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10/08/2010

Le Vatican, Les OVNIS, les ET et Nibiru

Confessions d’un agent secret du Vatican

L’homme est jésuite, il se présente à Barbato comme étant un familier du Vatican travaillant pour le Saint Siège. D'abord sceptique et méfiant à l'égard de ce contact soit disant « initié », Barbato analyse et vérifie ses références (en se gardant, comme le veut son éthique de journaliste, d'indiquer sa source) : il s'agit bien d'un prêtre jésuite, oeuvrant à la Cité du Vatican. Après quelques échanges par mails, le journaliste italien demande que leur dialogue se poursuive de vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette rencontre est préférable vu l'énormité des révélations qu'il s'apprête à faire, l'homme du Vatican accepte. Deux rencontres ont donc lieu à Rome, en 2001 (voir interview page 58). Barbato apprend que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. À partir de là, il est clair pour Barbato que la démarche du jésuite ne procède pas d'une simple trahison; mais d'une révélation dont l'enjeu est de taille : la survie de notre civilisation.

La « vidéo jésuite »
Avant même leur rencontre à Rome, le contact du Vatican avait fait parvenir à Barbato, en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite » - destinée à alerter le public. D'une durée d'environ deux minutes, elle évoque l'observation d'un planétoïde couvert d'une atmosphère épaisse (la présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu'encore en dehors de l'orbite de Neptune. La bande, que j'ai eu plusieurs fois l'occasion de visionner, est assortie de diverses classifications, dont la « Secretum Oméga », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret Cosmique » (CTS) de l'Otan. Il paraîtrait que l'image a été prise par une caméra embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe. Le contact de Barbato lui explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est équipée d'une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d'un système de propulsion à impulsion électromagnétique. L'engin a été assemblé à l'aire 51, dans le Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type Aurora, dans les années 1903. Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de pétrole désaffectée en Alaska. Il précise que le radiotélescope a été construit en 1990 dans le but d'observer les corps célestes inhabituels s'approchant du système solaire. Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite indique qu'il s'agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens ; voir NEXUS n" 50, p. 10).

Une très grosse planète

Cette planète massive encore ignorée de l'astronomie moderne produit des perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell, dans les mouvements d'Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. En 1978, James Christie, astronome à l'observatoire de la Marine américaine, découvre Charon, le satellite de Pluton et calcule la masse du couple Pluton- Charon. Au passage, les calculs indiquent la présence probable d'une très grosse planète encore invisible*...

De son côté, Barbato attendra le 30 avril 2005 pour se décider à révéler cette incroyable nouvelle et à montrer la vidéo au public. La projection a lieu au Palazzo délia Provincia, à Pescara, sur la côte adriatique italienne, au cours d'une conférence organisée par la Ufobserver Cultural Association et intitulée : « Ovnis ? La vérité est top secrète : de l'Aire 51 à la Planète X ».

Toutes ces années, Barbato s'est efforcé de rassembler des indices confirmant l'existence de la planète X/Nibiru et du SIV. Concernant ce dernier, il a trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre i). J'ai moi-même trouvé une référence indirecte dans un livre du lieutenant-colonel italien Umberto Rapetto et du journaliste Roberto di Nunzio {L'atlante délie spie, BUR, Milan, 2002). Dans le chapitre V {Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3 (Le nunziature) il est question d'un certain Robert A. Graham, un jésuite qui fit jadis allusion à l'existence d'un Service Secret du Vatican. S'agit-il de désinformation ou bien de la divulgation progressive d'une information secrète ?

Étranges anomalies dans le système solaire

Parmi tout ce que le jésuite du SIV a raconté à Barbato, deux choses sont, de mon point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004 (voir mon interview de Barbato dans UFO Notiziario n°62, avril-mai 2006, p. 40), ce qu'un certain nombre d'indices tend à prouver. D'autre part, le soleil et certaines planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes anormaux.

Prenons d'abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu'interféromètre spécialisé pour l'observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star du 21 mars 2003, http://www.detailshere.com/solar activity.htm


Dans l'article intitulé « The truth about global warming : it's the Sun that's to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci : « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu'il ne l'a jamais fait depuis le dernier millénaire. Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents... Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l'accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu'il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ».

Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :
Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l'éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », sur http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/....

Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare : «... depuis 1989, Tri¬ton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ». (http://www.scienceagogo.com/news/19980526052143data_trunc...).
Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir que la caméra de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars, des changements qui témoignaient d'un changement de climat sur cette planète, (http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/images/C02_Science_ rel/index.html).
Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ... le télescope Hubble photographie le développement d'une nouvelle tache rouge... Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge Junior], elle s'est formée après l'apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l'une dans l'autre entre 1998 et 2000. (http://www.space.com/scienceas-tronomy/060504_red_jr.html).
Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète, (http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/6135450.stm).

