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19/10/2016

La Russie et la Chine se préparent à une guerre – au seuil même de l’Amérique

 

Voilà à quoi s’exposent les USA à force d’aller provoquer la Russie et la Chine.
A une guerre au seuil même de l’Amérique ce qui devrait nous épargner une guerre en Europe.

S’ils pouvaient par la même occasion mettre hors d’état de nuire, "le régime de la communauté de l’anneau", les 2 cancers du monde, nous pourrions avoir enfin la paix sur le monde.

Vous avez l’article entier édité par Horizons et débats à télécharger ci-dessous :

Article du 17 octobre 2016 - Guerre Russie et Chine contre les USA.pdf

 

Et le cadeau de Poutine aux USA 

Plutonium: la Douma adopte la loi suspendant l'accord avec les USA La chambre basse du parlement russe a ratifié ce mercredi la suspension de l'accord avec les États-Unis sur le recyclage du plutonium.Une loi prévoyant la suspension de l'accord signé en 2000 entre les gouvernements russe et américain sur le recyclage du plutonium a été adoptée à une large majorité ce mercredi par la Douma (chambre basse du parlement russe). Le document a été soumis le 3 octobre par le président russe Vladimir Poutine.

 

Celui fait à la Palestine par l’UNESCO


L'UNESCO adopte la résolution controversée sur la vieille ville de Jérusalem L'Unesco a formellement adopté la résolution sur Jérusalem-Est portée par des pays arabes au nom de la protection du patrimoine culturel palestinien. Elle a été vivement contestée en Israël, où elle a été présentée comme un soutien au terrorisme.

 


Pour empêcher une nouvelle grande guerre …

La Russie et la Chine se préparent à une guerre – au seuil même de l’Amérique

par Niki Vogt Zeit Fragen FR  >  2016  >  No 23, 17 octobre 2016  >  

 

Tchoukotka, une province au nord-est de la Russie, juste en face de l’Alaska. (photo Wikimedia Commons, TUBS)

 

http://www.zeit-fragen.ch/fileadmin/_processed_/7/f/csm_ZF_20161011_23_Eurasien_ccba0e2657.jpg

 

La Fédération de Russie a effectué, du 5 au 10 septembre, l’un des plus grands exercices militaires jamais exécutés, «Caucase 2016». 120 000 soldats et officiers ont participé à cet exercice de défense. Selon l’agence Tass, tout cela a eu lieu dans le voisinage immédiat de la péninsule de Crimée. Il n’y aurait jamais eu plus de 12 500 participants à l’exercice en même temps, a annoncé le 9 septembre Valéry Guérassimov, chef de l’état-major général russe. Des représentants des ministères et des membres de la banque centrale russe y ont également pris part.

Guérassimov a décrit les manœuvres militaires comme un «entraînement militaire intensif». Il s’agissait d’un test difficile pour tous les gradés, qui a également mis les organismes de contrôle militaires à dure épreuve et testé leurs capacités de coordination des opérations des forces armées unies.

 

Un avertissement clair pour l’Occident

L’ampleur même de ces manœuvres et le choix de l’endroit peuvent être considérés, sans qu’on ait besoin de le souligner de façon explicite, comme un avertissement clair à l’Occident afin qu’il n’utilise pas la question de l’«annexion de la Crimée» et ne mette pas à trop rude épreuve la patience de la Russie dans le Donbass. On a appris en même temps la construction projetée jusqu’en 2018 d’une ligne de défense côtière à la pointe orientale de la Russie.


Une semaine avant le début de l’exercice militaire «Caucase 2016», le ministre russe de la Défense Shoigu a fait état de la création d’une unité spéciale dans la région de la Tchoukotka impliquant d’énormes dépenses en personnel et en matériel. La décision a été prise en 2015 et fait «partie d’un plan d’installation d’un système unifié de défense depuis la côte arctique au Nord jusqu’au territoire de Premorja au Sud». Le but en est de sécuriser les Iles Kouriles et la mer de Béring ainsi que d’assurer la protection des routes maritimes de la flotte dans le Pacifique et d’accroître la combativité de la marine nucléaire. Les nouvelles divisions doivent assurer la défense des régions très faiblement peuplées de la côte orientale de la Fédération de Russie.

 

Des divisions russes à la frontière orientale de la Russie

Le communiqué n’en dit pas plus. Par rapport à ces deux nouvelles, il est vraiment intéressant de noter que la Fédération de Russie adresse un message tout à fait clair à Washington. Jusqu’à présent, la Russie n’avait aucune division défensive côtière. Les frontières ouest de la Russie se trouvent sur le continent européen et du côté est, désert, il n’y avait aucune nécessité à défendre les côtes contre l’Alaska qui se trouve en face, elle aussi pratiquement déserte. Il n’y a aucune indication, ni sur ce à quoi une défense côtière orientale doit ressembler, ni sur son déploiement où sur l’armement prévu. Jusqu’à présent – à l’époque soviétique –, il y avait des forces navales en mer Baltique, dans l’océan Arctique, en mer Noire et dans le Pacifique assurant la défense des côtes russes. Pourquoi met-on alors en place des divisons terrestres entières le long des côtes?

Une division est une grande organisation de forces terrestres capable de mener un affrontement «interarmes», c’est-à-dire infanterie, génie militaire, défense NBC, blindés, service de santé, missiles et artillerie lourde … bref, tout l’attirail du «Grand Cirque». Dorénavant, plusieurs divisions seront installées le long de la côte orientale.

 

Pas plus de 90 kilomètres de l’Alaska

Un coup d’œil sur la carte, et on se rend compte que le point le plus avancé du nord-est de la Russie n’est séparé des Etats-Unis que par le détroit de Béring. Là, où il est le plus étroit, les deux superpuissances ne se trouvent pas à plus de 90 kilomètres l’une de l’autre. L’Alaska n’est qu’à un jet de pierre. Mais qu’y a-t-il en Alaska, à part des élans, des loups, des ours, des rennes et quelques villages?

Il y a déjà quelques bases militaires américaines pas tout à fait anodines, telle la base Elmendorf Air Force à Anchorage. C’est là qu’on trouve non seulement les derniers modèles d’avions de combat F-22-Raptor, capables d’en décoller pour intercepter les bombardiers stratégiques russes, mais aussi le Norad pour la zone d’Alaska, le Command of the 11th Air Army et Fort Richardson, avec la 4th Brigade Combat Team (parachutistes) de la 25e division d’infanterie.


Les avions de combat américain auraient à peine le temps de décoller en cas de guerre

Comme mentionné plus haut, les divisions pourraient aussi être équipées de missiles de différentes sortes. Dans l’une de ses analyses, l’analyste militaire Sergej Ischenko a remarqué que si la Russie installait le long de sa côte orientale des rampes de lancement mobiles pour le système de missiles balistiques à courte portée Iskander, les F-22-Raptors des Américains auraient à peine le temps de décoller pour intercepter les bombardiers russes. Comme nous l’avons appris avec le cas «Donald Cook» et d’autres démonstrations de force des Russes, ces derniers peuvent paralyser complètement l’électronique militaire américaine, ce qui se produirait très vraisemblablement également en Alaska, plongeant dans le noir tous les postes d’observation et d’alerte. «Tout comme au temps de la guerre froide, les troupes des bases militaires d’Elmendorf et de Fort Richardson iront se coucher chaque soir avec un mauvais pressentiment», résume Ischenko.

 

Avec les USA, la Russie applique ce qu’elle a dû elle-même supporter

La Russie applique à présent exactement ce qu’elle a dû elle-même supporter au cours des dernières années: les bases militaires et les troupes de la puissance adverse se resserrent sur les frontières des Etats-Unis. Là-dessus, comme l’a souligné le président chinois Xi Jinping lors du Sommet du G20 à Hangzhou: la Chine poursuivra avec confiance ses intérêts dans la mer de Chine méridionale. Celle-ci se situe juste au-dessous de la côte orientale de la Russie. Cela ne se présente pas très bien pour les Etats-Unis.

 
Cependant, il n’y a pas que les divisions de défense côtière dans la Tchoukotka et les côtes du sud vers la Chine. L’armée de l’air russe a construit dix bases aériennes dans l’Arctique. L’organisation russe pour les constructions spéciales (Spetsstroy) développe actuellement les installations d’infrastructure de ces bases militaires aériennes dans le grand Nord, en Extrême-Orient et en Sibérie pour 20 000 militaires, leurs familles et des employés civils du ministère de la Défense.

