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29/01/2010

Davos : le suicide du chef de la sécurité !

On élimine un témoin gênant ?


Nous serions à la veille du cataclysme, sauf si la vérité est révélée à temps
Info à prendre avec les réserves qui s'imposent...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...


Le flic en chef du Davos a été suicidé dans son hôtel avec 2 balles dans la tête...
Il paraît qu'il avait entendu parler des huiles élitistes comme quoi la phase 2 définitive du Krach systémique était imminente... pour déclencher la 3° Guerre Mondiale.


Les marchands de canons et les banquiers internationaux sont ceux qui s'enrichissent dans les guerres, qui permettent aussi de réduire la population...


Cela aurait fait jaser s'il avait cafté...
http://www.whatdoesitmean.com/index1328.htm
Extrait : FSB reports circulating in the Kremlin today are stating that the Swiss Police Commander heading security at the World Economic Forum in Switzerland , Markus Reinhardt, was “suicided” after his discovering that the Davos summit was planning for the “final collapse” of the Global Banking system in preparation for Total War.


Qui assiste au Davos ?
voir dépêche Bloomberg :
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=a...
Extrait :
More than 2,500 political, business and financial leaders are gathering in Davos, Switzerland, this week for the 40th World Economic Forum. Attendees include European Central Bank President Jean-Claude Trichet, Microsoft Corp. Chairman Bill Gates, and French President Nicolas Sarkozy.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/26/01011-201001...

http://www.tdg.ch/actu/suisse/chef-securite-forum-davos-s...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...



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Qui a planifié le pillage des musées nationaux irakiens ?

Faut bien faire disparaître toutes les traces des Sumériens et des Annunakis, n'est-ce pas ?

 

Trafics coloniaux
Qui a planifié le pillage des musées nationaux irakiens ?
par R. N.

En une semaine, les sept plus grands musées nationaux irakiens ont été pillés et la Bibliothèque nationale a été incendiée. Le plus vieil État du monde a été dépossédé de l’essentiel de ses trésors archéologiques et artistiques sous le regard impassible des forces de la Coalition. Cependant, alors que ces événements ont été présentés par les agences de presse états-uniennes comme une conséquence du chaos dans lequel le pays est plongé, des personnalités internationales n’ont pas tardé à dénoncer une vaste opération de spoliation organisée par un groupe de marchands d’art occidentaux. L’UNESCO a appelé à l’interdiction de commercialisation des œuvres volées. Le président Chirac a qualifié ces cambriolages de « crimes contre l’humanité » insinuant qu’ils auraient pu être ordonnés par un gouvernement. Pour éviter que le scandale ne rejaillisse sur la Maison-Blanche, le conseiller aux Affaires culturelles du président Bush a présenté sa démission.

17 avril 2003

Les pillages ont eu lieu dans des villes « libérées » par la Coalition. Asif Mohammed, conservateur du musée de Mosul, qui fait partie de la liste des institutions culturelles pillées, a attesté à nos confrères du Guardian de la présence des troupes états-uniennes dans la ville lorsque le pillage a eu lieu.

Pourtant, aucune action n’a été entreprise pour protéger le musée. Même scénario lors du saccage du Musée National de Bagdad, dont 80 % des quelques 150 000 pièces ont été dérobées, selon Moayyed Saïd al-Damergi, conseiller de l’ancien ministre de la Culture.« Les chars américains étaient stationnés devant l’entrée principale du musée, lorsque les pillards l’ont mis à sac sous le nez des soldats », affirme M. Damergi, professeur d’Archéologie à l’université de Bagdad, rapporte une dépêche AFP, « nous avons demandé de l’aide aux soldats pour s’opposer aux pillards, mais ils nous ont répondu qu’ils n’avaient pas d’instructions pour intervenir ».

Les plus éminents archéologues avaient prévenu la Coalition des risques de vols aux conséquences désastreuses. Des spécialistes états-uniens avaient été reçus au Pentagone bien avant le début des combats afin de sensibiliser les militaires à « la probabilité des pillages de sites historiques », identifiant les sites sensibles à protéger. « Ils étaient informés. Tout ça aurait pu être évité » dénonce Jeremy Black, spécialiste de l’Irak antique à l’université d’Oxford. Mais de manière paradoxale, malgré les mises en gardes adressés par des experts internationaux, rien n’a été entrepris pour empêcher le hold-up de musées.

La Coalition a argué dans un premier temps que cette mission n’était pas de son ressort, puis, devant l’émoi international, elle se pose aujourd’hui en preux défenseur du patrimoine culturel irakien. Le secrétaire d’État états-unien, Colin Powell, a déclaré, le 14 avril à Washington, que « les États-Unis appellent la population à rendre tout objet volé et lui donnent des instructions sur la façon de procéder. Le Bureau de la reconstruction et des affaires humanitaires aidera les Irakiens et les experts internationaux à restaurer les objets et à reconstituer les catalogues endommagés par les pilleurs ». Malheureusement trop tard. On ne peut que déplorer que l’armée états-unienne n’ait pas eu le même empressement à protéger les musées qu’à sécuriser les puits de pétrole.

À Bagdad, le seul bâtiment officiel protégé par les forces coalisées durant les pillages était le ministère du Pétrole. Il est communément admis que le pétrole irakien est convoité par les états-uniens. Mais d’autres faits laissent penser que leur convoitise ne s’arrête pas là.

Le professionnalisme des pillages prouve qu’ils ne peuvent être le fait de la seule population irakienne. Si des citoyens ordinaires y ont sans doute pris part, tout semble indiquer que des professionnels du marché de l’art antique y ont également participé. Donny George, directeur de recherche et d’études au Musée National Irakien de Bagdad, est convaincu que les voleurs étaient des professionnels. Dans une déclaration à l’AFP, il affirme « que [les pillards] n’ont pas touché aux copies, ils ont volé les originaux. C’est une opération de vol organisé ». Le directeur de ce même musée parle, lui, de complicités internes, les pillards ayant mis la main sur les œuvres les plus précieuses alors que celles-ci avaient été placées en chambre forte au début des bombardements sur Bagdad. Selon The Independent, les ordinateurs du Musée National de Bagdad, qui contenaient le recensement des collections, ont été vandalisés au point que l’on ignore encore à l’heure actuelle si les informations stockées sur les disques durs sont récupérables ou non. La disparition de ce recensement compliquerait singulièrement les dispositifs visant à empêcher la revente des œuvres sur le marché international. Autrement dit, des professionnels n’auraient pu mieux faire.

Dans une lettre adressée aux États-membres de la Coalition, publiée dans le Guardian, neuf éminents archéologues appellent à une protection des institutions culturelles et à une vigilance internationale pour empêcher la revente d’objets d’art irakiens volés. Ces experts dénoncent également avec indignation un groupement créé en 1994, l’American Council for Cultural Policy (ACCP), qui, selon le New York Times, a négocié avec le département d’État et le département de la Défense états-uniens avant le début du conflit pour assouplir la législation qui protège l’Irak de la spoliation de son patrimoine historique. Le but serait de pouvoir exporter d’Irak des antiquités, commerce interdit depuis la fin du mandat britannique, en 1924, par une loi, renforcée en 1975. La crainte de ces archéologues est que les États-Unis profitent du gouvernement de tutelle qu’ils installent en Irak pour modifier et assouplir la législation locale sur l’exportation des œuvres d’art et d’antiquités, et ainsi accéder à la requête de l’ACCP.

L’héritage culturel irakien est-il menacé ? La Coalition affiche officiellement un souci d’épargner les sites historiques de tout bombardement. Elle ne manque pas de faire savoir qu’elle a mis en place une section chargée « de la protection du patrimoine irakien », dirigée par un officier réserviste, anthropologue dans le civil, et affiche un grand souci de ne pas provoquer de catastrophe archéologique. Mais les tractations de la Coalition avec l’ACCP et la non-intervention de ses soldats accréditent la thèse d’un pillage organisé dans la plus pure tradition coloniale.

Le principal but avoué par le président de l’ACCP, Ashton Hawkins, avocat spécialisé dans le commerce d’art, est d’unir ses membres influents comme un contrepoids aux législations « rétentionnaires » des pays riches en patrimoine archéologique. L’ACCP souhaite également la révision du Cultural Property Implementation Act (Convention états-unienne de 1983 destinée à freiner le pillage culturel et historique), pour réduire à néant les efforts faits par des nations étrangères pour bloquer l’importation de leurs antiquités aux États-Unis. Le troisième combat officiel de l’ACCP est de décourager le recours à la jurisprudence connue sous le nom de 1977 US v McClain, qui s’appuie sur le National Stolen Property Act (loi états-unienne qui punit tant le voleur que le receleur. Elle a permis, en février 2002, la condamnation de Frederick Schultz, grand marchand d’antiquités américain, ancien président de la National Association of Dealers in Ancient, Oriental and Primitive Art, pour avoir reçu en connaissance de cause d’un négociant anglais des antiquités égyptiennes volées.)

Convaincu par la doctrine libérale de l’administration Bush, Ashton Hawkins tient à préciser que, pour l’ACCP, « la dispersion du matériel culturel à travers le marché est l’un des meilleurs moyens pour le protéger ».

Depuis que le monde archéologique dénonce dans la presse ses agissements, l’ACCP dément toute accusation de vouloir faire modifier la législation irakienne sur les antiquités et met au contraire en avant l’offre qu’elle aurait faite au Pentagone d’apporter une aide financière et matérielle pour la conservation des œuvres ainsi que pour la reconstruction des institutions culturelles irakiennes. Les tractations en vue de libéraliser le marché de l’art antique avec le gouvernement états-unien avaient pourtant été jugées « encourageantes », avant le début des pillages.

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Pr. McGuire Gibson

Sur instructions du secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, le directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, a multiplié les initiatives. Il a envoyé, avec l’aide du British Museum, une mission sur place pour évaluer l’ampleur des vols. Il a organisé ce matin, à Paris, une consultation d’experts pour définir une stratégie adaptée. Au sortir de cette réunion, l’un des participants, McGuire Gibson, professeur à l’université de Chicago, nous a déclaré : « les pillages ont été planifiés de l’extérieur de l’Irak ». Koïchiro Matsuura a annoncé la création d’un fonds spécial pour le patrimoine culturel irakien, puis, il a appelé à prononcer un embargo international sur les objets d’art irakiens. Surtout, il a réclamé l’adoption d’une résolution ad hoc par le Conseil de sécurité des Nations Unies, signifiant ainsi que la responsabilité des pillages incombe à des États. Sans attendre, Martin Sullivan président du Comité consultatif des Affaires culturelles, a présenté sa démission au président Bush pour que le scandale ne rejaillisse pas sur la Maison-Blanche.

 

http://www.voltairenet.org/article9534.html

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La menace Supernova

Des astronomes de l’Université de Villanova (Philadelphie, USA), Edward M. Sion, Patrick Godon et Timothy McClain, ont dévoilé, au début de ce mois de janvier, un scénario pour le moins intrigant. Leurs travaux concernent l’étoile T Pyxidis, qui est en fait un binôme d’étoiles. Jusque-là rien de bien inquiétant, si ce n’est la position de ce couple infernal, bien plus proche de la Terre qu’on ne le pensait, et sa possible évolution vers une supernova (1) au pouvoir destructeur cataclysmique. Néanmoins, l’explosion ultime, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour la vie sur notre petite planète, est loin d’être une évidence. Voyons cela de plus près.

Ce couple d’étoiles se situe dans la constellation de la Boussole (2)(3) à quelques 3260 années-lumière (4) de la Terre. L’une d’elle est une étoile de type solaire et l’autre une naine blanche (5) qui aspire littéralement sa voisine : 200 millions de tonnes chaque seconde.

Jusque-là les astronomes observaient des explosions régulières de type nova (6) en ce qui concerne cette naine blanche (en 1890, 1902, 1920, 1944 et 1967). Ce phénomène ne s’est plus reproduit depuis plus de 40 ans ; ce qui n’est pas bon signe pour la ligne de la naine gloutonne, qui perdait de sa masse au cours de ces pics d’activité thermonucléaire. Nul doute que nos astronomes surveillent la venue de la prochaine nova avec fébrilité.


En attendant, il se pourrait bien qu’un tel appétit conduise irrémédiablement cette étoile vers un effondrement gravitationnel (une fois la limite de Chandrasekhar atteinte), suivi d’une gigantesque explosion thermonucléaire. On parle ici d’une supernova de type Ia (7) dont l’émission de rayons gamma détruirait toute vie sur des dizaines d’années-lumière à la ronde. Le scénario le plus alarmiste prévoit ni plus ni moins que la disparition de la couche d’ozone autour de notre planète, qui deviendrait alors beaucoup moins hospitalière pour des créatures aussi fragiles que nous.





























Toutefois, pour certains spécialistes, T Pyxidis serait trop éloignée de notre système solaire, pour être une véritable menace. Et cette supernova pourrait ne survenir que dans plusieurs millions d’années. De quoi laisser le temps de se faire coiffer sur le poteau par une autre étoile, encore plus proche de nous : pourquoi pas Bételgeuse (8), Antarès, ou IK Pegasi (HR 8210), toutes situées à moins de 1000 années-lumière de la Terre, et qui promettent également une fin mouvementée, en tant que supernova.
Il est aussi question des hypernovae (des cas particuliers et rarissimes de supernova) qui pourraient être fatales à la vie terrestre. On soupçonne même ces hypernovae d’être à l’origine de certaines extinctions massives survenues au cours de l’évolution chaotique de la vie sur Terre. Mais ce n’est qu’une hypothèse...
En fin de compte, il semble prématuré de s’aventurer à faire un pronostic sur l’intensité et la proximité dans le temps de La menace supernova.
A notre petite échelle, les supernovae paraissent menaçantes pour le monde vivant, mais à l’échelle de l’univers chaque supernova est au contraire le creuset qui génère les éléments constitutifs de la vie. Il faut aussi noter que l’étude des supernovae a provoqué un bond spectaculaire dans nos connaissances sur l’univers et son évolution. Ainsi, on sait désormais que l’expansion de l’univers s’accélère, alors qu’on imaginait le contraire avant d’avoir cherché à percer les mystères des supernovae.

Au sujet des Supernovae, un documentaire en 3 parties est visible ici sur Agoravox.TV.
Les chiffres tirés de ce documentaire sont assez éloquents :
Une supernova est 100 milliards de fois plus lumineuse que le soleil.
On estime qu’il y a environ 30 millions de supernovae chaque année dans l’Univers et 1 ou 2 par siècle dans une galaxie type comme la nôtre.


L’animation suivante permet de comparer les tailles des différents astres, notamment, la Terre, Jupiter, le Soleil et Bételgeuse :


Astronomy Magazine


LEXIQUE :

(1) Supernova : Une supernova est l’ensemble des phénomènes conséquents à l’explosion d’une étoile, qui s’accompagne d’une augmentation brève mais fantastiquement grande de sa luminosité. Vue depuis la Terre, une supernova apparait donc souvent comme une étoile nouvelle, alors qu’elle correspond en réalité à la disparition d’une étoile.
Les supernovas sont des évènements rares à l’échelle humaine : leur taux est estimé à environ une à trois par siècle dans notre Voie lactée. Il est à noter qu’à notre époque aucune supernova n’a été observée dans notre Galaxie depuis l’invention du télescope ! La dernière en date est celle dite de Kepler, SN 1604. ... ( Voir la suite ici )

(2) Constellation : Une constellation est un ensemble d’étoiles dont les projections sur la voûte céleste sont suffisamment proches pour qu’une civilisation les relie par des lignes imaginaires, traçant ainsi une figure sur la voûte céleste.
Actuellement, l’Union astronomique internationale (UAI) divise le ciel en 88 constellations avec des frontières précises, pour que tout point du ciel appartienne à une constellation. ...( Voir la suite ici )

(3) Constellation de la Boussole : La Boussole est une petite constellation du ciel austral, sans étoile particulièrement lumineuse. La constellation de la Boussole est limitrophe de l’immense Navire Argo incluse depuis l’Antiquité par Ptolémée. Elle fut nommée en même temps que Nicolas-Louis de Lacaille démantela le navire en trois constellations en 1752. ...( Voir la suite ici )

(4) Année-lumière : L’année-lumière (symbole al, anciennement année de lumière) est une unité de distance utilisée en astronomie.
Une année-lumière est la distance parcourue par un photon (ou plus simplement la lumière) dans le vide, en dehors de tout champ gravitationnel ou magnétique, en une année julienne (365,25 jours ; soit : 31 557 600 secondes). La vitesse de la lumière dans le vide étant (par définition du mètre) de 299 792 458 m/s, une année-lumière est exactement égale à : 9 460 730 472 580,800 km ≈ 9 461 milliards de km = 9,461 Pm ou 9 461 Tm. ...( Voir la suite ici )

(5) Naine blanche : Une naine blanche, appelée aussi naine dégénérée est une étoile de petite taille composée essentiellement de matière dégénérée. De masse comparable à celle du Soleil, pour un volume comparable à celui de la Terre, sa densité est très élevée. Sa température de surface, qui peut être élevée, provient de l’émission de l’énergie thermique stockée au cœur de l’étoile. Malgré cela, elle a une faible luminosité totale, en raison de sa petite superficie. Les naines blanches constituent approximativement 6 % de l’ensemble des étoiles connues dans le voisinage solaire. ...( Voir la suite ici )

(6) Nova : En astronomie, une nova est une étoile qui devient très brutalement extrêmement brillante, avec une grande augmentation de son éclat, qui peut être de l’ordre de 10 magnitudes. Cette vive luminosité ne dure que quelques jours, et l’étoile reprend ensuite progressivement son éclat initial. ...( Voir la suite ici )

(7) Classification spectrale : Historiquement, les supernovas ont été classifiées en fonction de leur spectre, suivant deux types, notées par les chiffres romains I et II, lesquels contiennent plusieurs sous-types. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Supernova)
Type Ia : Les supernovas de type I ont un spectre qui ne contient pas d’hydrogène. Si le spectre montre la présence de silicium, on parle de type Ia.

(8) Bételgeuse : Bételgeuse (α Orionis) est une étoile variable semi-régulière, une supergéante rouge de la constellation d’Orion, située entre 430 et 640 années-lumière. C’est la 9e plus brillante étoile du ciel. Bien qu’ayant la désignation de "alpha" dans la Désignation de Bayer, elle n’est que la deuxième de la constellation d’Orion, derrière Rigel. ...( Voir la suite ici )

http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/etonnant/article/l...


 

01:24 Publié dans Cosmos, Météorites, Comètes, Eruptions Solaires, | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Plus de 1,7 million de foyers ont touché le RSA en novembre

Et cela ne fait que commencer !

Le massacre des populations continue avec la dette grandissante volontairement entretenue et organisée.
Comme vous l'avez compris c'est le Nouvel Ordre Mondial et les élites qui viendront arranger tout cela !
En attendant faut crever de faim et de froid, voire se suicider pour arranger les soi-disant problèmes de surpopulation mondiale.


Plus de 1,7 million de foyers ont bénéficié du revenu de solidarité active (RSA) au mois de novembre 2009, selon des chiffres publiés par le Haut commissaire aux Solidarités actives, Martin Hirsch. Lire la suite l'article

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Il s'agit d'une progression de 29.000 par rapport à octobre.

Dans le détail, 1,1 million de personnes ont bénéficié du dispositif au titre du "RSA socle", qui a remplacé le RMI et l'allocation parent isolé, et 595.000 (soit 35% du total) au titre du "RSA activité", la véritable nouveauté de la réforme, qui assure un complément de revenus aux bas salaires.

Parmi les nouveaux allocataires de novembre, "13.000 ont des revenus du travail faibles dont le bénéfice, avant l'existence du RSA lancé en juin dernier, aurait été intégralement annulé par une baisse équivalente du RMI", explique-t-on.

Ces chiffres sont "bons", dit-on dans l'entourage de Martin Hirsch, pour qui "le rythme de montée en charge, continu, est satisfaisant". A terme, le Haut commissaire souhaite faire bénéficier 1,6 million de personnes du "RSA activité".

"Il y a une réserve assez importante de personnes qui y ont droit et qui n'ont pas le RSA", explique une collaboratrice de Martin Hirsch. "Certains travailleurs modestes ne savent pas qu'ils y ont droit, d'autres pensent que c'est automatique alors que ça ne l'est pas, il faut faire des démarches".

Elizabeth Pineau, édité par Gilles Trequesser

http://fr.news.yahoo.com/4/20100128/tts-france-rsa-ca02f9...


01:17 Publié dans France/Israël/Elections | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

La fusion thermo-nucléaire artificielle n'a jamais été aussi proche

En espérant qu'avec cette nouvelle technologie laser, les "scientifiques du diable" ne participeront pas à précipiter le déséquilibre de la planète. Ils avaient déjà le LHC du Cern pour cela, et nous ne savons toujours pas ce qu'ils fabriquent avec cet engin. Et n'oublions pas que les énergies libres et propres existent depuis plus de 60 ans et qu'elles sont tenues secrètes depuis lors aux USA.

WASHINGTON - Des scientifiques américains viennent de franchir une étape clé vers le déclenchement d'une fusion nucléaire contrôlée vue comme une source potentielle d'énergie illimitée et propre, pouvant résoudre durablement les problèmes de gaz à effet de serre de la planète.

Les chercheurs du "National Ignition Facility" (NIF) ont réussi à franchir pour la première fois la barrière d'un mégajoule avec plus de 111 millions de degrés Celsius, en concentrant 192 rayons laser de grande puissance dans un tube pas plus grand qu'un taille crayon, rempli de deutérium et de tritium, deux isotopes naturels légers d'hydrogène.

Ils se sont ainsi approchés, comme jamais jusque là, très près de la température nécessaire pour déclencher la fusion thermo-nucléaire, qui se produit naturellement dans le coeur du soleil et de la plupart des étoiles.

"Le NIF a montré sa capacité à produire suffisamment longtemps l'énergie requise pour mener des expériences de fusion plus tard cette année", souligne Ed Moses, le directeur du NIF, qui fait partie du Laboratoire Lawrence Livermore en Californie.

La température produite pendant quelques milliardièmes de seconde par ce dispositif de puissants lasers occupant la surface d'un terrain de football, a produit une énergie équivalente à 500 fois celle utilisée aux Etats-Unis à tout moment. Elle est aussi trente fois plus élevée que celles obtenues jusqu'à présent par tout autre groupe de laser dans le monde.

"Franchir la barrière du mégajoule nous rapproche du déclenchement de la fusion nucléaire (...) et montre le potentiel énorme de l'un des plus grands défis scientifiques et d'ingéniérie de notre époque", a déclaré Thomas D'Agostino, le directeur du NNSA (National Nuclear Security Administration).

L'énergie nucléaire peut être libérée de deux façons: en cassant des noyaux atomiques lourds, la fission, déjà contrôlée, ou en fusionnant des noyaux très légers, la fusion. Et maîtriser la fusion de noyaux légers, tels que le deutérium et le tritium, ouvrirait la voie à des ressources en énergie quasiment éternelles.

Le deutérium est un élément qui peut-être extrait de l'eau et ses réserves correspondent à plusieurs millions d'années de consommation mondiale, relève sur son site internet le Commissariat français de l'énergie atomique (CEA).

"Si nous pouvons dompter cette source d'énergie pour avoir une planète sans carbone et déchets nucléaires radio-actif, ce sera tout simplement merveilleux", observe Ed Moses, dont les travaux sont détaillés dans la revue américaine Science datée du 29 janvier.

Aujourd'hui 87% de l'énergie consommée dans le monde provient des énergies fossiles non-renouvelables dont la combustion est la principale sources des émissions de gaz à effet de serre.

Les réserves prouvées de pétrole sont évaluées à 43 ans, à 66 ans pour le gaz naturel et à 240 ans pour le charbon, selon des estimations du CEA.

Malgré les recherches conduites dans le monde depuis les années 1950, aucune application industrielle de la fusion à la production d'énergie n'a encore abouti et son potentiel reste encore incertain.

L'espoir de voir la fusion thermo-nucléaire devenir une source d'énergie universelle à l'horizon 2050 repose principalement sur le projet Iter, qui sera vers la fin de la décennie, la plus grande installation de recherche au monde destinée à prouver que la fusion est possible.

En construction en France, Iter lancé en 2006, est un vaste projet expérimental de dix milliards de dollars réunissant Union européenne, Japon, Chine, Russie, Etats-Unis, Corée du Sud et Inde.

(©AFP / 28 janvier 2010 22h37)

http://www.romandie.com/ats/news/100128213713.100n4gi8.asp


01:10 Publié dans Energies libres, électricité gratuite | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |