant partie d’'un blocus international poussant l'’Allemagne à la famine ? Se demandèrent-ils. Le boycott dura un certain temps ; mais en 1938, quand un jeune juif polonais fit irruption dans l’'ambassade allemande à Paris pour tirer sur un diplomate allemand, le tuant de sang froid, les allemands devinrent alors réellement durs avec les juifs.  Quelques uns de leurs magasins furent alors attaqués.

Une confrontation devenait  inéluctable. Entre temps, il existait un autre danger oppressant !  L’'Europe allait-elle rester  chrétienne, ou alors tomber dans le communisme ? Les allemands optèrent pour la première solution. Ils mirent en place un vaste programme de réarmement. C’est en novembre 1933, que les Américains reconnurent officiellement l’Union Soviétique.  Celle-ci commençait à devenir très puissante. L’'Allemagne logiquement effrayée, se réarma donc, appréhendant une éventuelle confrontation avec elle, pour ne pas tomber dans le communisme.  Mais qui était au pouvoir en URSS sinon une petite équipe de 4 000 juifs ! L'’histoire nous a démontré que les sionistes étaient capables de tout pour garder la Palestine en tant que tremplin de domination du monde.  On les a vus agir auprès du président Wilson avec la mise en place de la taxe sur le revenu, pour payer les emprunts qui étaient auparavant gratuits.  En France, cela ne fut fait que par un ancien directeur de la banque juive  Rothschild, un dénommé Pompidou.


Mais ce qui est le plus remarquable, c’est que ces juifs d’Europe de l’est ne sont en fait à l’origine que des Khazars.  C’était une tribu belliqueuse vivant aux confins du territoire asiatique. Un peuple si hostile que même les asiatiques les chassèrent hors d’Asie vers l’Europe de l’Est, où ils établirent un grand royaume Khazar de plus de 1 300 000 kilomètre carré. En ce temps là, la Russie n’existait même pas ; pas plus d’ailleurs que la plus part des pays d’Europe. Le royaume Khazar était le plus grand pays d’Europe ; si grand et si puissant que les autres monarchies voulant entreprendre une guerre s’appuyaient sur les Khazars qui pouvaient leurs louer une armée de soldats.  Ils exerçaient un culte Phallique aussi immonde et répugnant qu’à la fin ils résolurent d’adopter une religion plus convenable.  Leurs choix se portèrent sur le Judaïsme.  Ils envoyèrent des gens se former aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura pour ensuite ouvrir des synagogues et des écoles. Le peuple khazars devint ainsi juif sans être pour autant sémite.  Aucuns d’eux n’avaient d’ancêtres en Palestine. Mais cela ne les a pas empêché de demander aux peuples chrétiens de supporter une invasion armée en Palestine en prétendant : ’’Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur foyer ancestral, n’est ce pas ? C’est votre devoir de chrétien. Nous vous avons donné un de nos enfants comme votre Dieu et Seigneur ; vous allez à l’église tous les Dimanches et vous vous agenouillez pour adorer un juif et nous sommes juifs’’. Ces Khazars, ces asiatiques, ces turcos finnois étaient une race à la base mongoloïde qui fut chassés d’Asie vers l’Europe de l’Est. Combien était-il  donc ridicule de voir les grandes nations chrétiennes du monde affirmer : « Nous nous engageons à utiliser notre pouvoir et notre prestige afin de rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur ancestral foyer. »


Ce mensonge continue à sévir, pour la simple raison qu’ils détiennent toujours les médias d’occident, les banques et une partie   des partis politiques.  Il est bon de connaître ce que font les juifs le jour du « grand pardon » : Ils entrent dans une synagogue, puis ils se tiennent debout pour répéter trois fois une courte prière appelée ’’Kol Nidre’’. Dans cette prière, ils lient un pacte avec leur Dieu tout puissant ; où, quelque soit le serment, l’agrément, ou bien l’accord qui se ferait dans les douze mois à venir,  se verrait être nul, sans effet, caduc, et ne sera en aucune condition honoré. Le serment n’a pas lieu d’être respecté ; l’accord ne sera pas suivi ; la parole donnée ne sera en aucune mesure tenue. Tout engagement n’aura ni effet ni force. Par ailleurs le Talmud stipule que, quelque soit la parole d’honneur donnée, ou bien l’accord entreprit, on doit de se rappeler le ’’Kol Nidre’’ ; prière récitée le jour du grand pardon. Ainsi, automatiquement celui qui la récite se verra totalement absout de toute conséquence et sera de ce fait déchargé de toute obligation de respecter sa parole.

http://www.youtube.com/watch?v=dvWxoYULWrw

Difficile après çà de croire en leur loyauté ! De plus, n’'ont-ils pas créé un réseau dans le monde entier, qui collabore avec le Mossad ? Ces juifs de la diaspora, se nomment les « Sayanim », c'’est-à-dire les informateurs en hébreu. D'’après Jacob Cohen, ils seraient dans les 3.000 en France et se recruteraient au sein du B’NAI B’RITH (une franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales comme le CRIF. Un livre est paru sur ce sujet : « Le printemps des Sayanim » aux éditions l’'Harmattan.

http://info-palestine.net/article.php3?id_article=9047

http://jacobdemeknes.blogspot.com/

http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-le-printemps-des-sayanim-recit-de-jacob-cohen-50005415.html

C'’est ainsi que de nombreux attentats ont pour origine le Mossad, mais exécutés avec l'’aide des Sayanim, ils sont bien plus difficiles à détecter. Les attentats de Buenos-Aires par exemple : http://www.voltairenet.org/article141896.html

Pour plus d'’informations sur le sionisme, on se doit d'’écouter le discours de Freedman (1890-1984) en 1961, à l'’hôtel Willard de Washington DC.

http://www.dailymotion.com/video/xiphun_discours-benjamin-freedman-1961-partie-1_news

http://www.dailymotion.com/video/xipiaa_discours-benjamin-freedman-1961-partie-2_news

http://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin_Harrison_Freedman

Difficile après çà de croire en leur loyauté ! De plus, n'’ont-ils pas créé un réseau dans le monde entier, qui collabore avec le Mossad ? Ces juifs de la diaspora, se nomment les « Sayanim », c’est-à-dire les informateurs en hébreu. D’après Jacob Cohen, ils seraient dans les 3.000 en France et se recruteraient au sein du B’NAI B’RITH (une franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales comme le CRIF. Un livre est paru sur ce sujet : « Le printemps des Sayanim » aux éditions l'’Harmattan.



Source : http://effondrements.wordpress.com/2012/05/19/leffarante-...


 PROLONGEMENT

Je vous invite à lire les autres articles de ce blog liés au même sujet.

Juste de quoi vous montrer la complexité des choses.

Ces articles peuvent être considérés comme une anti thèse l'une de l’autre,

Mais en y regardant bien on y perçoit tout ce que l'on ne dit jamais à haute voix.

 

http://lougris.over-blog.com/article-adolf-et-les-rothchild-84161449.html

http://lougris.over-blog.com/article-nazies-nazies-95921979.html

http://lougris.over-blog.com/article-la-loi-rothschild-cause-de-l-endettement-de-la-france-97378259.html

http://lougris.over-blog.com/article-la-redemption-de-schindler-102525679.html

http://lougris.over-blog.com/article-howard-gutman-un-juif-defie-israel-102932692.html

http://lougris.over-blog.com/article-le-peuple-juif-invente-104025810.html



Source : http://lougris.over-blog.com/article-judaisme-n-est-pas-s...



25/03/2013

A qui appartient « l’or des français »?

Voilà régalez-vous avec toutes ces escroqueries dont nous sommes tous les victimes !

 

L’or et les avoirs français sont détenus par la Banque de France (BDF) et une partie est versée à la Banque centrale Européenne (BCE).

« Le Système européen des banques centrales (SEBC) est composé de la Banque centrale européenne (BCE) et des 27 banques centrales nationales (BCN) des pays membres de l’Union européenne. » (source)

En ce qui concerne la France, sa « banque Centrale » est la banque de France. Depuis sa création en 1800  et contrairement à ce que suggérait sa dénomination,  il s’agissait dès le début, d’une banque privée ! 

- BDF -

Napoléon et la création de la Banque de France Henri Guillemin
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

Désormais (depuis 1997) la BDF est sous la tutelle de la BCE dont on s’étonnera de constater que la Banque d’Angleterre (société privée qui n’est pas non plus sous le contrôle britannique) y est actionnaire pour 15%….

(Statuts actuels de la BDF : Art. L. 141-1. – « La Banque de France fait partie intégrante du Système européen de banques centrales institué par l’article 8 du traité instituant la Communauté européenne »banque-de-france.fr)

banque de france

L’or de la Banque de France n’est donc pas sous l’autorité de l’état français (!).

L’or placée à la Banque de France, est placée sous l’autorité de la BDF contre garanti des dépôts / promesse d’avoir.

Sans aval, et dans le plus grand secret, la BDF (désormais sur ordre de la BCE) peut décider d’évacuer l’or dans un autre pays. (Comme la BDF l’avait déjà fait, par sa seule décision entre 1932 et 1940 – source)

En 1936, la BDF était sous l’autorité de seuls actionnaires : 

federal-reserve-

FED -

La FED (Réserve Fédérale US) est elle aussi privée et joue un rôle dominant sur la création monétaire aux US (et par ricochet dans le monde via le « pétro-dollar ») depuis 1913.

Dans les années 30 et jusqu’à la reddition de 1940, l’or de la BDF avait été évacué. Une partie non négligeable vers les coffres de la Réserve Fédérale (FED) aux US.

Qui possède la FED ?

La FED est née sous l’impulsion du « Baron Alfred Rothschild – petit fils de Mayer Amschel et directeur de la Banque d’Angleterre » (source) . Selon Mullins (source), ces actionnaires sont :
  • Les Rothschild (pour 53% – source)
  • Les Frères Lazard (Eugene Mayer);
  • Israel Sieff;
  • La Compagnie Kuhn Loeb;
  • La Compagnie Warburg;
  • Les Frères Lehman;
  • Goldman Sachs;
  • La Famille Rockefeller; et
  • Les Intérêts de J. P. Morgan.

- BCE -

La BCE (Banque Centrale Européenne) :

BCE_Bank_centrale_europeenne

L’Union Européenne contrairement à la France, n’emprunte pas mais crée sa monnaie : l’euro.

« Les banques centrales nationales sont seules autorisées à souscrire et à détenir le capital de la BCE » (source) et s’agissant de la Banque nationale française  (la BDF) elle compte pour 14% du capital de la BCE, contre 20% pour la BC d’Allemagne (Deutsche Bundesbank) et étonnement pour 15% à la BC Angleterre (Bank of England – holding privée contrôlée par des intérêts financiers de la City*), qui n’a pourtant pas souscrit à l’euro (source)

La BCE et l’euro échappe de fait, au contrôle de l’État français.

(*) « La City est dirigée par la Banque d’Angleterre, une société privée. La City large d’un mile au carré est un état souverain localisé en plein cœur de Londres. En tant que « Vatican du monde financier », la City n’est pas soumise à la loi Britannique. » (source)

En outre environ 20 milliards de contribution sont versés par la France à la BCE (20.4MM prévu en 2013 – vie-public.fr) et les reversements qui ont lieu en sens inverse (subventions – 13.6 MM en 2011- touteleurope.eu) ne se vont pas à l’État français mais servent les objectifs de décentralisation nationale et d’appui de la politique obscure de la  Troïka européenne sur le territoire ; sans considération des intérêts de la France et de ses citoyens (même si c’est avec leur argent) …

La souveraineté française est donc largement devenue sans que l’on s’en rende compte, une vaste illusion …

N’ayant absolument pas le contrôle de la création monétaire et l’illusion de l’accès à ses avoirs en or, l’État français est un état qui repose essentiellement sur la confiance : on pourrait parler d’état fantoche, corroboré par des représentants pantins, et une capacité législative limitée et sous domination des décisions européennes.

—————

L’Allemagne est-elle beaucoup mieux lotie ?

Deutsche bundesbank

L’Allemagne possède le plus gros stock d’or au monde (3396 T d’or – nov 2012) (source) On considérait ce stock en réalité comme le second plus gros comparé au 9000 T d’or pour la FED en 2006- source – mais suite à un audit à la FED, il apparait « qu’il ne reste plus que 466 T(!) sur les 8133T attendues en 2013″ !!? (quotidien.com – février 2013). L’Allemagne est donc bien le premier détenteur : mais officiellement seulement, car on constate que :

1528 T d’or de l’Allemagne serait détenu par la FED, qui n’en a plus que 466T !

Officiellement 45% de ses réserves sont détenues par la FED (ce qui ferait donc 45% de 3396 =1528 T !!) Or, on se demande bien comment en réalité, puisque la FED a ses coffres percés ! (466T d’or au lieu de 8133)

L’Allemagne l’avait d’ailleurs bien pressentie, en réclamant il y a quelques mois une partie de son or (300T) à la FED. On lui avait alors répondu que ca pourrait se faire mais sur plusieurs années (7 ans) : la bonne blague !  (quotidien.com 03/2013)

Où est le reste ? 31% des réserves allemande « était » en Angleterre (Bank of England – holding privée), 13% à la Banque de France (sous tutelle de la BCE)… (source) et 900T d’or aurait pu être rapatrié sur le territoire depuis les années 2000 (lemonde.fr  01/2013)

900 sur 3400, ca fait beaucoup moins…  Le réveil des allemands risque pour une énième fois au regard de l’histoire, d’être terriblement douloureux… et donc pas forcément beaucoup mieux loti que les PIGS [Portugal, Ireland, Greece, Spain] et la France…

 

Où est stocké « l’or des français qui ne leur appartient pas » ?

BDF_Paris

A Paris « La souterraine » (le coffre-fort de la BDF), cette salle d’1 hectare n’a jamais été la seule zone de stockage de l’or dit « français ». Déjà entre les deux premières guerres mondiales, pour des raisons de sécurité, de nombreux coffres disséminés sur toute la carte nationale servent de point de stockage, jusqu’à l’élévation du risque de la confrontation avec l’Allemagne. Aussi avant même l’élection du Chancelier Hitler en 1933, qui conduira par la suite à sa conquête de l’or des Nations avoisinantes ; dès 1932, l’or français (2500T à l’époque) commence à quitter le territoire, vers les US et des zones coloniales notamment en Afrique. cf. docu VIDEO: http://www.dailymotion.com/video/xyfcp1_1940-l-or-de-la-f...

