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Nicolas Sarkozy a déploré lundi "une mise en examen injuste et infondée", à propos des soupçons d'abus de faiblesse pesant sur lui dans l'affaire Bettencourt.
"Je veux affirmer qu'à aucun moment dans ma vie publique, je n'ai trahi les devoirs de ma charge", écrit-il aussi dans un message publié sur sa page Facebook, quatre jours après sa mise en examen. "Je vais consacrer toute mon énergie à démontrer ma probité et mon honnêteté. La vérité finira par triompher. Je n'en doute pas", Nicolas Sarkozy. -------Et s'il consacrait toute son énergie à dégager du milieu ?
Dès jeudi, au soir de la mise en examen, Me Thierry Herzog, l'avocat de Nicolas Sarkozy, avait annoncé son intention de contester la décision devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bordeaux, où se déroule l'enquête.
Parlant de traitement "scandaleux" à l'égard de son client, Me Herzog a aussi mis en cause le manque d'"impartialité" du juge Gentil,pris pour cible pour un certain nombre de proches de Nicolas Sarkozy.
Nicolas Sarkozy, mis en examen jeudi dernier pour abus de faiblesse dans l'affaire Bettencourt, jure lundi sur sa page Facebook qu'il n'a jamais "trahi les devoirs de (sa) charge" et assure que la vérité "finira par triompher".
"Au moment où je dois faire face à l'épreuve d'une mise en examen injuste et infondée, je veux remercier du fond du coeur tous ceux qui ont tenu à me témoigner de leur confiance", écrit-il. "A ceux qui m'ont soutenu comme à ceux qui m'ont combattu, je veux affirmer qu'à aucun moment dans ma vie publique je n'ai trahi les devoirs de ma charge."
"Je vais consacrer toute mon énergie à démontrer ma probité et mon honnêteté. La vérité finira par triompher. Je n'en doute pas", ajoute Nicolas Sarkozy, qui dit ne réclamer "aucun traitement particulier, si ce n'est celui de tout citoyen d'avoir le droit à une justice impartiale et sereine".
"C'est parce que j'ai confiance dans l'institution judiciaire que j'utiliserai les voies de droit qui sont ouvertes à tout citoyen", conclut-il.
Voilà régalez-vous avec toutes ces escroqueries dont nous sommes tous les victimes !
L’or et les avoirs français sont détenus par la Banque de France (BDF) et une partie est versée à la Banque centrale Européenne (BCE).
« Le Système européen des banques centrales (SEBC) est composé de la Banque centrale européenne (BCE) et des 27 banques centrales nationales (BCN) des pays membres de l’Union européenne. » (source)
En ce qui concerne la France, sa « banque Centrale » est la banque de France. Depuis sa création en 1800 et contrairement à ce que suggérait sa dénomination, il s’agissait dès le début, d’une banque privée !
Désormais (depuis 1997) la BDF est sous la tutelle de la BCE dont on s’étonnera de constater que la Banque d’Angleterre (société privée qui n’est pas non plus sous le contrôle britannique) y est actionnaire pour 15%….
(Statuts actuels de la BDF : Art. L. 141-1. – « La Banque de France fait partie intégrante du Système européen de banques centrales institué par l’article 8 du traité instituant la Communauté européenne » – banque-de-france.fr)
L’or de la Banque de France n’est donc pas sous l’autorité de l’état français (!).
L’or placée à la Banque de France, est placée sous l’autorité de la BDF contre garanti des dépôts / promesse d’avoir.
Sans aval, et dans le plus grand secret, la BDF (désormais sur ordre de la BCE) peut décider d’évacuer l’or dans un autre pays. (Comme la BDF l’avait déjà fait, par sa seule décision entre 1932 et 1940 – source)
En 1936, la BDF était sous l’autorité de seuls actionnaires :
La FED (Réserve Fédérale US) est elle aussi privée et joue un rôle dominant sur la création monétaire aux US (et par ricochet dans le monde via le « pétro-dollar ») depuis 1913.
Dans les années 30 et jusqu’à la reddition de 1940, l’or de la BDF avait été évacué. Une partie non négligeable vers les coffres de la Réserve Fédérale (FED) aux US.
Qui possède la FED ?
