Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/12/2010

Julian Assange de Wikileaks accusé de viol par un personnage lié aux groupes anti-castristes financés par la CIA

Nous y voilà ! Qui a créé la CIA pour protéger les Grands Gris Reptiliens, pour ridiculiser le phénomène OVNI, faire taire la rumeur sur les ET et les OVNIS, et éliminer les témoins ? Le MJ12.

Ne soyons donc pas étonnés que Julian Assange soit victime d'un dossier monté de toutes pièces contre lui, par la CIA !

Julian Assange de Wikileaks accusé de viol par un personnage lié aux groupes anti-castristes financés par la CIA

Kirk James MURPHY

Hier, Alexander Cockburn nous a rappelé l’information révelée par Israel Shamir et Paul Bennet dans Counterpunch au mois de septembre. Le principal accusateur d’Assange en Suède a un lourd passé de collaboration avec les groupes anticastristes dont au moins un est financé par les Etats-Unis et ouvertement soutenu par un ex-agent de la CIA condamné pour son implication dans l’assassinat de 73 cubains dans un attentat en plein vol contre un avion de ligne.

Anna Ardin (la plaignante officielle) est souvent décrite par les médias comme une « gauchiste ». Elle est liée aux groupes anticastristes et anticommunistes financés par la CIA. Elle a publié ses diatribes anticastristes (voir ici et ici) dans le journal de langue suédoise Revista de Asignaturas Cubanas publié par Misceláneas de Cuba. A Oslo, le professeur Michael Seltzer souligne que ce journal est produit par une organisation anticastriste en Suède grassement financée. Il remarque aussi que le groupe est lié à l’Union Libérale Cubaine dirigée par Carlos Alberto Montaner dont les liens avec la CIA sont exposés ici.

Quelle surprise, non ? Shamir et Bennet ont raconté le passé d’Ardin à Cuba où elle a collaboré avec une organisation qui est ouvertement soutenue par un véritable terroriste, Luis Posada Carriles.

A Cuba elle a collaboré avec une groupe de femmes anticastriste Las Damas de Blanco. Ce groupe reçoit des fonds du gouvernement US et est soutenu par le terroriste anticommuniste, condamné par la justice, Luis Posada Carriles. Wikipedia cite Hebe de Bonafini, président des Mères de la Place de Mai en Argentine qui déclare « Les soi-disant Femmes en Blanc défendent le terrorisme des Etats-Unis ».

Qui est Luis Posada Carriles ? Un assassin notoire et ancien agent de la CIA.

Luis Clemente Faustino Posada Carriles (né le 15 février 1928 – alias Bambi pour certains exilés Cubains) (1) est un Vénézuelien d’origine cubaine, et un anticommuniste extrémiste. Ancien agent de la CIA (2) il a été condamné par contumace pour différents actions et complots terroristes sur le continent Américain, dont : l’explosion d’une bombe à bord d’un avion de ligne cubain en 1976 qui a couté la vie aux 73 passagers ; (3) (4) l’aveu de son implication dans une série d’attentats en 1997 visant des hotels et des lieux touristiques à Cuba ; (5) (6) (7) implication dans l’invasion de la Baie des Cochons ; et implication dans l’affaire Iran-Contra.

Luis Posada Carilles est un personnage si maléfique que même l’administration Bush voulait le voir en prison :

En 2005, Posada Carriles a été détenu par les autorités US au Texas pour entrée illégale sur le territoire national mais le charges furent abandonnées le 8 mai 2007. Le 28 septembre 2005, un juge US a décidé que Posada ne pouvait pas être expulsé vers le Venezuela car il risquait d’y subir des tortures. (11) Sa libération sous caution le 19 avril 2007 a provoqué la colère des gouvernements Cubain et Vénézuelien. (12) Le Département de la Justice US avait demandé à la cour de le maintenir en prison car il « avait reconnu être l’auteur de complots et d’actions terroristes », et parce qu’il risquait de s’enfuir et représentait un danger pour la communauté. (7)

