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03/04/2013

Documentaire : « L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism"). Sortie en France le 22 mai 201 3.

Le monde se réveillerait-il enfin à l'escroquerie du Nouvel Odre Mondial et de ceux appelés "sionistes-reptiliens" qui n'ont rien à voir avec les Juifs et le Judaïsme ?

 

29 mars 2013 par clap36 et http://www.clap36.net/
 

« L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism").

(Version internationale : sous-titres français ou anglais à activer dans la vidéo) (International version : english or french subtitles applyable in the video)
 
 Le « Nouvel Ordre Mondial » est-il un projet récent comme nous le relatent les médias mainstreams, ou s'’inspire-t-il de visées beaucoup plus anciennes ?

Quels sont notamment ses liens avec le sionisme et les restaurationistes chrétiens dès le XVIIème siècle, qui expliquent pour beaucoup l’'osmose actuelle entre Israël et les Etats-Unis ?

Trailer « L'oligarchie et le sionisme » ("Oligarchy and Zionism")

Réalisation/direction : Béatrice Pignède

Participants : Gilad Atzmon, Thierry Meyssan, Alain Soral, Jacob Cohen, Javad Shamagdari, Manuel Galliana, Samba Diagne, Rabbi Weiss, Rabbi Cohen, Dany Schechter, Claudio Moffa, Yahya Barakat, Webster Tarpley, Rachid Ben Aissa, Bernard Henri Lévy, Shlomo Sand, Miko Peled, Jacques Attali, Wesley Clark, Jonathan Shapira, Emmanuel Valls, Eric Raoult, Barack Obama, Zbigniew Brzezinski.

Production : Clap36, 2013 Distribution : Documentary & Experimental Film Center

Trailer «L'oligarchie et le sionisme» ("Oligarchy and Zionism")
1- La supercherie tribale
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

 

Un film de Béatrice Pignède
Genre(s) : Documentaire
Année de production : 2013
Durée : 95 minutes
Sortie en France : 22 mai 2013
Production : Clap36, 2013
Distribution : Documentary & Experimental Film Center (DEFC)
Contact :
contact@clap36.net

Site :www.clap36.net

 


Alerte - La Troïka veut ponctionner vos dépôts pour renflouer les banques!

Une alerte de Solidarité et réconciliation qui vient confirmer notre information précédente : ICI

 

Le braquage arrive en Europe sur les comptes des épargnants !

Voir l'article entier sous la vidéo.

A Chypre, la Troïka a sacrifié les dépôts et le crédit pour sauver le système spéculatif : c'est l'anti Glass-Steagall ! La proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de généraliser ce remède à l'ensemble de l'Europe...

Nos explications en vidéo :

Troïka : « Epargnons les contribuables... Volons les épargnants ! »

Après la ponction sans limite des dépôts non-garantis à Chypre, la proposition de directive européenne de Michel Barnier et la Réforme bancaire de Pierre Moscovici menacent de s’en prendre aux dépôts bancaires pour renflouer le système spéculatif : c’est le diabolique mécanisme de "résolution" bancaire...

http://www.dailymotion.com/video/xyopj0_troika-epargnons-les-contribuables-volons-les-epargnants_news


Troika: "Epargnons les contribuables..... par Solidarite_et_Progres

 

Comment la Troïka va mettre la main sur vos dépôts bancaires

lundi 1er avril 2013


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Suite au sauvetage de Chypre, le président de l’eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a été fortement critiqué pour avoir dit ouvertement que l’UE compte s’arroger le droit de confisquer certains dépôts bancaires.

En vérité, la norme sur la résolution des crises bancaires en Europe, en discussion entre la Commission et le Parlement européen depuis le 6 juin 2012, comprend la proposition que les déposants qui ont plus de 100 000 euros (dites des dépôts non-garantis) soient impliqués dans les plans de sauvetage des banques et assument une partie des pertes.

Soulignons tout de même que comme on l’a vu dans le cas de Chypre, les ministres des Finances de toute la zone euro n’ont pas résisté à l’idée de mettre à profit tous les dépôts, y compris ceux en-dessous de la barre des 100 000 euros, bien que se rendant à l’évidence qu’il allait précipiter un bankrun dans toute la zone euro, ils ont dû faire marche arrière sur ce point.

Du bail-out au bail-in

La nouvelle politique de l’UE part de l’idée louable qu’il faut cesser de renflouer les banques en difficultés par l’argent du contribuable. A la place d’un « bail-out » (renflouement des banques en défaut grâce à un apport extérieur), l’UE passerait à une politique de « bail-in » (renflouement avec les ressources propres venant de l’intérieur de la banque).