Ce qui n’est pas une première dans l’histoire. Car déjà, devant la fermeté de Philippe Le Bel souhaitant prendre définitivement le contrôle de la monnaie :  « Les chariots remplis d’or seraient sortis du Temple de Paris au soir du 12 octobre 1307 et se seraient dirigés vers le nord de la France, pour charger leur cargaison d’or sur des bateaux, direction l’Angleterre (!) C’est à la survie de l’ordre qu’avait servi l’or des Templiers. » (orpostal.com)

L’or n’est pas sous le contrôle de l’état

BDF_zone_stockage_or

Ce qui est intéressant, c’est qu’il échappe de facto en 1932 à l’autorité de l’Etat qui ne souhaite pas le déplacement, et également au contrôle de Pétain, avant ou après la reddition de 1940. Ce qui montre qu’effectivement l’or des français ne leur appartenait déjà que par apparence mais qu’en réalité, (tout comme « l’or américain ») il peut très bien disparaitre discrètement (ou plutôt « dans un secret absolu ») sans aucun contrôle officiel de l’État qui ne possède qu’un avoir : c’est à dire l’illusion de la possession, jusqu’à ce qu’il disparaisse…

Un peu à l’instar de tout particulier, client d’une banque, qui ne soucie pas trop de savoir où sont physiquement situés ses avoirs, tant qu’il a la confiance de pouvoir y accéder quand bon lui semble. Et idem, s’il a 1 coffre en banque avec des lingots : le jour où la banque dépose le bilan, il lui est impossible de faire même ouvrir « son » coffre car en réalité, même si «  les coffres ne font pas partie des biens propres de la banque, leur accès peut en être compliqué… » (acheteror.org)

Et quand on constate l’actuel braquage des déposants à Chypre (03/2013) – et bientôt ailleurs en Europe – on peut facilement imaginer, l’impossibilité d’accès à l’or (de la BDF, comme celui des particuliers, en coffre) en cas d’effondrement en chaîne, de risque de guerre, ou d’instabilité politique…

L’or de la BDF est-il toujours sur le territoire national ?

Aussi, rien ne peut certifier à 100% compte tenu du risque d’un effondrement monétaire de la zone euro, que « l’or des français » se trouvent toujours dans les coffres de la BDF, ni même sur le territoire (et qu’il le soit ou non, ne présume pas de l’avenir…)

Une partie a déjà été échangée en 2004 contre du papier (!). L’or valait 400 $/once contre 4 fois plus aujourd’hui (1600 $/oz). Ce qui représente une saignée dans les avoirs français – dans un contexte où on ne pouvait pas ignorer qu’il était voué à augmenter (et c’est pas fini…) C’est l’ancien ministre de l’économie Nicolas Sarkozy (à l’époque) qui avait sollicité la revente d’une partie de notre or contre des devises (1/5e : 500 à 600T d’or sur les 3000T- lepoint.fr) .

Quant à l’autre partie (2400T estimé en 08/2011 – source), la haute-trahison de la logique de l’endettement depuis 1973, fait que de toute manière, la dilapidation des avoirs se fait, tout  naturellement pour couvrir les intérêts, puis les intérêts des intérêts d’une dette qui ne devrait en réalité pas du tout exister.

Si l’or quitte les frontières, où irait-il ?

Si l’or devenait a être déplacé, il serait difficile de savoir à quel endroit. Seules des hypothèses pourraient être formulées …

La BDF sous le contrôle de la BCE, pourrait dans un premier temps le faire se déplacer en Europe. Et ensuite, au gré de l’évolution des situations géostratégiques et politiques…

Par exemple,

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Israël : même si cela ne figure pas encore dans les manuels, est de fait, par son influence, le possible « nouvel empire » (après la Pax Britannica, La Pax Americana, pourquoi pas la Pax Judaica…)

D’ailleurs, Rothschild a récemment demandé sa double nationalité (israélienne) avec une excuse drolesque : « J’ai acquis la nationalité israélienne, uniquement pour faire des courses hippiques » (E&R.fr) qui témoigne d’un mépris total pour son auditoire mais aussi pour l’idée même de la nationalité.

La franc-maçonnerie a toujours cultivée la reconstruction de l’ancien temple du roi Salomon à Jérusalem (la franc-maçonnerie comme résurgence des templiers « bâtisseurs du Temple de Salomon » – source) . Et les eschatologies catholiques et musulmanes renvoient l’idée d’un roi, antéchrist (/dajjal) qui corrobore cette destiné.

Au niveau militaire, on peut imaginer que la réalité des nouvelles armes technologiques dépasse très largement ce que conçoit l’inconscient collectif. On ne peut pas croire, vu le bond technologique entre les « barons du ciel » de 14-18 et les B2 bombardiers de 39-45 – en seulement 20 ans que sépare l’entre-deux-guerres – qu’il ne se trouve pas un écart technologique équivalent après 60 ans.

Ainsi, suivant cette hypothèse, on pourrait, malgré un Proche-Orient sans cesse en forte tension, et dans cette suite logique d’un nouvel empire ayant Jérusalem pour capitale, on peut très bien maginer qu’Israël constitue malgré tout un lieu privilégié pour le stockage de l’or… Cela serait alors l’aboutissement de la destruction des nations ayant pour dessein le Nouvel Ordre Mondial (une dictature mondiale dont les dirigeants traitres et autres agents de la subversion, nous rabâche les oreilles depuis 1991 – déclaration de Bush père – et où « tous, petits et grands, riches et pauvres… reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom »Rev 13-12eschatologie catholique)

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D’ailleurs, si on considère Israël sur de nouvelles frontières conquises « allant de l’Euphrate au Nil », l’ancienne Babylone (actuel Irak) pourrait même y être incluse, confortant également l’eschatologie islamique mais cette fois au sens propre (plutôt qu’au sens figuré avec le « pétrodollar »)  qui dit que le fleuve de l ’Euphrate laissera apparaitre une montagne d’or, pour laquelle les gens vont s’entretuer.

Mais comme 1 lieu unique, n’a habituellement pas été la stratégie adoptée…

Quels autres lieux dans le monde ?  US, Colorado -  Norway, Svalbard – Suisse – Vatican,… :  Toutes les hypothèses sont ouvertes…


Que doivent faire les victimes du hold up ?

La mise en esclavage des français

serrer la ceinture - france

Plus tragique, pour couvrir le service de la dette (+ de 45 milliards par an, juste pour couvrir le remboursement des intérêts) et les versements à l’UE (20 milliards par an),  l’augmentation sans cesse des impôts, envers les français et les entreprises nationales (PME/PMI) viennent de fait, directement alimenter les avoirs au sein de la BDF (et de la BCE), qui dans cette logique de la fuite accélérée liée à l’endettement, constitue une passoire, au seul profit donc de ses seuls actionnaires. Mais cela ne se révélera clairement que lorsque l’effondrement monétaire sera effectif, et que l’on constatera (comme ces officiers allemands fraichement débarqués au lendemain de la reddition de la France, au siège de la BDF) que « la souterraine » est  complètement vide…

Une marge de manœuvre étroite : Alors que faire ?

1/ Déjà, à chacun d’éviter de jouer le jeu de remplir un puit sans fond en suant corps et âme pour … rien.

Quel intérêt y-a-t-il à alimenter par le fruit du travail un patrimoine qui échappe déjà au contrôle de l’État (moins souverain encore qu’il ne l’était déjà) et dont l’or finira (pour ce qu’il en reste) par quitter le territoire, au plus tard lors de l’effondrement monétaire et obligataire :  en prévision de la situation sociale et politique que cela entraînera…

2/ Ensuite de bien comprendre et partager la connaissance…

Et notamment celle sur la monnaie, à l’instar de Mayer Amschel Rothschild qui la résume en 1 phrase : « Accordez moi le pouvoir de la création de la monnaie et je ne me soucierai pas de qui fait les lois« 

3/ Tenir compte des expériences passées.

De l’expérience de la Commune de Paris 1871 (cf. article et histoire racontée par Henri Guillemin),  on doit faire preuve d’humilité et considérer qu’un très faible niveau de connaissance ne laisse de perspective d’affranchissement que de l’ordre de quelques semaines. L’expérience de l’Allemagne ou l’Italie des années 30, n’a laissée entrevoir que quelques années de souveraineté. Que les expériences de Kadhafi (voulant créer le dinar-or en Afrique), de Saddam Hussein (voulant vendre son pétrole contre d’autres devises que le dollar), ont vite été réglées par l’Empire. On passe, sur les tentatives d’émancipation ici ou là,  vis à vis de l’endettement par quelques autres petites nations de l’ancien empire colonial…

petrodollar

Au bilan, les seuls états qui arrivent à s’émanciper durablement de la tutelle des banksters, sont ceux qui, pour des raisons géostratégiques, reçoivent l’appui d’autres protections (ex. Cuba par l’URSS, l’Iran par la Russie, la Corée du Nord par la Chine).

Les seules véritables souveraineté comme la Russie voire la Chine, l’obtienne par leur masse critique (militaire) et surtout l’autonomie/richesse en matière première et énergie.

On constate d’ailleurs les limites atteintes par la Chine en expansion, qui doit se positionner en Afrique, pour couvrir ses besoins. Également, les limites de son autonomie monétaire démontrée par sa propension frénétique à vouloir, depuis quelques années, transformer ses avoirs en dollar par l’acquisition d’or physique. (Et on la comprend…)

Le temps presse ?

La récente annonce officielle de Medvedev, invitant les russes à déserter les banques occidentales, annonce qu’un effondrement ne devrait plus tarder et le temps pour la prise de conscience réduit d’autant…

fin-de-lEuro

« Un bulletin d’information du Ministère des Affaires étrangères russe vient d’être envoyé à ses ambassades, aujourd’hui. [22/03/2013] Il conseille aux citoyens russes et aux entreprises, de commencer à retirer leurs actifs des banques occidentales et des institutions financières « immédiatement« / « A Ministry of Foreign Affairs (MFA) “urgent bulletin” being sent to Embassies around the world today is advising both Russian citizens and companies to begin divesting their assets from Western banking and financial institutions “immediately” as Kremlin fears grow that both the European Union and United States are preparing for the largest theft of private wealth in modern history » (wikistrike.com)

Alors quelle solution pour la France de demain ?

A partir du déclenchement du chaos, la France pourra être possiblement isolée et encore amoindrie militairement, sans autosuffisance en ressources énergétiques et minières (sauf une capacité agricole reconstructible). Comment pouvoir assurer après cette période, une souveraineté sans la garantie d’une force militaire dissuasive et des ressources mat/énergie limitées ? Indubitablement, il faudra des élites éclairées et s’émanciper des associateurs traitres qui fourmillent et qui sont les complices (ou les idiots utiles) de cette situation d’endettement final (1973, puis BCE) pierres d’achoppement de la destruction de la nation.

Aussi la seule connaissance monétaire sera insuffisante pour reconstruire durablement. Il faudra aller plus loin et ne plus tolérer les organisations secrètes et la subversion négative qui poussent les institutions et ses citoyens à la déliquescence et à l’abrutissement. Réintroduire la vertu (morale, l’honneur, compassion) comme pilier de la reconstruction. Ne pas tolérer ou tergiverser avec la perversion. Et à défaut de richesse, on pourra espérer de l’entraide et la solidarité naturelle, émanant de cette prise de conscience, afin qu’elle puisse contrebalancer dans une moindre mesure…

Quant aux français, que devront-ils faire pendant et après le chaos ?

En quittant la société de consommation, riche en biens mais pauvre en conscience, il faudra tirer les enseignements et comprendre qu’un âge d’or n’est possible qu’en cultivant ce qui est essentiel dans la vie d’un homme ou d’une femme : apprendre à aimer.  L’amour est une richesse inépuisable même pour qui est dispendieux, qui ne subit pas l’inflation, non taxable, qui n’a pas besoin de coffre, qui enrichit d’autant celui qui donne, dont le retour sur investissement perdure au-delà, …  Il est à la base des relations sociales bien orientées qui se veulent être harmonieuses et heureuses…

Également, de cultiver la sagesse et la connaissance. Enfin, d’être attentif à la corruption et à la perversion pour ne pas à nouveau faire les frais de  l’influence de la vipère poussant à goûter au fruit défendu, constituant les prémices de la décadence…

 

http://bestofactus.wordpress.com/2013/02/21/dette-rendons...

 

Les Européens passent Chypre par-dessus bord ! Vraiment ? A qui le tour ?

C'est quoi ce titre : Les Européens passent Chypre par-dessus bord ? Comme si nous étions tous concernés par les décisions démoniaques et dictatoriales prises par le Groupe sioniste du Bildenberg Group, et de tous les banksters et mafieux européistes-sectaires Illuminati qui nous ont imposé l'Europe et qui passent leur temps à nous ruiner et à nous imposer leur dictature financière.

Quand jamais les peuples ont voulu se détruire entre-eux pour enrichir les banksters ? Ah, tout à coup ils font mine de découvrir que Chypre est un paradis fiscal où se trouveraient tous les comptes des mafieux, sans blague, et uniquement pour viser la Russie comme nous l'avons bien tous compris. Comme si tous les russes et tous les chypriotes étaient tous des mafieux !

Et bien sûr on évite soigneusement de citer la Cité privée du Vatican qui est un autre "paradis fiscal" et dont la Banque "des œuvres religieuses" abrite 44 000 comptes de mafieux.

Mais il est vrai que le Vatican est aussi l'un des sièges mondiaux des sionistes, comme nous le verrons très bientôt et ce que dénonce le site de la résistance catholiqueet que pour ne pas se plier aux règles internationales de la transparence des comptes et du blanchiment d'argent sale, la Multinationale de la foi judoé-catholique a trouvé des solutions pour se faire héberger par la Suisse, un autre paradis fiscal, tout en ayant pris soin de mettre à sa tête, comme par hasard, un nouveau président Allemand, comme par hasard aussi, qui fabrique des navires de guerre et qui est membre des Chevaliers de l'Ordre de Malte.
 
L'Allemand Ernst von Freyberg, un avocat membre de l'Ordre de Malte, a été nommé vendredi à la tête de l'IOR (l'Institut pour les affaires religieuses), la banque du Vatican, privée de président depuis le limogeage d'Ettore Gotti Tedeschi en mai 2012, a annoncé le porte-parole du Saint-Siège. L'opération est simple. Il suffit d'allumer votre ordinateur, de vous rendre sur Google et de taper "Blohm + Voss", le nom de la compagnie basée à Hambourg, et détenue par Ernst von Freyberg, le nouveau chef de l'IOR. Là, vous êtes en face d’un récapitulatif des navires de guerre.
Et si on parlait un peu de l'île de Malte qui abrite l'Ordre Souverain Militaire des Chevaliers de l'Ordre de Malte, une des armées secrètes du Vatican pour voir ce qui pourrait se trouver comme comptes de mafieux dans leurs banques privées ?
 
Ils se moquent de qui ?
 
A qui le prochain tour ?

Chypre n'est qu'un petit laboratoire ! Dixit Attali la voix de son Maître !
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/24/chypre...

Sortez votre argent des banques où que vous soyez dans un pays européen !
 

Les Européens passent Chypre par-dessus bord

© Reuters

Les comptes inférieurs à 100 000 euros, qui bénéficient de la garantie de l’État, seront regroupés dans une structure – une good bank – qui sera apportée à la Banque de Chypre, la première banque du pays. Celle-ci reprendra en outre les 9 milliards d’euros d’engagements pris par Laiki auprès de la Banque centrale européenne dans le cadre des fonds d’urgence de liquidité (Emergency liquidity assistance, ELA), les Européens refusant que la BCE puisse essuyer la moindre perte.

L’État chypriote étant dans l’incapacité financière de recapitaliser la Banque de Chypre, ce sont les déposants de cette dernière qui possèdent un compte au-dessus de 100 000 euros qui seront mis à contribution. La Troïka exige que la banque dispose au moins de 9 % de fonds propres. Elle dit ignorer à ce stade quel est le montant nécessaire pour arriver à ce nouveau chiffre magique. Dans les couloirs de Bruxelles, des responsables évoquaient une décote de 40 % au moins sur les dépôts concernés.

Autant dire que le système financier de Chypre est à terre. La fuite des capitaux installés à Chypre s’annonce massive. L’Union européenne en est si consciente qu’elle a accepté de faire une nouvelle entorse à ses principes : elle a avalisé la restriction des retraits en espèces et des opérations financières de tout ordre, le contrôle des capitaux institués par le gouvernement, alors que celui-ci fait face depuis une semaine à une vraie panique bancaire.

Dans leur communiqué, les membres de la zone euro insistent sur le fait que « ces mesures administratives seront temporaires, proportionnées et suivies attentivement dans le temps, afin d’être en conformité avec le traité ». Mais d’ici là, le système bancaire et économique de l’île risque de ne pas y résister. La panique bancaire, en dépit des restrictions, a toutes les chances de gagner, tandis que les entreprises, dans l’incapacité de se financer, vont se retrouver asphyxiées.

« Aucune entreprise humaine n’a réalisé une telle destruction économique en si peu de temps sans l’usage des armes », pointe l’économiste Pawel Morski dans un billet de blog intitulé « Chypre :l’opération est un succès. Dommage, le patient est mort ». Il poursuit : « La combinaison de la dévastation du secteur financier et du rapt de l’épargne de milliers de particuliers signifie que Chypre ne retrouvera pas un niveau normal avant une décennie, un bûcher funéraire qui ne supporte la comparaison seulement qu’avec la Grèce. Quatre chocs vont survenir en même temps : le choc désormais trop connu de l’austérité, le traumatisme du contrôle des retraits bancaires, le choc de l’épargne et celui de voir balayer le secteur financier. »

Un euro chypriote ne vaut plus un euro tout court

© Reuters

Dès ce lundi, le spectre d’une panique bancaire risque de revenir hanter les rues de l’île. Depuis une semaine, alors que les banques sont fermées, les queues s’allongent devant les distributeurs automatiques, les Chypriotes tentant de retirer le maximum d’argent pendant qu’il est encore temps. Les retraits depuis dimanche ont été limités à 100 euros. À l’avenir, selon l’accord européen, c’est la BCE qui fixera le montant des retraits « afin que les Chypriotes puissent faire face à leurs dépenses de la vie courante ». 

En un mot, Chypre se retrouve confrontée à une situation semblable à celle de l’Argentine, au moment de la dévaluation de 2001. Les conséquences sont connues : des faillites en série d’entreprises, privées de tout accès au système financier, un chômage de masse, une paupérisation accélérée des classes moyennes. Doublé d’un programme d’austérité, dont les effets sont déjà que trop connus, l’effondrement de Chypre semble programmé.

D’autant que l’île n’a aucune ressource économique établie à côté de son secteur financier. Et l’Europe n’a prévu de ne lui apporter aucune aide pour se rétablir. Alors que le gouvernement chypriote a déjà eu du mal à faire face à la seule explosion d’une centrale électrique en 2011, on voit mal où il trouverait les réserves nécessaires pour soutenir son économie. Avec les crédits apportés par la Troïka, son endettement va déjà dépasser les 150 % du PIB. Aucun créancier international ne va vouloir lui faire confiance. Quant aux capitaux étrangers, ils vont s’empresser de partir dès que possible. Les Russes ont déjà retiré leur argent dès qu’ils ont entendu parler des plans européens. La décision européenne de confisquer tous les dépôts au-delà de 100 000 euros dans les banques chypriotes ne va pas les inciter à revenir.

Dans ces conditions, les projections, toujours très optimistes du FMI, de voir l’endettement de Chypre revenir dans la limite des 100 % en 2020, semblent déjà sans fondement. L’écroulement de l’économie de l’île ne va que rajouter de la dette à la dette. Le gouvernement chypriote pourrait être très rapidement acculé à la faillite, faire défaut et sortir de l’euro.

« Il est temps de penser à sortir de l’euro », a déjà anticipé le patriarche Chrysotomos, dirigeant de l’église orthodoxe chypriote, en dénonçant le chantage européen. La tentation de quitter la monnaie unique risque d’enfler dans les semaines à venir, au fur et à mesure que l’île s’asphyxiera. Tout en affirmant le contraire, les Européens ont déjà presque entériné cette sortie : en prenant des mesures de contrôle de capital, ils avouent que la monnaie unique n’existe plus tout à fait : un euro chypriote ne vaut plus un euro tout court, puisqu’il ne peut plus sortir.

« L’irréversibilité de l’euro » affirmée avec force par le président de la BCE , Mario Draghi – curieusement très silencieux dans toute cette crise – est mise à mal. Si Chypre en tire toutes les conclusions et décide de partir, son exemple pourrait être vite imité, tant le rejet européen s’approfondit dans les populations. L’amateurisme et le dogmatisme avec lesquels les membres de la zone euro ont géré cette crise chypriote risquent de coûter très cher, tant auprès des investisseurs internationaux que des déposants nationaux. Les responsables européens font le pari que Chypre n’est pas un risque systémique. Ils pourraient à nouveau être démentis par les faits.

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Zbigniew brzezinski : inquiétude sur l'éveil des masses

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Zbigniew Brzezinski et l'inquiétude sur le Réveil Politique Mondial

http://www.dailymotion.com/video/xwp17u_zbigniew-brzezinski-et-le-reveil-politique-mondial-septembre-2012_news?ralg=player.ext.behavior-meta2#from=embediframe-playreloff-7





24/03/2013

François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d'Argentine

Il est intéressant de relever la note de l’auteur que l'on retrouve en bas de son article.