Selon un rapport du site Internet «The National Interest», les avions de combat des 10 bases de l’armée de l’air sont équipés du redoutable Vympel R-37 (missile air-air) à très haute portée et qui est en mesure d’abattre de manière ciblée les avions américains AWACS et C4-ISTAR; ils peuvent également se déplacer sur une si grande distance qu’ils sont inaccessibles pour les avions de combat américains qui doivent protéger les AWACS et les C4-ISTAR. Les avions de combat russes peuvent en outre abattre avec une très grande précision les avions ravitailleurs des Américains, ce qui, lors de l’explosion du chargement de kérosène hautement inflammable, rend obsolète la possibilité pour l’équipage de s’échapper en utilisant leurs sièges éjectables. Un tir réussi transforme immédiatement le chargement de kérosène volant en boule de feu.

 
Viennent en outre les missiles air-air Nivator KS-17 qui portent déjà parmi les Américains le nom d’AWACS-killers et atteignent sûrement leur but sur une portée de 400 kilomètres. Ce sont les missiles air-air les plus lourds et les plus destructeurs n’ayant jamais été construits. L’armée de l’air indienne en possède afin d’armer ses SU-30MKI-FIGHTERJETS russes.

 

1500 soldats d’élite russes en Bolivie

Le réarmement ne s’arrête cependant pas à la frontière nord-ouest de l’Amérique. Le 6 septembre, l’agence Tass a rapporté que la Fédération de Russie avait envoyé 1500 soldats d’élite, les Spetsnaz, pour action immédiate en Bolivie. Cette mesure faisait partie d’un accord sur la collaboration militaire signé entre la Fédération de Russie et la Bolivie et appliqué sur le champ. Il s’agit là également d’une avant-garde – qui ne devrait pas s’en tenir au nombre de 1500 – se rapprochant des frontières étatsuniennes. La Bolivie voit la Russie comme un pays fraternel, avec lequel elle entretient d’excellentes relations, a fait savoir le ministre de la Défense bolivien. De son côté, la Russie voit en la Bolivie un partenaire prometteur, a répondu avec bienveillance le ministre de la Défense russe Shoigu.

 

Pas de nouveau Brésil

L’empressement de la Bolivie à collaborer avec la Russie doit être vu dans un contexte de crainte de devenir le prochain Venezuela ou le prochain Brésil où les Etats-Unis provoqueraient désordres et renversements politiques. Au Brésil, où Washington serait derrière la destitution de Dilma Rousseff, dont le successeur au poste de président, Michel Temer, a, selon des informations de Wikileaks, travaillé de longues années comme informateur des services secrets américains contre son propre pays. L’article indique ensuite que Temer va nommer Goldman Sachs et le FMI pour gérer et diriger l’économie brésilienne.

Lors du renversement de Dilma Rousseff, Temer était soutenu par le sénateur Aloysio Nunes qui a œuvré pour la destitution de celle-ci. Une fois que le renversement a abouti, Nunes est allé trois jours aux Etats-Unis pour y rencontrer des représentants du gouvernement américain. Parmi ceux-ci, on trouvait aussi des membres du US-Senate Foreign Relations Committee, de l’Albright Stonebridge Group (Présidente: Madeleine Albright) et l’ancien ambassadeur américain au Brésil, Thomas Shannon. De plus, l’actuelle ambassadrice des Etats-Unis au Brésil Liliana Ayalde est une femme qui, selon Wikileaks, a déjà été impliquée dans la chute du gouvernement paraguayen.

 

Avion-espion américain au-dessus de la mer Noire

La Russie s’est justifiée du renforcement massif de ses efforts militaires – dirigés à l’évidence contre les Etats-Unis – par le survol de la mer Noire, d’un des avions-espions américains P8-Poseidon, ayant tenté de pénétrer la semaine dernière, avec son transpondeur éteint, dans l’espace aérien russe. Il a été intercepté par un SU-27. Le Pentagone s’est ensuite plaint de ce que l’avion de combat russe ait opéré des manœuvres dangereuses et s’est approché de l’avion américain à une distance de 10 pieds. La tentative de pénétrer dans l’espace aérien russe est contre toutes les règles internationales et, serait en outre le prolongement des agressions américaines délibérées du 1er août, lorsque les Etats-Unis ont fait voler le long de la frontière nord de la Russie plusieurs bombardiers stratégiques pouvant transporter des armements nucléaires.

 
Si l’on prend en compte également le fait – déjà mentionné plus haut – que la Chine a ouvertement montré sa disposition de s’opposer aux activités américaines dans la région, et l’armement qu’a développé la Chine, il en résulte une nouvelle image de la situation internationale.

 

Une nouvelle image de la situation internationale

Avec son missile PL-15, la Chine a plongé les instances dirigeantes de l’armée américaine dans la perplexité. Les AIM-120 AMRAAM des avions de combat américains, vieux de plusieurs décennies, ne peuvent plus tenir la comparaison. «Que pouvons-nous opposer à cette menace?» a demandé le général Herbert Carlisle, commandant de l’Air Combat Command. Et il a exigé: «Le PL-15 et la portée de ce missile … nous devons tout simplement être capables de le surclasser.» En outre, les Chinois ont également développé avec le Chengdu-J-20, un avion de combat furtif, efficace et ultramoderne. Les Chinois dissimulent certes de nombreuses données, mais il est clair pour les militaires américains qu’ils ont là affaire à un avion optimisé capable d’atteindre une vitesse élevée et de très grande portée. En armant ces avions de combat de missiles PL-15, les Chinois peuvent détruire les avions ravitailleurs américains ainsi que des navires de guerre. Cependant, afin de permettre les opérations aériennes des avions de combat américains F-22 en mer, trois ou quatre avions ravitailleurs doivent, selon un RAND-Briefing, décoller toutes les heures pour délivrer 2,6 millions de gallons de kérosène aux avions de combat. Cela, Pékin le sait aussi. Les avions Chengdu J-20 n’ont qu’à cibler – à distance sécurisée – les lourds et maladroits avions-ravitailleurs avec des PL-15 à grande portée pour les tirer comme des pigeons et paralyser l’armée de l’air américaine dans les eaux extraterritoriales de Chine et des côtes orientales de la Russie.

 

Les Américains doivent se faire à l’idée d’une guerre menée dans leur propre pays

Si la Russie y ajouterait encore sa capacité à éliminer le très complexe système électronique AEGIS des forces armées américaines, les Etats-Unis ne pourraient à moyen terme plus se permettre aucune épreuve de force avec la Chine et la Russie dans cette région. Il ne serait pas possible aux bombardiers américains de pénétrer profondément en Chine et en Russie pour détruire les grandes villes et les centres importants par des attaques à la bombe, pas plus que de mener des opérations d’engagement dans les zones côtières de la Chine et de la Russie. L’Amérique est en train de perdre sa souveraineté aérienne sur la mer de Chine méridionale, région de grande importance avec les itinéraires commerciaux mondiaux et perd aussi son influence sur les Etats riverains qui voient le champion jusqu’ici incontesté provoqué et mis à mal.

En revanche, la Russie et la Chine ont de bonnes chances d’affronter les Américains le long de leur côte occidentale sur leur propre sol, dans de très dures attaques aériennes. Privées de leurs systèmes d’alerte électroniques, que la Russie peut désactiver, les possibilités de la défense antiaérienne seront restreintes. En combat aérien, les missiles de grande portée russes et chinois sont supérieurs à ceux des Américains. Cette fois-ci, les Américains doivent se faire à l’idée d’avoir la guerre dans leur propre pays. Toute la côte ouest, jusqu’à loin dans l’arrière-pays, serait touchée. Si les Etats-Unis jouaient la carte du nucléaire, la riposte consisterait en au moins une bombe atomique sur une grande ville américaine de la côte ouest.

La tendance esquissée ici montre à l’évidence que la Chine et la Russie veulent le faire voir clairement aux Américains et sont décidées, le cas échéant, à mettre leurs plans en œuvre. Le peuple américain n’est cependant psychologiquement absolument pas préparé à un tel scénario catastrophe. Il y aurait une explosion de panique déclenchant une tourmente anti-gouvernementale. Les Etats-Unis ne seraient pas en mesure de mener une telle guerre plus de deux semaines.    

