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25/12/2011

Suisse, France, Allemagne : Une comète dans le ciel de Noël + Ovni en Russie

Après l'Ovni aperçu en Russie à Chelyabinsk, le 23 décembre 2011 voici maintenant que le 24 décembre 2011 une comète est passée dans le Ciel Suisse, dans le canton Vaudois et a été aperçue en Allemagne et en France.

Selon un porte-parole du centre allemand de l'aérospatiale, il s'agirait d'une météorite.

C'est nouveau de collectionner les météorites dans le ciel maintenant ou s'agit-il de Nibiru qui approche avec son cortège d'astéroïdes ou encore un test défense de dissuasion de la Russie sur l'UE   ?


Une comète dans le ciel de Noël

apparition | Un objet lumineux a été vu samedi soir dans le ciel à Genève. Plusieurs témoignages l'affirment: une boule de feu aurait fait son chemin dans le ciel romand en cette nuit de Noël.

Fanny Giroud | 25.12.2011 | 09:10Dernière mise à jour: 25.12.2011 | 16:07
 
La comète vue depuis le canton de Vaud, entre Echallens et Moudon.
© DR/Scoopmobile | La comète vue depuis le canton de Vaud, entre Echallens et Moudon.
 
 
Vue depuis Genève.


© DR/Scoopmobile

Un objet volant non identifié a été aperçu samedi en fin d'après-midi, selon plusieurs témoignages concordants dans l'est du pays, mais aussi en Allemagne et en France. Selon nos sources, la "comète" a notamment été vue dans le canton de Vaud, à Genève, en Moselle et dans l'Allier (France). La police vaudoise a confirmé avoir reçu plusieurs appels à ce sujet, selon 20minutes.ch.

"Entre 17h et 17h30, nous avons pu observer dans le ciel ce que je pense être une comète, ressemblant à une boule de feu suivie d'une traînée orangé-jaune", confirme un témoin à Fontoy (F).

Dans le sud-est de l'Allemagne, des centaines de personnes ont également aperçu une traînée lumineuse samedi en fin d'après-midi, se déplaçant pendant près de 30 secondes avant de disparaître. Selon un porte-parole du centre allemand de l'aérospatiale, il s'agirait d'une météorite.

 

Une vidéo tournée au dessus de Villars-Mendraz, entre Echallens et Moudon:

Une comète dans le ciel vaudois
http://www.youtube.com/watch?v=zmr-44mDrBM&feature=pl...

 

Débris de fusée? Comète géante? Envoyez-nous vos photos et videos!

http://www.tdg.ch/comete-ciel-noel-2011-12-25


En russie

Mystérieuse lumière dans le ciel à Chelyabinsk en Russie

23 Décembre 2011, 18h14
La vidéo est un montage de 5 vidéos émanant de 5 témoins. La dernière vidéo (~3m30s) est plus claire.

5 Witness, UFO, Mysterious Lights in The Sky, Russia, Dec 23, 18:14
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...


Les cinq vidéos :
http://www.youtube.com/user/vasgannn
http://www.youtube.com/user/belyaev95
http://www.youtube.com/user/Med20092
http://www.youtube.com/user/AndrejGroznij
http://www.youtube.com/user/1441016

ESO NEWS

 

23/12/2011

Boson de Higgs ou particule Divine : la tension monte au Cern !

Comme si nous avions besoin que la science sans conscience et parfois criminelle, vienne nous démontrer l'existence de la particule Divine quand nous n'avons qu'à nous regarder et à regarder la nature tout autour de nous, pour voir qu'elle existe bien depuis la nuit des temps et qu'elle est éternelle, tout comme notre âme Divine qui est en nous.
 
La science comme la religion : deux inventions diaboliques pour nous détourner de nous-mêmes et de Dieu lui-même.

 Boson de Higgs : la tension monte au Cern !

Le 12 décembre 2011 à 13h47
 

Suspens autour du Higgs : le 13 décembre 2011, en début d'après-midi, un séminaire du Cern sera retransmis sur la Toile. On est certain que la découverte de la fameuse particule... ne sera pas révélée. Mais il sera probablement question d'indices de son existence dans deux détecteurs du LHC. Avant cette annonce, révisons un peu ce sujet pour mieux comprendre ce qui se dira demain au Cern.

En cherchant à construire des équations décrivant des champs de forces entre particules de matière et respectant les lois de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité, on a la surprise de constater que la forme générale de ces équations est très contrainte. Il faut que ces équations ressemblent à celles de l'électromagnétisme avec l'équivalent des photons. On voit aussi apparaître des sortes de généralisations de la charge électrique.