Alerter l'humanité

Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter le public sur l'arrivée de la planète X et sur les problèmes d'exopolitique, à savoir l'implication des gouvernements dans la question des ovnis et la manière dont, jusqu'à présent, les affaires extraterrestres ont été confisquées par les États-Unis, ou un certain gouvernement de l'ombre (sans contrôle de la part du président, du Congrès ou du Conseil national de sécurité). Je pense que la seule façon de savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système solaire, c'est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Greer, le professeur Michael Salla (http://www.exopolitics.org), l'historien Richard Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato (http://www.secretumomega.com) et bien d'autres qui, tous, comprennent l'importance d'élargir les horizons de l'humanité dans toutes les dimensions, tant matérielles que spirituelles. Ce n'est que comme cela que nous aurons une chance d'éviter les luttes fratricides et les horreurs du conflit nucléaire qui nous menace.

En 2001, Cristoforo Barbato rencontre donc le père jésuite qui lui révèle alors la genèse des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec une certaine race d'aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer l'information à l'humanité tout entière.

Barbato : Comment êtes-vous devenu membre du SIV ?
Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l'Église et constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un peu plus d'une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation, mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre ou une religieuse susceptibles d'apporter des informations précises. Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante-six institutions reliées à l'Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques » et d'autres. Je viens moi-même d'un de ces milieux.


En résumé, les membres sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue de certaines fonctions.

B : Pourriez-vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été créé et depuis quand est-il opérationnel ?
J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu'elle est organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n'y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican.
Du point de vue chronologique, l'événement qui a déclenché la création du SIV s'est produit aux États-Unis en février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d'une délégation d'aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre. La rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de film en sept bobines de trente mètres chacune. À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu'il avait vu et entendu. Ne me demandez pas où sont les films, je crois que vous connaissez la réponse... Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s'être engagé dans le secret, Mclntyre partit d'urgence avec l'intention de rencontrer le Pape Pie XII et de l'informer de cet événement incroyable.

Mais pour atteindre l'Italie, il fallait qu'il vole d'abord jusqu'à New York, puis de là à Rome, toujours en avion privé. Environ une demi-heure après le décollage de Los Angeles, l'appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint d'atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit. Pendant la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s'entretenir avec l'évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours desquelles il tenta de dissuader l'évêque de révéler tous les détails de la rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres relevaient exclusivement par la USAF. Le militaire précisa que tout ce que désirait le président Eisenhower, c'était un avis sur l'aspect spirituel de la question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret. On craignait à l'époque l'infiltration éventuelle du Vatican par des espions soviétiques. L'évêque répondit qu'il avait précisément l'intention d'informer le Pape de cet événement incroyable.


Nous pensons aujourd'hui que la panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires pour provoquer cette rencontre, et cela à l'insu du président Eisenhower. Avant de prendre congé, le colonel rappela à l'évêque les risques d'une divulgation à Rome.


Deux jours plus tard, Mgr Mclntyre fut reçu par Pie XII. Après une profonde méditation sur les implications possibles d'une relation exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un service secret d'information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l'on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà recueillies par les Américains. Il était très important d'assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.


Le SIV fut donc conçu pour acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d'autres pays, toute information secrète concernant les aliénigènes et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.

B : Qu'est-ce qui permettait au Pape de croire que les militaires américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican ? Que penser de l'officier que fit son apparition à l'aéroport de Las Vegas ?
J : Le fait qu'un président ait cherché une aide et un soutien spirituel dans une telle situation, unique dans l'histoire de l'humanité, constitue un témoignage de confiance et d'estime. D'ailleurs Mclntyre et l'archevêque de Détroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de la transmission d'informations vers le Vatican. Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d'autres membres du SIV furent directement contactés, à l'insu des militaires, par des aliénigènes de type « nordique »4, manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois dans les jardins du Vatican, au voisinage de l'Académie pontificale des Sciences, en présence du Pape PieXII…

B :Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l'existence d'autres êtres dans d'autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d'évolution parce qu'ils étaient sans péché... est-ce exact ?
J: Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d'autre part, les aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s'ils sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu'au plan technologique.
Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l'Église catholique, ou plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont proposé leur co-opération pour le bien de l'humanité. C'est ce qui a convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de véritables convertis à la foi chrétienne. Le pontife considérait probablement que l'Église universelle devait transmettre son message même à des êtres issus d'autres mondes. Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans, l'Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale et en politique internationale*.

Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu'à des « interventions angéliques ».
Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d'Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV ses réserves quant à la confiance qu'il fallait accorder à ces êtres. C'est pourquoi nous pensons aujourd'hui qu'une des principales motivations de la convocation du Concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l'Eglise en vue d'un éventuel et imminent contact.