Qui est le principal accusateur de Julian Assange en Suède ? Elle est une militante pour l’égalité des sexes à l’université d’Uppsula – et qui a choisi de s’associer avec un groupe financé par les Etats-Unis et ouvertement soutenu par un terroriste et assassin notoire. C’est le hasard si ses écrits sont publiés par un groupe grassement financé par les US et lié à l’Union Libérale Cubaine, dont le dirigeant, Carlos Alberto Montaner, est apparu par hasard sur une chaîne de télévision colombienne d’extrême-droite quelques heures seulement après le coup d’état au Honduras. Où il est allé rejoindre le dirigeant du coup d’état manqué en Équateur dirigé contre Correa. Montaner a aussi par hasard bruyamment défendu le coup d’état violent au Honduras et chanté les louanges de la junte militaire hondurienne. Jean-Guy Allard, un journaliste à la retraite qui écrit pour le quotidien cubain Granma, nous décrit le tableau :

« Un couple étrange est apparu sur NTN 24, une chaîne de télévision colombienne d’extrême-droite alignée à la Fox Broadcasting Company aux Etats-Unis. Quelques heures seulement après la tentative de coup d’état à Quito, Equateur, l’agent de la CIA Carlos Alberto Montaner, recherché par le justice cubaine pour terrorisme, s’est joint à un des dirigeants du coup d’état manqué en Equateur, le lieutenant colonel Lucio Gutiérrez, pour attaquer le président Rafael Correa...

Parallèlement à son activité dans les médias, Montaner est connu pour son soutien fanatique aux éléments les plus extrémistes de la mafia cubano-américaine.

L’année dernière, au lendemain du coup d’état contre le président hondurien Manuel Zelaya, le 28 juin, il est devenu un fervent supporter du dictateur Roberto Micheletti, en compagnie de la députée US Ileana Ros-Lehtinen (future présidente de la Commission des Affaires Etrangères de la Chambre des Représentants US - NdR), en compagnie aussi d’un autre terroriste cubano-américain et collaborateur de la CIA, Armando Valladarés.

Montaner s’est souvent rendu à Tegucigalpa pour « défendre les droits de l’homme » et en même temps applaudir le régime fasciste hondurien lorsque celui-ci a envoyé sa police pour réprimer les manifestations du Front National de Résistance. »

Oh, et l’accusation de « viol » qui a entâché la réputation de Julian Assange dans le monde entier ? Jeudi, James D. Catlin, l’avocat de Melbourne qui représente Assange à Londres, a écrit :

« Apparemment, avoir des rapports sexuels consentants sans préservatif est punissable d’une peine d’emprisonnement de deux ans minimum pour viol. C’est sur cela que se fondent les accusations de viol contre le représentant de Wikileaks, Julian Assange, et qui feront de la Suède et son système judiciaire la risée du monde entier et endommagera sa réputation de pays modèle.

Le bureau du procureur général suédois était embarrassé au mois d’août dernier lorsque la presse a su qu’il voulait faire arrêter Assange pour viol, et a retiré la mandat d’arrêt le jour même parce que, selon ses propres mots, il n’y avait « aucune preuve ». La réputation d’Assange a été salie de manière incalculable. Plus de trois-quarts des références à Assange sur Internet font référence au viol. Trois mois plus tard et trois procureurs plus tard, les suédois semblent avoir enfin accordé leurs violons : un rapport sexuel avec consentement qui a commencé avec un préservatif s’est terminé sans préservatif, ergo, le rapport était sans consentement. »

J’ai passé une bonne partie de ma vie professionnelle comme psychiatre à aider les femmes (et hommes) victimes de violences sexuelles. Le viol est un crime horrible. Et pourtant, dans le cas d’Assange, sa présumée victime – militante féministe à l’université d’Uppsala – a choisi d’organiser une fête en l’honneur de son présumé agresseur – après qu’ils eurent eu des rapports sexuels que même les procureurs suédois qualifient de consentants. L’avocat Caitlin de nouveau :

« Le phénomène des réseaus sociaux via internet et les téléphones mobiles empêche les autorités suédoises de charger le dossier contre Assange parce qu’ils seraient encore moins crédibles devant les tweets d’Anna Ardin et les SMS de Sofia Wilen vantant leur conquêtes respectives après les « crimes ». »

