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28/10/2014

TECHNOLOGIE Les robots tueurs suscitent l'inquiétude en Norvège

Ils ne savent plus quoi inventer pour nous éliminer de manière expéditive, sans jugement ni procès !

 Vous êtes-vous parfois demandé, si avec tout l'intérêt que les Illuminati/Reptiliens portent à notre ADN, s'ils n'avaient pas créé des armées d'hybrides, sans coeur et sans sentiments pour aller faire le sale boulot et provoquer des génocides de partout dans le monde ? Après tout ils ont toute la technologie, la matière ADN pour le faire, l'argent et les énergies occultées !

 

TECHNOLOGIE Les robots tueurs suscitent l'inquiétude en Norvège

Le gouvernement norvégien finance le développement de robots qui pourront, sans intervention humaine, prendre la décision de tirer sur leur cible. La Ligue pour la paix estime que ce projet viole le droit international.

 

Image extraite du film "I, Robot" d'Alex Proyas sorti en 2004 - capture d'écran

Image extraite du film "I, Robot" d'Alex Proyas sorti en 2004 - capture d'écran

 

"Robots tueurs" pour les uns, "munitions partiellement autonomes" pour les autres : depuis plusieurs mois, le gouvernement norvégien finance le développement de nouveaux missiles pour équiper ses avions de combat. Leur particularité : "ils auront la capacité d'identifier une cible et de prendre la décision de tuer – ou non – sans intervention humaine", rapporte la version norvégienne du site d'actualité The Local.

"Cette technologie soulève plusieurs questions morales, notamment sur ce qui se passe si l'humain disparaît totalement du champ de bataille au profit des machines, ou encore sur qui sera tenu responsable en cas d'erreur ou d'attaque violant le droit international", pointe The Local.

"L'arme devient le combattant"

Alexander Harang, de la Ligue norvégienne pour la paix, réclame un débat au sein du Parlement norvégien. "Au printemps dernier, après que le gouvernement a décidé d'allouer un budget de 2,2 milliards de couronnes norvégiennes [260 millions d'euros] au groupe Kongsberg [qui développe le robot], Alexander Harang a contacté tous les partis du pays pour réclamer un débat sur les conséquences potentielles de cette technologie autonome en regard du droit international. Le débat n'a jamais eu lieu."

Le rapporteur de l'ONU Christof Heyns s'inquiète également des implications d'une telle technologie. "Ces dix dernières années, on a vu s'accroître la distance entre le soldat et sa cible. Mais ce qui se passe là, c'est que l'arme devient le combattant. La Norvège est un gros exportateur d'armes. Nous devons donc être particulièrement attentifs aux questions éthiques que soulève ce projet", précise-t-il.

La ministre norvégienne de la Défense, Ine Eriksen Søreide, confirme que la question est complexe. mais elle refuse que le projet soit mis en suspens en attendant qu'un débat ait lieu.

 

 

Opération "gaz ukrainien" 2014: qui paiera la Russie cet hiver?

Après le blocage des projets de North et South Stream par les pays nazis européens, voilà toutes les possibilités envisagées par certains pays européens pour prendre le gaz russe, en faveur de l'Ukraine soit d'avoir à le payer, soit de l'acheter à la Russie et de le revendre à l'Ukraine qui risque de se servir au passage et peut-être se mettre à vendre le gaz russe en lieu et place de Gazprom ! Du vol bien organisé en bande et personne ne condamne fermement l'Ukraine pour l'obliger à payer ses dettes de gaz !

Demain, 29 octobre, Merkel et Poutine doivent  trouver un accord sur la gaz ! Comme cela l'Ukraine gagne encore du temps en repoussant depuis des mois le paiement de sa dette !

On espère franchement que la Russie coupera le gaz à l'Europe pour leur apprendre à vivre et à se faire respecter. On ne voit pas de quelles discussions il pourrait encore s'agir. Le constat de la dette due par KIEV et son paiement, sont les seuls alternatives au règlement de ce conflit et pour la suite paiement d'avance et basta ! Et si personne ne paie ni ne pousse pas KIEV à payer ses dettes, fermeture du robinet de gaz jusqu'à nouvel ordre !