La FED est née sous l’impulsion du « Baron Alfred Rothschild – petit fils de Mayer Amschel et directeur de la Banque d’Angleterre » (source) . Selon Mullins (source), ces actionnaires sont :
L’Union Européenne contrairement à la France, n’emprunte pas mais crée sa monnaie : l’euro.
« Les banques centrales nationales sont seules autorisées à souscrire et à détenir le capital de la BCE » (source) et s’agissant de la Banque nationale française (la BDF) elle compte pour 14% du capital de la BCE, contre 20% pour la BC d’Allemagne (Deutsche Bundesbank) et étonnement pour 15% à la BC Angleterre (Bank of England – holding privée contrôlée par des intérêts financiers de la City*), qui n’a pourtant pas souscrit à l’euro (source)
La BCE et l’euro échappe de fait, au contrôle de l’État français.
(*) « La City est dirigée par la Banque d’Angleterre, une société privée. La City large d’un mile au carré est un état souverain localisé en plein cœur de Londres. En tant que « Vatican du monde financier », la City n’est pas soumise à la loi Britannique. » (source)
En outre environ 20 milliards de contribution sont versés par la France à la BCE (20.4MM prévu en 2013 – vie-public.fr) et les reversements qui ont lieu en sens inverse (subventions – 13.6 MM en 2011- touteleurope.eu) ne se vont pas à l’État français mais servent les objectifs de décentralisation nationale et d’appui de la politique obscure de la Troïka européenne sur le territoire ; sans considération des intérêts de la France et de ses citoyens (même si c’est avec leur argent) …
La souveraineté française est donc largement devenue sans que l’on s’en rende compte, une vaste illusion …
N’ayant absolument pas le contrôle de la création monétaire et l’illusion de l’accès à ses avoirs en or, l’État français est un état qui repose essentiellement sur la confiance : on pourrait parler d’état fantoche, corroboré par des représentants pantins, et une capacité législative limitée et sous domination des décisions européennes.
L’Allemagne possède le plus gros stock d’or au monde (3396 T d’or – nov 2012) (source) On considérait ce stock en réalité comme le second plus gros comparé au 9000 T d’or pour la FED en 2006- source – mais suite à un audit à la FED, il apparait « qu’il ne reste plus que 466 T(!) sur les 8133T attendues en 2013″ !!? (quotidien.com – février 2013). L’Allemagne est donc bien le premier détenteur : mais officiellement seulement, car on constate que :
1528 T d’or de l’Allemagne serait détenu par la FED, qui n’en a plus que 466T !
Officiellement 45% de ses réserves sont détenues par la FED (ce qui ferait donc 45% de 3396 =1528 T !!) Or, on se demande bien comment en réalité, puisque la FED a ses coffres percés ! (466T d’or au lieu de 8133)
L’Allemagne l’avait d’ailleurs bien pressentie, en réclamant il y a quelques mois une partie de son or (300T) à la FED. On lui avait alors répondu que ca pourrait se faire mais sur plusieurs années (7 ans) : la bonne blague ! (quotidien.com 03/2013)
Où est le reste ? 31% des réserves allemande « était » en Angleterre (Bank of England – holding privée), 13% à la Banque de France (sous tutelle de la BCE)… (source) et 900T d’or aurait pu être rapatrié sur le territoire depuis les années 2000 (lemonde.fr 01/2013)
900 sur 3400, ca fait beaucoup moins… Le réveil des allemands risque pour une énième fois au regard de l’histoire, d’être terriblement douloureux… et donc pas forcément beaucoup mieux loti que les PIGS [Portugal, Ireland, Greece, Spain] et la France…
Où est stocké « l’or des français qui ne leur appartient pas » ?
A Paris « La souterraine » (le coffre-fort de la BDF), cette salle d’1 hectare n’a jamais été la seule zone de stockage de l’or dit « français ». Déjà entre les deux premières guerres mondiales, pour des raisons de sécurité, de nombreux coffres disséminés sur toute la carte nationale servent de point de stockage, jusqu’à l’élévation du risque de la confrontation avec l’Allemagne. Aussi avant même l’élection du Chancelier Hitler en 1933, qui conduira par la suite à sa conquête de l’or des Nations avoisinantes ; dès 1932, l’or français (2500T à l’époque) commence à quitter le territoire, vers les US et des zones coloniales notamment en Afrique. cf. docu VIDEO: http://www.dailymotion.com/video/xyfcp1_1940-l-or-de-la-f...