Ainsi nous avons confirmation que la maladie et le décès d'Hugo Chavez ont bien été programmés par les USA et les Sionistes avec l'appui du Vatican qui luttent contre le communisme pour le remplacer par le capitalisme forcené, quitte à organiser des génocides soutenus par le Vatican et leurs armées secrètes, Les Jésuites Lucifériens qui sont les Chefs Suprêmes des Illuminati, l'Opus Dei, l'Ordre Militaire Souverain de Malte et tant d'autres.

Il faut savoir que la lutte contre l'anticommunisme est la profession des sionistes et si les Papes sont anticommunistes c'est qu'ils travaillent pour les sionistes !
Livre à télécharger ici :

L'article : L’anticommunisme, profession des sionistes (Livre introuvable d’URSS 1972)

Voici un second article qui le confirme et qui date du 14 mars 2013 soit 9 jours après le décès de Hugo Chavez et comme par hasard qui a été écrit, 1 jour après la supposée élection du Pape-PDG-Jésuite  du Vatican.

 

Chavez’s Death Marks The Beginning of The West’s Investment In Latin America
http://www.moneynewsnow.com/2013/03/chavezs-death-marks-the-beginning-of-the-wests-investment-in-latin-america/

Il fallait débarrasser Hugo Chavez du milieu avec l'aide du Vatican pour que les charognards se jettent sur le Venezuela et sur l'Amérique Latine.

Il va falloir qu'ils assassinent aussi tous les présidents de tous les pays d'Amérique Latine, ce qu'ils ont déjà commencé à faire en leur inoculant le cancer.

Hugo Chavez avait réussi à fédérer les autres présidents d'Amérique Latine pour lutter contre l'invasion des USA/Sionistes sur leurs territoires, cette unité qu'il faudra qu'ils se chargent de détruire avec la complicité du sioniste de service Henrique Capriles qui était l'adversaire de Hugo Chavez et qui postule à nouveau pour les prochaines élections présidentielles.

Et un autre article sur le Pape Jésuite/PDG du Vatican à consulter ici :

 


François : «Le pape de Washington» ? Le cardinal Jorge Mario Bergoglio et «la guerre sale» d’Argentine

De Prof Michel Chossudovsky

Global Research, mars 17, 2013

Url de l'article:
http://www.mondialisation.ca/francois-le-pape-de-washington-le-cardinal-jorge-mario-bergoglio-et-la-sale-guerre-dargentine/5326969

Le conclave du Vatican a élu le pape François, le cardinal Jorge Mario Bergoglio.

Qui est Jorge Mario Bergoglio? 

En 1973, il a été nommé « Provincial » de l’Argentine pour la Société de Jésus (Ordre des Jésuites).

À ce titre, Bergoglio était le plus haut représentant des Jésuites en Argentine durant la dictature militaire menée par le général Jorge Videla (1976-1983).

Il est devenu plus tard évêque puis archevêque de Buenos Aires. Le pape Jean Paul II l’a élevé au rang de cardinal en 2001.

Lorsque la junte militaire a renoncé au pouvoir en 1983, le nouveau président élu, Raul Alfonsin, a organisé une commission de la vérité au sujet des crimes de la « sale guerre » (la guerra sucia) argentine.

La junte militaire argentine a été soutenue clandestinement par Washington.

Le secrétaire d’État étasunien de l’époque, Henry Kissinger, a joué un rôle en coulisses dans le coup d’État militaire de 1976.

L’adjoint en chef de Kissinger en Amérique latine, William Rogers, lui avait dit deux jours après le coup d’État: « Nous devons nous attendre à une bonne dose de répression, probablement pas mal de sang va couler rapidement en Argentine »(National Security Archive, 23 mars 2006.)

“Opération Condor”

Photo : Henry Kissinger et le général Jorge Videla (1970)

Ironiquement un procès majeur s’est ouvert à Buenos Aires le 5 mars 2013, une semaine avant que le cardinal Bergoglio ne devienne pape. Le procès en court a pour but « d’examiner la totalité des crimes commis dans le cadre de l’opération Condor, une campagne de grande envergure coordonnée par des dictatures latino-américaines soutenues par les États-Unis dans les années 1970 et 1980, et visant à traquer, torturer et assassiner des dizaines de milliers d’opposants de ces régimes ».

Pour plus de détails, consulter: Operation Condor: Trial On Latin American Rendition And Assassination Program, Carlos Osorio et Peter Kornbluh, 10 mars 2013


La junte militaire menée par le général Jorge Videla, a été responsable d’un nombre incalculable d’assassinats, incluant des prêtres et des religieuses qui s’opposaient au régime militaire qui a suivi le coup d’État du 24 mars 1976, appuyé par la CIA, et renversé le gouvernement d’Isabel Peron :

Videla était l’un des généraux condamnés pour crimes contre l’humanité, dont des “disparitions”, de la torture, des meurtres et des enlèvements. En 1985, Videla a été condamné à une peine d’emprisonnement à perpétuité à la prison militaire de Magdalena.”

Wall Street et le programme économique néolibéral

Une des nominations clef de la junte militaire, (ordonnée par Wall Street) a été le ministre de l’économie, Jose Alfredo Martinez de Hoz, un membre du monde des affaires argentin et un ami proche de David Rockefeller. (Voir la photo plus bas)

photo: de gauche à droite: Jose Alfredo Martinez de Hoz, David Rockefeller et le général Jorge Videla.)

L’ensemble des politiques macro-économiques néolibérales adopté sous Martinez de Hoz était la copie conforme de celui imposé en octobre 1973 au Chili par la dictature de Pinochet et conseillé par les “Chicago Boys”, après le coup d’État du 11 Septembre 1973 et l’assassinat du président Salvador Allende.

Les salaires ont immédiatement été gelés par décret. Le véritable pouvoir d’achat a chuté de plus de 30 % en moins de trois mois en Argentine, suivant le coup d’état du 24 mars 1976 (estimation de l’auteur à Cordoba, Argentine en Juillet 1976). La population argentine a été appauvrie.

Sous la direction du ministre de l’Économie Jose Alfredo Martinez de Hoz, la politique monétaire de la banque centrale a été en grande partie déterminée par Wall Street et le FMI. Le marché des devises a  été manipulé. Le peso argentin a été délibérément surévalué, menant à une dette extérieure insurmontable. L’économie nationale en entier a été précipitée à la faillite.

Wall Street et la hiérarchie de l’église catholique

Wall Street appuyait fermement la junte militaire qui menait la « sale guerre » pour son compte. La hiérarchie de l’église catholique a quant à elle joué un rôle central en soutenant la légitimité de la junte militaire.

La Compagnie de Jésus qui représentait la faction conservatrice, aussi la plus influente de l’église catholique et étroitement associée aux élites économiques argentines, appuyait fermement la junte militaire contre les soi-disant « gauchistes » du mouvement péroniste.

« La sale guerre »: Allégations contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio

La condamnation de la dictature militaire (y compris sa violation des droits humains) était tabou au sein de l’Église catholique. Alors que les hauts échelons de l’Église soutenaient la junte militaire, sa base était fortement opposée à l’imposition d’un régime militaire.

