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27/03/2010

"1984" d'Orwell, là où nous mène le "libéral-fascisme"...

23.03.2010



Pendant longtemps, on pouvait penser que la société future serait celle du "meilleur des mondes" d'Aldous Huxley.

Mais aujourd'hui, il semble que nous nous rapprochons de plus en plus de ce qu'avait imaginé George Orwell dans "1984", un régime totalitaire, ultra-répressif, et où tout le monde est sous la surveillance électronique de "Big Brother" qui vous épie en permanence, jusque dans votre appartement...





 

 

 

 

 

 

Partout, des écrans de télévision et des haut parleurs répètent les slogans du régime:

"La guerre, c'est la paix"

"La liberté, c'est l’esclavage"

"L'ignorance, c'est la force"


On voit là le principe des dictatures fascistes, l'inversion de la réalité.

Très bien illustré aussi par le slogan nazi inscrit à l'entrée de tous les camps de concentration: "Arbeit macht frei", "le travail rend libre"

Dans "1984", le "ministère de la paix" (Minipax en novlangue) s'occupe en fait de la guerre. Le "ministère de la vérité" (Miniver) est le ministère de la propagande et du mensonge. Le "ministère de l'amour" (Miniamour) s'occupe de la torture. Et le "ministère de l'abondance" (Miniplein) organise la famine.

La "novlangue" est une simplification du langage destinée à entrainer un appauvrissement de la pensée des gens, avec des mots qui sont chargés du minimum de sens et du minimum de charge affective, afin que l'homme pense le moins possible, se pose le moins de questions, n'ait pas le moindre doute. Les pensées subversives ne peuvent alors même plus se concevoir...

Par exemple, en novlangue, le contraire du mot "bon" est "inbon". Le mot "mauvais", trop compliqué et sujet à réflexion, a disparu des dictionnaires et des livres, tous réécrits en novlangue.


L’Angsoc, régime de l’Océania, divise le peuple en trois classes sociales:
- le "Parti Intérieur", la classe dirigeante
- le "Parti Extérieur", les travailleurs moyens (les exécutants)
- et les "prolétaires", la sous-classe s’entassant dans les quartiers sales.

Ce qui correspond aux 3 grands groupes d'individus qu'on retrouve dans notre société:

"Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."

Nicholas Murray Butler (président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR, Council on Foreign Relations)




Extraits de 1984:

"Le ministère de la Vérité - Miniver, en nov-langue - frappait par sa différence avec les objets environnants. C'était une gigantesque construction pyramidale de béton d'un blanc éclatant. Elle étageait ses terrasses jusqu'à trois cents mètres de hauteur. De son poste d'observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l'inscription artistique des trois slogans du Parti:

La guerre c'est la paix

La liberté c'est l'esclavage

L'ignorance c'est la force.


Le ministère de la Vérité comprenait, disait-on, trois mille pièces au-dessus du niveau du sol, et des ramifications souterraines correspondantes. Disséminées dans tout Londres, il n'y avait que trois autres constructions d'apparence et de dimensions analogues. Elles écrasaient si complètement l'architecture environnante que, du toit du bloc de la Victoire, on pouvait voir les voir toutes les quatre simultanément. C'étaient les locaux des quatre ministères entre lesquels se partageait la totalité de l'appareil gouvernemental.

Le ministère de la Vérité, qui s'occupait des divertissements, de l'information, de l'éducation et des beaux-arts. Le ministère de la Paix, qui s'occupait de la guerre. Le ministère de l'amour qui veillait au respect de la loi et de l'ordre. Le ministère de l'Abondance, qui était responsable des affaires économiques. Leurs noms, en nov-langue, étaient : Miniver, Minipax, Miniamour, Miniplein.

Winston fit brusquement demi-tour. Il avait fixé sur ses traits l'expression de tranquille optimisme qu'il était prudent de montrer quand on était en face du télécran."




"Nous ne cherchons pas le pouvoir en vue de nos propres fins, mais pour le bien de la majorité tel que nous le définissons. Les hommes, ces créatures frêles et lâches, ne peuvent endurer la liberté ni faire face à la vérité. Ils doivent être dirigés par ceux qui sont plus forts qu'eux. L'espèce humaine a le choix entre la liberté et le bonheur, or le bonheur vaut mieux.