En bref, un liquidateur nommé par l’Etat, une fois vendus les biens et les actions de la banque, renflouera celle-ci si besoin avec une partie ou tout l’argent des déposants. S’il était prévu que la norme entre en application en 2018, la crise bancaire à Chypre a permis d’avancer le calendrier.

Rappelons d’abord quelques déclarations publiques au niveau international :

  1. EUROGROUPE. Le 25 mars 2013, le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, accordait au Financial Times et à l’agence de presse Reuters un entretien dans lequel il estimait que reporter les risques que prend le secteur financier sur les épaules du public n’était pas la bonne approche. « Si une banque à risque ne peut pas se recapitaliser elle-même, alors nous discuterons avec les actionnaires et les créanciers obligataires, nous leur demanderons de contribuer en recapitalisant la banque et, si nécessaire, nous ferons de même avec les détenteurs de dépôts non garantis », expliquait le président de I’Eurogroupe.
  2. BANQUE CENTRALE EUROPEENNE. Un membre du Conseil de la BCE, Klaas Knot a reconnu dans le quotidien néerlandais Het Financieele Dagblad que cette politique est « sur la table depuis un certain temps ».
  3. COMMISSION EUROPEENNE. La Commission européenne, pour qui Chypre est « un cas unique », a également admis que cette option est à l’ordre du jour. Chantal Hughes, la porte-parole du Commissaire européen Michel Barnier en charge du Marché intérieur pour les services financiers, a déclaré le 26 mars : « Nous voulons retrouver une situation où le contribuable arrête de payer pour les banques. » Ainsi, il n’est « pas exclu que les dépôts supérieurs à 100 000 euros soient des instruments éligibles à emporter. Il n’est pas exclu, c’est une possibilité », a-t-elle précisé.
  4. DEPUTES EUROPEENS. Les propos de M. Dijsselbloem « ne sont pas incongrus. Ce concept fait partie des idées de législation sur la restructuration des banques », a aussi réagi sur Twitter la présidente de la Commission des affaires économiques du Parlement européen, la libérale britannique Sharon Bowles. Un eurodéputé suédois membre du Parti populaire européen (conservateur), Gunnar Hökmarkva, va proposer au Parlement européen un texte faisant participer les dépôts à tout sauvetage bancaire. « Les dépôts inférieurs à 100 000 euros sont protégés. Les dépôts au-dessus de 100 000 euros ne sont pas protégés et doivent être traités comme une partie du capital qui peut être sollicité », a-t-il détaillé.
  5. CANADA. Au Canada, le gouvernement vient de présenter son Plan d’action économique 2013. Ce plan (pp.144-145) annonce lui aussi que le gouvernement va étudier comment « réduire l’exposition aux risques » pour les contribuables, par la mise en place d’une politique de « bail-in ».
  6. ETATS-UNIS ET ROYAUME UNI. Le 10 décembre 2012, le Fonds de garantie des dépôts américain (FDIC) et la Banque d’Angleterre (BoE) ont publié ensemble une note de 18 pages, intitulée « La résolution active et globale d’institutions financières d’importance systémique (G-SIFI) », où la même stratégie de spoliation des dépôts est proposée. Les pertes doivent être assumées par les actionnaires et ceux que la note appelle les « créanciers non-sécurisés », ce qui laisse une bonne marge d’interprétation pour savoir de qui l’on parle.

Ce que propose le Commissaire européen Michel Barnier

Présenté le 6 juin 2012 par Michel Barnier comme la pièce maîtresse pour créer une Union bancaire en Europe, son plan de résolution des crises bancaires se prétend capable d’éviter des sauvetages dans l’urgence et coûteux pour les contribuables. Le plan permettrait à une autorité nationale ad hoc d’obliger l’établissement à céder des activités sans l’accord des actionnaires, de créer une « bad bank » ou, solution extrême, de procéder à un « bail-in ». « L’objectif est de protéger les contribuables. Les banques doivent payer pour les banques », indiquait alors Michel Barnier.

Ainsi, la « Directive du Parlement européen et du Conseil établissant un cadre pour le redressement et la résolution des défaillances d’établissements de crédit et d’entreprises d’investissement » du 6 juin 2012 annonce d’emblée qu’il fait créer un « régime particulier pour la résolution », puisque « l’expérience acquise lors de différentes crises bancaires montre que les législations en matière d’insolvabilité ne sont pas toujours adéquates pour gérer efficacement la défaillance d’établissements financiers, dans la mesure où elles ne tiennent pas dûment compte de la nécessité d’éviter de compromettre la stabilité financière ».