Source: http://www.zeit-fragen.ch/fr/ausgaben/2016/nr-23-10-oktob...

 du 13/9/16

(Traduction Horizons et débats)

 

18/10/2016

WikiLeaks, John Podesta et Hillary Clinton : les cinq révélations choc à retenir

 

WikiLeaks, John Podesta et Hillary Clinton : les cinq révélations choc à retenir

14 oct. 2016, 22:37

Hillary Clinton en campagne ©Lucy Nicholson/Reuters

 

De la stratégie vis-à-vis des médias jusqu'aux extra-terrestres, les révélations parfois ahurissantes contenues dans les milliers de mails du directeur de campagne de la candidate démocrate continuent de s'accumuler avec cette septième livraison.

Comme l'a promis WikiLeaks, les publications de mails piratés se succèdent et se succèderont sans doute jusqu'au jour de l'élection présidentielle américaine. A l'heure du septième envoi, les mails permettent de se plonger dans l'intimité de l'équipe de campagne d'Hillary Clinton.

Manipulation des médias et de l'opinion publique

Les mails attestent de l'intention de tromper l'opinion publique et de la perdre dans la complexité des différentes affaires. 

«Je pense que nous devons vraiment déterminer si les électeurs vont y croire et si nous pouvons de façon crédible confondre Benghazi et les emails», écrit ainsi Oren Shur, directeur des médias payants dans le cadre de la campagne de la candidate démocrate à John Podesta, le directeur de campagne, quelques semaines avant qu'Hillary Clinton ne soit auditionnée par le Congrès américain au sujet de l'attentat terroriste contre le consulat américain de la ville libyenne en septembre 2012, alors qu'Hillary Clinton était secrétaire d'Etat. Après des tests sur des groupes témoins, Hillary Clinton décide alors de constamment se référer à ses réponses données au sujet de Benghazi, les faisant passer pour des réponses sur le piratage de ses mails.

 

 

Daesh soutenu par l'Arabie saoudite et le Qatar

Selon un autre des emails piratés, Hillary Clinton savait pertinemment que l'organisation terroriste Etat islamique bénéficiait du soutien de l'Arabie saoudite et du Qatar, des alliés privilégiés des Etats-Unis au Moyen Orient. Le courrier électronique vient de la candidate démocrate elle-même : «Alors que les opérations militaires et paramilitaires progressent, nous devons utiliser la diplomatie et des moyens de renseignement plus classiques afin d'accentuer la pression sur le Qatar et l'Arabie saoudite, lesquels fournissent clandestinement un soutien à la fois financier et logistique à Daesh et autres groupes radicaux sunnites de la région».

Les vraies décisions politiques doivent rester secrètes

Les mails contiennent aussi des fragments des discours payés qu'Hillary Clinton a prononcés pour le compte d'entreprises privées (485 000 dollars pour Deutsche Bank, 675 000 dollars pour Goldman Sachs). Dans l'un de ces discours destinés à l'élite de la finance, et non pas aux électeurs, Hillary Clinton estime que les processus de prise de décision doivent rester en coulisses au risque de rendre les citoyens «nerveux».

 

 

«Si tout le monde regarde, vous savez, toutes les discussions en coulisse, les marchés conclus, vous savez, ça rendrait les gens un peu nerveux, pour dire le moins. Aussi est-il nécessaire d'avoir une posture pour le grand public et une autre, plus privée», concédait la candidate. Ce discours en particulier lui a rapporté 225 000 dollars.

Une taupe pour mieux combattre Bernie Sanders

Le candidat malheureux à l'investiture démocrate jouait avec des dés pipés. En janvier 2015, Donna Brazile, haut responsable du Comité national démocrate, communiquait des documents détaillant la stratégie électorale de Bernie Sanders envers la communauté afro-américaine, notamment sur les réseaux sociaux. «Merci tout particulièrement pour ça, Donna», répond Adrienne Elrod, une dirigeante de l'équipe de campagne d'Hillary Clinton pour cette fuite dévoilant la stratégie du camp adverse.

 


Une fuite de grande valeur, visiblement puisque cette trahison vaut à Donna Brazile de remplacer la confidente d'Hillary Clinton, Debbie Wasserman-Schultz, obligée de démissionner après la publication par WikiLeaks des courriels du Comité national démocrate.