B: Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste », et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski et le Pape ?
J : J'allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu'il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux.
En outre, Jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d'obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l'objet de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j'assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j'ai fait et de la manière dont je l'ai fait. » En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d'énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les « frères de l'espace » se comportaient avec bienfaisance envers l'humanité, il convenait qu'ils agissent de façon autonome, séparément de l'Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit. La tentative d'Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu'il ne fallait pas que l’Église etretienne ces contacts. Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l'évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter l'Église vis-à-vis des êtres bienfaisants venus d'autres mondes. Marc 9 : 38-412 : « Jean lui dit : "Maître, nous avons vu quelqu'un qui chassait les démons en votre nom et nous l'en avons empêché, parce qu'il ne nous suit pas." Mais Jésus lui répartit : "Ne l'en empêchez pas. Car il n'est personne qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi. Celui qui n'est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à boire un verre d'eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous l'assure, il ne perdra pas sa récompense" ». Cela signifie que les activités supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles à l'Eglise. Ces êtres doivent être comparés à l'étranger qui porte secours au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.

B : Parlons de votre mission dans le SIV...
J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.

B: Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.
J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l'avant-garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l'abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en Arizona.

B : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d'installations astronomiques dans le monde ?
J : Je peux vous dire qu'il a été construit dans les années 90 dans le but d'observer tous les objets célestes inhabituels s'approchant de la Terre. C'est ce que fait la CIA avec l'un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole-12 [aussi nommé KeyHole-12 ou KH-12 ; pour plus de détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12]. Il se trouve qu'au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l'approche d'un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux. Bref, je savais que ce que  j'allais recevoir à Rome et analyser par l'informatique était très intéressant et extrêmement secret. C'est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l'Alaska que nous avons découvert qu'une sonde spatiale du programme d'exploration Siloe, lancé dans l
es années 90, avait pris un cliché d'une énorme planète s'approchant du système solaire.

Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c'est alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n'avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu'il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».

B: Pouvez-vous me donner d'autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?
J : La sonde Siloe a hérité du nom d'un programme d'exploration spatiale initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d'un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma**. Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée
à l'Aire 51 [Nevada, USA], qu'elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu'elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora3. La sonde n'était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d'indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s'approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l'impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d'émettre des images dès 1995.

B : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d'une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses œuvres ?
J : Oui, j'en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j'ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d'un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.

B: Comment avez-vous obtenu ces informations ?
J : Je dispose d'une autorisation de supervision de ce qu'on appelle le Secretum Oméga. C'est le plus haut niveau de secret du Vatican, l'équivalent au Top Secret Cosmique de l'Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux d'informations : depuis le Secretum Oméga degré III, le moins détaillé, jusqu'au Secretum Oméga degré I, le plus complet. Ma mission était d'initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l'usage des systèmes de communication de l'organisation.

B : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?
J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l'Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d'émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un système cryptographique inventé par une société suisse ; il a été abandonné parce qu'un membre de cette société l'a secrètement vendu à des Israéliens. Je ne puis vous donner davantage d'information technique pour l'instant.

B : J'aimerais que vous me parliez d'un légat de l'Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?

J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n'a jamais été empêché ; au contraire, on l'a plutôt encouragé.

B : Vous permettez... À vous entendre, il semblerait qu'il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?

J :
Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n'y échappera. L'humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l'Apocalypse. Il importe que l'humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l'imminence de ces événements ? [cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II].

B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l'on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000***?

J : Deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila [Jean-Paul II] ; l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information. Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre ». Ceci a été confirmé par l'affaire « Gardian » [Canada, 1989-91], spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO Research Network], qui fit sensation
mais dont les photos de présumés aliénigènes n'ont pas été montrées. De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle. Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l'Ombre, et n'est connu que sous l'acronyme SVS.

http://conspiration.ca/ufo/confessions_agent_secret_du_va...

 

La suite avec des vidéos : ICI

 

04/08/2010

Éruption Solaire Finale : dans notre système solaire pour 2012

Une comparaison entre un crop circle et l'éruption solaire finale en 2012

Suivez en direct les aurores boréales mardi et mercredi

Ciel et Espace

Suivez en direct les aurores boréales mardi et mercredi

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Après la gigantesque éruption solaire observée le 1er août par différents satellites, la Terre va recevoir dès le 3 août une grêle de particules chargées. Ces particules (des électrons et des protons arrachés au Soleil) vont être piégées par le champ magnétique terrestre et pénétrer dans l'atmosphère à grande vitesse, au niveau des pôles.

Cette véritable tempête magnétique doit offrir un spectacle exceptionnel d'aurores boréales. En entrant très vite dans l'atmosphère, les particules solaires deviennent luminescentes, ce qui produit de vastes draperies lumineuses, de couleur verdâtre, dans les régions situées près des pôles.

Compte tenu de l'importance de l'éruption solaire du 1er août, ces aurores pourraient être visibles depuis les moyennes latitudes boréales (45 à 50°) au-dessus de l'horizon Nord.

Une belle éruption solaire

Tout a commencé le 1er août par la formation d'une arche magnétique dans la couronne solaire observée par le satellite américain Solar Dynamic Observatory (voir la vidéo ci-dessous). Cette arche, le long de laquelle une grande quantité de matière ionisée circulait, s'est ensuite brisée, éjectant dans l'espace la majeure partie de la matière qu'elle contenait.