Un régime de « résolution bancaire » permettrait de résoudre le problème et de « limiter l’exposition du contribuable ». « Dans ce processus, il faut aussi veiller à garantir la sécurité juridique, la transparence et la prévisibilité en ce qui concerne le traitement des actionnaires et des créanciers de la banque, et préserver la valeur qui, en cas de faillite, pourrait être détruite. De plus, en mettant fin à la certitude implicite d’un renflouement externe des établissements au moyen de fonds publics, l’option de la résolution devrait encourager les créanciers non assurés à mieux évaluer les risques liés à leurs investissements. »

La proposition précise que « Si les conditions de déclenchement de la résolution sont réunies, les autorités de résolution pourront employer les instruments de résolution suivants : (a) cession des activités ; (b) établissement-relais ; (c) séparation des actifs ; (d) renflouement interne (bail-in) ».

Parmi les outils du « bail-in », il est clairement noté que « les autorités de résolution devraient avoir le pouvoir de procéder au renflouement interne pour tous les engagements de l’établissement. Il existe toutefois certains engagements qui seraient exclus ex-ante (tels que les engagements garantis, les dépôts couverts et les engagements d’une durée résiduelle inférieure à un mois) ».

Par soustraction, cela veut clairement dire que les dépôts « non-garantis » (au-dessus de 100 000 euros) ne seront pas exclus.

Encore plus grave : le fait que dans chaque pays les Fonds de garantie des dépôts, qui sont supposés garantir tous les dépôts des citoyens à hauteur de 100 000 euros comme le préconise la Directive 94/19/EC de l’Union européenne, seront eux aussi mis à contribution pour participer financièrement aux plans de résolution bancaire, puisque grâce au mécanisme de résolution, tel est l’argument, l’on peut éviter la contagion et donc les dépenses du Fonds de garantie !

Ce que proposent Karine Berger et Pierre Moscovici

En France, le gouvernement, tout en évoquant le fait qu’il faut attendre une loi européenne dans ce domaine pour pouvoir aller plus loin, précise dans la loi de réforme bancaire certaines conditions d’un « bail-in » en cas de défaillance bancaire. Seront mis à contribution, d’abord les actionnaires, puis les SICAV, les FCP puis les créanciers obligataires.

En ce qui concerne les dépôts, rien dans la loi ne permet de soupçonner que les dépôts en-dessous de 100 000 euros ne soient pas protégés. Faut-il conclure qu’en l’absence de spécifications les autres le seront ?

De toute façon, il y a quelques petits détails à traiter pour que cette garantie puisse réellement être effective le jour où elle sera nécessaire. D’abord, l’on constate que chez nous, le Fonds de garantie des dépôts ne dispose que de 2 milliards d’euros : un peu léger pour couvrir les 1776 milliards d’euros éligibles à être couverts par le Fonds. Évidemment, en France, nos banques « universelles » sont si solides, que le cas ne se présentera pas...

Ensuite, en accord avec cette cuisine bruxelloise, la loi de réforme bancaire élaborée par Karine Berger et Pierre Moscovici (article 6) prévoit de fusionner l’argent de ce Fonds avec le Fonds de résolution bancaire géré par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) !

Comme le regrette Olivier Berruyer sur son site, lors des discussions sur la réforme bancaire au Parlement, « l’amendement visant à séparer l’argent du Fonds de garantie des dépôts de celui du Fonds de résolution (visant à recapitaliser des banques mourantes) a été rejeté une 4e fois : j’ai peu de doutes, l’argent du fonds sera utilisé en priorité pour les banques et pas pour les déposants, cela a été dit clairement dans les débats. RIP votre épargne… »

http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/comment-la-troika-va-mettre-la-main-sur-vos.html

De l'affaire CAHUZAC à l'affaire SARKOZY. L'affaire DREYFUS et les 4 frères SARKOZY !

Affaire Cahuzac: les révélations d'un financier suisse. Et pour parler de l'affaire Dreyfus et des 4 frères SARKÖZY !

Instaurez les liens qui existent entre Asset Management International entre autres organismes de financement international et les détenteurs de la dette Française, et les frères de l'imposteur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA.

Tout a été écrit dans la plainte déposée auprès du Parquet de Nice, le 9 février 2012 qui dort bien sûr !

Affaire Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA dit Nicolas SARKOZY.

Et notamment par le biais de ces articles :

Les 50 plus gros détenteurs de dette française
Guillaume SARKOZY,
Malakoff Médéric France (frère de Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa )
http://actuwiki.fr/speculation/17236


Olivier Sarkozy et le groupe carlyle

DANS LA FAMILLE SARKOZY, JE VOUDRAIS…. LE GROUPE CARLYLE
Pour comprendre pourquoi on se scandalise de cette “filiation” de Nicolas Sarkozy avec le Groupe Carlyle - nébuleuse opaque au service du complexe militaro-industriel atlantiste et disposant de “conseillers” prestigieux (Bush père, John Major, Henri Martre, Etienne Davignon président honoraire du Bilderberg Group, une création de l'OTAN…) dans le monde entier - jetez un coup d’oeil aux sitesStop Carlyle” : (http://stopcarlyle.ifrance.com/) ou encore cet article du Monde : L’Empire Carlyle ou du Réseau Voltaire : Le Carlyle Group, une affaire d’initiés

http://www.alterinfo.net/DANS-LA-FAMILLE-SARKOZY-JE-VOUDR...


Étienne Davignon, président honoraire du groupe Bilderberg, confirme l'invitation de Christine Lagarde à la réunion de 2011 à St-Moritz en Suisse

C'est le Bilderberg Group qui a élu à huis clos, Van Rompuy, le supposé président de l'Europe qui est un pion des Illuminati-sionistes 
http://www.dailymotion.com/video/xkcfe7_etienne-davignon-...



Étienne Davignon, président honoraire du groupe... par non-merci


Ce que vous ignorez sur le Groupe de Bilderberg
Depuis plusieurs années, l’idée s’est répandue que le Groupe de Bilderberg serait un embryon de gouvernement mondial. Ayant eu accès aux archives de ce club très secret, Thierry Meyssan montre que cette description est une fausse piste utilisée pour masquer la véritable identité et fonction du Groupe : le Bilderberg est une création de l’OTAN. Il vise à convaincre des leaders et à manipuler l’opinion publique à travers eux pour la faire adhérer aux concepts et aux actions de l’Alliance atlantique.
http://www.voltairenet.org/article169364.html

 

Le Groupe Carlyle ou Carlyle Group est une société de gestion d'actifs mondiaux américaine fondée en 1987 spécialisée dans le capital-investissement.
Basé à Washington, le groupe investit dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias. Via sa filiale AlpInvest, il opère quatre métiers différents : le capital-investissement, l'immobilier, les stratégies de marché et les fonds de fonds. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlyle_group

François Sarkozy
http://sarkopitheque.wordpress.com/2007/05/15/francois-sa...


Les 4 frères Sarkozy : quand l'intérêt privé plombe l'intérêt général !
François Sarkozy.
Pédiatre de formation, François a abandonné la pratique de la médecine pour se consacrer à l’industrie pharmaceutique (principalement orientée vers la gériatrie) depuis 2001. Ainsi, il siège au conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma et est devenu le président d’AEC Partners dont une des missions est le conseil aux fonds d’investissement.
http://www.gennevilliers-asso.org/fa-2012/Les-4-freres-Sa...

Les amis et soutiens de Nicolas SARKOZY
http://sarkopitheque.wordpress.com/2007/06/01/survol/

Extrait de l'article ci-dessous : L’autre élément qui, pour moi, crée un faisceau de présomption relativement fort, c’est qu’il y a une proximité très importante entre Hervé Dreyfus et son amie d’enfance Cécilia Ciganer (ex-Sarkozy). De ce fait, Hervé Dreyfus est d’ailleurs un des conseillers patrimoniaux de Nicolas Sarkozy, pour des investissements immobiliers ou autres et pour sa fiscalité.


En réalité, les liens entre Hervé Dreyfus – homme de réseaux, proche de Nicolas Sarkozy et de son ex-épouse Cécilia – et Dominique Reyl sont bien plus serrés que ne l’écrit Mediapart: ils sont demi-frères.


Contacté, le directeur général de Reyl & Cie, François Reyl – fils du président et fondateur – n’a pas tenu à confirmer ces informations: «Nous n’avons pas pour habitude de commenter l’actualité, si ce n’est de notre propre initiative.»

Qui est le groupe REYL ?

REYL | Un groupe bancaire indépendant créé en 1973

Basé depuis 1973 à Genève en Suisse avec des bureaux à Paris, Zurich, Luxembourg, Singapour et Hong Kong, la banque Reyl est spécialisée dans trois ...

Élargir les compétences. Pour répondre aux exigences accrues de nos clients, les conseillers de REYL & CIE pratiquent leur métier avec une approche pluridisciplinaire et sont attentifs à replacer la gestion de portefeuille dans un contexte plus large.


Affaire Cahuzac: les révélations d'un financier suisse.

01 février 2013 Par antoine peillon

Cette haute personnalité des milieux financier et politique genevois, professionnel de la gestion de fortune privée depuis de nombreuses années, est un « témoin privilégié », selon ses propres termes, de l’organisation de l’évasion fiscale de nombreuses personnalités françaises. 