Les extra-terrestres, forme la plus évoluée d'intelligence

Les aliens veulent aider les hommes mais ils sont effrayés par la violence de la planète Terre, écrit l'astronaute Edgar Mitchell à John Podesta, faisant par ailleurs référence à une guerre intergalactique tout en soutenant que le Vatican serait au courant de l'existence d'une vie extra-terrestre : «La guerre de l'espace prend de l'ampleur et je voulais vous informer de plusieurs paramètres en amont de notre rendez-vous Skype», écrit ainsi l'astronaute, citant par ailleurs un certain Terri Mansfield, «un collègue catholique», lequel décrit les extraterrestres comme «la plus haute forme d'intelligence en relation directe avec Dieu».

Lire aussi : WikiLeaks démasque Hillary Clinton : «Je suis détachée de la lutte de la classe moyenne»

 

 

17/10/2016

Très bientôt la Russie possédera des armes hypersoniques

 

Très bientôt la Russie possédera des armes hypersoniques

Défense

L'information a été livrée par Boris Obnosov, directeur général de la corporation « Missiles tactiques ».

http://pravda-team.ru/france/image/preview/article/6/7/6/1303676_five.jpeg

 

Il a déclaré que le travail sur ce type d'armements est mené d'arrache-pied et avec un zèle que l'on devine. Les projets hypersoniques sont, pour une large part, tributaires d'études soviétiques. Ces recherches reçurent jadis pour nom de code « Kholod » (Froid) et « Kholod-2 ». La récupération du patrimoine scientifique est parfaitement logique, car « il n'y a aucune raison pour faire repartir les recherches de la case zéro. Nos technologies sont maintenant au niveau requis pou réussir dans ce domaine », a confié le directeur.

Obnosov a également fait valoir que la Chine et les Etats-Unis sont au coude à coude avec la Russie dans ce domaine, mais qu'il n'y existe aucun autre concurrent.

« Il faut encore investir beaucoup de moyens dans les recherches et les expériences grandeur nature à mener dans les polygones. Mais les résultats escomptés en valent bien les chandelles », a conclu Boris Obnosov.

Il est fort bien connu que d'aucuns experts militaires américains croient la Russie déjà en possession de tels armements. En mai dernier, Mike Billington de l'Executive Intelligence Review, a déclaré que, stratégiquement, Vladimir Poutine devance Barak Obama d'un pas parce que les Russes seraient déjà en mesure de tromper tous les systèmes américains de défense aérienne.

 

 

Des armes de nouvelle génération sans projectiles testées en Russie

 
 
12:57 13.10.2016

Des armes de nouvelle génération sans projectiles testées en Russie

 
Les chercheurs russes poursuivent leur travail sur les nouveaux types d’armes, à savoir des armes de laser et des canons à très hautes fréquences.
 
Un nouveau type d’armements sans précédent capable de frapper des cibles sans recourir à des projectiles a été testé avec succès en Russie, a déclaré un porte-parole du concepteur, le Consortium unifié de construction d'instruments de précision (OPK) à l’agence Rossiya Segodnia.

Selon le porte-parole, les versions de ces armes créées jusqu’à présent ont déjà prouvé leur efficacité. Il a ajouté que les armements de nouvelle génération avaient été présentés lors d’une exposition fermée du ministère russe de la Défense. Il s’agit d’armements dont le fonctionnement se base sur des principes physiques qui n’avaient pas encore été appliqués dans le domaine militaire.
 
Il s’est abstenu de préciser de quel type d’armements il s’agissait.

En août, le ministère russe de la Défense a déclaré avoir mis en service dans l’armée des lasers de combat. Auparavant, un porte-parole de la société russe « Technologies radio-électroniques » a raconté avoir mis en service des canons à très hautes fréquences capables de mettre hors service des systèmes électroniques complexes, notamment des radars, des postes de communication et des centres de commandement se trouvant à des dizaines et à des centaines de kilomètres. L’armée russe envisage de doter d’un tel équipement des chasseurs sans pilote de sixième génération.
 
 

Syrie : Washington et Londres menacent la Russie de nouvelles sanctions

Allez, ils veulent vraiment nous entraîner vers la 3ème guerre mondiale, ce sera la conclusion de la réunion qui s’est tenue ce weekend à Lausanne, sur la Syrie !