Opération "gaz ukrainien" 2014: qui paiera la Russie cet hiver?

Dossier: Conflit gazier russo-ukrainien

Opération "gaz ukrainien" 2014: qui paiera la Russie cet hiver?
14:37 24/10/2014
Par Maxime Chalyguine, RIA Novosti
Ces derniers jours en Ukraine, l'administration du président Piotr Porochenko reste calme au sujet de ses négociations gazières avec la Russie et l'UE. Les collaborateurs du dirigeant ukrainien ne cachent plus leurs plans de se faire livrer le gaz russe par un "pays tiers".
 
L'ami slovaque
 
De manière inattendue, la chancelière allemande Angela Merkel a ouvertement critiqué les autorités de Kiev. "Que l'Ukraine ne s'attende pas à ce que tout le monde règle les problèmes qu'elle est la seule à pouvoir résoudre", a-t-elle déclaré. Alors que ses déclarations sont habituellement prudentes et que les commentaires antérieurs de Kiev étaient plutôt flous, cela ressemble à un acte de courage désespéré.
 
La chancelière s'est exprimée ainsi après un entretien avec le premier ministre slovaque Robert Fico à Bratislava et s'adressaient donc à celui qui, encore très récemment, s'opposait aux sanctions contre la Russie pour protéger les exportations de ses fabricants de machines-outils, de produits à double usage et les dizaines de milliers de clients slovaques d'une filiale de Sberbank.

Désormais, Robert Fico appelle à être réaliste, refuse fermement de "cotiser pour les dettes de l'Ukraine" et exprime sa solidarité idéologique envers Kiev. Tout en précisant que "toute aide en termes de fourniture de gaz doit obligatoirement se faire sur une base commerciale". Le gouvernement slovaque est visiblement prêt à fournir du gaz à l'Ukraine, mais moyennant finances.

Une délégation de la compagnie gazière slovaque SPP, destinatrice et distributrice du gaz russe, a déjà demandé à Gazprom d'organiser des pourparlers. La veille, seul le président de SPP Stefan Sabik avait annoncé avoir l'intention de réduire les achats de gaz à Gazprom de 10 à 15%.

Des livraisons réversives

Ni les politiciens européens ni les spécialistes occidentaux n'arrivent encore à expliquer clairement le volume des fournitures réversives de gaz russe de Slovaquie en Ukraine.

Que sont les livraisons en flux inversé?

Deux versions sont envisageables. Soit l'Ukraine a changé les lois de la physique de notre monde, et dans ce cas il faut remettre immédiatement à Kiev tous les prix Nobel pour des décennies d'avance.

Soit nous avons affaire à une nouvelle fraude, une violation des contrats et un mensonge de chefs d'Etat. Parce qu'en pratique, les livraisons en flux inversé peuvent être un gazoduc en boucle à la frontière entre la Slovaquie et l'Ukraine, où se trouve une sorte de "compteur".

Le gaz tourne en rond, le compteur fait monter l'aiguille et on présente le chiffre affiché aux représentants de Gazprom. Rien à signaler, le gaz est à sa place. Et pour s'en convaincre définitivement, il est possible de doter le gazoduc d'analyseur de composés sulfureux. Et pendant ce temps les Ukrainiens commencent à "taper" dans le gaz directement à la frontière russe.

Ce schéma ne fonctionnera jamais sans un accord préalable avec la Slovaquie (et l'Europe en général). Et peu importe qui est juridiquement propriétaire de ce gaz – la compagnie slovaque ou norvégienne qui remplace virtuellement les quantités de gaz russe en Slovaquie par ce même gaz russe en Allemagne. Sauf que les livraisons en flux inversé sont une violation du contrat sur le transit via le territoire ukrainien. Après tout, c'est le gaz russe qui est acheminé par les gazoducs ukrainiens, et Kiev n'est pas en droit d'en disposer.

Ce qu'obtient la Russie
 
L'Europe obtient ainsi le transit ininterrompu qu'elle désire tant et la possibilité de soutenir le "choix européen" de l'Ukraine.
 
L'Ukraine, elle, reçoit le gaz russe d'Europe tout en affirmant son indépendance envers la Russie. Quant à la dette incontestable de Kiev (reconnue par toutes les parties) à verser à la Russie pour tout le gaz déjà livré, il est plus simple pour les Ukrainiens d'utiliser cet argent pour acheter du gaz en Europe. Et passer l'hiver au chaud.
 
Mais qu'obtient la Russie?
 
Elle restera publiquement humiliée par cette dette impayée. Ce serait un précédent extrêmement dangereux.
 
Il deviendrait possible de ne pas payer la Russie, en particulier Gazprom, pour les marchandises acquises.
 
De plus, de nouvelles difficultés surviendront avec le projet South Stream. On imagine déjà des titres comme "Le monopole de Gazprom anéanti!". Il est parfaitement clair qu'elle n'aidera pas la Russie à récupérer la dette de l'Ukraine.
 
Les ministres des Affaires étrangères de trois pays européens ont déjà oublié leurs efforts de médiation à Kiev en février. L'Union européenne encourageait de fait le déclenchement d'une guerre civile en Ukraine. Il est naïf de croire qu'aujourd'hui elle serait prête à payer pour tout en cash, et pas seulement en déclarations politiques.

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Russie : Les Européens boycottent les gazoducs Nord Stream et South Stream

Comme vous l'aurez compris les pays nazis européens  qui soutiennent l'Ukraine nazie, veulent empêcher la Russie de contourner ce pays pour desservir les pays européens et surtout que ceux-ci ne feront rien pour forcer  l'Ukraine à payer quelques milliards de dollars de gaz dus à Gazprom et qu'au contraire il puisse voler et détourner le gaz russe, comme nous le verrons dans un prochain article ! !

C'est la punition pour la Russie de s'être annexé la Crimée à la demande du peuple, d'avoir adhéré aux BRICS et créé une banque mondiale de développement, ainsi que l'Union Eurasique et de vouloir sortir de la domination du dollar et du nazisme des pays occidentaux  !  !

Et puisque les pays européens veulent éviter de se rendre dépendants du gaz russe, la Russie n'a qu'à leur couper le gaz purement et simplement. On verra comment ils feront pour se chauffer cet hiver et les autres à venir !

Les Européens boycottent les gazoducs Nord Stream et South Stream

Dossier: Le gazoduc Nord Stream

13:50 28/10/2014
MOSCOU, 28 octobre - RIA Novosti

L'augmentation du transit gazier en contournant l'Ukraine pourrait devenir une mauvaise idée pour Gazprom, écrit mardi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

Alors que leurs relations avec la Russie se détériorent, les Européens souhaitent en effet réduire leur dépendance envers les fournitures russes. Cela affecte directement les projets majeurs de la Russie en matière d'exportation d'hydrocarbures – le gazoduc Nord Stream déjà en service et le projet South Stream. Le Royaume-Uni a renoncé hier à prolonger le gazoduc Nord Stream jusqu'à son territoire. La Roumanie, qui aurait pu aider Gazprom à lever les restrictions anti-monopole du projet South Stream, renonce également à une coopération gazière étroite avec la Russie.

 

Le projet de prolongation du gazoduc jusqu'au Royaume-Uni a été suggéré il y a près de deux ans et les dirigeants britanniques l'avaient alors soutenu. Mais l'expansion du gazoduc était encore plus bénéfique pour la Russie. Une coopération plus étroite avec le Royaume-Uni aurait permis de remplir le Nord Stream, qui est loin de travailler aujourd'hui au maximum de ses capacités.

 

Étant donné que le facteur politique prévaut de plus en plus sur l'économie, les perspectives du projet South Stream, qui suscitait déjà des difficultés conséquentes avant le conflit ukrainien, deviennent encore plus floues.Par exemple, la Roumanie aurait pu aider Gazprom à diversifier ses approvisionnements via le South Stream. Si ce dernier transportait, hormis le gaz russe, du gaz provenant d'au moins un autre pays, la Roumanie, Gazprom aurait eu des chances de lever les restrictions anti-monopole de l'UE pour ce projet.

 

Finalement, la Roumanie a renoncé au projet South Stream et souhaite devenir énergétiquement indépendante de la Russie, ce qu'elle perçoit comme un signe d'indépendance politique.

 

Le remplissage en gaz du South Stream a été remis en question mais aussi la construction en soi du gazoduc sur le territoire d'autres pays, notamment de la Bulgarie. Toutefois, tous les pays ne sont pas encore prêts à renoncer à la construction du gazoduc.

 

Des communiqués rapportaient hier que les autorités hongroises cherchaient un moyen de contourner les interdictions de l'UE pour construire le South Stream. Elle pourrait modifier ses lois de manière à lancer la construction du gazoduc sans devoir consulter l'Union européenne. D'après l'agence Reuters, la Hongrie devrait lancer le projet dans six mois et l'achever d'ici 2017.

Artem Deev, responsable du département d'analyse chez AForex, ajoute que la confrontation politique affecte l'aspect économique: "Le coût du projet South Stream a décuplé". Toutes les dépenses de la Russie, y compris la construction du Corridor sud sur le territoire russe, risquent au final de s'avérer inutiles.

 

© RIA Novosti.

France/Algérie : Plus de 300 000 visas attribués aux Algériens avant fin 2014

Pour ceux qui se plaignent de l'immigration en France, il serait temps de faire cesser les mensonges,  l'hypocrisie  et le double langage des partis politiques financés par les lobbies, car après avoir été exploités chez eux, la France et le grand capital continuent à exploiter les immigrés en France !

C'est l'état lui-même qui mène sa politique migratoire en accord avec les pays d'origine des candidats à l'immigration.

Voyons qui tire profit de l'immigration en France sous la houlette du gouvernement ! Pour faire monter le racisme, les sionistes s'y connaissent un rayon du reste !

Au fait, on nous a seriné les oreilles on nous montrant une vidéo selon laquelle Hervé Gourdel aurait été décapité en Algérie sans que l'on aurait encore trouvé son corps à ce jour ! C'est quoi la preuve de sa décapitation, juste une vidéo diffusée sur le net ? 

 

France/Algérie : Plus de 300 000 visas attribués aux Algériens avant fin 2014

8-10-2014

 

L'ambassadeur de France en Algérie l'a annoncé hier
Plus de 300 000 visas attribués aux Algériens avant fin 2014

Plus de 300 000 visas délivrés. C'est là un des objectifs que l'ambassade de France en Algérie souhaite atteindre en 2014. Bernard Emié, ambassadeur et haut représentant de France en Algérie, parle d'une croissance significative du nombre de visas attribués aux Algériens, effective, selon lui, depuis l'année dernière. «Le nombre de visas attribués a connu une croissance significative avec 210 000 délivrés en 2013.

La hausse va se poursuivre en 2014 avec probablement plus de 300 000 visas délivrés. 75% des demandes reçoivent une réponse positive dans les trois consulats généraux français en Algérie», a indiqué, en effet, l'ambassadeur de France en Algérie dans un entretien accordé hier à l'agence APS.

Il insiste sur le fait que son pays a «consenti des efforts importants ces dernières années dans trois domaines, pour faciliter toujours davantage la mobilité des personnes». Les domaines en question se rapportent, en premier lieu, au traitement personnalisé des demandes de visa émises par certaines catégories professionnelles telles que les journalistes, les avocats, les médecins ainsi que les employés des institutions et des entreprises.

«Le deuxième progrès important concerne la durée de validité des visas de court séjour. A la demande de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, nous accordons depuis un an un nombre croissant de visas de circulation, qui représentent à présent près de 50% du total des visas attribués, et qui permettent de se rendre régulièrement en France et dans l'espace Schengen sur une période de plusieurs années, sans être obligés de demander un nouveau visa», expliquera encore l'ambassadeur de France en poste à Alger.

Il précise que les services du consulat de France font face à une augmentation très importante des demandes de visas qui est de l'ordre de 35%. «Nous sommes ainsi passés entre l'automne 2013 et le printemps 2014, pour le seul consulat général d'Alger, de 900 à 1200 dossiers traités par jour. J'ai donné instruction pour que nous poursuivions dans ce sens, avec un objectif de 1500 dossiers traités par jour d'ici la fin 2014. L'objectif est simple : permettre davantage d'échanges humains entre nos deux pays pour favoriser nos échanges économiques, culturels et touristiques», a encore indiqué Bernard Emié.

Partenariat : une priorité stratégique

Au sujet des relations bilatérales tissées entre l'Algérie et la France, le diplomate fera savoir que le développement des relations économiques est au cœur de sa mission. «Renforcer notre partenariat est pour nous une priorité stratégique. Nous sommes déjà le deuxième partenaire économique de l'Algérie avec des échanges s'élevant à 10 milliards d'Euros en 2013. Nous sommes le premier investisseur hors hydrocarbures et le premier employeur étranger (…)

 Mon ambition - je ne suis pas sûr d'y parvenir mais j'y travaillerai sans relâche -est que nous redevenions le premier partenaire économique dans tous les domaines», a-t-il déclaré.

Il citera dans le même sillage la réunion du Comité mixte économique algéro-français (Comefa) qui se réunira, dit-il, le 10 novembre prochain à Oran en présence du Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et des ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron en charge respectivement des Affaires étrangères et de l'Economie. La tenue de la réunion du Comefa sera aussi l'occasion de procéder à l'inauguration de l'usine de production de véhicules Renault sise à Oued Tlelat, tiendra à confirmer l'ambassadeur de France en poste en Algérie.

Le terrorisme est un ennemi commun

Évoquant par ailleurs la coopération sécuritaire entre l'Algérie et la France, le diplomate français a qualifié «d'étroite et opérationnelle» la coordination entre les deux pays en matière de lutte antiterroriste.

«Le terrorisme est pour la France et l'Algérie un ennemi commun et nous devons lutter ensemble sans relâche contre ce fléau», dira encore Bernard Emié. Il a tenu à rappeler «la qualité de la coopération avec les autorités algériennes qui ont immédiatement mis en œuvre des moyens importants dès l'annonce de l'enlèvement d'Hervé Gourdel et qui se sont engagées après sa mort tragique à tout faire, pour d'une part retrouver le corps de notre compatriote et d'autre part retrouver et punir les auteurs de son assassinat», dira-t-il.

 «Nous sommes reconnaissants à l'Algérie pour les hommes et les moyens qu'elle mobilise et déploie à cet effet», a-t-il insisté. Bernard Emié, pour qui la coopération algéro-française est «intense, confiante, et concerne tous les domaines» n'omettra pas de rappeler dans son entretien accordé à l'APS la deuxième réunion du comité intergouvernemental de haut niveau prévue début décembre à Paris. Cette rencontre sera co-présidée par le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal et son homologue français Manuel Valls, précisera l'ambassadeur de France en Algérie.

 

 

ALGERIE/le secret le mieux gardé d'Algérie. L'assassinat de Boudiafe. Espionnage, le rôle de la Suisse !

Voilà comment la France éliminait les leaders qui voulaient libérer l'Algérie de l'oppression française et le rôle de la Suisse dans l'espionnage.

Algérie : Le secret le mieux gardé d'Algérie. L'assassinat de Boudiafe

Les Accords d'Evian, espionnage, révélations

 

Le Monde.fr | 18.03.2012 à 08h25 • Mis à jour le 18.03.2012 à 15h07 | Par Le Monde.fr Le document de 93 pages, signé par les deux délégations, réunies depuis onze jours à l'Hôtel du Parc, à Evian, décrète un cessez-le-feu. Il prévoit l'organisation rapide d'un référendum pour que les populations "choisissent leurs destins". Il définit un cadre pour les relations entre la France et la future Algérie indépendante. Sylvie Thénault, historienne, chargée de recherche au CNRS et spécialiste du droit de la répression, décrypte pour Le Monde.fr les accords qui ont mis fin à huit ans de guerre et ouvert la voie à l'indépendance algérienne, le 3 juillet 1962.

Arrivée de la délégation algérienne à Evian, le 17 mars 1962.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 18 mars 1962, Louis Joxe, ministre d'Etat chargé des affaires algériennes, annonce le dimanche, dans un communiqué, que la délégation française et les représentants du Front de libération nationale (FLN), emmenés par Krim Belkacem, étaient parvenus à un accord mettant fin aux combats engagés depuis le 1er novembre 1954 en Algérie.

 

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/03/18/que-prevoyaient-les-accords-d-evian-du-18-mars-1962_1671034_3212.html