Animation vidéo de l'éjection de matière coronale du 1er août 2010 réalisée avec les images du satellite Solar Dynamic Observatory (SDO) (voir la vidéo)

C3-class solar flare - August 1st, 2010 - SDO AIA 304

http://www.youtube.com/watch?v=gKpp_jQIDbA&feature=pl...


Cette matière, faite d'atomes ionisés (c'est-à-dire chargés électriquement), a voyagé dans l'espace en direction de la Terre. C'est entre le 3 et le 4 août, au terme d'un voyage de 150 millions de km, qu'elle doit atteindre notre planète.

La vraie reprise du cycle solaire

Cette éruption est la première manifestation importante indiquant la reprise du cycle d'activité du Soleil. Ce cycle de 11 ans avait atteint son minimum en 2007 et avait tardé pendant plus de deux ans avant reprendre, ce qui intriguait les spécialistes.

Pour suivre en direct l'évolution de l'activité aurorale, consultez le site SpaceWeather.com.

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A lire aussi sur Rue89 et sur Eco89

20/07/2010

Anomalie dans la Thermosphère

Tout va bien, n'est-ce pas ?
En avez-vous entendu parlé dans la presse ?

Et rien ne va affecter nos vies qu'ils ont dit les scienfiques, n'est-ce pas ?
Ils se fichent de qui ?

Ils peuvent toujours chercher à comprendre ce qu'il se passe, tant qu'ils n'auront pas accepté le fait que nous soyons en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie et que nous soyons actuellement en train de traverser la ceinture de photons.

Forcément notre environnement cosmique change !

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lundi 19 juillet 2010 par LOLOpsw

 

(Source : CNN) , Traduit par LOlopsw pour N.O.T.

Récemment, une couche supérieure de l’atmosphère terrestre s’est rétrécie tellement que les chercheurs sont perdus pour l’expliquer avec une juste proportion, a dit la NASA jeudi.

La thermosphère, qui bloque les rayons ultraviolets nocifs, augmente et se contracte régulièrement en raison des activités du soleil. À mesure que l’anhydride carbonique augmente, il a un effet de refroidissement à de telles hautes altitudes, qui contribue également à la contraction de la couche.

Mais même ces deux facteurs n’expliquent pas entièrement la contraction extraordinaire qui, bien que peu susceptible d’affecter le temps, peut affecter le mouvement des satellites, ont dit les chercheurs.

« C’est la plus grande contraction de la thermosphère depuis au moins 43 années, » dit John Emmert du laboratoire de recherche navale, qui a été cité en tant que rapporteur dans le rapport de la NASA.

Emmert est l’auteur important d’un papier annonçant une conclusion pour la question du 19 juin des "lettres géophysiques de recherches" du journal.

« Nous ne pouvons pas expliquer les densités anormalement faibles, qui sont environ 30 pour cent inférieurs » que les contractions précédentes, Emmert a dit à CNN.com.

" La thermosphère se trouve haut au-dessus de la surface terrestre, à la limite d’où l’atmosphère finit et l’espace commence. Elle s’étend de l’altitude de 55 milles (90km) à 370 milles (600km) au-dessus de la terre — le royaume des météores, des aurores, des navettes spatiales et de la Station Spatiale Internationale.

La thermosphère interagit avec cette limite, et fortement avec le soleil et par conséquent est considérablement influencée par l’activité solaire, qui se produit par cycles."

Quand l’activité solaire est haute, les rayons ultraviolets extrêmes solaires chauffent et augmentent la thermosphère. Quand elle est basse, l’opposé se produit.

"L’effondrement s’est produit pendant ce qui est connu comme « minimum solaire » 2007-2009, où le soleil a plongé dans un minimum sans précédent d’inactivité. Les taches solaires étaient rares et les éruptions chromo sphériques étaient inexistantes", rapporte la NASA.

En tout cas, l’effondrement de la thermosphère a été plus grand que seule l’activité du soleil peut l’expliquer.

Emmert propose que les quantités croissantes d’anhydride carbonique transformant à sa manière l’atmosphère pourraient avoir joué un rôle dans l’anomalie.

L’anhydride carbonique agit en tant que liquide réfrigérant dans la haute atmosphère, à la différence de l’atmosphère inférieure, qui rejette la chaleur par l’intermédiaire du rayonnement infrarouge. Pendant que les niveaux d’anhydride carbonique s’accumulent sur terre, elle transforme sa matière aux niveaux supérieurs et magnifie l’action du refroidissement du minimum solaire, a dit Emmert.

Pendant que l’anhydride carbonique s’accumule graduellement, « nous pensions que chaque minimum solaire était un peu inférieur (NDT : par rapport au maxima), et puis ce minimum solaire long est arrivé, mais à la place il est très inférieur. Et c’est assez étonnant, » a dit Stanley Solomon, un scientifique senior au centre national pour la recherche atmosphérique qui n’a pas été directement impliqué dans cette recherche.