Dans le cas d’Ardin, il est clair qu’elle a organisé une fête en honneur d’Assange dans son appartement après le « crime » et a envoyé un tweet à ses amis pour leur annoncer qu’elle était en compagnie « des gens les plus intelligents et cools de la planète, c’est incroyable ! » Vous pouvez consulter le tweet vous-même sur internet. Le fait qu’Ardin ait tenté de faire effacer ces messages révélateurs est grave. Le fait qu’elle a publié sur Internet un guide sur « comment se venger contre ton petit ami qui te trompe » est encore plus préoccupant. Le contenu exact des SMS du téléphone portable de Wilen n’est pas encore connu mais leur caractère orgueilleux et enthousiaste a été confirmé par les procureurs suédois. Ni Wilen ni Ardin se plaignent de viols. »

Le monde est petit, n’est-ce pas ? Julian Assange est le visage public de Wikileaks – l’organisation qui a permis à des donneurs d’alerte de révéler au monde entier d’horribles crimes de guerre et une partie de la politique étrangère des Etats-Unis.

Il rencontre par hasard une suédoise qui par hasard publie dans un groupe anticastriste grassement financé et qui par hasard a des liens avec un groupe dirigé par un homme décrit par au moins un journaliste comme un agent de la CIA, c’est-à-dire le bras violent et secret de la politique étrangère des Etats-Unis.

Et – malgré son action en Suède pour l’égalité des sexes – à Cuba elle est associée par hasard à un groupe ouvertement soutenu par un agent reconnu de la CIA, lui-même un assassin qui a participé à un attentat terroriste contre un avion de ligne cubain... un acte qui faisait partie de la politique étrangère secrète et violente des Etats-Unis contre Cuba.

Et maintenant – après avoir avoué avoir eu des rapports consentants – elle se présente aux autorités suédoises pour expliquer que les rapports se sont terminés sans préservatif... qui est par hasard le motif invoqué par Interpol pour émettre une « Alerte Rouge » contre Julian Assange.

Qui, par hasard, est l’homme que la classe politique US – ceux qui dirigent la politique étrangère des Etats-Unis – tentent de réduire au silence. Et qui, par hasard, se trouve être le même homme contre lequel certains appellent au meurtre

Avec une telle soif de vengeance, on peut comprendre qu’ils aient décidé par hasard de consulter une page du guide de la vengeance d’Anna.

Kirk James Murphy

http://my.firedoglake.com/kirkmurphy/2010/12/04/assanges-...

Traduction VD pour le Grand Soir, avec probablement les fautes et coquilles habituelles

http://www.legrandsoir.info/Julian-Assange-de-Wikileaks-a...


 

27/04/2010

Liens entre Facebook et la CIA

http://www.dailymotion.com/video/x3n9i7_liens-facebook-ci...

10/03/2010

L'affaire du Pont Saint Esprit (1951)

Les Actualités Françaises - 06/09/1951

Un minotier accusé d'avoir mis de l'ergotine dans sa farine.

L'affaire du "pain qui rend fou":des crises de folie hallucinatoire,dues à la présence dans le pain de l'ERGOTINE, le poison des céréales,a frappé 200 personnes et fait plusieurs morts. - Journaux relatant les hallucinations collectives et les empoisonnements attribués au pain - VG de PONT SAINT ESPRIT prise de la rive gauche du Rhône - Sur le coté du cadre, vue partielle du Pont Saint Esprit - Un habitant tenant un morceau de pain et le montrant à un journaliste - Un agité dans un lit se débattant, maintenu par deux hommes - Façade fermée de la boulangerie où fut cuit le pain - Femme en blouse blanche sortant d'un magasin d'alimentation avec un cabas contenant des biscottes - GPP du cabas - PP d'une poubelle avec un morceau de pain - Autre femme en blouse blanche sortant comme précédemment - PP d'un écriteau dans une vitrine : "PLUS DE BISCOTTES" - Passage d'un double enterrement avec deux corbillards hippomobiles passant devant la boulangerie fermée - Autres plans du double enterrement avec les deux corbillards et les suivants dans les rues de PONT SAINT ESPRIT (2 plans).

Voir la vidéo ci-dessous.

http://www.ina.fr/sciences-et-techniques/medecine-sante/v...