Le bien des autres ne nous intéresse pas, nous ne recherchons que le pouvoir, le pur pouvoir. Les nazis et les communistes se rapprochent beaucoup de nous par leurs méthodes, mais ils n'eurent jamais le courage de reconnaître leurs propres motifs. Ils prétendaient s'être emparés du pouvoir pour une période limitée; passé le point critique, il y aurait un paradis où les hommes seraient libres et égaux. Nous ne sommes pas ainsi, nous savons que jamais personne ne s'empare du pouvoir avec l'intention d'y renoncer. On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution. On fait une révolution pour établir une dictature. La persécution a pour objet la persécution. La torture a pour objet la torture. Le pouvoir a pour objet le pouvoir.

L'esclavage c'est la liberté. Seul, libre, l'être humain est toujours vaincu. Mais s'il renonce à son identité, s'il se soumet entièrement et totalement, il se fond dans le pouvoir collectif, il est alors tout-puissant et immortel."


"Ce pouvoir est aussi le pouvoir sur d'autres êtres humains, sur les corps mais surtout sur les esprits. Le pouvoir sur la matière n'est pas important, notre maîtrise de la matière est déjà absolue. Ce qui importe c'est de commander à l'esprit. La réalité est à l'intérieur du crâne... Le réel pouvoir, le pouvoir pour lequel nous devons lutter jour et nuit, est le pouvoir non sur les choses, mais sur les hommes. Comment assure-t-on le pouvoir sur un autre? En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. Comment, s'il ne souffre pas, peut-on être certain qu'il obéit, non à sa volonté, mais à la nôtre?

Le pouvoir est d'infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l'esprit humain en morceaux que l'on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l'on a choisies. Commencez-vous à voir quel sorte de monde nous créons? Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d'écraseurs et d'écrasés, un monde qui au fur et à mesure qu'il s'affinera deviendra plus impitoyable. Le progrès dans notre monde sera le progrès vers plus de souffrance. Notre civilisation est fondée sur la haine; il n'y aura pas d'autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l'humiliation. Nous détruirons tout le reste.

Nous avons coupé les liens entre l'enfant et les parents, entre l'homme et l'homme, entre l'homme et la femme. Mais plus tard, il n'y aura ni femme ni ami. Les enfants seront à leur naissance enlevés aux mères, comme on enlève leurs oeufs aux poules. La procréation sera une formalité annuelle, comme le renouvellement de la carte d'alimentation. Il n'y aura plus de loyauté que pour le pouvoir. Tous les plaisirs de l'émulation seront détruits remplacés par l'ivresse toujours croissante du pouvoir, qui s'affinera de plus en plus. Il y aura à chaque instant, le frisson de la victoire, la sensation de piétiner un ennemi impuissant... Autant qu'un monde de triomphe ce sera un monde de terreur... Nous commanderons à la vie à tous ses niveaux.

Vous imaginez qu'il y a quelque chose qui s'appelle la nature humaine qui sera outragée par ce que nous faisons et se retournera contre nous. Mais nous créons la nature humaine. L'homme est infiniment malléable.

Tel est le monde que nous préparons. Un monde où les victoires succèderont aux victoires et les triomphes aux triomphes, un monde d'éternelle pression, toujours renouvelée, sur la fibre de la puissance. Vous commencez à réaliser ce que sera ce monde. À la fin vous ferez plus que le comprendre, vous l'accepterez, vous l'accueillerez avec joie, vous en demanderez votre part en idolâtrant vos propres bourreaux."

http://blog.syti.net/index.php?article=281

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Le Méchant Lait ?




Par Marie, pour le collectif "Nos Libertés", le 14 mars 2010.

Carol Vachon, biologiste québécois, chercheur et enseignant universitaire a publié un ouvrage passionnant sur le sujet du lait en 2002 : “Pour l’amour du bon lait”. Nous vous livrons quelques extraits de son ouvrage :

Extraits :

“L’humain s’est mis à consommer le lait de ses animaux domestiques il y a environ 10 000 ans. Voilà une tradition bien ancienne qui en démontre le bien fondé puisque, eût-elle été nocive, nous nous en serions rendu compte il y a bien longtemps. Une tradition n’est-elle pas une nouveauté qui a bien marché ?”

[...]