En 2005, l’avocat des droits de l’Homme Myriam Bregman a intenté des poursuites contre le cardinal Jorge Marion Bergoglio, l’accusant de conspiration avec la junte militaire dans l’enlèvement de deux prêtres jésuites en 1976.

Plusieurs années plus tard, les survivants de la « guerre sale » ont accusé publiquement le cardinal Jorge Bergoglio de complicité dans le rapt des prêtres Francisco Jalics et Orlando Yorio Several, et de six membres de leur paroisse. (El Mundo, 8 novembre 2010)

Bergoglio, qui était à cette époque « Provincial » pour la Compagnie de Jésus, avait ordonné à deux prêtres jésuites étiquetés « gauchistes » de « quitter leur travail pastoral » (ils ont été congédiés) à la suite de divisions au sein de la Compagnie de Jésus relativement au rôle de l’Église catholique et de ses relations avec la junte militaire.

Alors que les deux prêtres Francisco Jalics et Orlando Yorio, enlevés par les escadrons de la mort en mai 1976 ont été relâchés cinq mois plus tard après avoir été torturés, six autres personnes liées à leur paroisse enlevées dans le cadre de la même opération sont « disparus » (desaparecidos), dont quatre professeures de la paroisse et deux de leurs maris.

Lorsqu’il a été relâché le prêtre Orlando Yorio a « accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons de la mort [incluant six autres personnes] Jalics a refusé de discuter de la plainte après s’être retiré dans un monastère allemand ». (Associated Press, 13 mars 2013, c’est l’auteur qui souligne.)

Parmi ceux « disparus » aux mains des escadrons de mort figuraient Mónica Candelaria Mignone, fille du fondateur du CELS (Centro de Estudios Legales y Sociales) Emilio Mignone, et María Marta Vázquez Ocampo, fille de la présidente de Madres de Plaza de Mayo, Martha Ocampo de Vázquez. (El Periodista Online, mars 2013.)

María Marta Vásquez, son mari César Lugones (photo à droite) et Mónica Candelaria Mignone prétendument « livrés aux escadrons de la mort » par le Provincial jésuite Jorge Mario Bergoglio sont parmi les milliers de desaparecidos de la « guerre sale » en Argentine soutenue clandestinement par Washington sous l’opération Condor (Voir memorialmagro.com.ar).

Durant le procès initié en 2005,

« Bergoglio [le pape François] a invoqué à deux reprises son droit en vertu de la loi argentine de refuser d’apparaître devant la cour et lorsqu’il a finalement témoigné en 2010, ses réponses étaient évasives: “Bergoglio était directement impliqué dans au moins deux dossiers. L’un examinait la torture de deux de ses prêtres jésuites, Orlando Yorio et Francisco Jalics, enlevés en 1976 des bidonvilles où ils professaient la théologie de la libération. Yorio a accusé Bergoglio de les avoir livrés aux escadrons de la mort… en refusant de dire au régime qu’il cautionnait leur travail. Jalics a refusé de discuter de l’affaire après s’être retiré dans un monastère en Allemagne.” » (Los Angeles Times, 1er avril 2005.)

« La communion pour les dictateurs »

Photo : Prêtre (non-identifié) donnant la communion à Videla. Date inconnue. Source : AFP ?

Les accusations à l’endroit de Bergoglio relativement aux enlèvements des deux prêtres jésuites et de six paroissiens ne sont que la pointe de l’iceberg. Si Bergoglio était une figure importante de l’Église catholique, il n’était certainement pas le seul à appuyer la junte militaire.

D’après l’avocate Myriam Bregman: « Les propres déclarations de Bergoglio prouvent que les représentants officiels de l’Église savaient depuis le début que la junte torturait et tuait ses citoyens et approuvaient toute de même  publiquement les dictateurs. La dictature n’aurait pas pu opérer de cette façon sans ce soutien clé. » (Los Angeles Times, 1er avril 2005.)

Toute la hiérarchie catholique était derrière la dictature militaire appuyée par les États-Unis. Il convient de rappeler que le 23 mars 1976, à la veille du coup militaire :

« Videla et d’autres comploteurs ont reçu la bénédiction de l’archevêque de Paraná, Adolfo Tortolo, qui a aussi été vicaire des forces armées. Le jour même de la prise de pouvoir, les dirigeants militaires ont eu une longue réunion avec les dirigeants de la conférence épiscopale. En sortant de cette réunion l’archevêque Tortolo a déclaré que même si “l’Église a sa propre mission spécifique […] dans certaines circonstances elle ne peut pas s’abstenir de s’impliquer dans des questions même si elles concernent spécifiquement l’ordre de l’État”. Il a incité les Argentins à  “coopérer de manière positive” avec le nouveau gouvernement. » (The Humanist.org, janvier 2011, c’est l’auteur qui souligne.)

En entrevue avec El Sur, le général Jorge Videla, lequel purge actuellement une sentence à vie pour crimes contre l’humanité, a confirmé : 

« avoir informé la hiérarchie catholique des politiques de “disparition” des opposants politiques du régime et que les chefs catholiques donnaient des conseils sur la “gestion” de la politique.

Jorge Videla a dit qu’il avait eu de « nombreuses conversations » avec la primauté en Argentine, le cardinal Raúl Francisco, à propos de la guerre sale de son régime contre les activistes de gauche. Il a dit que des discussions avaient également eu lieu avec d’autres évêques de haut rang de la conférence épiscopale ainsi qu’avec le nonce national de l’époque Pio Laghi.

Ils nous ont conseillés sur la façon de gérer la situation”, a dit Videla » (Tom Henningan, Former Argentinian dictator says he told Catholic Church of disappeared,  Irish Times, 24 juillet 2012, c’est l’auteur qui souligne.)

Il est important de signaler que selon une déclaration de l’archevêque Adolfo Tortolo datant de 1976, l’armée consultait toujours un membre des autorités catholiques lorsqu’un membre de la base du clergé était « arrêté ». Cette déclaration a été faite spécifiquement à propos de l’enlèvement des deux prêtres jésuites dont les activités pastorales étaient sous la direction du Provincial de la Compagnie de Jésus, Jorge Mario Bergoglio. (El Periodista Online, mars 2013).

En soutenant la junte militaire, les autorités catholiques étaient complices de torture et  de massacres : on estime que 22 000 personne ont été tuées ou portées disparues entre 1976 et 1978. Des milliers d’autres victimes ont été tuées entre 1978 et 1983, lorsque l’armée a été chassée du pouvoir.” (National Security Archive, mars 23, 2006)

Le rôle du Vatican

Sous les règnes des papes Paul IV et Jean-Paul II, le Vatican apporté un appui clé à la junte militaire argentine.

Pio Laghi, le nonce apostolique du Vatican en Argentine, a admis « avoir fermé l’œil » sur la torture et les massacres.

Laghi avait des liens personnels avec des membres de la junte militaire au pouvoir, dont le général General Jorge Videla et l’amiral Emilio Eduardo Massera.