Qu'en est-il vraiment ?

Un village français entier sous l'influence du LSD ?

09.03.10 - 15:46



Cinq morts, 30 personnes hospitalisées et près de 300 malades. Août 1951, un fait divers tragique dans une grosse bourgade paisible des bords du Rhône, l'affaire du "pain maudit" commençait. On en sait un peu plus aujourd'hui, 59 ans plus tard.

A Pont-Saint-Esprit, cela a commencé par être ce que l'on a cru être une intoxication alimentaire. Quelques jours plus tard, l'histoire provoquait une nuit de pure folie, hallucinations dignes d'un tableau de Bosch, nuit de l'Apocalypse. Un homme croit avoir une tête en cuivre, une jeune fille pense qu'elle est attaquée par un tigre, un jeune homme croit qu'il est un avion et se lance par la fenêtre de l'étage.

A l'époque on avait attribué cette étrange épidémie à de la farine corrompue par l'ergot du seigle, un champignon parasite des graminées. Courante au Moyen Age, la maladie avait disparu en France depuis le XVIIIe siècle.

"J'ai un serpent dans mon ventre"

Mais aujourd'hui la théorie ne tient plus la route et aucune des pistes suivies à l'époque - ergot de seigle, fongicide, eau, mycotoxines - n'apporte d'explication définitive. Un journaliste américain prétend avoir pourtant percé le mystère. Dans un livre publié aux Etats-Unis fin 2009, le journaliste Hank Albarelli affirme que la crise de folie qu'a connue Pont-Saint-Esprit viendrait d'une expérience secrète sur les effets du LSD menée conjointement par l'armée américaine et la CIA. Et effectivement les hallucinations constatées alors à Pont Saint Esprit ressemblent étonnament à celles constatées lors de la prise de LSD.

On était alors en pleine guerre froide et la CIA a mené plusieurs opérations à la limite de l'éthique. Une fiche d'identité de la Maison Blanche, mentionne une "french embassy" et, erreur d'orthographe comprise, le "Pont Saint Esprit incident (Olsojn)"...

Si le sujet vous passionne, ruez-vous sur l'article très fourni et complété par plusieurs témoignages que consacre "Les Inrocks" à ce mystère du village devenu fou.


http://www.rtbf.be/info/societe/sante/un-village-francais-entier-sous-linfluence-du-lsd-195496

Édition du mardi 9 mars 2010

Gard : La CIA avait-elle drogué le pain maudit ?

La CIA avait-elle drogué le pain maudit ?


Un article des Inrocks relance la controverse sur les causes de l’affaire du Pain maudit. Saura-t-on jamais, un jour, le fin mot de l’histoire, dans l’affaire du pain maudit ? Pas sûr ! Du moins, pas après les nouvelles révélations fracassantes faites par le journaliste Loïc Chauvin sur le site lesInrocks.com et publiées également sur rue89.com. C’est la CIA qui aurait arrosé le bourg de Pont-Saint-Esprit de LSD !
Le psychotrope serait donc la cause du trouble du comportement qui avait plongé les habitants du bourg dans une sorte de démence générale, en août 1951. Cette thèse serait étayée par des surprenants documents exhumés des archives des services de renseignements américains et de la Maison-Blanche. Selon Loïc Chauvin, ces écrits transmis au journaliste enquêteur américain Hank Albarelli, « jettent un éclairage sinistre sur les événements de Pont-Saint-Esprit ».

Parmi eux, figure la retranscription d’une conversation entre un agent de la CIA et un représentant américain d’un laboratoire Sandoz basé en Suisse. Il en ressort que le pain incriminé n’a pas été empoisonné par l’ergot de seigle, comme expliqué à l’époque, mais par le « diéthylamide de LSD ».

Toujours d’après les témoignages recueillis par Hank Albarelli auprès d’anciens gradés de la CIA et de l’armée américaine, l’histoire de Pont-Saint-Esprit relèverait d’une opération « conjointe » du département des opérations spéciales et des services de renseignements. Les Américains travaillaient à l’époque sur la manipulation mentale à des fins militaires. En revanche, l’enquête n’a pas pu déterminer si l’Etat français a cautionné, voire participé à cette expérience.