“À la fin du XIXe siècle, les épidémiologistes affirmaient que la consommation de lait cru était contraire à la bonne santé. On voyait dans le lait cru un riche milieu de microbes dangereux. Il servait de vecteur de la tuberculose, de la brucellose, de la fièvre aphteuse et d’autres maladies infectieuses. Il fallait le pasteuriser, c’est-à-dire le chauffer à une température suffisante pour y détruire les microbes.”

[...]

“Le lait maternel contient une multitude de facteurs naturels de protection pour le petit qui va le boire. Ces facteurs sont très importants pour sa santé. Tous les laits sont ainsi qu’ils soient d’humain, de vache, de brebis, etc. Il semble que ces facteurs expliquent en bonne partie, la supériorité du sein sur le biberon : les nourrissons au sein sont moins souvent malades et souffrent moins d’infections. La revue “Scientific American” a publié une excellente vulgarisation sur ces facteurs naturels du lait, en 1995. Entre autres, ils comprennent des anticorps, des cellules immunitaires, des agents antibactériens, des enzymes, etc. Ces facteurs naturels agissent comme autant de médicaments naturels pour le nourrisson. À la perte de ces facteurs naturels suite à la pasteurisation, il faut ajouter la dénaturation des protéines, gras, etc. ce qui réduirait les propriétés de santé du lait.”

[...]

“Pour différentes raisons, on a évalué les conséquences de la pasteurisation sur le lait humain. Entre autres, elle détruit les lymphocytes (globules blancs sanguins), des immunoglobulines et autres anticorps. Évidemment, ces éléments servent à protéger le nourrisson contre les infections et à faciliter une croissance en harmonie. La pasteurisation réduit aussi la lactoferrine, une protéine essentielle à l’absorption du fer par le nourrisson. Or, la lactoferrine aide également à lutter contre les contaminations intestinales et les infections. La pasteurisation réduit aussi la lipase du lait, une enzyme de l’assimilation des gras.”

[...]

“Pourquoi le lait cru de vache, qui a à peu près les mêmes propriétés, ne nous serait-il pas bénéfique ? Il semble « inconvenant » pour être poli, d’approfondir la question. À l’inverse, loin de nous l’idée de blanchir totalement le lait, même cru. Il peut causer des intolérances et des allergies chez certains individus, qui sont documentées depuis plus de 2000 ans. Mais, il faut être juste la plupart des aliments peuvent entraîner ces réactions négatives. Affirmer que le lait cru guérit tout ou, au contraire, qu’il n’est bon pour personne sont des positions à rejeter.”

[...]

“Des scientifiques de l’Institut néerlandais de recherches laitières, dirigés par Northolt, ont fortement contaminé expérimentalement du lait cru avec de la listeria. À 4°C, le lait cru a empêché la multiplication de la listeria sur une période de 7 jours et même l’a réduite dans les 3 premiers jours. Au contraire, la bactérie a proliféré dans du lait pasteurisé, allant jusqu’à se multiplier par dix fois. De plus, il se retrouvait moins de la bactérie dans le fromage fait de ce lait cru, que la valeur prévisible, ce qui suggère que ce fromage y gagne en sécurité. Il n’est pas tenu compte de ces données à cause des clichés contre le lait cru.”

[...]

“À 4°C, un lait cru diminue considérablement le nombre de Campylobacter jejuni, même après contamination avec une grande quantité de la bactérie. À 21°C, il l’élimine en moins de 48 heures; En fait, il est difficile de trouver cette bactérie dans le lait cru. À l’inverse, elle survit très bien dans un lait pasteurisé.”

[...]

“Une intolérance n’est pas une réaction immunologique, mais une difficulté de l’organisme à « gérer » une substance. Il n’y a donc pas de production d’anticorps. Dans l’intolérance au lactose, l’individu ne produit pas ou peu de lactase, l’enzyme intestinale qui digère le lactose. Souvent cette perte de lactase s’effectue autour de l’âge de cinq ans. Diarrhée, douleurs et ballonnements, maux de tête, etc. sont les symptômes les plus habituels de l’intolérance au lactose.”

[...]