Ce qui n’est pas une première dans l’histoire. Car déjà, devant la fermeté de Philippe Le Bel souhaitant prendre définitivement le contrôle de la monnaie : « Les chariots remplis d’or seraient sortis du Temple de Paris au soir du 12 octobre 1307 et se seraient dirigés vers le nord de la France, pour charger leur cargaison d’or sur des bateaux, direction l’Angleterre (!) C’est à la survie de l’ordre qu’avait servi l’or des Templiers. » (orpostal.com)
L’or n’est pas sous le contrôle de l’état
Ce qui est intéressant, c’est qu’il échappe de facto en 1932 à l’autorité de l’Etat qui ne souhaite pas le déplacement, et également au contrôle de Pétain, avant ou après la reddition de 1940. Ce qui montre qu’effectivement l’or des français ne leur appartenait déjà que par apparence mais qu’en réalité, (tout comme « l’or américain ») il peut très bien disparaitre discrètement (ou plutôt « dans un secret absolu ») sans aucun contrôle officiel de l’État qui ne possède qu’un avoir : c’est à dire l’illusion de la possession, jusqu’à ce qu’il disparaisse…
Un peu à l’instar de tout particulier, client d’une banque, qui ne soucie pas trop de savoir où sont physiquement situés ses avoirs, tant qu’il a la confiance de pouvoir y accéder quand bon lui semble. Et idem, s’il a 1 coffre en banque avec des lingots : le jour où la banque dépose le bilan, il lui est impossible de faire même ouvrir « son » coffre car en réalité, même si « les coffres ne font pas partie des biens propres de la banque, leur accès peut en être compliqué… » (acheteror.org)
Et quand on constate l’actuel braquage des déposants à Chypre (03/2013) – et bientôt ailleurs en Europe – on peut facilement imaginer, l’impossibilité d’accès à l’or (de la BDF, comme celui des particuliers, en coffre) en cas d’effondrement en chaîne, de risque de guerre, ou d’instabilité politique…
L’or de la BDF est-il toujours sur le territoire national ?
Aussi, rien ne peut certifier à 100% compte tenu du risque d’un effondrement monétaire de la zone euro, que « l’or des français » se trouvent toujours dans les coffres de la BDF, ni même sur le territoire (et qu’il le soit ou non, ne présume pas de l’avenir…)
Une partie a déjà été échangée en 2004 contre du papier (!). L’or valait 400 $/once contre 4 fois plus aujourd’hui (1600 $/oz). Ce qui représente une saignée dans les avoirs français – dans un contexte où on ne pouvait pas ignorer qu’il était voué à augmenter (et c’est pas fini…) C’est l’ancien ministre de l’économie Nicolas Sarkozy (à l’époque) qui avait sollicité la revente d’une partie de notre or contre des devises (1/5e : 500 à 600T d’or sur les 3000T-lepoint.fr) .
Quant à l’autre partie (2400T estimé en 08/2011 – source), la haute-trahison de la logique de l’endettement depuis 1973, fait que de toute manière, la dilapidation des avoirs se fait, tout naturellement pour couvrir les intérêts, puis les intérêts des intérêts d’une dette qui ne devrait en réalité pas du tout exister.
Si l’or quitte les frontières, où irait-il ?
Si l’or devenait a être déplacé, il serait difficile de savoir à quel endroit. Seules des hypothèses pourraient être formulées …
La BDF sous le contrôle de la BCE, pourrait dans un premier temps le faire se déplacer en Europe. Et ensuite, au gré de l’évolution des situations géostratégiques et politiques…
Par exemple,
Israël : même si cela ne figure pas encore dans les manuels, est de fait, par son influence, le possible « nouvel empire » (après la Pax Britannica, La Pax Americana, pourquoi pas la Pax Judaica…)
D’ailleurs, Rothschild a récemment demandé sa double nationalité (israélienne) avec une excuse drolesque : « J’ai acquis la nationalité israélienne, uniquement pour faire des courses hippiques » (E&R.fr) qui témoigne d’un mépris total pour son auditoire mais aussi pour l’idée même de la nationalité.
La franc-maçonnerie a toujours cultivée la reconstruction de l’ancien temple du roi Salomon à Jérusalem (la franc-maçonnerie comme résurgence des templiers « bâtisseurs du Temple de Salomon » – source) . Et les eschatologies catholiques et musulmanes renvoient l’idée d’un roi, antéchrist (/dajjal) qui corrobore cette destiné.
Au niveau militaire, on peut imaginer que la réalité des nouvelles armes technologiques dépasse très largement ce que conçoit l’inconscient collectif. On ne peut pas croire, vu le bond technologique entre les « barons du ciel » de 14-18 et les B2 bombardiers de 39-45 – en seulement 20 ans que sépare l’entre-deux-guerres – qu’il ne se trouve pas un écart technologique équivalent après 60 ans.
Ainsi, suivant cette hypothèse, on pourrait, malgré un Proche-Orient sans cesse en forte tension, et dans cette suite logique d’un nouvel empire ayant Jérusalem pour capitale, on peut très bien maginer qu’Israël constitue malgré tout un lieu privilégié pour le stockage de l’or… Cela serait alors l’aboutissement de la destruction des nations ayant pour dessein le Nouvel Ordre Mondial (une dictature mondiale dont les dirigeants traitres et autres agents de la subversion, nous rabâche les oreilles depuis 1991 – déclaration de Bush père – et où « tous, petits et grands, riches et pauvres… reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom » – Rev 13-12 – eschatologie catholique)
D’ailleurs, si on considère Israël sur de nouvelles frontières conquises « allant de l’Euphrate au Nil », l’ancienne Babylone (actuel Irak) pourrait même y être incluse, confortant également l’eschatologie islamique mais cette fois au sens propre (plutôt qu’au sens figuré avec le « pétrodollar ») qui dit que le fleuve de l ’Euphrate laissera apparaitre une montagne d’or, pour laquelle les gens vont s’entretuer.
Mais comme 1 lieu unique, n’a habituellement pas été la stratégie adoptée…
Quels autres lieux dans le monde ? US, Colorado - Norway, Svalbard – Suisse – Vatican,… : Toutes les hypothèses sont ouvertes…
Que doivent faire les victimes du hold up ?
La mise en esclavage des français
Plus tragique, pour couvrir le service de la dette (+ de 45 milliards par an, juste pour couvrir le remboursement des intérêts) et les versements à l’UE (20 milliards par an), l’augmentation sans cesse des impôts, envers les français et les entreprises nationales (PME/PMI) viennent de fait, directement alimenter les avoirs au sein de la BDF (et de la BCE), qui dans cette logique de la fuite accélérée liée à l’endettement, constitue une passoire, au seul profit donc de ses seuls actionnaires. Mais cela ne se révélera clairement que lorsque l’effondrement monétaire sera effectif, et que l’on constatera (comme ces officiers allemands fraichement débarqués au lendemain de la reddition de la France, au siège de la BDF) que « la souterraine » est complètement vide…
Une marge de manœuvre étroite : Alors que faire ?
1/ Déjà, à chacun d’éviter de jouer le jeu de remplir un puit sans fond en suant corps et âme pour … rien.
Quel intérêt y-a-t-il à alimenter par le fruit du travail un patrimoine qui échappe déjà au contrôle de l’État (moins souverain encore qu’il ne l’était déjà) et dont l’or finira (pour ce qu’il en reste) par quitter le territoire, au plus tard lors de l’effondrement monétaire et obligataire : en prévision de la situation sociale et politique que cela entraînera…
2/ Ensuite de bien comprendre et partager la connaissance…
Et notamment celle sur la monnaie, à l’instar de Mayer Amschel Rothschild qui la résume en 1 phrase : « Accordez moi le pouvoir de la création de la monnaie et je ne me soucierai pas de qui fait les lois«
3/ Tenir compte des expériences passées.