Toujours selon le journaliste américain, les services de la CIA auraient répandu, « par voie aérienne », une mixture à base de LSD, et procédé à une « contamination de produits alimentaires locaux ». Le scénario paraît aussi hallucinant que les phénomènes étranges, et pour le coup avérés, qui avaient rendu toute une population dingue en 1951. L’affaire du pain maudit avait causé la mort d’au moins cinq habitants de Pont-Saint-Esprit. Une trentaine d’autres avaient été hospitalisés, et près de 300 avaient ressenti des symptômes.

Depuis, l’historien américain Steven Kaplan a publié un livre sur le pain maudit, paru chez Fayard en 2008. Plus récemment, un film consacré au Pain du Diable avait été tourné à Pont-Saint-Esprit, puis diffusé sur France 3. Mardi matin, le journaliste Bruno Duvic consacrait une partie de sa revue de presse matinale sur France Inter, à cet ultime, et non moins déroutant épisode de ce feuilleton à rebondissements.

Thierry MBOM

http://www.midilibre.com/articles/2010/03/09/A-LA-UNE-L-h...


Very bad trip à Pont Saint Esprit

En 1951, un bourg entier du Gard hallucine pendant une semaine. Un journaliste américain prétend avoir percé le mystère : le village aurait été arrosé de LSD par la CIA pour une expérience secrète.

Au moins cinq morts, plus de trente personnes hospitalisées et près de trois cents malades. En août 1951, un fait divers tragique secoue une grosse bourgade paisible des bords du Rhône, Pont-Saint-Esprit. Ce qui commence comme une banale intoxication alimentaire collective culminera quelques jours plus tard en une nuit de pure folie, des scènes d’hallucinations dignes d’un tableau de Bosch, une “nuit de l’Apocalypse”, pour reprendre les termes d’un des médecins locaux, le Dr Gabbaï.

Récemment, France 3 exhumait ce fait divers sous la forme d’une fiction bourrée d’erreurs, Le Pain du diable, bien que le téléfilm s’inspirât essentiellement du remarquable travail d’un historien américain, Steven Kaplan, Le Pain maudit (Fayard), en 2008. Après des années d’enquête, Kaplan reste frustré : aucune des pistes suivies – ergot de seigle, fongicide, eau, mycotoxines – n’apporte d’explication définitive.

Dans un livre publié aux Etats-Unis fin 2009, le journaliste Hank Albarelli affirme avoir percé incidemment le mystère. La crise de folie qu’a connue Pont-Saint-Esprit viendrait d’une expérience secrète sur les effets du LSD menée conjointement par l’armée américaine et la CIA.

“J’ai des serpents dans mon estomac!”

L’affaire du “pain maudit” débute le 17 août 1951. Les salles d’attente des trois médecins de la ville sont pleines. Une vingtaine de malades viennent consulter pour des symptômes apparemment digestifs : nausées, brûlures d’estomac, vomissements, diarrhées. Viendront s’ajouter dans les jours suivants des fatigues importantes et des insomnies. Pour nombre de malades, après une rémission de 48 heures, les symptômes s’aggravent pour culminer dans des crises hallucinatoires habitées, entre autres, par des flammes et des animaux.

Après une enquête sur place pour le magazine Look, un journaliste américain, John Fuller, décrit dans un article paru en 1968 des scènes d’hallucinations collectives. Un ouvrier, Gabriel Validire, hurle à ses compagnons de chambrée : “Je suis mort ! Ma tête est en cuivre et j’ai des serpents dans mon estomac !” Une jeune fille se croit attaquée par des tigres. Un gamin de 11 ans, Charles Granjhon, tente d’étrangler sa mère.

Le 24 août, la situation devient ingérable. Un homme saute du deuxième étage de l’hôpital en hurlant : “Je suis un avion.” Les jambes fracturées, il se relève et court cinquante mètres sur le boulevard avant qu’on puisse le rattraper. De nombreux hospitalisés sont saisis d’hallucinations insupportables. D’autres entendent des harmonies célestes.

Très rapidement, des indices pointent le coupable présumé : le pain du meilleur boulanger du bourg, Roch Briand. Dans un article publié par le British Medical Journal moins d’un mois après le début du drame, le Dr Gabbaï écrit :

“La fréquence des symptômes mentaux ramène à l’esprit le vieux nom de la maladie, mal des ardents.”