Mais, dit Emmert, même en prenant en considération l’activité solaire et la montée d’anhydride carbonique n’explique pas entièrement cet effondrement anormal.

En dépit de l’anomalie incompréhensible, l’effondrement de la thermosphère est peu susceptible d’exercer un effet direct sur nos vies quotidiennes, a dit l’homme.

" Il ne va pas affecter le temps, ou vous ne pourrez pas dire que ceci continue en regardant le ciel. Il ne va pas devenir plus foncé, mais la contraction de la thermosphère peut affecter la direction des satellites et les débris spatiaux orbitant à ces niveaux."

Les « débris qui sont vers le haut resteront en haut plus longtemps. La quantité de débris orbitaux est un souci pour la navigation dans l’espace. Il y a le souci que les débris spatiaux s’accumulent, » dit Emmert.

Le changement anormal de la thermosphère peut également affecter d’autres couches de l’atmosphère, et cependant moins certain, peut avoir comme conséquence de légères ruptures des communications par satellites, y compris le système de positionnement global de signal (GPS), dit Solomon.

Emmert a dit qu’il restait d’autres possibilités inexpliquées qui pourraient avoir contribué à ce phénomène.

« Cela pourrait être que nous sous-estimons les effets [de l’anhydride carbonique] d’une façon ou d’une autre. Cela se pourrait parce qu’il y a des lois de la physique que nous ignorons dans la région de l’atmosphère au-dessous de la thermosphère, qui affecte rapidement la thermosphère, » dit-il.

Les chercheurs disent qu’ils continueront à surveiller l’atmosphère, qui rebondit déjà.

http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8636


« Ainsi nous allons probablement travailler dans les prochaines années pour tester et démêler tout ceci, » affirme Emmert.

12/07/2010

WISE à la recherche de Nemesis (Planète X)

Ils ne se moqueraient pas de nous par hasard ? Ils savent comment elle est et où elle se trouve, et ils l'a cherchent ?

PLANÈTE X / NIBIRU / NEMESIS – RÉALITÉE OU FICTION?

Cet article sur le sujet de la « planète X », qui est aussi connue sous le nom de Nibiru, et plus récemment sous le nom « Nemesis » par les scientifiques de la NASA, vous est offert en grande priorité, et ce, étant donné l’importance des informations récentes obtenues le 12 mars 2010 dans le journal « The Sun » et par la revue « Astrobiology Magazine ».

L’article présent permettra aussi de mettre en lumière la raison pour laquelle le docteur Pierre J. Gilbert, à la suite de l’annonce en septembre dernier de la date pour la première nord américaine de sa conférence sur le sujet de la « planète X » sur les ondes de Radio X au Saguenay, a été dans les quelques heures qui ont suivies, victime d’une campagne de désinformation ciblée et organisée. À travers les diverses attaques subites visant le docteur Gilbert, nous avons pu déceler plusieurs techniques de désinformations, techniques qui démontraient hors de tout doute qu’il s’agissait bel et bien d’un schéma d’attaque hautement organisé. Des techniques reconnues et portant des noms révélateurs tels que « Play dumb » ou « Hit and Run » pour n’en nommer que quelques unes, furent utilisées pour discréditer le docteur Gilbert.

À titre d’exemple, la technique numéro 6 (sur un total de 25 techniques) nommée « Hit and Run » et expliquée par H. Michael Sweeney dans un ouvrage intitulé « The Twenty-five Ways To Supress The Truth – The Rules of Disinformation » (« Les vingt-cinq façons pour éliminer la vérité – Les règles de la désinformation »), a été utilisée en septembre 2009 contre le docteur Gilbert. Cette technique se dresse de la façon suivante :

« Hit and Run » - mise en situation: (« Frappe et cours »)

Dans un forum public où la personne visée est connue et étant un agent de désinformation, vous faites des attaques vigoureuses mais brèves contre votre adversaire et vous quitter le « blog » ou groupe de discussion rapidement sans même attendre le résultat ou les réponses générées par votre attaque. Cette technique est particulièrement efficace lorsque vous faites vos attaques dans  un environnement de réponse de lettre à lettre sur Internet (ou type « blog »), là ou l’environnement favorise l’ajout de nouveaux intervenants dans le sujet sans pour autant qu’ils possèdent au préalable la connaissance nécessaire pour pouvoir se prononcer sur le sujet. Il faut simplement faire une attaque gratuite et/ou insulte qui discrédite votre adversaire et quitter, sans jamais en discuter les répercussions et fournir des réponses subséquentes.

Exemple : (il s’agit d’une mise en situation et non d’une référence à qui que se soit) :

« Parler de cette conspiration de la planète x n’est que de la folie et il faut être déséquilibré pour oser même en parler. Ce sujet de lunatiques n’est bon que pour les adeptes des théories de conspirations. Même un possédé du démon ou un chasseur de sorcières trouverait un sujet plus sérieux que celui de la planète X! »


But :

Il s’agit de créer une diversion dans le but de mettre l’auteur du sujet qui est visé par cette attaque (votre adversaire) dans un état de déstabilisation et d’émotivité et de créer aussi une « diversion » sur le sujet de départ qui est dans notre exemple de la « planète X ». Au lieu de débattre des données qui amènent l’auteur à parler de l’existence possible de « la planète x », un nouveau sujet de discussion est créé sur « L’INTÉGRITÉ » ou la « PERTINENCE » de l’auteur qui demeure à débattre dans une bataille qui devient habituellement très énergique entre les personnes pour et les personnes contre. Au bout d’un temps, tous les débats cessent et on en oublie le débat le plus important : celui de la « planète x »!

 

« Le but de la désinformation est de « subjuguer » les gens, une nation ou même une espèce entière pour cette matière » – Marshall Masters, YOWUSA.

Planète X / Nibiru, réalité ou fiction?

Revenons maintenant au vif du sujet de cet article. Nous rappelons que le docteur Pierre Gilbert avait mentionné lors de sa conférence sur la planète X qu’à partir des nombreuses recherches faites par plusieurs astronomes depuis des décennies, qu’il y avait de fortes chances que notre système solaire soit en fait un système « binaire » incluant une seconde étoile plus petite que notre soleil et orbitant autour, nommée « naine brune ». Le 12 mars 2010, une surprenante nouvelle dans le journal « The Sun » attirait notre attention. Le nom du journal qui devait nous sembler  presque « fabriqué » à partir d’un scénario tiré directement des grosses têtes hollywoodiennes exhibait le titre d’article suivant: « Earth under attack from Death Star » (« La Terre sous l’attaque d’une étoile de la mort »). Le texte introductif nous révèle rapidement les couleurs et l’envergure de la nouvelle (1) :

«AN invisible star may be circling the Sun and causing deadly comets to bombard the Earth, scientists said yesterday» (« Une étoile “invisible” circulant en orbite autour du soleil provoquerait la projection de comètes mortelles bombardant la terre, ont déclaré les scientifiques mercredi dernier »).

Jetons un coup d’œil sur les faits saillants de cet article avant de les analyser brièvement.

Les faits saillants de l’article sont les suivants :

(1)           Selon leurs calculs, les scientifiques croient que la « NAINE BRUNE » aurait jusqu’à cinq fois la grosseur de Jupiter et pourrait être la raison de l’extinction des dinosaures;

(2)           Selon les scientifiques, « NEMESIS » (le nom donné à cette Naine Brune), devrait orbiter à une distance de 25 000 fois celle comprise entre la terre et le soleil;

(3)           À force de voyager et de tourner sur elle-même, elle provoque des vagues gravitationnelles qui seraient responsables de la projection de « débris » provenant du « nuage de Oort » (« Oort Cloud ») en direction de notre système solaire;

(4)           Ces dangereux « débris » sont projetés notamment vers la Terre et formeraient des comètes mortelles, similaires à celles ayant provoquées l’extinction des dinosaures;

(5)           Maintenant, la NASA croit être en mesure de trouver « NEMESIS » en utilisant un nouveau télescope sensible aux signatures thermiques (qui voit la chaleur) et qui a débuté ses recherches en janvier 2010;

(6)           Le nouveau télescope nommé « WISE » (« The Wide-Field Infrared Survey Explorer ») a déjà retransmis des photos d’une comète fort probablement délogée du nuage de Oort [par Nemisis];

(7)           Le premier signe pour les scientifiques de l’existence de NEMISIS a été les signes de comportement bizarre dans l’orbite de la planète naine « Sedna »;

(8)           Le scientifique nommé « Boffins » croit que son orbite inhabituelle de 12 000 ans ne peut s’expliquer que par la présence d’un astre très massif qui la retient;

(9)           Mike Brown, le scientifique qui a découvert Sedna en 2003 avait dit : « Sedna est un objet céleste très étrange, elle ne devrait même pas être ici ». Il ajoute : « La seule explication possible pour Sedna est qu’un corps céleste massif l’aide à demeurer en orbite, mais alors qu’est-ce qui est présent dans notre espace? »;

(10)        Le professeur John Matese de l’université de « La Louisiane » à « Lafayette » a déclaré : « Il y a des preuves statistiques significatives que cette concentration de comète soit causée par la présence d’un « compagnon » à notre soleil! » [Lire un second soleil comme une NAINE BRUNE par exemple];

Analyse des faits saillants :

(1)  La grande question à se poser ici : comment savent-t-ils qu’il s’agisse d’une Naine Brune puisqu’ils semblent ne l’avoir jamais détectée? Ils donnent même des détails sur sa grosseur possible : 5 fois la grandeur de Jupiter!;