(Voir l’image à gauche. Le nonce du Vatican Pio Laghi et le général Jorge Videla)

L’amiral Emilio Massera en liaison étroite avec ses responsables étasuniens était le cerveau de la « Guerra Sucia ». Sous les auspices du régime militaire il a établi :

« un centre d’interrogation et de torture à La Escuela de Mecánica de la Armada (école de mécanique de la Marine ou ESMA [près de Buenos Aires.] Il s’agissait d’un établissement sophistiqué à usage multiple et crucial dans le plan militaire d’assassinat d’environ 30 000 “ennemis de l’État” […].Des milliers de détenus d’ESMA, dont deux religieuses françaises, ont été impitoyablement et régulièrement torturés avant d’être tués et jetés du haut d’un avion dans la rivière Plata.

Massera, le membre le plus puissant du triumvirat a fait de son mieux pour maintenir ses liens avec Washington. Il a participé au développement du plan Condor, un projet de collaboration visant à coordonner le terrorisme pratiqué par les régimes militaires sud-américains. (Hugh O’Shaughnessy, Admiral Emilio Massera: Naval officer who took part in the 1976 coup in Argentina and was later jailed for his part in the junta’s crimes, The Independent, 10 novembre 2010, c’est l’auteur qui souligne.)

Des reportages confirment que le représentant du Vatican Pio Laghi et Emilio Massera étaient amis.

Photo à droite : L’amiral Emilio Massera, architecte de la “Guerre Sale” reçoit le Pape Paul VI au Vatican)

L’église catholique: En Argentine et au Chili

Il convient ici de noter que lors du coup d’État militaire au Chili le 11 septembre 1973, le cardinal de Santiago, Raul Silva Henriquez, a condamné ouvertement la junte militaire dirigée par le général Augusto Pinochet. Contrairement à l’Argentine, cette prise de position ferme des autorités catholiques au Chili a grandement contribué à restreindre la vague d’assassinats politiques et de violations des droits de l’Homme contre les sympathisants de Salvador Allende et les opposants du régime militaire.

L’homme derrière le comité oecuménique Pro-Paz était le cardinal Raúl Silva Henríquez. Peu après le coup, Silva […] est devenu un « upstander », un terme que l’activiste  Samantha Power a inventé pour distinguer des badauds ceux qui tiennent tête à l’injustice, souvent à leurs risques et périls.

[…] Peu après le coup, Silva et d’autres chefs de l’Église ont publié une déclaration condamnant les bains de sang et exprimant leur chagrin. Cela a été un point tournant pour de nombreux membres du clergé chilien […] Le cardinal a visité le Stade national et, choqué par l’ampleur de la répression gouvernementale, a ordonné à ses assistants de commencer à collecter des informations auprès des milliers de fidèles qui allaient chercher refuge à l’Église.

Les actions de Silva ont mené a un conflit ouvert avec Pinochet qui n’a pas hésité à menacer l’Église et le Comité  Pro-Paz. (Taking a Stand Against Pinochet: The Catholic Church and the Disappeared pdf)

Si Jorge Mario Bergoglio avait pris une position semblable à celle du cardinal Raul Silva Henriquez au Chili, des milliers de vies auraient été sauvées.

L’Opération Condor et l’église catholique

L’élection du cardinal Bergoglio par le conclave du Vatican pour servir l’Église en tant que pape François aura des répercussions immédiates sur le procès de l’opération Condor en cours à Buenos Aires.

L’Église était impliquée par son appui à la junte militaire. Cela émergera durant les audiences. Il ne fait aucun doute que l’on tentera d’occulter le rôle des autorités de l’Église catholique ainsi que le rôle du nouveau pape François, chef l’ordre des jésuites en Argentine pendant la dictature militaire.

Jorge Mario Bergoglio: « Le pape de Washington au Vatican »? 

L’élection du pape François a de vastes implications géopolitiques pour toute la région de l’Amérique latine.

Dans les années 1970, Jorge Mario Bergoglio soutenait une dictature militaire appuyée par les États-Unis.

Les autorités catholiques en Argentine soutenaient le gouvernement militaire. Le programme de torture, d’assassinats et de disparition de milliers d’opposants politiques était coordonné par Washington  dans le cadre de l’« opération Condor » de la CIA.

Les intérêts de Wall Street étaient maintenus par José Alfredo Martinez de Hoz au ministère de l’Économie.

L’Église catholique en Amérique latine a une grande influence politique. Elle a aussi un pouvoir sur l’opinion publique. Les architectes de la politique étrangère étasunienne le savent.

En Amérique latine, où de nombreux gouvernements défient maintenant l’hégémonie américaine, on pourrait s’attendre, au vu des antécédents de Bergoglio, à ce que le nouveau pontife François, en tant que chef de l’Église catholique, joue de facto un rôle politique clandestin pour Washington.

Avec Jorge Marion Bergoglio comme pape au Vatican, un homme qui a servi fidèlement les intérêts américains à l’apogée du général Jorge Videla, les autorités de l’Église catholique en Amérique latine peuvent à nouveau être manipulées efficacement afin de miner les gouvernements « progressistes » (de gauche), non seulement en Argentine (le gouvernement de Cristina Kirchner), mais dans la région entière, au Venezuela, en Equateur et en Bolivie.

L’installation d’un pape « pro-étasunien » s’est produite une semaine après la mort du président Hugo Chavez.

« Changement de régime » au Vatican

Le département d’État fait régulièrement pression sur les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies dans le but d’influencer les votes des résolutions.

Des opérations clandestines et des campagnes de propagande sont appliquées régulièrement par les États-Unis afin d’influencer des élections nationales dans différents pays à travers le monde.

La CIA a des liens secrets de longue date avec la Vatican

Le gouvernement étasunien a t-il essayé d’influencer l’élection du nouveau pontife ? Fermement engagé à servir les intérêts de la politique étrangère des États-Unis en Amérique latine, Jorge Mario Bergaglio était le candidat favori de Washington.

Est-ce que Washington a secrètement exercé des pressions, directes ou indirectes, au sein de l’Église catholique, sur les 115 cardinaux membres du conclave du Vatican ?

Note de l’auteur:

Dès le début du régime militaire de 1976, j’étais un professeur invité au Social Policy Institute de l’Universidad Nacional de Cordoba en Argentine. Mon sujet de recherche principal était à ce moment là, l’étude des impacts des réformes macroéconomiques dévastatrices adoptées par la junte militaire.

J’enseignais à l’université de Cordoba pendant la vague initiale d’assassinats, qui ciblait aussi les membres progressistes du clergé catholique.

La ville industrielle de Cordoba était le centre du mouvement de résistance. J’ai été témoin de l’appui actif et régulier des autorités catholique à la junte militaire, créant ainsi une atmosphère d’intimidation et de peur à travers le pays. Le sentiment général à cette époque était que les Argentins avaient été trahis par les échelons supérieurs de l’église catholique.

Trois ans plus tôt, au moment du coup d’État militaire au Chili le 11 septembre 1973, ayant mené au renversement du gouvernement d’Unité populaire de Salvador Allende, j’étais professeur in vité à l’Institut Économique de l’Université catholique du Chili à Santiago.

Immédiatement après le coup au Chili, j’ai vu comment le cardinal de Santiago, Raul Silva Henriquez, agissant au nom de l’Église catholique, a confronté la dictature militaire.

Michel Chossudovsky

Article original: “Washington’s Pope”? Who is Pope Francis I? Cardinal Jorge Mario Bergoglio and Argentina’s “Dirty War”, publié le 14 mars 2013

Traduction: Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur émérite de sciences économiques à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en plus de 20 langues).

 


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