Autrement dit la maladie de l’ergot de seigle, un champignon parasite des graminées. Courante au Moyen Age, la maladie a disparu en France depuis le XVIIIe siècle.

Mais l’ergotisme peine à expliquer tous les symptômes cliniques constatés. Le Dr Gabbaï et le Pr Giraud de la faculté de médecine de Montpellier, appelés à la rescousse, font vite un parallèle avec les recherches menées en Suisse à la même époque dans le laboratoire Sandoz par Albert Hofmann et qui ont abouti à la découverte par hasard du LSD, synthétisé à partir d’ergot. Le juge d’instruction chargé de l’affaire évoque la piste criminelle d’une contamination du pain par “une forme de l’ergotine synthétique très nocive”.

Albert Hofmann, qui a fait le déplacement, entérine dans un premier temps la piste de l’ergot ou d’un alcaloïde proche du LSD. Mais une fois rentré à Bâle, le laboratoire rejette l’hypothèse sans appel. De son côté, l’agence américaine United Press rapporte les intrigantes conclusions d’un laboratoire américain à qui elle a transmis des échantillons :

“Les expériences faites (notamment sur des volontaires) en leur faisant absorber du pain ergoté à diverses doses n’ont donné aucun des symptômes constatés chez les malades de Pont-Saint-Esprit.”

Steven Kaplan regrette qu’à l’époque la presse n’ait pas creusé davantage la piste “crépusculaire, voire obscure, du laboratoire américain”!

Suicide d’un biochimiste de l’armée américaine

Deux ans plus tard, aux Etats-Unis, un biochimiste de l’armée américaine qui travaille sur des programmes ultrasecrets se suicide. Selon la version officielle, il se serait jeté du treizième étage d’un hôtel de New York. C’est en enquêtant sur cette mort suspecte que le journaliste Hank Albarelli a obtenu des documents de la CIA et de la Maison Blanche qui jettent un éclairage sinistre sur les événements de Pont-Saint-Esprit.

A l’issue de la guerre de Corée, les Américains sont persuadés que leurs soldats, prisonniers de guerre, ont subi des lavages de cerveau. Ils se lancent donc dans une vaste série de programmes défensifs et offensifs sur les questions de la manipulation mentale, des sérums de vérité pour faire parler des prisonniers ou même sur des méthodes pour “incapaciter” l’ennemi et gagner des batailles sans tirer une seule balle.

C’est à ces recherches confidentielles soutenues par la CIA que travaille Frank Olson au sein du SOD (Special Operations Department), à Fort Detrick. Parmi les documents obtenus par Albarelli, le premier retranscrit une conversation entre un agent de la CIA et le représentant américain du laboratoire Sandoz. Ce dernier insiste pour évoquer le “secret de Pont-Saint-Esprit” et explique à son interlocuteur qu’il ne s’agissait nullement d’ergot mais de diéthylamide (le D de LSD).

Les pratiques « non éthiques » de la CIA

Albarelli entre en contact avec des anciens de l’armée ou de la CIA qui ont cotoyé Frank Olson. Deux d’entre eux, “Albert” et “Neal”, lui expliquent, sous couvert d’anonymat, que l’histoire de Pont-Saint-Esprit relève d’une opération conjointe du SOD et de la CIA. Mais lorsqu’il demande si d’autres services secrets, par exemple français, ont participé à l’expérience, il n’obtient qu’un silence.

Des scientifiques de Fort Detrick confient au journaliste américain que les services ont opéré par pulvérisation aérienne d’une mixture à base de LSD ainsi que par la contamination de “produits alimentaires locaux”. L’un d’eux explique que la pulvérisation a été “un échec complet”.

