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27/10/2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

On s'en serait douté avec les nazis occidentaux et de l'UE qui soutiennent le pouvoir nazi à Kiev !

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

Dossier: Ukraine: législatives 2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

13:54 27/10/2014

LONDRES, 27 octobre – RIA Novosti

Les législatives ukrainiennes de dimanche étaient une farce, affirme le rédacteur en chef de la revue britannique Politics First Marcus Papadopoulos.

"Les législatives en Ukraine étaient une farce, un outrage à la démocratie et une humiliation pour des millions d'Ukrainiens", a déclaré le journaliste.

Selon le sondage national à la sortie des urnes, sept partis politiques entreraient au parlement ukrainien. "Premièrement, le gouvernement ukrainien prooccidental chapeauté par Piotr Porochenko a employé la tactique de la violence et de l'intimidation pour réprimer les voix de la communauté russophone d'Ukraine, par exemple avec les parades néonazies récemment organisées à Kiev, à Odessa et à Kharkov, la destruction de monuments russes/soviétiques y compris consacrés à la Seconde Guerre mondiale, et les attaques physiques contre les politiciens russophones comme Piotr Simonenko", a-t-il expliqué.

Marcus Papadopoulos a également rappelé que les partis prorusses avaient, de fait, cessé d'exister en Ukraine. "Depuis le coup d'Etat de février soutenu par l'Occident, qui a permis de renverser un président démocratiquement élu, le gouvernement de Porochenko a utilisé les médias ukrainiens pour diaboliser le Parti des régions et le Parti communiste, les accusant d'être des traîtres et des agents du gouvernement russe".

D'après l'expert, de nombreux Ukrainiens n'avaient simplement aucun choix de vote aux dernières législatives. "Les gouvernements et les médias occidentaux reconnaissent les résultats des élections ukrainiennes mais la réalité est telle que des millions d'Ukrainiens n'ont pas voté - par peur ou parce qu'ils n'avaient personne à choisir. L'Ukraine est aujourd'hui un pays où des millions de citoyens sont persécutés par le gouvernement, soutenu par l'Occident en raison de son fond culturel. Ces gens sont devenus des sous-citoyens dans leur propre pays. L'Ukraine a rejoint la longue liste des pays illustrant amèrement la politique perfide de l'Occident", conclut Marcus Papadopoulos.

 

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© RIA Novosti. Ramil Sitdikov

 

 

Brésil : Dilma réélue, le Parti des Travailleurs confirmé !

Bravo ! Les BRICS ont donc pour l'instant la vie longue !

SOROS et la CIA battus par le peuple !

Dilma réélue, le Parti des Travailleurs confirmé !

Le Brésil est dans une mauvaise passe, avec une croissance écroulée, et une ambiance plombée par la corruption, (SOROS et la CIA), mais pour qui ne connait pas plus que ça la vie brésilienne, il faut croire que Dilma Rousseff et Lula ont vraiment transformé le pays, et marqué la vie des gens, car c’est un quatrième mandat de suite pour le Parti des Travailleurs, au pouvoir depuis 2003 ! Gouverner est partout aussi difficile, et franchement, cette longévité dans cet immense pays de 200 millions d’habitants,… faut le faire. Parlez-en un peu à votre Monsieur 3%…

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Le score est net, à 51,52% contre 48,48%, avec près de 20% de votes blancs, le scrutin étant obligatoire au Brésil. Pour l’opposant Aecio Neves, le chiffre est bon, surtout dans le Sud-Est, plus aisé, et qui avait le principal lieu du grand mouvement de protestation de juin 2013. Mais attention, cette base n’est pas si solide, car Aecio Neves a bénéficié au second tour du soutien inattendu de Marina Silva, l’écologiste. Les partis vont reprendre leur indépendance, et le Parti des Travailleurs reste donc nettement leader.

Marina Silva avait été en tête dans les sondages, avant de s’écrouler. Elle apportait la nouveauté attenue, mais le fait qu’elle soit évangéliste est apparu comme un obstacle, décisif. Aecio Neves est alors devenu le favori, et il a fallu que Dimla Rousseff et la machine du Parti des Travailleurs assurent une fin de campagne d’anthologie pour gagner cette présidentielle. Le résultat était loin d’être acquis, avec comme chiffres au premier tour : Dilma Rousseff à 41,6 %, Neves 33,6 %, et Da Silva 21,3. L’électorat de Da Silva s’est partagé de manière égale.

Dimla, que l’on admire tous pour son parcours, va avoir fort à faire, avec trois défis.

Le premier est politique, avec un pays qui ressort divisé. Le Nordeste et le Nord du pays, démunis, accordent plus de 70 % des voix à Dimla Rousseff, alors qu’au Sud-Est, plus riche, autour de Sao Paulo, Aécio Neves est souvent au-dessus de 60%.