De l’expérience de la Commune de Paris 1871 (cf. article et histoire racontée par Henri Guillemin), on doit faire preuve d’humilité et considérer qu’un très faible niveau de connaissance ne laisse de perspective d’affranchissement que de l’ordre de quelques semaines. L’expérience de l’Allemagne ou l’Italie des années 30, n’a laissée entrevoir que quelques années de souveraineté. Que les expériences de Kadhafi (voulant créer le dinar-or en Afrique), de Saddam Hussein (voulant vendre son pétrole contre d’autres devises que le dollar), ont vite été réglées par l’Empire. On passe, sur les tentatives d’émancipation ici ou là, vis à vis de l’endettement par quelques autres petites nations de l’ancien empire colonial…
Au bilan, les seuls états qui arrivent à s’émanciper durablement de la tutelle des banksters, sont ceux qui, pour des raisons géostratégiques, reçoivent l’appui d’autres protections (ex. Cuba par l’URSS, l’Iran par la Russie, la Corée du Nord par la Chine).
Les seules véritables souveraineté comme la Russie voire la Chine, l’obtienne par leur masse critique (militaire) et surtout l’autonomie/richesse en matière première et énergie.
On constate d’ailleurs les limites atteintes par la Chine en expansion, qui doit se positionner en Afrique, pour couvrir ses besoins. Également, les limites de son autonomie monétaire démontrée par sa propension frénétique à vouloir, depuis quelques années, transformer ses avoirs en dollar par l’acquisition d’or physique. (Et on la comprend…)
Le temps presse ?
La récente annonce officielle de Medvedev, invitant les russes à déserter les banques occidentales, annonce qu’un effondrement ne devrait plus tarder et le temps pour la prise de conscience réduit d’autant…
« Un bulletin d’information du Ministère des Affaires étrangères russe vient d’être envoyé à ses ambassades, aujourd’hui. [22/03/2013] Il conseille aux citoyens russes et aux entreprises, de commencer à retirer leurs actifs des banques occidentales et des institutions financières « immédiatement« / « A Ministry of Foreign Affairs (MFA) “urgent bulletin” being sent to Embassies around the world today is advising both Russian citizens and companies to begin divesting their assets from Western banking and financial institutions “immediately” as Kremlin fears grow that both the European Union and United States are preparing for the largest theft of private wealth in modern history » (wikistrike.com)
Alors quelle solution pour la France de demain ?
A partir du déclenchement du chaos, la France pourra être possiblement isolée et encore amoindrie militairement, sans autosuffisance en ressources énergétiques et minières (sauf une capacité agricole reconstructible). Comment pouvoir assurer après cette période, une souveraineté sans la garantie d’une force militaire dissuasive et des ressources mat/énergie limitées ? Indubitablement, il faudra des élites éclairées et s’émanciper des associateurs traitres qui fourmillent et qui sont les complices (ou les idiots utiles) de cette situation d’endettement final (1973, puis BCE) pierres d’achoppement de la destruction de la nation.
Aussi la seule connaissance monétaire sera insuffisante pour reconstruire durablement. Il faudra aller plus loin et ne plus tolérer les organisations secrètes et la subversion négative qui poussent les institutions et ses citoyens à la déliquescence et à l’abrutissement. Réintroduire la vertu (morale, l’honneur, compassion) comme pilier de la reconstruction. Ne pas tolérer ou tergiverser avec la perversion. Et à défaut de richesse, on pourra espérer de l’entraide et la solidarité naturelle, émanant de cette prise de conscience, afin qu’elle puisse contrebalancer dans une moindre mesure…
Quant aux français, que devront-ils faire pendant et après le chaos ?
En quittant la société de consommation, riche en biens mais pauvre en conscience, il faudra tirer les enseignements et comprendre qu’un âge d’or n’est possible qu’en cultivant ce qui est essentiel dans la vie d’un homme ou d’une femme : apprendre à aimer. L’amour est une richesse inépuisable même pour qui est dispendieux, qui ne subit pas l’inflation, non taxable, qui n’a pas besoin de coffre, qui enrichit d’autant celui qui donne, dont le retour sur investissement perdure au-delà, … Il est à la base des relations sociales bien orientées qui se veulent être harmonieuses et heureuses…
Également, de cultiver la sagesse et la connaissance. Enfin, d’être attentif à la corruption et à la perversion pour ne pas à nouveau faire les frais de l’influence de la vipère poussant à goûter au fruit défendu, constituant les prémices de la décadence…
Si vous vous demandez encore si votre pays vous appartient ?
La preuve qu'il appartient à la Dynastie des Rothschild depuis longtemps et que nous sommes sous occupation sioniste !
Vous remboursez plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts,sans jamais encore avoir payé le capital emprunté.