(2)  Ils lui ont donné un nom [Nemesis = L’esprit de la rétribution pour les arrogants,  dans la mythologie grecque] même s’ils ne l’ont jamais observée? Dans l’histoire de l’astronomie moderne, on donne habituellement un nom à un astre seulement après l’avoir découvert. Ils nous donnent encore plus de précision en nous fournissant sa position possible par rapport à notre soleil;

(3)  Ce paragraphe nous donne des détails étonnants concernant un astre qui n’a pas encore été découvert officiellement! (i.e. Sa rotation qui provoque des vagues gravitationnelles et qui projette des débris);

(4)  La NASA, qui possède une chronique intitulée « Ask an Astrobiologist » avait répondu à la question posée à savoir si « Nibiru » existait ou non et si elle n’était qu’un mythe et une invention. Ils ajoutent qu’ils n’ont jamais détecté « Nibiru » (4) [qui est réputée graviter autour d’une « naine brune »]. Il y a un principe de base à l’effet que « ce n’est pas parce que vous n’avez jamais vu d’oiseaux qu’ils n’existent pas! ». La NASA s’est aussi faite bien rassurante sur l’année 2012 et les années subséquentes en déclarant que: « la vie va continuer sans problèmes en 2012 et bien après ». Pourtant, les scientifiques de la NASA arrivent maintenant avec une nouvelle troublante qui annonce que « très certainement, près de nous dans l’espace, il y a un astre de très grande masse qui s’approche et qui est sûrement la cause de l’extinction globale des Dinosaures! ». Je ne sais pas pour vous, mais moi je me sens de moins en moins rassuré…

(5)  Faites des recherches sur l’IRAS (« Infrared Astronomical Satellite ») lancé par la NASA en 1983. Recherchez les nouvelles du New York Times et du Washington Post avant et après le lancement de l’IRAS. Cela va peut-être permettre de vous éclairer à savoir pourquoi les scientifiques semblent connaître tellement cet astre « inconnu ».

2

(6)  Tiens, tiens! « WISE » a déjà en peu de temps transmis les photos d’une « comète » qui aurait été « fort probablement » délogée du « nuage de Oort ». S’agit-il d’une préparation des populations aux évènements à venir? À vous de choisir;

(7)  Cette information sur le fait que « Sedna » [2003] a été le point tournant pour les scientifiques à se questionner sur la présence d’un compagnon pour notre soleil est fausse! Le professeur John J. Matese avec des collègues de l’Université de la Louisiane à Lafayette avait publié un ouvrage sur le sujet des comètes ayant des orbites qui prouvaient statistiquement qu’un objet de grande masse non encore découvert devait exister et faire partie de notre système solaire : (voir extraits, fig. 1, 2 3 et 4).

3

 

(NOTE fig. 1 et 2 : Publié en 1999)

4

 

(NOTE fig. 3 : Le minimum de la masse de la Naine Brune à prendre en considération est 7 fois la masse de Jupiter! [7Mj]. Note de Bodenheiner en 1996. Ce détail important qui est repris dans l’article du journal « The Sun » datait pourtant de 1996 et non de l’année de découverte de la planète « Sedna »)

5

(NOTE fig. 4 : À la fin de cette note on y voit la distance probable mentionnée de 25 000 Unités Astronomiques (ou 25000AU), la même distance que celle mentionnée dans l’article!)

 

À la lumière des études passées et datant de bien avant l’année de la découverte de « Sedna », nous voyons que les scientifiques savaient déjà que cet astre existait. Nous rappelons que Sedna a été découverte le 14 novembre 2003 par Michael Brown (Caltech), Chad Trujillo (Gemini Observatory) and David Rabinowitz (Yale University) bien après les études de J. J. Matese et al. en 1996-1999.

(les commentaires inclus dans ce paragraphe s’appliquent aussi aux faits saillants 8 et 9)

(10) John Matese, qui faisait partie des scientifiques du groupe de recherche de la mission « WISE », confirme que les scientifiques de la NASA soupçonnaient déjà avant la découverte de Sedna qu’un astre inconnu faisait partie de notre système solaire. Maintenant, la vraie question à se poser est la suivante : « Depuis quand savent ils? » Depuis près d’un siècle, les astronomes avaient remarqué des anomalies ou perturbations dans les orbites des planètes géantes telles que Neptune et Uranus qui ne pouvaient pas s’expliquer par la découverte de Pluton par Clyde W. Tombaugh le 18 février 1930 et cela à cause de sa trop faible masse. Ces « anomalies orbitales» ne pouvaient donc s’expliquer que par la présence d’un astre de très grande masse et jamais encore observé à cette date. Depuis 1930, les astronomes n’ont jamais « officiellement » observé l’astre responsable des perturbations orbitales des planètes géantes connues de notre système solaire. Cependant, dans les années ’80, plusieurs astronomes publièrent des articles sur le sujets dont les plus récentes font presque toutes état de la forte probabilité que notre soleil soit accompagné par une étoile dite du type « naine brune » [l’étude de John J. Matese fait partie de ce groupe d’étude plus récente]. La conclusion est qu’il est faux de prétendre que les scientifiques ont été alarmés de cette forte probabilité en 2003. Nous prétendons qu’ils soupçonnaient déjà qu’il y avait quelque chose de suspect depuis la découverte de pluton, soit depuis 1930.