Avec ces équations, on s'aperçoit rapidement que si nous pouvons voir la lumière des plus lointaines régions de l'univers observable, en particulier celle des quasars et du rayonnement fossile, c'est parce que la masse du photon est nulle, ou tellement faible que nous n'avons toujours pas été capables de la mesurer.

Le Higgs, la solution à un problème des divergences infinies du modèle standard

Si nous ne sentons pas à notre échelle les « photons nucléaires forts » que sont les pions de Yukawa liant les protons et les neutrons dans les noyaux, ou les « photons nucléaires faibles » que sont les bosons W et Z qui interviennent dans la radioactivité et la physique des neutrinos, c'est parce qu'ils sont massifs et ne transmettent donc que des forces à courtes portées.

Malheureusement, si l'on essaie de construire l'analogue des équations de Maxwell pour ces « photons nucléaires faibles » (ce qu'on appelle des équations de Yang-Mills), le fait qu'ils doivent être massifs conduit à des problèmes mathématiques caractérisés par l'apparition de quantités infinies en théorie quantique des champs relativistes.

On peut se débarrasser de ces problèmes en introduisant un nouveau champ dont les quanta d'énergie sont, tout comme les photons, des bosons. Ce champ qui donne une masse aux photons nucléaires est décrit par ce qu'on appelle le mécanisme de Higgs. Son « photon » associé est donc le boson de Higgs et, au passage, rappelons qu'il n'a rien à voir, ni de près ni de loin avec la Force de Star Wars, comme certains le prétendent dans les médias actuellement...

De gauche à droite Chen Ning Yang et Robert Mills en pleine discussion à la fin des années 1990
De gauche à droite Chen Ning Yang et Robert Mills en pleine discussion à la fin des années 1990. © Nu Xu

Indirectement, cette particule apparaît dans plusieurs des calculs décrivant les interactions entre quarks et leptons dans le cadre du modèle standard des particules (MS), c'est-à-dire la chromodynamique quantique et la théorie électrofaible de Glashow-Weinberg-Salam. Le champ de Higgs joue également un rôle dans la détermination des masses des quarks et des leptons, c'est-à-dire, cette fois, les particules de matière du modèle standard.

Un mécanisme général pour doter les particules de masse

D'une façon ou d'une autre, il doit effectivement exister quelque chose qui ressemble au mécanisme de Higgs donnant une masse aux particules du modèle standard. En effet, sa présence a déjà été plus ou moins testée indirectement avec le succès des calculs décrivant des réactions dans les collisions du LEP et du Tevatron.

Le boson de Higgs lui-même doit être massif, mais l'un des problèmes du modèle standard est que nous ignorons la valeur de sa masse et la façon dont il influence précisément les diverses réactions entre particules.

Plusieurs paramètres libres du modèle standard (19 pour être précis) proviennent, pour le moment, des expériences seules. C'est le cas notamment de la masse des électrons et des quarks. Si le Higgs existe bien, il devrait être possible de mieux comprendre (mais pas complètement) pourquoi ces paramètres ont ces valeurs. Avant la découverte des protons, électrons et noyaux, on ne savait pas d'où provenaient les masses et la diversité des éléments ni les énergies des réactions chimiques. Cette ignorance pointait vers une physique plus fondamentale. Pour la même raison, on peut penser qu'une théorie plus vaste se cache derrière les impressionnants succès du modèle standard.

De plus, bien que l'on ait rassemblé les forces électromagnétiques et nucléaires faibles en un seul système d'équations grâce au boson de Higgs, il reste à faire la même chose avec les forces nucléaires fortes et finalement la gravitation. Tout naturellement, on s'attend à ce que d'autres bosons de Higgs interviennent dans ces équations de Grande Unification (GUT et supergravité notamment).

Plusieurs bosons de Higgs possibles et plusieurs fenêtres d'observation

Si on cherche à plonger le modèle standard dans une théorie plus vaste (comme la supersymétrie), la masse de son boson de Higgs et la façon dont elle influence les réactions entre les particules peuvent être mieux comprises. Dans certains cas, cela nécessite de changer un peu ce à quoi on doit s'attendre dans le cadre du modèle standard.

