Les Européens passent Chypre par-dessus bord ! Vraiment ? A qui le tour ? (25/03/2013)

C'est quoi ce titre : Les Européens passent Chypre par-dessus bord ? Comme si nous étions tous concernés par les décisions démoniaques et dictatoriales prises par le Groupe sioniste du Bildenberg Group, et de tous les banksters et mafieux européistes-sectaires Illuminati qui nous ont imposé l'Europe et qui passent leur temps à nous ruiner et à nous imposer leur dictature financière.

Quand jamais les peuples ont voulu se détruire entre-eux pour enrichir les banksters ? Ah, tout à coup ils font mine de découvrir que Chypre est un paradis fiscal où se trouveraient tous les comptes des mafieux, sans blague, et uniquement pour viser la Russie comme nous l'avons bien tous compris. Comme si tous les russes et tous les chypriotes étaient tous des mafieux !

Et bien sûr on évite soigneusement de citer la Cité privée du Vatican qui est un autre "paradis fiscal" et dont la Banque "des œuvres religieuses" abrite 44 000 comptes de mafieux.

Mais il est vrai que le Vatican est aussi l'un des sièges mondiaux des sionistes, comme nous le verrons très bientôt et ce que dénonce le site de la résistance catholiqueet que pour ne pas se plier aux règles internationales de la transparence des comptes et du blanchiment d'argent sale, la Multinationale de la foi judoé-catholique a trouvé des solutions pour se faire héberger par la Suisse, un autre paradis fiscal, tout en ayant pris soin de mettre à sa tête, comme par hasard, un nouveau président Allemand, comme par hasard aussi, qui fabrique des navires de guerre et qui est membre des Chevaliers de l'Ordre de Malte.
 
L'Allemand Ernst von Freyberg, un avocat membre de l'Ordre de Malte, a été nommé vendredi à la tête de l'IOR (l'Institut pour les affaires religieuses), la banque du Vatican, privée de président depuis le limogeage d'Ettore Gotti Tedeschi en mai 2012, a annoncé le porte-parole du Saint-Siège. L'opération est simple. Il suffit d'allumer votre ordinateur, de vous rendre sur Google et de taper "Blohm + Voss", le nom de la compagnie basée à Hambourg, et détenue par Ernst von Freyberg, le nouveau chef de l'IOR. Là, vous êtes en face d’un récapitulatif des navires de guerre.
http://www.renovatiotv.com/blog/le-nouveau-president-de-l...
Et si on parlait un peu de l'île de Malte qui abrite l'Ordre Souverain Militaire des Chevaliers de l'Ordre de Malte, une des armées secrètes du Vatican pour voir ce qui pourrait se trouver comme comptes de mafieux dans leurs banques privées ?
 
Ils se moquent de qui ?
 
A qui le prochain tour ?

Chypre n'est qu'un petit laboratoire ! Dixit Attali la voix de son Maître !
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/03/24/chypre...

Sortez votre argent des banques où que vous soyez dans un pays européen !
 

Les Européens passent Chypre par-dessus bord

© Reuters

Les comptes inférieurs à 100 000 euros, qui bénéficient de la garantie de l’État, seront regroupés dans une structure – une good bank – qui sera apportée à la Banque de Chypre, la première banque du pays. Celle-ci reprendra en outre les 9 milliards d’euros d’engagements pris par Laiki auprès de la Banque centrale européenne dans le cadre des fonds d’urgence de liquidité (Emergency liquidity assistance, ELA), les Européens refusant que la BCE puisse essuyer la moindre perte.

L’État chypriote étant dans l’incapacité financière de recapitaliser la Banque de Chypre, ce sont les déposants de cette dernière qui possèdent un compte au-dessus de 100 000 euros qui seront mis à contribution. La Troïka exige que la banque dispose au moins de 9 % de fonds propres. Elle dit ignorer à ce stade quel est le montant nécessaire pour arriver à ce nouveau chiffre magique. Dans les couloirs de Bruxelles, des responsables évoquaient une décote de 40 % au moins sur les dépôts concernés.

Autant dire que le système financier de Chypre est à terre. La fuite des capitaux installés à Chypre s’annonce massive. L’Union européenne en est si consciente qu’elle a accepté de faire une nouvelle entorse à ses principes : elle a avalisé la restriction des retraits en espèces et des opérations financières de tout ordre, le contrôle des capitaux institués par le gouvernement, alors que celui-ci fait face depuis une semaine à une vraie panique bancaire.