Une recherche substantielle de plus d’une année de l’équipe de Pleins Feux nous démontre un échéancier possible qui concorderait avec celui des scientifiques de la NASA :

Maintenant, à la lumière de la documentation substantielle obtenue lors de nos recherches très minutieuses sur la question de Nibiru ou de la planète X, nous avons été étonnés de découvrir une forte probabilité qu’elle traverse l’écliptique de notre système solaire (ou le plan dans lequel les planètes connues de notre système solaire tournent autour du soleil) aux alentours du 12 décembre à la fin décembre 2012. Aussi, « planète X » atteindrait sa position la plus proche du soleil (Périhélie) au milieu du mois de avril 2013.

Nous n’entrerons pas dans les détails pour expliquer la raison qui nous porte à croire à ces échéanciers, mais l’explication de cette conclusion fera prochainement l’objet  d’une série d’articles. Prenons simplement pour acquis que la période comprise entre le mois de décembre 2012 et le mois d’avril 2013 sera fort probablement une période importante dans l’orbite de la « planète X » et  jetons maintenant un coup d’œil aux commentaires des scientifiques de la NASA responsables de la mission « WISE » :

« Je ne crois pas que nous allons avoir complété la recherche pour les objets visés avant le milieu de 2012. Et après, il est probable que nous aurons besoin d’une année supplémentaire pour faire un suivit de ces objets d’intérêts, a déclaré Kirkpatrick » [menant à juin 2013 pour les résultats finaux!].

« Il est probable que nous n’ayons pas de réponse concernant « Nemesis » avant le milieu de l’année 2013. « WISE » a besoin de sonder le ciel à deux reprises au préalable pour générer des images dans le temps, technique utilisée par les astronomes pour la localisation d’objets célestes dans la partie extérieure de notre système solaire. Le changement de position entre les premiers clichés et les seconds donne aux astronomes la position et l’orbite des objets célestes, mais après vient la longue tâche d’analyse des données ».

Comme nous pouvons le constater, l’échéance de « WISE » est repoussée pour 2012 – 2013! S’il s’avérait vrai que la fin de l’année 2012 soit le temps du retour ou de la venue de cette planète nommée par certains « Nibiru » ou par d’autres « Nemesis » et que le fameux « Hunab Ku » prédit par les Mayas soit une explication de ce phénomène, alors les résultats obtenus par « WISE » nous seront malheureusement parvenus trop tard. Juste un peu trop tard… comme quoi beaucoup risqueront de mourir des fléaux engendrés par la présence d’un « intrus » de cette taille dans notre système solaire. Les survivants n’auront même pas la force et la possibilité de questionner les autorités, ils penseront bien davantage à leur survie et à celle de leurs proches. Accuser les autorités? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin… mais les autorités gouvernementales telles que la NASA, qui auront bien entendu tenté de faire l’impossible pour détecter la menace… auront échouées!

Voici une image comparative et extraite de la revue « Astrobiology Magazine » montrant la différence de taille entre la Terre, notre soleil et une « naine brune ». Dans l’article et sous la photo, il y a une note importante au sujet des « naines brunes » qui provient des scientifiques de la NASA mentionnant que les « naines brunes » possèdent habituellement leur propre satellite! Une histoire qui n’est pas sans rappeler les informations disponibles concernant… « Nibiru »!

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NOTE : Il est important de noter maintenant que l’article du journal le « Sun » prend ses références dans une revue d’astronomie très connue intitulée « Astrobiology Magazine » (3) qui est en relation étroite avec le site de la NASA intitulé « NASA Astrobiology » (4) (www.astrobio.net) qui confirme que la sonde « WISE » a été lancée le 14 décembre 2009 (5).

Références:

(1)  http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/2889372/Earth-u...

(2)  Cometary evidence of a massive body in the outer Oort cloud, J.J. Matese and all., 1999, University of Louisiana at Lafayette, department of physics

(3)  http://www.astrobio.net/exclusive/3427/getting-wise-about...

(4)  http://astrobiology.nasa.gov/ask-an-astrobiologist/questi...

(5)  http://astrobiology.nasa.gov/

(6)  http://www.nasa.gov/mission_pages/WISE/main/index.html

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© Tous droits réservés, pleins feux sur l’heure juste, mars 2010

http://pleinsfeux.com/planete-nibiru-nemesis-realitee-fic...

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WISE à la recherche de Nemesis (Planète X)

Notre soleil fait-il partie d’un système d’étoiles binaires? Une étoile compagnon invisible, surnommée « Némésis », pourrait envoyer des comètes vers la Terre. Si Némésis existe, le nouveau télescope WISE de la NASA devrait être capable de la repérer.

La suite ici : http://www.alterinfo.net/WISE-a-la-recherche-de-Nemesis-P...