En 1975, une commission d’enquête présidée par Nelson Rockefeller avait commencé à révéler les pratiques “non éthiques” de la CIA, aux appellations multiples : Bluedbird, Artichoke, MK-Ultra, etc. En 2000, Albert et Neal transmettent à Albarelli une fiche d’identité de la Maison Blanche, certainement en rapport avec cette commission, et qui mentionne une “french embassy” et, erreur d’orthographe comprise, “Pont Saint Esprit incident (Olsojn)”

Cette version pose autant de questions qu’elle apporte de réponses. Sans rejeter l’hypothèse, Steven Kaplan s’interroge, par exemple, sur le choix de la ville cobaye : Pont-Saint-Esprit figure dans une région tenue par la gauche. Curieux pour une opération secrète américaine en pleine guerre froide.

“A l’époque, on a évoqué l’hypothèse d’une expérimentation destinée à contrôler une révolte de la population”, se souvient Charles Granjhon, 71 ans aujourd’hui, qui habite toujours Pont-Saint-Esprit. “J’ai failli caner. J’aimerais bien savoir pourquoi.” Il n’est pas le seul à vouloir connaître la vérité. Après la parution de son livre, Albarelli a appris d’un de ses contacts que la DGSE aurait demandé des informations sur l’affaire de Pont-Saint-Esprit au Département d’Etat américain, ce que démentent les services français.

Cet article de Loïc Chauvin est paru dans le magazine lesInrockuptibles du mercredi 3 mars.

http://blogs.lesinrocks.com/droguesnews/index.php/non-cla...

 

 

14:07 Publié dans CIA, MOSSAD, Al-Quaïda | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

09/12/2009

USA : Combien d'or reste-t-il vraiment à Fort Knox?

Rob Kirby et les lingots d’or au Tungstène

La période de Noël s'y prête, et, voici, le monde très feutré de l'or vient d'apprendre par l'éditorialiste vedette de Goldseek.com, Rob Kirby, que des tonnes de lingots, rien que ça, ont été fourrés au tungstène! Une information qui a fait furor, comme vous pouvez l'imaginer, et qui bien sûr n'a pas été reprise par la presse généraliste (avec cette affaire vous verrez quels journaux sont tenus en laisse, et lesquels ne le sont pas, et à ce sujet, Serge Dassault a un labrador).

Kirby écrit que quand ces lingots ont été découverts à Hong Kong, tout le monde a pensé qu'ils venaient de Chine, spécialisée dans la contrefaçon de tout (y compris des rochers au praliné Ferroro). Problème, tous les lingots sont immatriculés, et sont suivis à la trace... "Durant l'administration Clinton, entre 1,3 et 1,5 million de barres de tungstène de 400 onces ont été fabriqués aux USA, soit 16.000 tonnes (et pas 16 t comme je l'ai écrit !!!). Plus de 640.000 de ces barres ont été "plaquées or" et envoyées à Fort Knox où elles se trouvent encore, considérées comme des vrais lingots d'or". Et Kirby ajoute "je connais les gens qui ont les copies de ces bons de transport et de leurs livraisons, avec les dates... Le reste des faux lingots a été vendu sur le marché de l'or international".

!!! Les envahisseurs sont parmi nous, Rob Kirby les a donc rencontrés. On les reconnaît car ils sont tous fourrés au tungestène et ils sont PARTOUT, Londres, New York, Paris, Singapour, Francfort, Hong Kong, Moscou, et surtout dans les coffres des gens qui vendent de l'or papier.

Ca c'est une bombe nucléaire qui vient d'exploser et beaucoup de gens doivent très mal dormir en ce moment. Bientôt, on va verser du tungstène en fusion dans le gosier de quelqu'uns, et leurs cadavres seront retrouvés à Londres et à New York, décapités, avec le sang mélangé au métal coulant le long des canivaux comme dans l'Ex-or-ciste... Le diable 666, pardon, 999, est dans les métaux: "Apparently, the global market is literally "stuffed full of 400 oz salted bars""" ajoute-t-il !

Du coup, Kirby, qui connaît le monde de l'or depuis très longtemps, a raccroché tous les wagons et s'est rappelé que l'un des patrons du NYMEX, Stuart Smith, avait été arrêté en 2004, février précisément et qu'il a disparu depuis. Il se trouve, précise Kirby, que c'est le NYMEX qui a toutes les archives des cheminements des lingots... Deux mois plus tard, avril 2004, la banque Rothschild se retirait précipitamment du marché de l'or. Il conclut donc: "In light of what has occurred – regarding the Gold ETF, GLD – after reviewing their prospectus yet again, it becomes pretty clear that GLD was established to purposefully deflect investment dollars away from legitimate gold pursuits and to create a stealth, cesspool/catch-all, slush-fund and a likely destination for many of these salted tungsten bars where they would never see the light of day – hidden behind the following legalese shield from the law". Pourquoi ? "Parce que le GLD par exemple dans son contrat de vente, se garde bien de garantir ses lingots (ici le pdf)". Voilà, voilà... Les bons vieux Napoléons, il n'y a que ça de vrai finalement, et c'est Français, monsieur. Lire le grand papier sur GoldSeek et penser à tous ces "pauvres" quand vous acheterez des lingots praliné à Noël.

PS: l'un de nos lecteurs m'a donné cette info, non vérifiée par mes soins, à propos d'une kolossal bank européenne qui aurait averti ses investisseurs il y a quelques jours seulement EN BELGIQUE qu'elle ne livrerait plus d'or physique... Au vu de ces barres tungestène, l'info de ce lecteur prend une nouvelle dimension.

PS 2: Rob Kirby a prouvé que ses comptes étaient les bons: "le monde entier aurait dû être à court d'or, 2000 tonnes par an, depuis au moins 10 ans... Vous comprenez maintenant pourquoi l'or papier a été si popularisé? Pour sauver les fesses du dollar. En même temps, en vendant du papier, aucune chance que ces lingots au tungstène quittent les coffres, et puissent être auscultés par le stétoscope de votre neurologue. Quand le dollar est en danger, je vous le dis, les Américains sont prêts à tout, y compris à fabriquer des faux lingots et à en remplir Fort Knox. D'ailleurs, ils fabriquent bien des vrais-faux dollars, pourquoi ils se gêneraient! En tout cas, là on est vraiment dans du James Bond... et dans 777 la Chute du Vatican et de Wall Street!

PS 3: Et avec ces lingots au tungstène, vous comprenez maintenant pourquoi la Fed a dit qu'en cas d'audit, le résultat mettrait l'économie américaine en danger: les gens de Fort Knox gardent en fait du tungstène ! Bernanke le sait. Pas le public.

 

PS 4: Le Gata rapporte que HSBC a décidé de fermer ses guichets d'achats or et argent, et surtout ses coffres au Comex de New York et a informé par un mailing tous ses clients que désormais, ils pourront se brosser, et qu'ils doivent se dépêcher de retirer leurs lingots des coffres mis à leur disposition.

http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-rob-k...

 

Le prospectus à télécharger

http://www.spdrgoldshares.com/media/GLD/file/SPDRGoldTrus...


Combien d'or reste-t-il vraiment à Fort Knox ?

Un article Marc Mayor du site http://www.moneyweek.fr


FRTKNOX.pdf

 



 

02/11/2009

USA : Le gouvernement secret dévoilé par Milton William Cooper

Source :  http://histoiresecrete.ifrance.com/index.html

Un extrait intéressant de ce témoignage qui date de 1989 soit de 10 ans. Le virus de la GrippeA/H1N1 semble être une invention, et le vaccin serait bien une arme de destruction massive ! Qu'on se le dise !


A titre d'actions dilatoires chacune des trois Alternatives comprenait le recours à la prévention des naissances, à la stérilisation l'introduction de virus pathogènes mortels afin d'inverser ou tout au moins de diminuer la croissance de la population mondiale. Le virus du SIDA n'est qu'un exemple d'un résultat issu de ces programmes. Il n’y en a d'autres. Il fut décidé que puisque n'importe comment, la quantité de population devait être réduite il serait dans l'intérêt de l'espèce humaine de se débarrasser des éléments indésirables de notre société. Le noyau dirigeant conjoint américain et russe écarta "Alternative 1" mais ordonna que le travail commence sur "Alternative 2" et "Alternative 3" pratiquement au même moment.

 

Le fichier complet en Pdf : OPÉRATION MJ12-Le gouvernement secret US dévoilé par Milton William Cooper.pdf

OPÉRATION MJ12-Le gouvernement secret US dévoilé par Milton William Cooper

: http://histoiresecrete.ifrance.com/index.html