Dans leur communiqué, les membres de la zone euro insistent sur le fait que « ces mesures administratives seront temporaires, proportionnées et suivies attentivement dans le temps, afin d’être en conformité avec le traité ». Mais d’ici là, le système bancaire et économique de l’île risque de ne pas y résister. La panique bancaire, en dépit des restrictions, a toutes les chances de gagner, tandis que les entreprises, dans l’incapacité de se financer, vont se retrouver asphyxiées.

« Aucune entreprise humaine n’a réalisé une telle destruction économique en si peu de temps sans l’usage des armes », pointe l’économiste Pawel Morski dans un billet de blog intitulé « Chypre :l’opération est un succès. Dommage, le patient est mort ». Il poursuit : « La combinaison de la dévastation du secteur financier et du rapt de l’épargne de milliers de particuliers signifie que Chypre ne retrouvera pas un niveau normal avant une décennie, un bûcher funéraire qui ne supporte la comparaison seulement qu’avec la Grèce. Quatre chocs vont survenir en même temps : le choc désormais trop connu de l’austérité, le traumatisme du contrôle des retraits bancaires, le choc de l’épargne et celui de voir balayer le secteur financier. »

Un euro chypriote ne vaut plus un euro tout court

© Reuters

Dès ce lundi, le spectre d’une panique bancaire risque de revenir hanter les rues de l’île. Depuis une semaine, alors que les banques sont fermées, les queues s’allongent devant les distributeurs automatiques, les Chypriotes tentant de retirer le maximum d’argent pendant qu’il est encore temps. Les retraits depuis dimanche ont été limités à 100 euros. À l’avenir, selon l’accord européen, c’est la BCE qui fixera le montant des retraits « afin que les Chypriotes puissent faire face à leurs dépenses de la vie courante ». 

En un mot, Chypre se retrouve confrontée à une situation semblable à celle de l’Argentine, au moment de la dévaluation de 2001. Les conséquences sont connues : des faillites en série d’entreprises, privées de tout accès au système financier, un chômage de masse, une paupérisation accélérée des classes moyennes. Doublé d’un programme d’austérité, dont les effets sont déjà que trop connus, l’effondrement de Chypre semble programmé.

D’autant que l’île n’a aucune ressource économique établie à côté de son secteur financier. Et l’Europe n’a prévu de ne lui apporter aucune aide pour se rétablir. Alors que le gouvernement chypriote a déjà eu du mal à faire face à la seule explosion d’une centrale électrique en 2011, on voit mal où il trouverait les réserves nécessaires pour soutenir son économie. Avec les crédits apportés par la Troïka, son endettement va déjà dépasser les 150 % du PIB. Aucun créancier international ne va vouloir lui faire confiance. Quant aux capitaux étrangers, ils vont s’empresser de partir dès que possible. Les Russes ont déjà retiré leur argent dès qu’ils ont entendu parler des plans européens. La décision européenne de confisquer tous les dépôts au-delà de 100 000 euros dans les banques chypriotes ne va pas les inciter à revenir.

Dans ces conditions, les projections, toujours très optimistes du FMI, de voir l’endettement de Chypre revenir dans la limite des 100 % en 2020, semblent déjà sans fondement. L’écroulement de l’économie de l’île ne va que rajouter de la dette à la dette. Le gouvernement chypriote pourrait être très rapidement acculé à la faillite, faire défaut et sortir de l’euro.

« Il est temps de penser à sortir de l’euro », a déjà anticipé le patriarche Chrysotomos, dirigeant de l’église orthodoxe chypriote, en dénonçant le chantage européen. La tentation de quitter la monnaie unique risque d’enfler dans les semaines à venir, au fur et à mesure que l’île s’asphyxiera. Tout en affirmant le contraire, les Européens ont déjà presque entériné cette sortie : en prenant des mesures de contrôle de capital, ils avouent que la monnaie unique n’existe plus tout à fait : un euro chypriote ne vaut plus un euro tout court, puisqu’il ne peut plus sortir.

« L’irréversibilité de l’euro » affirmée avec force par le président de la BCE , Mario Draghi – curieusement très silencieux dans toute cette crise – est mise à mal. Si Chypre en tire toutes les conclusions et décide de partir, son exemple pourrait être vite imité, tant le rejet européen s’approfondit dans les populations. L’amateurisme et le dogmatisme avec lesquels les membres de la zone euro ont géré cette crise chypriote risquent de coûter très cher, tant auprès des investisseurs internationaux que des déposants nationaux. Les responsables européens font le pari que Chypre n’est pas un risque systémique. Ils pourraient à nouveau être démentis par les faits.

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