Le second est économique. En quatre ans, la croissance s’est écroulée, passant de 7% par an à zéro, et la récession menace. L’inflation revient, et il sera difficile de ne pas réorienter le cours actuel de la politique, très social.

Enfin, la grande affaire qui empoisonne le climat est la corruption, avec beaucoup trop de trafics autour du Parti des Travailleurs, et beaucoup d’informations laissant entendre que Dimla était au courant. Les juges, bien enhardis, vont vite avancer… ce qui aidera peut-être aussi à renouveler le Parti des Travailleurs !

En attendant, bravo Dimla, grande dame de la politique.

Dilma19702

Les juges se planquent quand il faut juger la jeune militante, soumise à l’isolement et la torture

 

 

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26/10/2014

Egypte : l’État d'urgence isole Gaza. Les négociations Israël-Palestine repoussées

Tout pour plaire décidément pour ce pauvre Peuple enfermé dans sa prison à ciel ouvert et qui ne peut pas reconstruire tout ce qui a été détruit, avec 108 000 personnes sans abri encore à ce jour, alors que l'hiver arrive !

Des dizaines de milliers de logements ont été détruits ou endommagés durant les 50 jours de combats, laissant 108.000 personnes sans abri dans ce territoire isolé et appauvri, selon des rapports de l'Onu.

Les négociations Israël-Palestine repoussées

Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 26/10/2014 à 14:14
Publié le 26/10/2014 à 14:11

Le chef de la délégation palestinienne a annoncé dimanche que les négociations indirectes avec les Israéliens sur la trêve dans la bande de Gaza reprendraient après la mi-novembre au Caire et non lundi comme prévu initialement. Le report de ces pourparlers visant à consolider le cessez-le-feu entré en vigueur il y a exactement deux mois dans l'enclave palestinienne après 50 jours d'un conflit qui a fait près de 2200 morts côté palestinien, en majorité des civils, et plus de 70 côté israélien, quasiment tous des soldats, a été décidé après une attaque meurtrière dans le Sinaï égyptien.

Khalil al-Haya, dirigeant du Hamas à Gaza, avait indiqué plus tôt à la télévision du mouvement islamiste que ce report avait été décidé car les membres de la délégation vivant dans l'enclave palestinienne "ne peuvent quitter Gaza en raison de la fermeture du poste-frontière de Rafah", décrétée jusqu'à nouvel ordre par l'Egypte après qu'un attentat suicide a tué vendredi 30 soldats dans cette région, où l'état d'urgence a été décrété et où l'armée a mené des frappes aériennes contre des jihadistes.

Côté israélien, aucune confirmation n'avait été donnée dans l'immédiat.

Le 26 août, Israël avait conclu un accord de cessez-le-feu avec une délégation palestinienne comprenant des représentants du Hamas, du Jihad islamique et de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Seul l'arrêt des combats avait été annoncé et désormais les deux délégations doivent s'atteler aux questions épineuses, notamment le port et l'aéroport que les Palestiniens réclament à Gaza, une exigence fermement rejetée par Israël.

 

 

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
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Egypte : l’État d'urgence isole Gaza

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Egypte : l’État d'urgence isole Gaza

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Eugénie Barbezat
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Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Palestine : Création de l’Etat de Palestine : la Russie soutient la résolution !

Que ce peuple soit aidé pour retrouver la Paix et la Liberté après près de 67 ans de colonisation par l'état terroriste/sioniste !

24 octobre, 16:38

Délais concrets pour la création de l’Etat de Palestine : la Russie soutient la résolution

Par La Voix de la Russie | C’est officiel, la Russie va soutenir le projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU concernant les délais de la création d’un Etat palestinien.

Une résolution pour rappel préparée et proposée par les représentants de la Palestine. Quant à la position russe, elle a été annoncée il y a un peu plus d’une semaine par le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhail Bogdanov.

Néanmoins, ce qui risque comme d’habitude de poser problème, c’est l’attitude des pays occidentaux, USA en tête. Ces derniers étant les principaux alliés d’Israël (tout comme l’Etat sioniste est le principal allié des USA au Moyen-Orient), ils vont vraisemblablement s’opposer à cette résolution palestinienne, poursuivant ainsi la très longue tradition de discrimination à l’égard du peuple martyr de Palestine.

Les autres Etats occidentaux : ceux d’Europe occidentale, le Canada, l’Australie et quelques autres satellites, ont de grandes « chances » de suivre également et comme à l’accoutumée le maitre étasunien. Seule la Suède en tant que membre de l’Union européenne, s’est récemment démarquée en annonçant qu’elle allait reconnaitre à son niveau l’Etat palestinien. Washington n’a d’ailleurs pas tardé à réagir, par le biais de sa porte-parole clownesque du département d’Etat, Jennifer Psaki, en jugeant cette décision de « prématurée ».

Pour revenir à la Russie, le vice-ministre russe a été plus que clair en s’exprimant devant les journalistes en marge de la conférence internationale sur la reconstruction de la bande de Gaza : « Je ne vois même pas de raisons pour critiquer ce texte et cette volonté des Palestiniens d’appeler une fois de plus à examiner cette situation, d’autant plus dans le cadre de l’ONU. Aussi, disons-nous aux Palestiniens que si telle ou telle option vous convient, nous vous soutiendrons en amis. Vous savez mieux que quiconque ce dont vous avez besoin et la façon d’atteindre l’objectif escompté. Nous estimons que la cause palestinienne est une cause juste, en ayant en vue que chaque peuple a le droit à l’autodétermination allant jusqu’à la création de son propre Etat ».

Difficile d’y ajouter quelque chose si ce n’est qu’effectivement la Palestine, après des décennies de souffrances liées à l’occupation et la colonisation israélienne, se doit d’obtenir des délais concrets pour la création de son Etat, complètement indépendant et souverain, et non plus se baser sur des promesses occidentales qui ne font que répéter l’éventualité d’un hypothétique Etat de Palestine, sans aucune date ni garantie, le tout en faveur des intérêts de l’Etat israélien et de sa politique d’occupation.

Il serait également juste de dire que vraisemblablement nous sommes arrivés à une époque où il est grand temps de passer à l’acte. La Palestine est déjà reconnue en tant qu’Etat par une très grande majorité de pays de la planète. Pratiquement tous les pays d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique latine lui reconnaissent un statut diplomatique et accueillent des représentations diplomatiques palestiniennes sur leurs territoires. L’exception étant une fois encore les USA, le Canada, l’Europe occidentale, l’Australie et quelques autres. Alors comment se fait-il que dans le nouveau monde multipolaire dans lequel nous vivons désormais, la Palestine ne pourrait pas arracher sa place au concert des nations libres qui lui revient de droit ? De quel « droit » une extrême minorité continuera au XXIème siècle à faire croire qu’elle représente« l’exceptionnalisme, le droit universel et toute la communauté internationale », tout en sachant parfaitement qu’ils sont bien minoritaires au sein de l’humanité toute entière. Surtout lorsqu’on sait aussi qu’un très grand nombre de citoyens des pays occidentaux, y compris des USA, soutiennent activement la cause palestinienne.

Après les plus ou moins récentes victoires diplomatiques et géostratégiques des nations BRICS, il est grand temps d’associer la Palestine à une nouvelle victoire de ce monde multipolaire, et surtout de permettre ainsi à son peuple qui souffre depuis bien trop longtemps, l’obtention de la vie qu’il mérite, comme toute autre nation libre. /N


Source : http://french.ruvr.ru/2014_10_24/Delais-concrets-pour-la-...

La Russie appelle à lutter contre le néonazisme en Europe

Et la Russie ne se trompe pas quand elle appelle à lutter contre le néonasizme en Europe et dans le monde !

La Russie appelle à lutter contre le néonazisme en Europe

Partisan du mouvement radical ukrainien Secteur droit
16:55 25/10/2014

KIRKENES, 25 octobre - RIA Novosti

La Russie est persuadée que la communauté mondiale doit tout faire pour éviter l'apparition de néonazis en Europe, y compris en Ukraine, a déclaré samedi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, en visite en Norvège.

 

"Nous jugeons nécessaire d'évoquer le problème de la renaissance des tendances néonazies en Europe, y compris en Ukraine, à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du nord de la Norvège des nazis (...). Nous sommes persuadés qu'il faut tout faire pour éviter l'apparition de nouveaux Bandera, Choukhevitch et Quisling" (collaborationnistes pendant la Seconde guerre mondiale-ndlr.), a indiqué M.Lavrov lors d'une rencontre avec les anciens combattants russes et norvégiens.

 

Le ministre russe a déposé samedi une gerbe devant un monument au Soldat-libérateur soviétique à Kirkenes. Il a remercié les Norvégiens pour l'ambiance de fête qu'ils ont créée à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du nord de la Norvège des occupants nazis par l'Armée rouge.

 

 

Stepan Bandera (1909-1959), dirigeant de l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), a été l'un des fondateurs de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA) en Ukraine occidentale. Il a participé à la création de la Légion ukrainienne sous commandement de la Wehrmacht.

Roman Shoukhevitch (1907-1950) est l'un des dirigeants des nationalistes ukrainiens. En 1941, il a participé à des opérations punitives sur les territoires occupés de l'Ukraine. Devenu commandant en chef de l'UPA en 1943, il a dirigé les actions militaires contre les troupes soviétiques en Ukraine. 

Vidkun Quisling (1887-1945) est un collaborationniste et national-socialiste norvégien, ministre-président de la Norvège de 1942 à 1945.

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