“L’abandon de l’allaitement maternel a favorisé les allergies, en particulier au lait de vache. L’abandon de l’allaitement au sein prive le nourrisson de protections naturelles issues du lait maternel, l’aidant à construire sa muqueuse intestinale et son système immunitaire. Mal bâtie, la « douane intestinal » de ces nourrissons deviendrait perméable et laisserait passer dans le sang des protéines qui ne devraient pas passer.”

[...]

“Il y a 20 ans, une jeune femme se fait conseiller d’arrêter les produits laitiers par son médecin, afin de corriger des fermentations et autres troubles intestinaux qui sont manifestement la conséquence d’une intolérance au lactose. Elle a alors 18 ans. Plus tard, elle découvre qu’elle peut consommer amplement de la crème crue, mais pas une seule cuillère de crème pasteurisée. Ses symptômes sont également provoqués par la crème glacée. Elle essaie le lait cru et découvre, à sa grande surprise, qu’elle le tolère bien. Plus tard, elle constate que sa fille se plaint de maux de tête avec le lait pasteurisé, mais pas avec le lait cru. C’est un symptôme de l’intolérance au lactose.”

[...]

“Un bébé est allaité deux mois, puis nourri aux formules lactées pour nourrisson qu’il supporte mal. Elles lui occasionnent coliques, selles liquides, faim persistante mais pas les manifestations allergiques classiques. Il est mis au lait de chèvre, puis au lait commercial. Rien n’y fait. Vers un an, il reçoit du lait cru, avec l’approbation de la pédiatre, ce qui est assez surprenant de la part de ces spécialistes qui voient le lait cru d’un mauvais œil. Tous les troubles disparaissent, même lorsque les parents pasteurisent ce lait à la maison.”

[...]

“Un producteur de cheddar au lait cru cesse sa production et se met au cheddar pasteurisé. Apparaît une constipation, alors qu’il pouvait prendre quantité de cheddar au lait cru sans problème.”

[...]

“Dans son numéro du 8 mai 1937, la prestigieuse revue médicale anglaise “The Lancet”, rapporte les débats au parlement de Londres soulevés par un projet de loi en faveur de la pasteurisation obligatoire. Lord Cranworth trouvait qu’on y allait un peu fort et que l’on cédait à la panique. Il se posait des questions sur l’événement qui avait entraîné la déposition du projet de loi : un épisode de typhoïde dans un comté du sud de l’Angleterre. Les autorités administratives l’attribuaient au lait cru, mais pas les gens sur place, disait-il. Affirmant qu’il y avait beaucoup plus de gens souffrant de tuberculose parmi ceux qui ne consommaient pas de lait cru. Lord Cranworth révéla que dans les districts de ce comté où le lait pasteurisé n’était pas disponible, non seulement il y avait moins de tuberculose, mais cette dernière avait baissé plus fortement que dans les villes où le lait était pasteurisé. Il estimait donc que le lait cru protégeait contre les infections. On lui répondit que le seul désavantage de la pasteurisation était la destruction de la vitamine C et qu’elle pouvait être remplacée en donnant des jus de fruits aux enfants. Lord Cranworth présenta alors une étude du docteur A.H. Macdonald, un médecin ayant effectué une étude exhaustive du sujet. Ses conclusions étaient que : Les enfants mis au lait cru étaient en forme. Ils avaient moins de caries dentaires. Leur résistance à la tuberculose et autres infections était accrue. Dans une école fréquentée par 750 garçons à qui on servait du lait cru, un seul cas de tuberculose non pulmonaire se déclara en cinq ans, comparativement aux 14 cas survenus durant les cinq années précédentes, alors qu’ils recevaient du lait pasteurisé.”

Pour aller plus loin on pourra acheter l’ouvrage : site de l’auteur.
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Le premier médicament ? Le Soleil



Par Julien, pour le collectif "Nos Libertés", le 15 mars 2010.

Le soleil est à la base de toute vie sur Terre. Sans lui pas de lumière. Pas de lumière pas de vision, pas de couleur, pas d’observation, pas de science, pas de création artistique. Sans soleil, pas d’oxygène, pas de plante, pas d’animaux, pas d’humain. Sans soleil, la Terre serait un désert. Et pourtant, que faisons-nous de ce créateur ? Quelles sont les prières qui lui y sont dédiées ? Où sont les scientifiques qui travaillent sur son sujet ? Avant l’invention des trois religions monothéistes (juive, chrétienne, musulmane) le soleil était l’élément central de la majorité des religions ou civilisations : égyptienne, maya, aztèque, inca, etc. Mais, le soleil a un gros problème : il est gratuit et ne rapporte d’argent à personne. Qui va faire la promotion d’une chose gratuite ? Quel marchand du temple défendra une chose qui n’appartient à personne ? Le soleil n’a pas d’agence de publicité, pas de « fabricant de propagande », mais il n’est pas seul dans son cas; le ciel, les nuages, l’air, le vent, la pluie, la terre, l’eau, les arbres, les insectes, la conversation, la politesse, la courtoisie, la tolérance, la lenteur, la sieste, le vin, le tabac, les langues mortes, les artisans, les paysans, les anarchistes, les poètes, les sculpteurs, les peintres, les paysans, les boulangers, les charcutiers, les bistrotiers, etc. Le soleil est à la base de notre présence sur Terre et nous ferions bien de ne pas l’oublier dans les méandres de la propagande des marchands de savon.

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La rapport Goldstone

Goldstone.JPG

Après l'offensive guerrière de l'armée israélienne contre Gaza, l'organisation des Nations-Unies a décidé d'une enquête internationale, menée par le juge sud-africain Richard Goldstone.

Celui-ci a conclu à la gravité des violations du droit international et à des actes pouvant être assimilés à des crimes de guerre, voire des crimes contre l'humanité.

Le rapport a été adopté par l'Assemblée générale des Nations-Unies qui a demandé la saisine du Tribunal Pénal International. Ce rapport est caché. L'Humanité le dévoile.

Elle en publie l'essentiel, ainsi que ses conclusions dans un petit livre préfacée par Stéphane Hessel, ancien ambassadeur.

http://www.humanite.fr/laboutique/


 

 

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L’Iran pour oublier la colonisation israélienne

Article paru
le 26 mars 2010

De nouvelles sanctions pourraient être décidées contre Téhéran. Une question jamais posée s’agissant d’Israël, alors que la colonisation défie les résolutions internationales.

Même si le dossier nucléaire iranien n’a jamais quitté l’agenda international, la concomitance entre le voyage du premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, à Washington, et la promptitude de l’administration américaine à replacer Téhéran au centre des préoccupations internationales n’est sans doute pas dénuée d’arrière-pensées, alors qu’Israël met en avant le « danger iranien » et se dit prêt à intervenir militairement. Les six puissances chargées du dossier nucléaire iranien ont discuté, mercredi, de nouvelles sanctions contre l’Iran.

Celles-ci, rédigées par les États-Unis, appuyées par leurs alliés occidentaux, ont été soumises à la Russie et à la Chine il y a plusieurs semaines. Mais aucune discussion de fond n’a encore eu lieu, essentiellement à cause du refus de la Chine de s’y engager. Pékin et Moscou étant membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, toute résolution qui se veut coercitive nécessite leur approbation pour éviter tout veto et donc tout flop politique. Les sanctions envisagées visent essentiellement le corps des gardiens de la révolution, proches du président iranien, Mahmoud Ahmadinejad. « La Chine est fermement attachée au régime de non-prolifération nucléaire. Une solution doit être trouvée par la voie de discussions et de négociations pacifiques. La Chine a toujours été en faveur de la diplomatie. Nous travaillons maintenant avec d’autres États membres pour trouver une solution pacifique », a cependant précisé le nouvel ambassadeur de Chine à l’ONU, Li Baodong. La Turquie, dont le rôle politique et diplomatique dans la région ne cesse de se préciser – Ankara est le seul pays musulman à avoir signé des accords militaires avec Tel-Aviv et, surtout, contrôle les sources du Tigre et de l’Euphrate –, a déclaré vouloir défendre une solution diplomatique sur le nucléaire iranien. Une téléconférence est prévue la semaine prochaine entre les États-Unis, la France, la Russie, la Chine, la Grande-Bretagne et l’Allemagne. Netanyahou sait jouer de cette corde. Si Barack Obama n’a fait aucune déclaration à l’issue de leur entretien, il s’est immédiatement rapproché des responsables européens. L’attitude d’Israël, qui défie la communauté internationale par la poursuite de la colonisation, s’en trouve ainsi minimisée.

Pierre Barbancey

Humanité

 

 

03:39 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |