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12/03/2014

La propagande anti-ukrainienne et les mystérieux snipers

Voilà comme les nazis qui gouvernent le monde s'arrangent pour faire supporter la responsabilité sur le Président Ukrainien et sur Poutine et la Russie !

Réseau Voltaire| 6 mars 2014

 

http://www.voltairenet.org/local/cache-vignettes/L400xH250/arton182514-9b41e.jpg

La chaîne de télévision Russia Today a publié une interception du téléphone du ministre estonien des Affaires étrangères, Urmas Paet, dans lequel il indique que les mystérieux snipers de la place Maidan étaient liés à l’opposition pro-européenne.

Sans prendre personnellement position, le ministre libéral téléphone à ce sujet à la Haute-représentante de l’Union européenne, lady Catherine Ashton, pour l’informer de ses doutes. L’authenticité de la conversation a été confirmée par les deux protagonistes. Elle date d’une semaine.

Le ministre, indigné, déclare avoir eu confirmation par le Dr. Olga Bogomolets (célèbre dermatologue impliquée dans les manifestations de la place Maidan) que des individus liés à l’opposition pro-européenne —et non pas des membres des forces de sécurité fidèles au président Ianoukovytch— ont tiré à la fois sur la police et sur les manifestants pour provoquer les émeutes et renverser le gouvernement.

Breaking: Estonian Foreign Minister Urmas Paet
and Catherine Ashton discuss Ukraine over the phone
http://www.youtube.com/watch?v=ZEgJ0oo3OA8&oref=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DZEgJ0oo3OA8&has_verified=1

L’administration issue du coup d’État a lancé un mandat d’arrêt international contre le président Viktor Ianoukovytch l’accusant d’avoir ordonné de tirer sur ses opposants et d’être le principal responsable des affrontements de la place Maidan.

Le Réseau Voltaire a souligné, dès le début des affrontements, que de mystérieux snipers tirant à la fois sur la foule et la police, ont été identiquement observés dans chaque « révolution colorée » ou « printemps arabe » depuis 1989. Dans le cas des émeutes de Benghazi (2011), quatre membres des Forces spéciales italiennes ont avoué, après le renversement du régime, avoir été envoyés par l’Otan pour y provoquer la guerre civile.

http://www.voltairenet.org/article182514.html

 

 

 

 

US/Sioniste/RUSSIE : La Géorgie bientôt sur la voie de l'Otan ?

Nouvelle provocation et chantage contre Poutine et la Russie par les US/Sionistes.

Ils l’a veulent leur 3ème guerre mondiale pour pouvoir instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, hein ?

La Géorgie bientôt sur la voie de l’Otan ?

Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

Kommersant

Kommersant

© AFP 2014 John Thys

11:57 12/03/2014

MOSCOU, 12 mars - RIA Novosti

Sur le même sujet

En septembre la Géorgie pourrait se voir proposer un plan d'action (MAP) pour adhérer à l'Otan, annoncent des sources du siège de l'Alliance et du département d'Etat américain. Selon certaines informations, la décision définitive dépendra de l'issue de la crise en Ukraine, écrit mercredi 12 mars le quotidien Kommersant.

Si la Crimée rejoignait la Russie à l'issue du référendum du 16 mars, la Géorgie pourrait se voir proposer un plan d'action pour adhérer à l'Alliance lors du sommet de l'Otan en septembre au Royaume-Uni. Ce plan réunit une liste de conditions politiques, militaires, économiques et juridiques à remplir pour pouvoir adhérer à l'Otan. Aujourd'hui, la Macédoine, le Monténégro et la Bosnie travaillent à son application.

Cette perspective d'adhésion à l'Otan s'est présentée à la Géorgie lors du sommet de l'Alliance à Bucarest en avril 2008. Les objections de l'Allemagne et de la France n'avaient pas permis à l'époque de proposer le MAP à Tbilissi, mais il a été promis à la Géorgie qu'elle pourrait adhérer à l'Alliance à terme. Après le conflit armé d’août 2008 et la reconnaissance de l'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie par la Russie cette question n'était plus à l'ordre du jour : le dernier sommet de l'Alliance en 2012 à Chicago a vaguement confirmé que les portes de l'Otan restaient ouvertes pour Tbilissi.

"Les agissements de la Russie en Ukraine ont entraîné la reprise des discussions sur la nécessité pour l'Alliance d'adopter une politique plus déterminée en Europe de l'Est. Même les dirigeants des Etats qui appelaient récemment à ne pas forcer cette question disent aujourd'hui que la demande de Tbilissi doit être satisfaite", déclare une source du siège de l'Otan. Et selon une source du département d'Etat américain, les représentants de la Maison blanche ont promis au premier ministre géorgien Irakli Garibachvili, qui s'est récemment rendu à Washington, que les Etats-Unis soutiendraient Tbilissi dans sa démarche.

Garibachvili a déclaré au Conseil de l'Atlantique Nord à Washington que le changement de gouvernement en Géorgie n'avait pas modifié ses ambitions euro-atlantiques. Selon lui, Tbilissi mise particulièrement sur Washington.

La Russie estime inadmissible la perspective du rapprochement de l'Otan de ses frontières. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a récemment accusé l'Alliance de "poursuivre l'ancienne logique de la Guerre froide". "Non seulement il s’agit d’un maintien des lignes de démarcation qu'on s'est engagé à effacer, mais c'est aussi un avancement des lignes de séparation plus loin vers l'est allant à l'encontre des engagements au plus haut niveau concernant l'intégrité et la sécurité", a-t-il déploré.

Néanmoins selon la source du département d'Etat, "si la Russie annonçait l'annexion de la Crimée, la question de la proposition du MAP à la Géorgie pourrait être considérée comme réglée". Selon la source, seule l'Allemagne pourrait l'empêcher, dont le MAE est dirigé depuis 2008 par Frank-Walter Steinmeier loyal à l'égard de Moscou. "Toutefois, l'avis de Berlin et d'autres sceptiques pourrait changer car l'adhésion de la Crimée à la Russie n’est acceptable pour aucun pays de l'UE", affirme la source.

Mais en parlant des perspectives d'intégration à l'Otan, les autorités géorgiennes passent sous silence le sort de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud dans ce cas.

http://fr.ria.ru/presse_russe/20140312/200696993.html

 

Le Congrès Sioniste/US se prononce pour des sanctions contre Moscou

Représailles ? Ne fallait-il pas que Moscou reconnaisse que le financement du régime de KIEV par les USA était illégitime ?

Ukraine: le financement du régime de Kiev par les USA illégitime (Moscou)

Ainsi vous saurez que ce sont les sionistes qui sont encore derrière les attaques en Ukraine, en Crimée et contre la Russie !

Alors on les appelle pour faire joli dans le paysage et pour brouiller les pistes : les Agents de la CIA, du Mossad, les néonazis, les terroristes et autre noms d’oiseaux, mais sur le fond, ce sont toutes des agences satellitaires placées sous la tutelle de la Holding multinationale des élites de Franc-maçonnerie, secte sioniste : Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes avec à leur tête la Famille Rothschild propriétaire de l’état sioniste privé d’Israël.

Rothschild : « J'ai créé cette colonie (Israël) moi seul. Par conséquent, ni les colons, ni aucune organisation n'a le droit d'interférer avec mes plans ! »

Il faudrait commencer par appeler un chat, un chat !

Qui sont les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial ?
Il n’y en a pas 150 000 non plus !

Rappel : Israël contrôle le Congrès américain, mais pas seulement !

Israël a acheté le Congrès US : Le sabotage des négociations USA-Iran

AIPAC: le Lobby pro-israélien aux États Unis

USA : Un échec cinglant de l’Aipac le lobby pro-sioniste !

 

Le Congrès Sioniste/US se prononce pour des sanctions contre Moscou

Dossier: L’avenir de la Crimée

Le Congrès US se prononce pour des sanctions contre Moscou

Le Congrès US se prononce pour des sanctions contre Moscou

© AFP 2014 Jewel Samad

08:47 12/03/2014

WASHINGTON, 12 mars - RIA Novosti

Sur le même sujet

La Chambre des représentants du Congrès américain a adopté mardi une résolution dénonçant la politique de Moscou à l'égard de l'Ukraine et appelé la Maison Blanche à décréter des sanctions à l'encontre de la Russie.

Approuvé par 402 députés, le document, qui revêt un caractère de recommandation, propose notamment d'exclure la Russie du G8. Les législateurs appellent en outre l'OSCE à envoyer des observateurs en Crimée et dans d'autres régions ukrainiennes et invitent l'Otan à mettre fin à sa coopération militaire avec Moscou.

Dans le même temps, les députés estiment que la Maison Blanche et l'Union européenne doivent introduire des sanctions financières, commerciales et de visa à l'encontre de hauts responsables, banques publiques, organisations commerciales et agences publiques russes.

Le document propose également d'apporter une assistance économique aux nouvelles autorités ukrainiennes et de soutenir leurs efforts en vue de réduire la dépendance énergétique de Kiev envers Moscou.

http://fr.ria.ru/world/20140312/200695852.html

 

 

USA : Un échec cinglant de l’Aipac le lobby pro-sioniste !

Obama, un antisémite pour avoir refusé de participer à la conférence du lobby pro-sioniste aux USA, l’AIPAC ?

 

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Un échec cinglant de l’Aipac


Le lobby pro-israélien a-t-il présumé de ses forces ?

La conférence de l’American Israel Public Affairs Committee (Aipac) s’est achevée hier. Malgré l’euphorie de façade, c’est l’absence du président Barack Obama et le souvenir proche de la cuisante défaite subie par le lobby dans sa bataille pour entraver les négociations avec l’Iran qui ont dominé.

Les différents chiffres annoncés concernant la conférence annuelle de l’American Israel Public Affairs Committee (Aipac) n’auront trompé personne. Malgré la présence de 14 000 participants, de plus de deux tiers des sénateurs américains, de dizaines de responsables politiques de haut rang, y compris John Kerry et Benyamin Nétanyahou, c’est bien l’absence de Barack Obama qui en aura été l’élément marquant. Agacé par l’activisme du lobby qui tient à voir appliquer de nouvelles sanctions contre l’Iran, le président n’a pas honoré le meeting de sa présence. Traditionnel lieu de tous les éloges pour Israël et sa politique, la conférence n’a pas trahi sa réputation. Cependant, quelques semaines seulement après une défaite cinglante de l’Aipac face à l’administration Obama, les intervenants démocrates ont été moins consensuels qu’à l’accoutumée.

Une forte influence

Fondé en 1951, le puissant lobby pro-israélien aux États-Unis n’est pas habitué aux défaites politiques. Grâce à un réseau influent de soutiens et de riches donateurs, il bénéficie de moyens importants pour influencer la politique américaine. Son objectif affiché est le « renforcement, la protection et la promotion des relations entre les États-Unis et Israël ». L’Aipac défend aussi une doctrine proche de celle des néoconservateurs sur les problématiques proche-orientales, affichant notamment des positions très dures vis-à-vis de l’Iran et de tous les pays supposés hostiles à Israël. Il y a près de trente ans, le président Ronald Reagan n’avait pas cédé face à ses demandes répétées d’annuler une vente d’avions de surveillance militaire à l’Arabie saoudite. Depuis cet « incident de parcours », l’organisation a multiplié les succès. Tous les ans, les principales personnalités politiques américaines se pressent à sa conférence annuelle. Elles y défendent l’amitié entre Israël et les États-Unis et rappellent l’alliance indestructible entre les deux pays.

L’Aipac sponsorise habituellement des projets de loi sur la politique américaine au Proche-Orient qui sont acceptés à l’unanimité par le Congrès, son terrain d’influence favori : l’organisation bénéficie du soutien de nombreux sénateurs généreusement financés par l’organisation et acquis à son projet politique. Elle a activement soutenu les sanctions américaines contre l’Iran, avec plusieurs sénateurs, démocrates comme républicains, qui effectuent depuis de nombreuses années un travail législatif considérable pour accroître ces sanctions. L’Aipac s’est ainsi rapidement insurgée contre le pré-accord sur le règlement du conflit nucléaire iranien signé le 23 novembre 2013 à Genève. Tout comme Tel-Aviv, elle considère qu’il met en danger la sécurité d’Israël et qu’il convient d’appliquer une approche beaucoup plus ferme contre Téhéran.

Les sénateurs Mark Kirk (républicain, Illinois) et Robert Menendez (démocrate, New Jersey) ont formulé un projet de loi, le Nuclear Weapon Free Iran Act, qui affirme que l’Iran continue de développer son programme nucléaire en violation des résolutions du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies. Les négociations entamées à Genève ne seraient qu’un subterfuge de Téhéran afin de gagner du temps. L’Iran est présenté comme le principal soutien du terrorisme, ainsi que l’illustrerait son appui au Hezbollah et au régime syrien. Les sanctions auraient amené les autorités iraniennes à négocier ; il serait donc nécessaire de les maintenir et même les accroître. Il est précisé que si Israël, au motif de légitime défense, entreprenait des actions militaires contre les installations nucléaires iraniennes, les États-Unis se devraient de soutenir leur allié1. Le texte a été critiqué : les rédacteurs affirment par exemple que l’Iran n’a pas le droit d’enrichir de l’uranium et du plutonium dans la mesure où il a ratifié le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), ce qui est faux.

Contourner le veto présidentiel

Présenté au Sénat à la mi-décembre, ce projet de loi s’est rapidement approché de la majorité des deux tiers (67 sénateurs) grâce à une rhétorique qui a permis de ne pas braquer les démocrates : le Nuclear Weapon Free Iran Act serait un outil supplémentaire permettant à Obama de renforcer la diplomatie américaine et de menacer la République islamique d’un durcissement immédiat des sanctions si cette dernière ne respectait pas ses engagements, et ce projet ne serait en rien contraignant pour le président. L’Aipac a fait de ce projet sa priorité absolue et tous les moyens de communication du lobby ont été utilisés pour le soutenir. On trouvait par exemple, il y a peu, sur son site une lettre-type soutenant le Nuclear Weapon Free Iran Act, à imprimer par les citoyens et à envoyer aux sénateurs, ou encore des vidéos illustrant le danger que représenterait un Iran nucléarisé.

Obama ayant fait de l’apaisement diplomatique avec l’Iran une des priorités de son second mandat, il a menacé le Sénat d’utiliser son veto si d’aventure la loi était ratifiée. Malgré ces mises en garde et celles du leader des démocrates au Sénat, Harry Reid, refusant de mettre le vote de cette proposition de loi au calendrier du Sénat, seize sénateurs démocrates l’ont soutenue au cours du mois de janvier. Avec les soutiens unanimes des républicains, le projet a obtenu cinquante-neuf co-sponsors à la mi-janvier. Il ne manquait qu’une voix aux partisans du projet pour bloquer le Sénat grâce au fillibustering (« obstruction parlementaire »)2 et seulement quelques-unes pour contourner le veto présidentiel grâce à la majorité des deux tiers.

Bob Menendez et Mark Kirk, les deux rédacteurs du projet, se sont distingués au cours de leur carrière politique par des positions très proches des néoconservateurs. Ils ont déjà participé à la rédaction de différents amendements aggravant les sanctions américaines contre l’Iran et affichent un soutien indéfectible à la politique israélienne dès qu’ils en ont l’occasion.

Une surenchère qui ne fonctionne plus

Un front démocrate est apparu face aux partisans d’une augmentation des sanctions. La réalisation du pré-accord avec l’Iran signé à Genève devait débuter le 20 janvier et ce projet risquait d’en compromettre la mise en œuvre et d’être perçu comme une provocation par Téhéran. Aux côtés du président, on retrouve Harry Reid mais également un groupe de dix présidents de commissions démocrates qui ont publié une lettre en guise d’avertissement aux membres de leur parti qui voudraient se rallier au projet. D’autres personnalités démocrates comme John Kerry, Bill de Blasio ou Hillary et William Clinton affichent tour à tour l’espérance que suscite à leurs yeux une solution diplomatique négociée avec Téhéran. On note également la prise de position de certains think tanks très influents comme Carnegie Endowment for International Peace, dont la présidente Jessica Tuchman Mathews a publié un pamphlet contre le projet de loi.

Les sénateurs démocrates ayant soutenu le Nuclear Weapon Free Iran Act sont accusés de mener une politique qui conduira inéluctablement leur pays à la guerre. L’Aipac peine alors à trouver de nouveaux co-sponsors au projet et la fermeté dont a fait preuve le président lors du discours sur l’état de l’Union est sans équivoque. Le 29 janvier, trois sénateurs démocrates ont retiré leur soutien après avoir été personnellement convaincus par le président. Le même jour, Menendez a reconnu l’échec de son projet – une défaite qui suivait un autres revers, son incapacité à bloquer la nomination de Chuck Hagel au poste de secrétaire à la défense. Quelles vont être les conséquences de cette défaite politique pour l’Aipac ? Le lobby essaye depuis de la camoufler en déclarant officiellement soutenir les efforts de la diplomatie américaine. L’intransigeance d’Obama s’est révélée victorieuse. Ce précédent pourra t-il faire évoluer la fin du mandat d’Obama et décomplexer sa politique au Proche-Orient ?

Menendez et Nétanyahou ont certes multiplié à la tribune de la conférence, en ce début mars, les attaques contre la République islamique, la comparant à la Corée du Nord avec des dirigeants qui « aiment la mort ». Ils ont également défendu l’existence millénaire d’Israël ou l’indivisibilité de Jérusalem. Mais cette fois la surenchère rhétorique n’a pas fonctionné. Le président Obama avait confirmé la veille à son homologue israélien la nécessité de faire des compromis pour résoudre le conflit israélo-palestinien et John Kerry a rappelé qu’il n’était pas question d’évoquer de nouvelles sanctions contre l’Iran tant que le processus diplomatique était en cours. Depuis bien longtemps l’atmosphère n’avait semblé aussi lourde autour de cette conférence, et ce ne sont pas Robert Menendez ni Benyamin, Nétanyahou, habituellement très applaudis, qui pourront dire le contraire.

Boris Roche

http://orientxxi.info/magazine/un-echec-cinglant-de-l-aip...

http://www.reseauinternational.net/2014/03/08/un-echec-ci...

 

 

AIPAC: le Lobby pro-israélien aux États Unis

 

A chacun son lobby sioniste, n’est-ce pas, qui mène la politique étrangère des pays occidentaux et Européens ?

Aux USA ils ont l’AIPAC, en France nous avons le CRIF qui fait office de Ministère de l'intérieur et de celui des Affaires étrangères et en Europe, le Parlement Juif Européen !

Il faut bien inventer des guerres génocidaires dans le monde pour financer les banksters internationaux, le lobby industrialo/militaire au profit de l’état sioniste d’Israël pour permettre aux Illuminati d’instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

AIPAC- The American Israel Public Affairs Committee

http://www.aipac.org/

 

AIPAC: le Lobby pro-israélien aux États Unis
http://www.youtube.com/watch?v=YoGZ4Lgfu88

)

L'AIPAC, the American Public Affairs Committee ou America's Pro Israel Lobby) est une des groupes d'influence juif les plus importants aux États Unis.

Livre: le lobby pro israélien et la politique étrangère des États Unis, Stephen Walt et John Mearsheimer

Zionist attack on western civilization :
http://www.mediafire.com/view/?dbb25a4504zrvjn


Reed Douglas, La controverse de Sion :
http://www.mediafire.com/view/?ifq7m22f90wnc2e

Le documentaire qui n'a pas plu à Israël, France2 AIPAC Un œil sur la planète

 http://www.youtube.com/watch?v=KzCoSUSszBw

 )

Le sujet le plus sensible concerne le lobby pro-israélien aux États-Unis. Dans cette enquête, les journalistes Estelle Youssouffa et Christophe Obert montrent comment les organisations juives et chrétiennes conservatrices pèsent sur la politique étrangère américaine, permettant à l'État hébreu de s'affranchir de certaines résolutions onusiennes. Ancien de l'Aipac, le plus important groupe de pression pro-israélien aux États-Unis, M. J. Rozenberg raconte comment des organisations comme "Camera" traquent les journalistes "déviants".

"Le lobby, dit-il, rend la vie difficile aux journalistes qui ne sont pas perçus comme pro-israéliens. Ils auront du mal à trouver un job ou, s'ils en ont un, à garder un poste. Lorsque je travaillais à Aipac, il y avait des listes, des dossiers sur chaque reporter." Des révélations saisissantes, qui n'ont pas convaincu Richard Prasquier. "On ne sait même pas pourquoi cet homme a quitté l'Aipac et quel compte il a à régler avec eux", argumente le président du Crif. "La moindre des choses aurait été de préciser que les lobbys existent aux États-Unis, mais aussi en France. Regardez le lobby pharmaceutique. Il ne faut pas laisser croire que le lobby pro-sioniste est en train de détourner la démocratie américaine."