Et cela fait 40 ans que cela dure : 45 milliards € X 40 = ??????????
Aussi avant de parler de votre patrie, réfléchissez à deux fois.
Il se pourrait bien, que vous le vouliez ou pas, que vous financiez sur vos propres deniers depuis 1973, toutes les guerres génocidaires orchestrées dans le monde par les USA et l'état sioniste.
Vous allez encore vous plaindre des musulmans qui vous bouffent tout votre agent ?
Rendons à Rothschild ce qui revient à Rothschild, le grand copain de ceux qui vous gouvernent et qui vous musèlent !
Quand allez-vous demander aux traîtres qui vous gouvernement d'abroger cette loi criminelle et d'être exonérés du remboursement de cette dette colossale que vous ne devez pas ?
Rendons à Rothschild, la part de la dette qui lui revient : faites les comptes…
C’est sous la présidence de l’ex-Directeur de la banque Rothschild, Georges Pompidou, que la loi du 3 janvier 1973 dite loi « Pompidou-Giscard-Mesmer« (73-7) ou encore appelée « loi Rothschild », fût votée.Elle est directement responsable du service de la dette (plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts) et conséquemment de cette situation proche du chaos. Michel Rocard lui même, déclarait(*) fin décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette serait à un niveau « bénin » (« 16 ou 17 % du PIB »).
(*) »La réforme de la Banque de France de 1973 a interdit que celle-ci prête à l’État à taux zéro. État est donc allé emprunter avec intérêt sur les marchés privés. Si nous en étions restés au système précédant, qui permettait, répétons-le, à la Banque de France de prêter à l’État à taux zéro, notre dette serait de 16 ou 17 % du PIB, soit bénigne. » (Michel Rocard – décembre 2012 Europe1)
Les status actuels de la Banque de France (sous tutelle de la BCE depuis 1997) conforte l’obligation de se soumettre à l’usure des banksters :
Art. L. 141-3. Statuts actuels de la BDF - « Il est interdit à la Banque de France d’autoriser des découverts ou d’accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics. » (banque-de-france.fr)
A rapprocher de la loi de 1973 (loi 73-7, art.25) : « le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France«
Une simple question : si on emprunte de l’argent qu’ils créent (à partir de rien), mais qu’ils nous demandent ensuite de rembourser AVEC des intérêts que ni eux, ni nous, n’avons créés : Dans ce cas, comment rembourser, sans devoir réemprunter à nouveau ? … Il est grand temps que la fête s’arrête, vous ne croyez pas ?
Pour la détente… (comprendre la création monétaire de manière ludique)
Comprendre la dette et la création monétaire en rigolant : c’est possible ? « The American Dream«
Comme ses amis juifs, Ratzinger-Benoît XVI hait la Croix !
Mais, pour faire illusion, cet antipape est tenu d'accomplir des actes qui le répugnent. Aussi, dès qu'il le peut, il les simule comme ici le baiser sur la croix.
L'hypocrisie et la perfidie d'un apostat applaudies par les juifs talmudistes
LE MEPRIS DE RATZINGER POUR LA CROIX DE NOTRE SEIGNEUR
À Rome, le Vendredi Saint est marqué chaque année par la célébration de la Passion du Seigneur en début de soirée dans la basilique Saint-Pierre.
Comme les années précédentes Benoît XVI n'a pas embrassé les pieds de Notre Seigneur Jésus-Christ, comme est pourtant tenu de le faire chaque fidèle catholique ce jour là, lors de l'adoration de la Croix !
Une fois de plus, Ratzinger-Benoît XVI a donc ostensiblement refusé de baiser la croix de Notre Seigneur. Et qu'on ne vienne pas nous dire que la croix était trop loin pour lui ou que le « bon pape Benoît » souffrait d'arthrose ! Jugez par vous-même en regardant ces images.
Pour visionner l'extrait vidéo de la cérémonie conciliaire 2011, cliquez sur l'image ci-dessous :
Nous avions déjà signalé l'an passé ce comportement impie de la part de celui qui se présente comme « Pape » dans notre message du 10 avril 2010. Ces nouveaux faits viennent donc confirmer aujourd'hui ce que nous y écrivions et que nous vous invitons d'ailleurs à relire.
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VOICI CI-DESSOUS LE MESSAGE DE L'AN PASSÉ :
RATZINGER REFUSE DE BAISER
LA CROIX DE NOTRE SEIGNEUR !
Visionner les films des cérémonies officielles se déroulant au sein du Vatican occupé peut se révéler assez instructif .
En effet, une nouvelle fois, cette année, nous découvrons que Ratzinger a refusé de baiser la Croix de Notre Seigneur lors de l'office de la Passion au Vatican !
Le regard inquiet de son maître des cérémonies, derrière la Croix, est particulièrement révélateur de la simulation mise en scène
Les images ne laissent la place à aucun doute (les liens pour visionner les extraits des cérémonies de 2009 et 2010 se trouvent en annexe).
Déjà, en 2009, Ratzinger n'avait pas embrassé la Croix lors de l'office du Vendredi Saint. Il sembla même comme « repoussé » par la Croix au moment où il s'en approcha.
Comme son prédécesseur, Ratzinger proclame que l'Ancienne Alliance n'a jamais été révoquée, niant, de fait, que Notre Seigneur Jésus-Christ soit réellement le Messie !
Cest ainsi que lors de sa visite à la Synagogue de Cologne (19 août 2005) il proclama son apostasie publique de Notre Seigneur en parlant du « peuple de l'Alliance jamais révoquée, ni abolie » car « les dons de Dieu sont sans repentance ».
Par ailleurs, le 18 avril 2008, cet apostat public participa à la synagogue de New York à la fête de la Pesah (la Pâque juive), c'est-à-direle jour où la Synagogue a fait crucifier Notre Seigneur ! Ce jour-là, Ratzinger déclara aux juifs talmudistes être, comme eux, « dans l'attente de l'accomplissement des promesses du Seigneur»,rejetant ainsi publiquement les paroles de Notre Seigneur sur la Croix selon lesquelles « tout a été accompli » !
Comme ses amis juifs, Ratzinger-Benoît XVI hait la Croix !
Mais, pour faire illusion, cet antipape est tenu d'accomplir des actes qui le répugnent. Aussi, dès qu'il le peut, il les simule comme ici le baiser sur la croix.
Cette année, comme l'an passé, Ratzinger a démontré, par son attitude, son mépris total de Notre Seigneur crucifié.
Ses regards vers la Croix sont très furtifs pour ne pas dire quasi-inexistants. Pendant toute la cérémonie, il ne manifeste aucun acte réel d'adoration.
Au moment de l'Adoration de la Croix, son cérémoniaire est obligé de lui indiquer ce qu'il doit faire.
Visiblement plus préoccupé par le regard des autres et l'apparence qu'il donne, Ratzinger multiplie, lors de chaque cérémonie, les attitudes gauches, dévoilant ainsi son extrême préciosité.
Très maniéré, Ratzinger apparaît toujours empêtré dans ses gestes.
Sa prétendue « timidité » avancée par ses adulateurs ne tient pas l'orsqu'on connaît le parcours de Ratzinger : professeur de séminaire, professeur de théologie dans trois universités (Münster, Bonn et Tübingen), consulteur théologique auprès du cardinal Frings au concile Vatican II et enfin préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi et donc membre de la Curie conciliaire pendant 25 ans ! C'est donc un habitué des cérémonies publiques !
Le mépris de la croix de Notre Seigneur Par Ratzinger est aujourd'hui manifeste !
L'hypocrisie et la perfidie d'un apostat applaudies par les juifs talmudistes
Pendant ce temps-là, pour justifier son processus de ralliement et ses discussions impies avec ces ennemis de Notre Seigneur, Mgr Fellay continue à vouloir nous persuader que le « bon pape » Benoît accomplit un « début de restauration de lÉglise » !
Aussi, devant latrahison évidente des chefs de la FSSPXque nous ne pouvons désormais plus suivre,prions Notre Seigneur et Notre Dame de nous aider à demeurer toujours fidèle à la Sainte Eglise catholique et pour cela, à rejeter toute compromission avec cette fausse « Eglise » que constituent l'église conciliaire, ses pompes et ses oeuvres.
In Christo Rege.
Résistance catholique
Annexe 2010
Pour visionner lextrait de la cérémonie 2010 où Ratzinger-Benoît XVI ne baise pas la Croix, cliquez sur un des liens suivants :