Il connaît parfaitement les établissements bancaires suisses comme l’UBS ou le Crédit Suisse, ainsi que les compagnies de gestion de fortune comme le groupe Reyl et les intermédiaires ou conseillers financiers indépendants tels que Hervé Dreyfus. Ses déclarations apportent un éclairage précis sur l’éventuel dépôt d’actifs financiers non-déclarés dans une banque suisse au bénéfice de Jérôme Cahuzac, actuel ministre français du Budget.

Pouvez-vous reconnaître la voix d'Hervé Dreyfus dans l’enregistrement publié par Mediapart[1] le 5 décembre 2012 ?

Il est très plausible que l’une des deux voix audibles est celle d’Hervé Dreyfus. L’interlocuteur de la personne qui semble être Jérôme Cahuzac est probablement Hervé Dreyfus. Il est aussi cohérent de penser que c’est Hervé Dreyfus, puisqu’il a eu, avant d’occuper ses fonctions professionnelles actuelles, des responsabilités au sein de différents établissements bancaires français, dont le Crédit commercial de France (CCF)[2], où il a assez naturellement et nécessairement côtoyé Antoine Cahuzac[3]. Il fait partie des réseaux des frères Antoine et Jérôme Cahuzac.

Quelles sont les activités professionnelles réelles d’Hervé Dreyfus ?

Hervé Dreyfus, en plus de ses activités transparentes de gérant d’actifs financiers à Paris, au sein de la société anglo-saxone Raymond James Asset Management International, a un lien avec le offshore (placement d’actifs à l’étranger) du fait qu’il est le demi-frère de Dominique Reyl, un Français qui a acquis la nationalité suisse et qui est présent à Genève depuis 1973, qui a fondé la Compagnie financière d’études et de gestion, laquelle est devenue Reyl & Cie en 1988. Il s’agissait d’une société de gestion d’actifs financiers pour le compte de clients privés sur le modèle genevois classique et qui, historiquement, a eu beaucoup, je dirais même essentiellement, des grandes familles possédant des actifs non-déclarés (au fisc français) comme base de clientèle française. La société Reyl & Cie est devenue banque en 2010.

Au-delà d’une relation d’ordre familial, quel est le rapport professionnel entre Hervé Dreyfus et le groupe Reyl ?

Hervé Dreyfus, de par ses réseaux personnels, professionnels et mondains, a été un porte-parole discret des services que pouvait rendre le groupe Reyl en Suisse pour l’accueil de clients français voulant protéger des actifs non-déclarés. Il était un peu le chasseur et le rabatteur discret qui accompagnait ces gens-là ici, à Genève, pour discuter des arrangements à mettre en place au travers de différents montages, différentes structures, différentes techniques. Hervé Dreyfus était un apporteur d’affaires et il est assez cohérent de penser que si Jérôme Cahuzac a eu besoin de dissimuler des actifs, il a pu le piloter et le guider.

D’après Mediapart, les actifs non-déclarés de Jérôme Cahuzac auraient été déposés sur un compte ouvert à l’UBS de Genève. Comment aurait été organisé, selon vous, ce dépôt ?

Reyl, à l’époque où Jérôme Cahuzac a dû arriver (à Genève)[4], n’était pas encore une banque[5]. Cette compagnie financière devait donc utiliser des banques pour déposer l’argent de ses clients. Reyl avait des comptes en son nom auprès de différents établissements bancaires suisses et chacun des clients privés de Reyl était en fait un compartiment de ces comptes master[6]. L’établissement de dépôt, par exemple l’UBS qui est un de leurs dépositaires, n’avait dans ses livres que Reyl comme client officiel.

Il est fort probable que le compte (dont Jérôme Cahuzac était l’éventuel bénéficiaire) n’a certainement pas été ouvert en (son) nom propre à l’UBS, mais qu’il a été ouvert via une société, parce que Reyl, comme toutes les banques et gérants indépendants qui ont voulu, depuis 2006, que leurs clients non-déclarés échappent aux nouvelles règles européennes de retenue à la source de l’épargne, a bien pris soin de faire en sorte que plus aucun compte de client aux actifs non-déclarés ne soit ouvert en nom propre[7]. Tous ces comptes non-déclarés ont été transférés dans des comptes de sociétés-écrans, lesquelles étaient des coquilles purement juridiques destinées simplement à être les détentrices officielles de ces comptes.

Toujours d’après Mediapart, les actifs non-déclarés de Jérôme Cahuzac auraient été transférés de Genève à Singapour en 2010. Est-ce crédible ?