La morale de tout cela est qu'il peut exister plusieurs bosons de Higgs et que la plus simple description du mécanisme expliquant les masses du MS à l'aide d'un boson de Higgs standard, n'est peut-être pas la voie que la nature a choisie. Mais surtout, la découverte du Higgs peut ouvrir la porte à une compréhension plus profonde de la physique, à la racine de tout ce qui existe, des particules de nos neurones à la naissance même de l'univers.

Plusieurs réactions entre particules peuvent produire un boson de Higgs et celui-ci peut se désintégrer en plusieurs autres particules. Comme il est de règle en mécanique quantique, elles sont gouvernées par des lois de probabilités. En fonction de l'énergie des particules entrant en collisions et de la masse du Higgs, ses taux de production et de désintégrations selon divers « canaux », comme disent les physiciens des particules, sont différents (voir le schéma ci-dessous). Il a donc fallu réfléchir aux stratégies les plus efficaces pour produire et détecter le boson de Higgs.

Sur ce schéma sont montrées les importances relatives de certains canaux de désintégration du Higgs en fonction de sa masse. On voit ainsi qu'entre 100 GeV et 150 GeV il y a une bosse pour le canal de désintégration avec deux photons gamma. Au-delà de 200 GeV le canal avec la production d'un quark b et d'un antiquark b devient complètement négligeable devant ceux avec bosons Z ou W. Bien que ces derniers soient des canaux fortement favorisés par rapport à celui avec deux photons vers 130 GeV, le signal en gamma est moins bruité que le signal en ZZ ou WW, c'est pourquoi, si le Higgs standard  existe et a bien une masse entre 115 GeV et 140 GeV, les premiers indices de son existence seront ces photons gamma.
Sur ce schéma sont montrées les importances relatives de certains canaux de désintégration du Higgs en fonction de sa masse éventuelle. On voit ainsi qu'entre 100 GeV et 150 GeV apparaît une bosse au niveau du le canal de désintégration à deux photons gamma (pointillé rouge). Au-delà de 200 GeV le canal caractérisé par la production d'un quark b et d'un antiquark b (courbe rouge) devient complètement négligeable devant ceux avec bosons Z ou W. Bien que ces deux canaux soient fortement favorisés par rapport à celui à deux photons vers 130 GeV, le signal en gamma est moins bruité que le signal en ZZ ou WW. C'est pourquoi, si le Higgs standard existe et a bien une masse entre 115 GeV et 140 GeV, les premiers indices de son existence seront ces photons gamma. © Cern-Konrad Jende

On en a ainsi déduit que les réactions les plus efficaces pour produire le boson de Higgs sont les collisions de protons ou d'antiprotons. Malheureusement, dans ce cas, plusieurs autres réactions se produisent, générant un bruit de fond noyant la délicate musique des désintégrations du boson de Higgs.

Toutefois, si l'on prend une analogie issue des transmissions de radio, il existe des bandes de fréquence où le bruit de fond est plus faible et où la musique du Higgs se fait plus forte. Selon sa masse, la bande où le chercher le plus efficacement ne sera donc pas la même.

Le "Large Hadron Collider" (français)

http://www.youtube.com/watch?v=txEekZcgl4s&feature=pl...

Une belle vidéo expliquant l'aventure de la physique des hautes énergies au LHC. © Cern/YouTube

La fenêtre des photons gamma et des bosons Z

On a joué à ce jeu au LEP au début des années 1990 à partir de collisions entre électrons et positrons. Le Tevatron a pris la suite en collisionnant des protons et des antiprotons. C'est maintenant au tour du LHC, où CMS et Atlas étudient les particules issues des collisions de protons. Lentement mais inexorablement, les bandes où chercher des signaux du boson de Higgs standard se sont réduites.

Si l'on devait prendre une analogie issue de l'astronomie, le boson de Higgs serait une étoile dont on ne connaîtrait pas très bien la courbe donnant l'intensité du rayonnement en fonction de la longueur d'onde. Même si la forme générale de la courbe est connue et que la physique de l'étoile l'est aussi dans les grandes lignes, on ne sait pas très bien si l'astre est le plus brillant dans l'ultraviolet ou l'infrarouge.

De plus, pour l'identifier, il faut disposer d'une bonne photographie, c'est-à-dire enregistrer le maximum de photons avec la meilleure résolution et donc faire une pose la plus longue possible. En physique des particules, cela revient à « augmenter la statistique », c'est-à-dire enregistrer un nombre suffisamment élevé d'événements avec un grand nombre de collisions.

Un diagramme montrant la désintégration du boson de Higgs dans le canal avec deux photons gamma. Il semble qu'Atlas et CMS voient tous les deux des signes de ce mode de désintégration du boson de Higgs avec une masse similaire de l'ordre de 126 GeV.Il semble bien plus incertain que l'on annonce voir aussi une signature du boson de Higgs dans un autre canal de désintégration, celui des bosons Z. Voici un exemple d'un tel canal de désintégration des bosons Z.
En haut : Diagramme montrant la désintégration du boson de Higgs dans le canal avec deux photons gamma. Il semble qu'Atlas et CMS voient tous les deux des signes de ce mode de désintégration du boson de Higgs avec une masse similaire de l'ordre de 126 GeV.
En bas : Désintégration selon le canal des bosons Z. Il semble bien moins sûr que l'annonce de demain mentionne une telle signature du boson de Higgs. © Matthew Strassler

Bilan actuel :

 

  • si le boson de Higgs standard existe, il doit avoir une masse comprise entre 115 GeV et 140 GeV ;
  • les canaux de désintégrations où il est le plus facilement mis en évidence sont ceux où il produit deux photons gamma, deux bosons W ou encore deux bosons Z qui se désintègrent à leur tour en leptons, comme l'électron, le muon ou le neutrino (et bien sûr leur antiparticules).

Pour être sûr qu'une découverte a vraiment été faite, il faut que le signal obtenu soit très différent de simples fluctuations statistiques. On peut faire l'analogie avec les formes qu'on se plaît à voir dans les nuages : aucune cause particulière autre que le hasard n'est alors à l'oeuvre mais si on découvrait un nuage portant tous les détails d'une fresque de Raphael, on ne pourrait plus croire à un phénomène aléatoire. Pour éliminer le risque d'enregistrer un faux signal à cause d'une erreur de construction ou de conception d'un appareil (ce que les scientifiques appellent un biais systématique), on utilise deux instruments de mesure différents. Ce qui explique en partie pourquoi Atlas et CMS ont été construits. Voir deux signaux similaires dans deux détecteurs est donc bien plus convaincant, même en l'absence d'une statistique suffisante, pour confirmer une découverte.

Tout ceci explique l'importance du séminaire du 13 décembre 2011 au Cern, qui devrait annoncer non pas la découverte de la musique du boson de Higgs mais d'une mélodie faible noyée dans un brouhaha, dans la même bande de fréquence par deux « postes de radio » différents, à savoir Atlas et CMS. Un séminaire donc attendu impatiemment par toute la communauté de la physique des hautes énergies.

Pour suivre la retransmission du Cern, rendez-vous sur la page dédiée.

Peter Higgs devant les équations décrivant sa théorie de la brisure de symétrie donnant une masse à des bosons de jauge. © Peter Tuffy/<em>The University of Edinburgh</em>

Peter Higgs devant les équations décrivant sa théorie de la brisure de symétrie donnant une masse à des bosons de jauge. © Peter Tuffy/The University of Edinburgh
 

Un trou noir s'apprête à engloutir un nuage de gaz au centre de la Voie Lactée

 

 Ce phénomère qui se produit actuellement dans notre galaxie, nous donne une idée de ce qui est en train de s'y passer pour notre prochaine ascension et le saut quatique que l'ensemble de notre système solaire doit faire pour entrer dans la 4ème puis la 5ème dimension, lors de l'alignement galactique du 21 décembre 2012. Les trous noirs supermassifs pouvant en effet modifier l'espace temps.

Un trou noir s'apprête à engloutir un nuage de gaz au centre de la Voie Lactée

 
Info rédaction, publiée le 16 décembre 2011
 
 
Simulation de la désagrégation dans les prochaines années du nuage de gaz qui s'approche du trou noir supermassif (Crédits : ESO/MPE/Marc Schartmann)
 

Notre galaxie, la Voie Lactée, abrite en son centre un trou noir qui s’apprête à engloutir un gigantesque nuage de gaz. Celui-ci s’en rapproche à près de 8 millions de kilomètres par heure, a indiqué hier l'Observatoire austral européen (ESO).

Dans un article mis en ligne par la revue scientifique britannique Nature, une équipe d'astronomes dirigée par Reinhard Genzel (Institut Max Planck, Allemagne) révèle qu'elle a pu observé un phénomène fantastique grâce au Très Grand Télescope (VLT) de l'ESO : un nuage de gaz se rapprochant du trou noir actuellement situé au centre de notre galaxie.

"Il s'agit de la toute première observation de l'arrivée d'un tel nuage à proximité d'un trou noir supermassif", (qui peut modifier l'espace temps) indiquent les scientifiques. La vitesse du nuage découvert a quasiment doublé au cours des sept dernières années, atteignant déjà près de 8 millions de kilomètres par heure (2.350 km/seconde). Or, plus le nuage, principalement constitué d'hydrogène et d'hélium, se rapproche du monstre, plus sa vitesse va augmenter sous l'effet de l'énorme attraction gravitationnelle du trou noir. Les bords du nuage se disloquent déjà à l’heure actuelle.

Il progresse sur une orbite très allongée et, durant l'été 2013, il s'approchera à 40 milliards de kilomètres de "l'horizon des événements" du trou noir. Il s’agit de la limite au-delà de laquelle tout ce qui s'y passe reste inaccessible. Personne ne sait exactement ce qui s’y trouve, aucune matière ni aucune lumière ne pouvant s'en échapper pour nous l’apprendre.

Un nuage de gaz trois fois plus massif que la Terre

Le trou noir, "Sgr A*" (Sagittarius A étoile), situé au cœur de la Voie Lactée, est quatre millions de fois plus massif que le Soleil. Situé à 27.000 années-lumière de la Terre, le trou noir supermassif de la Voie Lactée est le plus proche d’entre eux.

De son côté, le nuage de gaz ionisé que ce monstre cosmique s'apprête à avaler est environ trois fois plus massif que la Terre. Sa température, qui atteint déjà 280 degrés centigrades, devrait grimper à plusieurs millions de degrés lorsque le gaz tourbillonnera tout près du trou noir avant d'être englouti. Les rayons X émis par la matière spiralant autour d'un trou noir révèlent à distance les repas de ces ogres du cosmos.

"Ces deux prochaines années s'annoncent passionnantes. Elles devraient nous fournir de précieuses informations concernant le mouvement de matière autour de ces étonnants objets massifs", se réjouit Reinhard Genzel.

http://www.maxisciences.com/trou-noir/un-trou-noir-s-039-...

 

 

26/11/2011

Relier les points : Changements cosmiques, instabilité planétaire et météo extrême

Pour ceux qui nous écrivent en nous disant qu'il ne se passe rien sur la planète, ni dans le cosmos, et que nous raconterions des histoires, notamment sur la comète Elenin. Parce qu'il ne se serait rien passé et qu'il ne se passe rien selon eux.

Comme si Elenin était le seul élément cosmique à nous intéresser.

Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.

Ils feraient mieux de demander des obligations de résultats à leurs gouvernants, leurs scientifiques et leurs curés qu'ils paient et rémunèrent sur leurs propres deniers. Parce que nous voudrions voir des résultats sur toutes les belles théories qu'ils nous enseignent depuis des millénaires et non pas d'avoir à essayer de décoder tous leurs mensonges et manipulations pour tromper l'humanité par le biais de leur propagande merdiatique et leur soi-disant enseignement.

Si la vérité nous avait été toujours été dite, ce blog n'aurait pas lieu d'exister.
Or, s'il existe, c'est qu'il y a un réel problème avec les informations.

Pour voir s'il ne se passe rien du tout, nous vous invitons à prendre connaissance de cet article, très bien fait qui date du 23 juillet 2011, écrit par Sott Net.

Bien entendu il s'est passé beaucoup de choses depuis. mais cela donnera une idée plus précise à celles et ceux qui prétendent qu'il ne se passe toujours rien, ni dans le cosmos, ni sur notre belle planète.

L'article étant très long et comportant des vidéos, nous n'en mettons qu'un extrait, ici.

La suite sera à consulter sur le site de Sott Net.

Alarm Clock

Relier les points : Changements cosmiques, instabilité planétaire et météo extrême

© NASA / SDO
Vue de l’éjection de masse coronale depuis le Solar Dynamics Observatory le 7 juin 2011.

Avec les changements terrestres qui se produisent maintenant clairement et le temps qui presse, les éditeurs de Sott.net font face à l'urgence de se mettre à jour submergés par une avalanche de nouvelles importantes et d'essayer de donner un sens aux choses ! Les événements climatiques récents ont été sans précédent : le printemps et le début de l'été ont été, pour le moins, bizarres sur tout le globe.

Vous parlez de météo ou d'un type géologique de phénomène ; quelqu'un dans le monde y a eu droit : volcans, séismes, pluies torrentielles, inondations, trous terrestres, tornades, sécheresses, incendies... même de la neige en été ! Passons-les tous en revue du mieux que nous pouvons en commençant par le haut : le facteur cosmique.

Solar Activity
© Mike Borman
Image prise le 4 juin 2011
Lieu : Evansville en Indiana (États-Unis)


Les changements cosmiques sont en route

Les changements sur la planète Terre englobent une telle diversité de phénomènes, depuis les anomalies de météo extrême jusqu'aux volcans et séismes, que c'est peut-être une bonne idée de prendre du recul et de voir si nous pouvons donner un sens à tous ces changements dans le climat cosmique qui peuvent nous affecter. Oui, nous sommes conscients que cette approche va à l'encontre du discours officiel qui prétend que ces changements sont causés par les hommes brûlant du carbone qui vivent dans une bulle isolée qui ne peut que se réchauffer. Mais les pièces du casse-tête sur la table pointent vers une image différente et plus grande.

Une pièce centrale énorme est notre Soleil, ce qui n'est pas surprenant, puisque cette explosion permanente dans l'espace est ce qui donne de l'ordre dans notre coin de l'univers et la vie sur Terre. Ces deux dernières années, on s'attendait à ce que le Soleil entre en haute activité selon son cycle habituel de taches solaires de 11 ans. Mais les scientifiques se sont retrouvés à se gratter la tête lorsque notre étoile locale est restée tranquille. Maintenant elle délivre un tel spectacle d'éruptions que les scientifiques disent « ooh et ahh ».

Commentaire : Une énorme tempête solaire s'est déchaînée la semaine dernière. Certains l'ont appelée l'éruption solaire de plasma la plus massive jamais observée. Les astronomes de la NASA ont déclaré que l'énorme éruption solaire du 7 juin, appelée éjection de masse coronale, n'était probablement pas la plus grande jamais arrivée, mais elle est notable à la fois pour sa taille et son comportement étrange : des vagues massives de plasma furent éjectées du Soleil pour retomber sur la surface solaire.

« Nous voyons des choses que nous n'avons jamais vues auparavant, » a déclaré Phillip Chamberlin, un astrophysicien du Goddard Spaceflight Center de la NASA et scientifique de projet adjoint sur le satellite Solar Dynamics Observatory (SDO) de l'agence. « C'est un événement vraiment excitant. On s'attend à beaucoup de choses. »

Juste un jour ou deux avant l'éruption, le Soleil faisait ces vagues spectaculaires :

La suite : ICI

 

En bref : éclipse solaire partielle en Antarctique du 25 novembre 2011

Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences
 
Le 25 novembre 2011 à 11h25
 

La quatrième et dernière éclipse solaire de l'année 2011 s'est produite ce matin mais n'a sans doute pas été suivie par beaucoup d'observateurs, si l'on en juge par sa zone de visibilité.

Si l'année 2010 a été marquée par une magnifique éclipse totale de Soleil observable le 11 juillet sur une étroite bande traversant le Pacifique et l'île de Pâques, 2011 n'aura connu que des éclipses solaires partielles. Ces dernières sont moins spectaculaires puisque le Soleil n'est masqué qu'en partie et qu'il ne fait donc pas nuit en plein jour, mais la France a quand même bien profité de l'éclipse partielle du 4 janvier à l'aube avec une pluie d'images sur Futura-Sciences pour l'occasion. Rappelons que notre pays a connu sa dernière éclipse totale de Soleil le 11 août 1999.

L'éclipse d'aujourd'hui concernait le pôle Sud, l'Afrique du Sud, la Tasmanie et la Nouvelle-Zélande. Elle n'est donc que partielle, le cône d'ombre lunaire ne touchant jamais la Terre, passant à 330 kilomètres au-dessus de l'Antarctique, un continent glacé et ne laissant visible qu'un dixième du disque solaire.

C'est notre satellite naturel qui nous console de cette année sans éclipse totale de Soleil : le 15 juin dernier on pouvait admirer une sombre éclipse de Lune en début de soirée, un spectacle qui va se reproduire presque à l'identique le 10 décembre prochain. Mais le Soleil nous a déjà fixé un rendez-vous exceptionnel puisque le 6 juin 2012 nous pourrons vivre un transit de Vénus devant notre étoile !

L'éclipse solaire du 25 novembre sera partielle sur l'Antarctique. © M. Angelroth
L'éclipse solaire du 25 novembre sera partielle sur l'Antarctique. © M. Angelroth

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/en-...