Ils ont passé leur journée à menacer et à provoquer la Russie par tous les moyens !

Toujours les mêmes rengaines : Assad doit partir !.... et il faut arrêter les opérations militaires russes sur Alep pour pouvoir imposer des trêves non pas pour apporter l’aide humanitaire aux pauvres syriens dont ils se fichent éperdument depuis près de 6 ans, mais pour armer leurs mercenaires pour entraîner la Russie et le Monde vers une guerre sans fin !

Ils nous font rire en accusant et en menaçant la Syrie et la Russie de faire l’objet de poursuites pour crimes de guerre devant la CPI pour 2  raisons essentielles, à savoir :

Il faudrait que la Syrie et la Russie aient ratifié le Statut de Rome ; le traité qui a fondé la CPI :  Or, ni l’un, ni l’autre ne l’ont ratifié 

La Syrie est un état souverain et Bachar Al-Assad en est le président légitimement élu par son peuple. Il a donc parfaitement le droit de demander à la Russie d’intervenir légalement pour venir le soutenir sur son territoire. La présence de la Russie est donc légale sur le territoire syrien.

Ce qui n’est pas le cas de la coalition US criminelle qui compte 65 pays, qui n’ont reçu aucun mandat de l’ONU ni aucune demande de Bachar Al-Assad. Il ne leur resterait qu’une seule chose à faire, c’est de quitter le territoire Syrien pour violation de toutes les lois internationales.

En revanche, ceux qui risquent de se voir cités à comparaître devant la CPI, ce sont les pays dont la France qui ont ratifié le Statut de Rome.

Syrie : Washington et Londres menacent la Russie de nouvelles sanctions

Boris Johnson et John Kerry

 

Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont averti que l'Occident envisageait de nouvelles sanctions économiques ciblées contre la Syrie et la Russie en réaction au siège d'Alep, après une rencontre entre les chefs de la diplomatie des deux pays à Londres.

«Nous envisageons des sanctions supplémentaires et nous voulons nous montrer clairs, le président (américain Barack) Obama n'a exclu aucune option pour le moment», a déclaré John Kerry à l'issue d'une réunion sur la Syrie avec les pays «affinitaires», c'est-à-dire uniquement les soutiens de la rébellion syrienne. 

Le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson a pour sa part déclaré que de «nombreuses mesures» avaient été proposées, «dont des mesures supplémentaires contre le régime et ses soutiens», lors d'un point de presse commun.

«Ces mesures toucheront les auteurs de ces crimes», a-t-il mis en garde.  

Lire aussi : Des crimes de guerre en Syrie ? Jean-Luc Mélenchon parle de «bavardages»

Tout en affirmant que Barack Obama n'excluait aucune option, John Kerry a minimisé la possibilité d'une action militaire, ajoutant qu'il était de son devoir d'épuiser toutes les solutions diplomatiques.

«Nous discutons de tous les mécanismes à notre disposition mais je ne vois nulle part en Europe un grand appétit pour partir en guerre», a-t-il ajouté après cette réunion où était également présent le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault. «Je ne pense pas que les parlements des pays européens soient prêts à déclarer la guerre».

 

Le chef de la diplomatie française a expliqué, lui, que «beaucoup d'initiatives» avaient été abordées. «Nous n'avons pas conclu sur toutes mais il y a un large consensus sur la nécessité des pressions», a-t-il ajouté devant la presse française.

Evoquant la réunion de Lausanne la veille qui a réuni Washington, Moscou et les principaux pays de la région impliqués dans le conflit, Jean-Marc Ayrault a expliqué que la tentative d'aboutir à un cessez-le-feu avait échoué face à l'impossibilité de s'entendre sur l'arrêt des bombardements contre Alep, «un préalable à toutes les questions».

 

Le 3 octobre, Washington a annoncé avoir suspendu unilatéralement tout contact bilatéral avec la Russie au sujet de la Syrie, en accusant Moscou de ne pas respecter les engagements liés au cessez-le-feu à Alep. De son côté, le Kremlin a indiqué «regretter cette décision» : «après avoir échoué à respecter les accords qu'ils ont eux-mêmes négociés, [les Etats-Unis] tentent de faire porter la responsabilité par un autre», a déclaré à ce sujet la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.