Une deuxième vague de dissimulation a eu lieu à partir de 2008, du fait de ce qui s’est passé notamment aux Etats-Unis à propos de l’évasion fiscale (affaire UBS) et de la remise en cause conséquente du secret bancaire suisse. Reyl a fait exactement comme tous ses concurrents, en ouvrant une filiale, entre autres, à Singapour. Tous les clients qui avaient des actifs non-déclarés sont sortis des livres suisses de la compagnie pour être accueillis dans la filiale singapourienne ad-hoc. C’est ce qui, à mon avis, a permis à Jérôme Cahuzac de pouvoir dire qu’il n’était pas le titulaire d’un compte en Suisse. Il serait intéressant de lui poser la question en la formulant ainsi : « Êtes-vous, d’une façon directe ou indirecte, bénéficiaire d’un compte non-déclaré en Suisse, êtes-vous ce que les Suisses appellent un ayant-droit économique (ADE) d’un compte non-déclaré ? »

Dans toute cette organisation d’une éventuelle évasion fiscale de Jérôme Cahuzac, quel aurait été précisément le rôle d’Hervé Dreyfus ?

Hervé Dreyfus a amené un certain nombre de personnalités politiques et de grands capitaines d’industrie français dans les livres de Reyl, de façon discrète et subtile. Comme chez UBS, certains des gestionnaires de Reyl se déplaçaient en France pour organiser la venue à Genève de clients aux actifs non-déclarés. Cela ne se faisait jamais par l’intermédiaire du bureau parisien de Reyl, mais par l’intermédiaire de gestionnaires qui étaient basés à Genève et qui voyageaient régulièrement en France et dans d’autres pays.

Ceci étant dit, le fait que Jérôme Cahuzac ait un compte auprès de Reyl ou, via Reyl, auprès d’un autre établissement bancaire, me semble être une certitude à 95% du fait de l’implication d’Hervé Dreyfus. L’autre élément qui, pour moi, crée un faisceau de présomption relativement fort, c’est qu’il y a une proximité très importante entre Hervé Dreyfus et son amie d’enfance Cécilia Ciganer (ex-Sarkozy). De ce fait, Hervé Dreyfus est d’ailleurs un des conseillers patrimoniaux de Nicolas Sarkozy, pour des investissements immobiliers ou autres et pour sa fiscalité.

De ce fait aussi, tout un réseau politique a bénéficié des services financiers de Reyl. L’avantage d’Hervé Dreyfus, c’est qu’il fait partie de ces très rares personnes à avoir à la fois de hautes relations, notamment politiques, et à avoir la technicité financière. Hervé Dreyfus connaît parfaitement les problématiques particulières des fameuses personnalités politiquement exposées (PEP).

Ce que vous décrivez dévoile, au-delà du cas éventuel de Jérôme Cahuzac, un système d’évasion fiscale presque généralisé. Concerne-t-il d’autres personnalités politiques ?

Je connais très clairement des dossiers impliquant des gens qui ont des profils similaires à celui de Jérôme Cahuzac de par leur séniorité politique, ainsi que ceux touchant aux actifs non-déclarés de grands entrepreneurs français proches des différents pouvoirs politiques de gauche et de droite. Je peux en témoigner parce que je l’ai vu, entendu et vécu. Hervé Dreyfus a organisé un système de compensation pour certains clients français du groupe Reyl.

Quand des clients bénéficiaires de comptes non-déclarés à Genève avaient besoin de liquidités, Hervé Dreyfus transférait les liquidités d’autres clients qui avaient des excès de liquidités sur leurs comptes gérés en France vers les comptes français de ceux qui avaient des besoins de liquidités, et puis il compensait ces mouvements dans l’autre sens sur les comptes suisses non-déclarés des uns et des autres, de façon à ce que ça se rééquilibre.

C’était une façon ingénieuse de mettre à disposition des liquidités auprès de clients sans avoir à les faire traverser la frontière, simplement par des compensations-miroir entre des comptes non-déclarés ouverts en Suisse et des comptes français. Hervé Dreyfus a été en quelque sorte un porte-valises et je peux en témoigner.

Propos recueillis par Antoine Peillon, auteur de Ces 600 milliards qui manquent à la France... (Seuil, 2012), à Genève (Suisse), le 24 janvier 2013.

Vérifications d’usage

1/ Auprès de l'UBS

Extrait de mon message de questions à UBS (Suisse) :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac (actuel ministre du Budget, en France) a été, au moins jusqu'en 2010, l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS, en Suisse ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

La réponde d’UBS :

« Monsieur, Comme vous le savez, nous ne pouvons pas donner suite à vos questions. »

2 / Auprès de M. Hervé Dreyfus

Extrait de mon message de questions à M. Hervé Dreyfus (Paris) :

Une source financière et politique suisse de haut niveau m'ayant informé complètement sur une éventuelle opération vous concernant, je me permets de vous poser ces deux questions :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac a été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert dans une banque suisse, destiné au dépôt d'actifs non-déclarés, avec votre aide ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

Pas de réponse de M. Hervé Dreyfus.

3 / Auprès du Groupe Reyl

Extrait de mon message de questions à MM. Dominique et François Reyl (Genève) :

Messieurs,

Une source financière et politique suisse de haut niveau m'ayant informé complètement sur une éventuelle opération bancaire concernant votre groupe, je me permets de vous poser ces deux questions :

- Pouvez-vous me confirmer que M. Jérôme Cahuzac (actuel ministre du Budget, en France) a été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS par vos services ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

Pas de réponse de MM. Reyl.

4 / Auprès de M. Jérôme Cahuzac

Extrait de mon message de questions à M. le ministre du Budget (France) :

Monsieur le Ministre,

(…)

- Pouvez-vous me confirmer que les deux personnes entendues dans l'enregistrement publié par Mediapart le 5 décembre 2012 sont bien vous-même et M. Hervé Dreyfus ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas me confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

- Pouvez-vous me confirmer que vous avez été l'ayant droit économique (bénéficiaire) d'un compte ouvert à l'UBS à travers les services de M. Hervé Dreyfus et/ou du groupe Reyl (Genève) ?

- Dans le cas ou vous ne pouvez ou ne voulez pas me confirmer cette information, pouvez-vous la démentir catégoriquement ?

La réponse de M. Cahuzac :

« J'ai déjà dit tout ce que j'avais à dire, les allegations me concernant sont fausses, j'attends avec serenite le travail de la justice » (sic)


NOTES

[1]http://www.mediapart.fr/journal/france/051212/cahuzac-lav...

[2] Le CCF est devenu HSBC (Hongkong and Shanghaï Banking Corporation) France le 1er novembre 2005, après son rachat en 2000 par ce groupe bancaire mondial notamment spécialisée dans la banque privée (gestion de fortune) pour une clientèle nationale et internationale.

[3] En 1985, Antoine Cahuzac, frère de Jérôme, a rejoint le service des swaps du Crédit Commercial de France (CCF) dont il prend la direction en 1988. Après un passage de trois ans chez Vinci, il revient au CCF en 1994 où il occupe successivement différentes fonctions au sein de la Banque d’Investissement du CCF puis d’HSBC à compter de 2000. De mai 2011 à décembre 2012, il est président de HSBC Private Bank France. De son côté, Hervé Dreyfus a été gérant sur le marché euro-obligataire au CCF, puis responsable de la gestion de portefeuille de la clientèle privée non résidente, avant 1994, date de son entrée chez Raymond James Asset Management International.

[4] Début des années 1990, moment où il commence sa carrière politique en tant que conseiller technique pour le médicament au cabinet de Claude Évin, ministre des affaires sociales des deux gouvernements Rocard, de 1988 à 1991. Il était, de ce fait, l’interface entre le ministère de la Santé et la Direction de la pharmacie et du médicament (DPHM), chargée de la fixation des prix des médicaments et de leur réglementation générale. La DPHM est remplacée en mars 1993 par l’Agence du médicament.

[5] Elle obtient une licence bancaire en 2010.

[6] « Master account », ou « compte maître », ou « compte racine », qui permet de gérer sous une seule identité plusieurs sous-comptes en protégeant ou même en dissimulant au mieux les informations personnelles des clients bénéficiaires des sous-comptes.

[7] Depuis 1991, il n’est plus possible d’ouvrir un compte complètement anonyme (identité du détenteur inconnue de l’établissement bancaire) en Suisse. En revanche, il est toujours proposé de détenir des comptes numérotés et sous pseudonymes, à la condition que les identités réelles des bénéficiaires (ayant-droits économiques) soient tout de même connues par la banque où ces comptes sont gérés. En l’occurrence, lorsque le détenteur d’un compte n’est pas l’ayant droit économique ou lorsqu’il y a doute à cet égard, la banque doit exiger une déclaration écrite et signée par l’ayant droit économique, au moyen d’un « formulaire A » indiquant qui est cet ayant droit économique final, en vertu, entre autres, des « standards » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de la Loi sur le blanchiment d’argent (10 octobre 1997), de son principe du « know your customer », et surtout de la « Convention relative à l’obligation de diligence des banques » (avril 2008, articles 3 et 4 à propos du formulaire A) dont les objectifs sont de « préserver le renom du système bancaire suisse sur les plans national et international, (…) d’établir des règles assurant, lors de l’établissement de relations d’affaires et dans le domaine du secret bancaire, une gestion irréprochable, (…) de contribuer efficacement à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme ». Cette obligation de signature de l’ayant droit économique ne souffre aucune possibilité de délégation. De plus, il est aussi hors de question, pour une banque suisse, de prendre le risque de faire passer la frontière à un formulaire A signé par un client ouvrant ou possédant des actifs non-déclarés. Cette double contrainte éclaire la discussion enregistrée par la messagerie du téléphone de Michel Gonelle et cet échange en particulier : « Moi, ce qui m’embête, c’est que j’ai toujours un compte ouvert à l’UBS, mais il n'y a plus rien là-bas, non ? La seule façon de le fermer, c’est d’y aller ? » (http://www.mediapart.fr/journal/france/051212/cahuzac-lav...)

http://blogs.mediapart.fr/blog/antoine-peillon/010213/affaire-cahuzac-les-revelations-dun-financier-suisse

Cahuzac: de la sidération à la déflagration. Corruption en France !

Encore quelques preuves de la corruption au plus haut niveau de la Ripoux-plique bananière dite Française !

Mais rassurez-vous, les politiques VRP des Bansters travaillent pour vous !

Est-ce que l'on va nous sortir du Zola et l'affaire Dreyfus pour celui-ci aussi ?

Oui, justement il y un Hervé Dreyfus dans l'affaire, un ami intime et d'enfance de l'ex-femme de Nicolas SARKOZY, Cécilia Ciganer (ex-Sarkozy).

Ce que nous verrons dans un prochain article !

 

Cahuzac: de la sidération à la déflagration
PAR MATHIEU MAGNAUDEIX, STÉPHANE ALLIÈS

Derrière le mensonge d'un homme, une crise politique qui s'entrouvre. Derrière l’écœurement de ses anciens amis floués, une interrogation qui demeure : que savait le président ? Dans un contexte de rigueur et de recentrage idéologique du pouvoir, les socialistes sont sonnés par l’aveu de Cahuzac.

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Un aveu et après ?
PAR FABRICE ARFI

Après quatre mois de démentis acharnés, l'ancien ministre du budget est passé aux aveux devant les juges dans l'affaire de son compte suisse. Mais ses confessions judiciaires ne peuvent prétendre mettre un terme à l'enquête des magistrats anti-corruption Van Ruymbeke et Le Loire. De nombreuses questions restent en suspens. Les dessous d'un incroyable revirement.

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«Est-ce que l'Elysée a protégé Jérôme Cahuzac?»
PAR STÉPHANE ALLIÈS

« Bien pire qu'une simple erreur individuelle », l'attitude de l'ancien ministre du budget est un « attentat contre la démocratie », affirme le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts, Pascal Durand. Entretien express.

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Affaire d’un homme pour le PS, « scandale d’Etat » pour les autres
PAR STÉPHANE ALLIÈS, MATHIEU MAGNAUDEIX, MARINE TURCHI

Après l’avoir beaucoup soutenu, les députés PS dénoncent les « mensonges » de Jérôme Cahuzac. Beaucoup jugent sa carrière politique terminée. La droite, elle, délaisse sa retenue des dernières semaines et raille la « République exemplaire » de François Hollande.

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Jérôme Cahuzac et l'injure faite à la nation
PAR ANTOINE PERRAUD

M. Cahuzac reconnaît devant les juges les faits révélés par Mediapart. En mentant hier à la représentation nationale, il a fait sombrer davantage la Ve République dans la régression démocratique. Leçons d'un parjure.

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Le compte suisse du ministre du budget Jérôme Cahuzac
PAR FABRICE ARFI

Le ministre du budget Jérôme Cahuzac (PS) a détenu pendant de longues années et jusqu'en 2010 un compte bancaire non déclaré à l'UBS de Genève, selon une enquête de Mediapart qui s’appuie sur de nombreux témoignages et des éléments documentaires probants. « Je n’ai pas de compte en Suisse et n’en ai jamais eu. Il est clair que si vous publiez ça, j’attaquerai », a réagi M. Cahuzac. 

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30/03/2013

SOMMES NOUS DÉJÀ A MOITIE "CUITS"? Le principe de la grenouille réchauffée !

SOMMES NOUS DÉJÀ A MOITIE "CUITS" POUR REAGIR A LA DICTATURE ?

Olivier Clerc, écrivain et philosophe, a envoyé un petit conte d'une grande richesse d'enseignement.

Il s'agit du principe de la grenouille réchauffée...

Cliquez sur l'image pour lire les citations de Noam Chomsky

Son site : ICI

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SOMMES NOUS DÉJÀ A MOITIE "CUITS"

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...